Femmes exilées : « Il y a un angle mort dans la procédure d’asile actuelle : la violence subie sur le parcours migratoire »
Dans leur pays d’origine, elles étaient sociologues, assistantes juridiques, sportives, manageuses, couturières, directrices marketing, artistes, étudiantes, géomètres, enseignantes, coiffeuses, orthopédistes, journalistes, navigatrices, horlogères, bagagistes, commerçantes. Elles ont dû s’exiler et, tout au long du chemin, elles ont subi la violence.
Longtemps un phénomène dont les problématiques étaient reléguées au second plan, l’exil féminin est maintenant devenu aussi marquant que celui des hommes, les femmes représentent la moitié des personnes déplacées dans le monde. Cette proportion n’est pas nouvelle et se confirme depuis une dizaine d’années, elle se retrouve aussi dans la file active du Centre Primo Levi, qui est composée pour moitié de femmes.
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