Des mots de résistance, d’espérance, d’inquiétude, et la soif d’apprendre
De la courte préface de Souleymane Bachir Diagne, je souligne quelques éléments. « La vie de Sonia Dayan-Herzbrun vaut témoignage ». Le préfacier parle, entre autres, d’humilité, de culture juive germanophone de la Mitteleuropa, des Palestiniens, d’un passé détruit, d’engagement et de commencement, « qu’elle était née à elle-même, qu’elle s’était donné son propre commencement », de révolution fondatrice, « La vie pensée n’est pas une narration linéaire d’évènements mais d’abord un foyer d’où irradie son sens en arrière et en avant », de féminisme et d’universel, « le féminisme n’est universel que si cet universel est compris depuis le pluriel de ses expressions à qui il donne un horizon commun », de philosophie de la relation et de la créolisation, des visages multiples « de notre commune condition humaine »…
note sur : Sonia Dayan-Herzbrun : Rien qu’une vie
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