La mémoire est perpétuellement menacée
« Ce livre, qui porte sur des solidarités discrètes au passé, est porté par des solidarités discrètes au présent »
Dans son introduction générale « Prison, mémoire, solidarité », Marc André parle de victimes, de témoins, de reconnaissance, de compétition mémorielle et d’affrontement victimaires, de mémoires complexes et d’objets d’histoire, de communautés, « Cette distinction entre communautés d’expériences et communautés mémorielles (militantes ou témoignantes), et surtout leur croisement offrent la possibilité de dépasser les logiques d’affrontements identitaires et victimaires – ce que certains appellent les « guerres de mémoires » – à travers une nouvelle histoire dans laquelle les victimes de divers régimes n’on, en fait, jamais cessé de dialoguer, hier comme aujourd’hui ».
Note sur : Marc André : Une prison pour mémoire. Montluc, de 1944 à nos jours
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