Voilà qui viendrait battre en brèche une idée toujours plus en vogue dans la population comme quoi il n’y a plus de saison.
Toutefois mon esprit critique m’empêche de prendre pour argent comptant cette affirmation, sur la seule base d’une illustration isolée, même jolie au demeurant : il pourrait tout aussi bien s’agir d’un photomontage !
:-)
Double saison : l’automne et celle des connaissances via la blogosphère : ►http://www.scoop.it/t/blog4burma/p/3394660886/c-est-l-automne Bonne journée !
C’est pour cela que j’adore la cambrousse : tu y as particulièrement conscience de la cyclicité du temps.
bien vrai @monolecte, et contrairement aux idées reçues, la campagne en hiver n’est pas plus triste qu’en ville où les façades glauques et humides affichent une grisaille déprimante
J’ai reconnu un « bolet-satan » au premier plan ... Me trompe-je ? Mais le champignon n’est pas l’apanage de l’automne : j’ai fait de belles récoltes de cèpes, girolles et « trompettes de la mort » dès le mois d’août". Enfin, il fallait que l’été soit un tantinet humide. Par contre, je me souviens qu’en 1976 (sécheresse historique), on n’avait jamais vu d’aussi beaux cèpes.
et moi je suis fait des ventrées de girolles en juillet !
Il me semble que le bolet satan a un pied plus gros (même morphologie que le cèpe), et il existe un grand nombre de variétés de bolets qui bleuissent... Si ce n’est lui, c’est donc son frère ! :-)
Manière, c’était la déco du château Lafitte-Teston, par les coulisses d’un restau, je vous rassure.
@monolecte : ça nous a permis de discuter « mycologie ».
@petit_ecran_de_fumee : après vérification dans un livre « papier » (book), tu as raison, c’était son frère ;-)
@odilon : Le plus triste dans les villes en hiver, c’est toutes ces lumières qui mettent en valeur un décor en trompe-l’oeil. Je préfère de loin les feuilles mortes et leurs odeurs d’humus.