• Israel sprays crop-killing herbicides on farmlands in Gaza
    https://thecradle.co/Article/news/8143

    “They only spray along the fence when the wind blows west, in the direction of the Palestinian lands, in order to allow the herbicides to cover a larger area inside our lands,” Palestinian farmer Youssef Abu Maghadid told media correspondents on 17 March.

    “But when the wind starts blowing east, they immediately stop because it would harm them,” he said.

  • Cérémonie des Barbelés Awards
    https://www.collectif-associations-unies.org/2022/03/09/ceremonie-des-barbeles-awards-17-mars-2022

    A Calais, les autorités agitent sans cesse l’illusion d’un « socle humanitaire » qui permettrait la mise à l’abri de l’entièreté des exilé·es si telle était leur volonté. Pourtant, c’est l’Europe qui place ces exilé·es dans une impasse administrative et juridique, qui les maintient à la rue en situation d’errance et de misère. Source : Collectif Associations Unies

  • La #goutte_de_poison , par #Anna_Colin_Lebedev sur twitter

    La goutte de poison. J’avoue être épuisée de devoir encore et encore, pour la millième fois depuis 2014, faire le point sur l’extrême-droite et les "néonazis" en Ukraine. Des dizaines d’articles et d’interventions de multiples chercheurs. Et il faut recommencer.
    Le régime russe excelle dans la tâche de susciter notre indignation et notre doute. Son arme la plus puissante est de nous emmener sur son terrain, de nous imposer son agenda et ses grilles de lecture. La récente affaire « BHL à Mariupol » a ravivé la flamme.
    Back to basics. Le discours russe sur les « néonazis ukrainiens » se développe à partir de 2014. Il tombe sur le terreau fertile de nos stéréotypes sur les Ukrainiens qui seraient intrinséquement antisémites, qui auraient collaboré avec les nazis.
    Même Boris Cyrulnik s’y colle hier sur France Inter, en parlant des Ukrainiens : « Pourtant, pendant la guerre, ils n’étaient pas très bien engagés, mais leurs enfants ne sont pas responsables des crimes de leurs parents ». Entendre ça est désespérant.
    https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-jeudi-17-mars-2022
    Rappelons les faits. La très grande majorité des soldats ukrainiens ont combattu les nazis au sein de l’Armée rouge (plus de 4 millions) . Environ 200 000 ont combattu aux côtés de l’Allemagne nazie. Ça fait maximum 5% de pro-nazis parmi les combattants.
    La collaboration arrive dans le contexte particulier des politiques répressives de Moscou sur les territoires ukrainiens. Il s’agit pour bcp d’Ukrainiens de choisir le moins pire des deux maux : l’URSS et l’Allemagne. Leurs motivations sont diverses.
    https://www.jstor.org/stable/26624533
    Je ne cherche pas à justifier. Je constate simplement que notre raisonnement suit la logique de la goutte de poison qui contamine tout le liquide où elle est versée. 5% des hommes en armes ukrainiens ont combattu aux côtés des nazis -> l’Ukraine était toute entière collabo.
    Oui, lorsque l’Ukraine indépendante se constitue, il y a parmi ses symboles les personnages ambigus que sont les nationalistes du milieu du XXe. Côté pile, ils luttaient pour l’indépendance de l’Ukraine. Côté face, beaucoup ont collaboré.
    Le récit historique est porteur de cette mémoire complexe. On commémore à la fois la participation des Ukrainiens à la lutte contre le nazisme et le combat nationaliste contre l’URSS. Mais le débat intellectuel est ouvert en Ukraine, la société travaille sur son passé.
    A l’inverse, en Ru, la question de la collaboration avec les nazis est un sujet tabou. On réduit la collaboration à quelques personnages diabolisés (Vlasov), mais sans quantifier et surtout sans s’interroger sur les motivations et le lien avec les répressions staliniennes.
    La logique de la goutte de poison revient dans le récit russe, puis dans le nôtre, dès 2014. Les médias russes poussent l’idée que la révolution du Maïdan est ultra-nationaliste, en donnant pour preuve des portraits du nationaliste Stepan Bandera présents sur la place.
    Or, le Maïdan est une mobilisation inclusive, autour d’un objectif commun : le départ du président en place et le rejet du projet de société qu’il incarne. Des citoyens idéologiquement très divers se retrouvent dans ce mot d’ordre. Oui, les nationalistes sont aussi là.
    La logique de la goutte de poison fait que puisqu’on a repéré l’extrême droite dans la foule, la manifestation entière est contaminée. Comme si l’on disait : puisque Marine Le Pen était dans les manifestations « Je suis Charlie », ces manifestations sont d’extrême droite.
    Or, le Maïdan est divers, multilingue (et plutôt russophone d’ailleurs), valorisant cette pluralité. Les portraits de Bandera ne plaisent pas à tout le monde, mais on laisse faire, au nom de l’inclusion de tous et de la lutte commune.
    La logique de la goutte de poison atteint son paroxysme lorsqu’on parle des bataillons qui se sont formés à partir de 2014. 2 sont sur toutes les lèvres : Azov et Pravy Sektor. « Bataillon ultranationaliste », ça fait frémir. Le pouvoir russe utilise notre frémissement.
    Oui, le bataillon Azov et le bataillon Pravy Sektor (2 sur une trentaine) ont été formés par des groupes politiquement ultranationalistes. Mais même dans ceux-là, de nombreux combattants ne partageaient pas l’ancrage politique du bataillon.
    J’ai fait des entretiens en 2016-2017 avec plusieurs combattants de Pravy Sektor. Un bataillon très décentralisé, où chaque groupe vit un peu sa vie. Je n’ai pas détecté d’idéologie particulière ; les gens s’y engagent parce que ce bataillon est non affilié à l’Etat.
    Azov est plus idéologisé et porteur d’idées ultranationalistes, mais en 2014-2015, beaucoup de combattants se retrouvent dans Azov sans motivation idéologique. Chacun de ces bataillons compte quelques centaines de personnes. Voir mon rapport.
    https://t.co/R30AHj9Nel
    Aidar (récemment revenu dans nos radars grâce à BHL) est un bataillon sans idéologie autre que l’engagement patriotique. Un bataillon ouvert qui a accueilli des combattants sans faire trop de tri.
    https://connexion.liberation.fr/autorefresh?referer=https%3a%2f%2fwww.liberation.fr%2fchecknews
    Oui, Aidar a pu compter des membres porteurs d’idées nationalistes, conséquence logique d’un recrutement ouvert. Mais aucune idée extrémiste n’y était officiellement promue. Plusieurs Aidar ont été auteurs de crimes, mais pas de crimes motivés par la langue ou l’ethnie.
    Il est logique qu’un conflit armé attire entre autres des personnes idéologiquement radicales. Ce qu’il faut regarder, c’est le bilan. Amnesty, l’OSCE, l’OFPRA ont relevé (des deux côtés) des crimes de guerre. Mais pas d’exactions de masse ou de nettoyages ethniques.
    La logique de la goutte de poison nous fait dire que l’armée ukrainienne entière aurait été contaminée par le néo-nazisme promu par quelques membres. Que doit-on dire alors de nos propres forces de l’ordre qui votent volontiers pour l’extrême droite ?
    https://www.ouest-france.fr/politique/marine-le-pen/presidentielle-44-des-policiers-et-militaires-prets-a-voter-pour-marine
    Il n’est pas impossible d’ailleurs que je sois en train de donner une idée au Kremlin. Dans un prochain discours, Poutine pourra dire, chiffres à l’appui, que l’armée française est néo-nazie. Et par extension, que le pouvoir français est néo-nazi. Une seule goutte suffit.
    Lorsque l’Etat a intégré les bataillons volontaires (sauf Pravy Sektor, marginalisé), cela a été fait dans une logique de reprise de contrôle. Plus facile de gérer les trublions dedans que dehors. Ça n’a pas très bien marché pour Azov qui a continué à se développer.
    Mais les forces politiques ultra-nationalistes sont en constante diminution en Ukraine depuis 2014. Il n’y a pas de parlementaires d’extrême droite dans le parlement ukrainien. C’est aussi parce que le nationalisme soft, nourri par l’agression russe, est devenu mainstream.
    Ce nationalisme civique contient un fort attachement à une identité ukrainienne, plutôt européenne, et l’idée que cette identité est en permanence menacée un ennemi extérieur, l’Etat russe. Je ne vois pas comment cette vision pourrait faiblir dans un proche avenir.
    Il y a une chose qu’on ne trouve pas dans le nationalisme soft ukrainien : c’est l’antisémitisme. Ni dans la population en général, ni dans le pouvoir, ni même dans les groupes d’extrême droite. L’ennemi, c’est aujourd’hui l’envahisseur russe.
    https://www.jpost.com/diaspora/article-692443
    L’Ukraine qui a longtemps négligé l’histoire de l’Holocauste sur son territoire, a changé depuis 10-15 ans. Baby Yar, site de la Shoah par balles, est visité annuellement par chaque président ukrainien. L’Holocauste est enseignée. Les ? douloureuses sont posées.
    La Russie a bien plus de chemin à faire dans ce domaine (j’en parlais dans un billet de blog en 2012) , même si je pense que la population russe n’est pas aujourd’hui particulièrement antisémite.
    https://blogs.mediapart.fr/anna-colin-lebedev/blog/030412/regards-sur-la-russie-contemporaine-l-holocauste-une-colle
    Mais une seule goutte de poison nous a suffi pour que le soupçon pèse sur l’Ukr. Je ne le répéterai jamais assez : les blindés russes s’embourbent sur le terrain, mais le pouvoir russe sait très bien venir nous chercher, appuyer et désinformé là où ça nous fait mal.

    https://twitter.com/colinlebedev/status/1504856940568055828
    #Ukraine #extrême_droite #nazis #néo-nazis

  • L’annulation des réserves russes va conduire à un nouveau système monétaire international
    https://reseauinternational.net/lannulation-des-reserves-russes-va-conduire-a-un-nouveau-system

    En bref, le système monétaire occidental basé sur le dollar américain comme monnaie de réserve est sur le point de se terminer dans une supernova inflationniste, car les États-Unis perdent la capacité d’utiliser l’épargne chinoise pour financer leurs déficits budgétaires et commerciaux. Et cela se produit alors que la génération des baby-boomers part à la retraite et que leurs droits à l’aide sociale montent en flèche. La défense, les intérêts et les droits non discrétionnaires absorbent déjà 100% des recettes fiscales. Alors maintenant, il n’y a plus le choix : la Fed va imprimer la plupart des énormes dépenses supplémentaires.

    Je continue à devoir me fader à longueur de Twitter et d’échanges inter-personnels des fadaises sur la psychologie de Poutine, le nouvel Hitlerostalinien diabolique qui souhaite conquérir le Monde entier et au-delà parce qu’on lui aurait volé son doudou quand il était à la Crèche du KGB.

    Là, ça parle du SMI, et c’est un vrai bout du puzzle pour comprendre comment nous en sommes arrivés à ce point. Mais les gauches non-occidentales qui n’ont pas été élevées avec des cuillères en or, savent que discuter du dollar pour évoquer la guerre en Ukraine, c’est un leurre américano-centré.

    A d’autres endroits, il faudrait qu’on discute du 3ème paquet énergie, qui a été le énième caillou dans la chaussure des Russes, pour qu’ils cessent de vouloir vendre le gaz à des conditions normales, et qu’ils se débrouillent pour respecter le mille-feuille légal spécialement conçu pour leur faire accepter d’utiliser des tuyaux avec des conditions tarifaires non-négociables. Ce genre de choses. D’où, à la fin, Nord Stream II, qui évidemment, n’a pas été rendu possible, parce que bon. Puisque les Russes se sont conformés au 3ème paquet NRJ, il fallait trouver autre chose pour qu’enfin, les européens cessent d’acheter le gaz russe.

    Je ne dis pas que ça justifie quoi que ce soit. Je dis que quand on est russe, on doit se fader des âneries à la pelle de ce genre depuis 30 ans.

    Et alors, il y a l’Ukraine, et sa révolution colorée qu’on a le droit et qui déclenche une avalanche de lois qu’on a le droit, confiscatoires et vexatoires pour tout ce qui est plus ou moins russe. Et les russes comprennent qu’ils n’ont que le droit d’accepter les choses comme elles sont. Et d’ailleurs, ils ne sont pas en guerre, mais ils sont priés d’accepter les sanctions comme si elles étaient normales.

    Pour de rire, pour dire à quel point de bêtise on est rendu :
    À cause de la guerre en Ukraine, ils veulent changer le nom d’un collège en Vendée
    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/a-cause-de-la-guerre-en-ukraine-ils-veulent-changer-le-nom-du-college-s

    À Aizenay, près de La Roche-sur-Yon, le collège porte le nom de l’écrivain Russe Alexandre Soljenitsyne , qui s’était rendu en Vendée, en 1993. Des syndicats d’enseignants demandent qu’il soit remplacé par celui d’un poète ukrainien.

    Dans le monde, tu as ceux qui font des sanctions, et elles sont justes, et ceux qui se les prennent dans la gueule, et qui doivent dire merci.

    Je ne dis pas que tout cela justifie quoi que ce soit.

    En 1980, les iraniens ont été contraint de se battre contre les irakiens, parce que. Et c’était normal.
    En 1992, les irakiens ont été contraint de se battre, et de se laisser détruire, parce que. Et c’était normal.
    L’ONU n’a servi à rien, ou presque, à chaque fois.
    En 1999.
    En 2003.
    En 2012, en Syrie. Évidemment, là aussi, il ne s’est rien passé qui puisse mettre en accusation les occidentaux. Non. Là seule chose que tu entends en ce moment, c’est que la Syrie a été détruite par les Russes. Parce que chez nous, ce qu’on t’explique, c’est que le dirigeant officiel de la Syrie est une enflure, mais que s’il se trouve des syriens pour le soutenir, et pour l’aider à maintenir le régime au pouvoir, ça ne vaut rien. Que ce régime règne par la force, c’est indéniable. Qu’il soit illégitime est autre chose, qui n’a pas grand chose à voir avec la morale. Et dans cette énième guerre meurtrière, les russes n’ont pas été les agresseurs.
    2014, Fuck the EU, et accords de Minsk que personne n’applique, et surtout pas la partie occidentale.

    Les alertes ont été nombreuses pourtant. 2007, 2013. Poutine a expliqué dans le vide que la façon dont les gardiens du droit international s’essuyaient les pieds dessus était dangereuse.

    Cf. juste pour mémoire :

    A Plea for Caution From Russia - Atlantic Council
    https://www.atlanticcouncil.org/blogs/natosource/a-plea-for-caution-from-russia

    No one wants the United Nations to suffer the fate of the League of Nations, which collapsed because it lacked real leverage. This is possible if influential countries bypass the United Nations and take military action without Security Council authorization.

    (...)

    From the outset, Russia has advocated peaceful dialogue enabling Syrians to develop a compromise plan for their own future. We are not protecting the Syrian government, but international law. We need to use the United Nations Security Council and believe that preserving law and order in today’s complex and turbulent world is one of the few ways to keep international relations from sliding into chaos. The law is still the law, and we must follow it whether we like it or not. Under current international law, force is permitted only in self-defense or by the decision of the Security Council. Anything else is unacceptable under the United Nations Charter and would constitute an act of aggression. . . .

    • Des immeubles conçus pour éviter les collisions des oiseaux
      https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1869286/canada-quebec-immeubles-surfaces-vitres-collision-oiseaux-saulnier
      . . . . .
      Il y a une dizaine d’années, à Toronto, la société Cadillac Fairview a été traînée devant les tribunaux parce que des centaines d’oiseaux migrateurs étaient morts après s’être heurtés sur les surfaces vitrées d’un de ses immeubles. L’entreprise a finalement pu s’en tirer en recouvrant ses vitres d’une pellicule pour alerter les oiseaux.

      À la suite de cette cause, la Ville de Toronto a modifié sa réglementation pour tous les nouveaux bâtiments de plus de quatre logements construits sur son territoire. Les vitres des immeubles en hauteur, par exemple, doivent être faiblement réfléchissantes et opaques, ou alors comporter des marqueurs espacés d’un maximum de 5 cm pour alerter les oiseaux de leur présence. Cette norme s’applique aux 16 premiers mètres au-dessus du sol.
      . . . . . .
      Des vitres anticollisions d’oiseaux sont pourtant fabriquées à Montréal depuis près d’une décennie. La Vitrerie Walker, dans l’arrondissement Anjou, a mis au point des verres incrustés de motifs (lignes, cercles, points, etc.) qui captent l’attention des oiseaux. “Les oiseaux sont sensibles aux contrastes, ils vont donc être plus susceptibles de voler dans une autre direction”, explique Danik Dancause, directeur des opérations marketing.


      L’entreprise montréalaise fournit des vitres pour la sécurité des oiseaux aux quatre coins de l’Amérique du Nord. Cela comprend “beaucoup d’universités”, indique M. Dancause. “Le centre d’entraînement des Raptors de Toronto, c’est notre verre.”
      . . . . . .

  • Russia-Ukraine war: Israelis are in denial at parallels between their occupation and Putin’s
    Gideon Levy | 14 March 2022 | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/opinion/russia-ukraine-war-israel-denial-occupation-putin-parallels

    Palestinian, Israeli, and foreign activists demonstrate in the east Jerusalem neighbourhood of Sheikh Jarrah, on 21 January, 2022 (AFP)

    The shockwaves from the Russia-Ukraine war quickly reached Israel, revealing some embarrassing truths and challenging Israelis to see their country as it actually is - so very different than what they like to imagine.

    It began with Foreign Minister Yair Lapid’s declaration, shortly after the war began, that Russia’s invasion was “a grave violation of the international order”. Under other circumstances, this might almost have been amusing, highlighting Israel’s longstanding lack of self-awareness of its own less attractive attributes - like a camel that can’t see its own hump. (...)

    #IsraelUkraine

    • Along with other extreme Right-wing groups such as Karpatska Sich (whose militancy against Western Ukraine’s Hungarian-speaking minority, including Roma, has drawn criticism from the Hungarian government), the Eastern Orthodox group Tradition and Order, the neo-Nazi group C14, and the extreme Right-wing militia Freikorps, the Russian invasion has allowed Azov to restore its earlier prominence, burnishing its heroic reputation with its dogged defence of Mariupol alongside regular Ukrainian marines. While just a few weeks ago there was still a concerted Western effort to not directly arm Azov, now they seem to be a prime beneficiary of Western munitions and training: these pictures tweeted by the Belarusian opposition outlet NEXTA show Azov fighters being instructed in the use of British-made NLAW anti-tank munitions by blurred-out trainers.

      Similarly, until the Russian invasion, Western governments and news outlets frequently warned of the dangers of Western neo-Nazis and white supremacists gaining combat experience fighting alongside Azov and their allied Nazi subfactions. Yet in the heat of the moment, these concerns seem to have dissipated: a recent photograph of newly-arrived Western volunteers, including Britons, in Kyiv shows Azov’s Olena Semenyaka smiling happily in the background, alongside the Swedish neo-Nazi and former Azov sniper Mikael Skillt. Indeed, Misanthropic Division, a unit of Western neo-Nazis fighting alongside Azov, is currently advertising on Telegram for European militants to join the flow of volunteers and link up with them in Ukraine, “for victory and Valhalla.”

    • Sinon, autant l’article est intéressant, autant on a à nouveau ces œillères imposées par l’actualité : on observe ce cas précis, on s’inquiète ou on se rassure… mais ça met au second plan cette généralité qui est que chaque implication du « camp occidental » se fait avec le recours à une forme ou une autre d’escadrons de la mort.

  • REPORTAGE. Venus se battre en Ukraine, d’anciens soldats français hésitent à la frontière
    https://www.ouest-france.fr/monde/guerre-en-ukraine/reportage-venus-se-battre-en-ukraine-d-anciens-soldats-francais-hesiten

    Des combattants du monde entier passent par le poste frontière de Medyka en Pologne pour aller en Ukraine. Parmi eux, des Français. Ouest-France a rencontré un Breton motivé à l’idée de prendre les armes et d’anciens militaires qui se montrent désormais plus réticents en prenant conscience des conditions sur place.

    Ces mots crispent Anthony, 30 ans, un jeune père de famille installé à Deauville (Calvados). Ancien militaire d’active au 16ᵉ bataillon de chasseurs à pied de Bitche (Moselle), il a aussi « sauté » dans un véhicule pour venir. « Mais tout ça, ce n’est pas un jeu vidéo. C’est la guerre et les conditions de l’autre côté de la frontière sont compliquées. »
    Reconverti dans les métiers de bouche, Anthony a d’abord « écouté [son] cœur en venant en Pologne » : « C’est le sort des enfants qui m’a le plus touché. Viser les civils, c’est criminel. »
    Désormais sur place, il prend le temps de la réflexion. Il veut se rendre utile mais ne pas faire n’importe quoi : « Moi aussi j’ai obtenu tous les documents nécessaires de l’ambassade d’Ukraine à Paris pour m’enrôler dans l’armée ukrainienne mais les retours du front ne sont pas bons, considère celui qui a connu des théâtres d’opérations en Côte d’Ivoire et en Afghanistan. Il n’y a pas d’armes pour tout le monde, pas de casque, pas de gilets pare-balles. Ou alors de mauvaise qualité. À quoi ça va ressembler cette légion internationale ? »
    Kevin, 27 ans, le rejoint. Lui a passé cinq ans sous les couleurs du 92e régiment d’infanterie de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Il s’est fait refouler pour le moment, faute de papiers. « Je ne sais pas si je vais pouvoir passer, je suis en train de regarder. Mais ce que j’entends me laisse perplexe. Moi, j’ai connu une armée professionnelle. Ce n’est absolument pas ça de l’autre côté. Ce que nos contacts à Lviv nous disent est inquiétant. Si on y allait, en l’état actuel, on ne se battrait pas dans de bonnes conditions », craint le jeune homme, originaire de Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence), devenu cuisinier après l’armée. Depuis son arrivée, il donne un coup de main à une association bordelaise qui distribue des dons aux enfants.
    […]
    Depuis qu’ils sont à la frontière, l’envie d’en découdre avec les Russes diminue chez les trois hommes. « Quand j’ai dit à mon père que j’y allais, il s’est effondré, relate Anthony. Il savait que j’étais plutôt en sécurité en opération extérieure avec l’armée française. Ici, il sait que c’est un bourbier. Alors oui, je pense que je vais me rendre utile autrement. » En donnant un coup de main aux initiatives humanitaires, par exemple. « Le travail ne manque pas. »
    Les trois anciens soldats en reviennent à Romain et sa volonté farouche de franchir le pas. Alex parle aussi pour les autres : « On va essayer de le dissuader. Il est jeune, il n’a aucune expérience. Sa place n’est pas là-bas. »

  • Accueil des réfugiés : le désespoir des non-Ukrainiens face à la différence de traitement
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/03/12/accueil-des-refugies-le-desespoir-des-non-ukrainiens-face-a-la-difference-de


    Des Afghans dans un camp de migrants à Pantin (seine-Saint-Denis), le 9 mars 2022.
    ABDULMONAM EASSA POUR « LE MONDE »

    Les réfugiés venus d’ailleurs et les associations dénoncent le « deux poids, deux mesures » du gouvernement en matière d’accueil.

    Ils ne sont pas si loin d’un des centres ouverts par l’Etat pour mettre à l’abri les Ukrainiens qui arrivent en France, de jour comme de nuit, par les gares ou la route. Ils ne sont pas si loin mais eux dorment sous des tentes, à la rue. Dans un petit square de Pantin (Seine-Saint-Denis), plus d’une centaine de migrants, la plupart des demandeurs d’asile afghans, s’apprêtaient à passer la nuit du jeudi 10 mars dehors.
    « Donnez-nous un travail ! Donnez-nous un appartement ! Les Ukrainiens sont dans la même situation que nous. Je ne suis pas ici parce que je n’aime pas mon pays. » Assis sur un banc bricolé, devant un feu de palettes, Mohammad Akbari fulmine, dans une forme de désespoir qui semble confiner à la déraison.

  • Milan, une université annule un séminaire sur Dostoïevski : la russophobie primaire, une défaite de l’intelligence

    https://www.bvoltaire.fr/milan-une-universite-annule-un-seminaire-sur-dostoievski-la-russophobie-pr

    Qu’est-ce que cette version antirusse de la cancel culture dit de notre société occidentale ? Déclinée sur le mode de la russophobie la plus primaire, elle est le fruit d’une société occidentale avachie, abêtie, incapable de réfléchir sinon sur un mode binaire, simpliste. La société occidentale est devenue l’ennemie de la nuance, du débat, la culture n’est plus qu’un simple moyen de propagande, de promotion d’idéologies, d’autodestruction.

    ...

    Andreï Makine, académicien d’origine russe, dans un remarquable entretien accordé au Figaro, se désole de tout cela : « C’est le meilleur moyen, pour les Européens, de nourrir le nationalisme russe, d’obtenir le résultat inverse de celui escompté. Il faudrait au contraire s’ouvrir à la Russie, notamment par le biais des Russes qui vivent en Europe et qui sont de manière évidente pro-européens. Comme le disait justement Dostoïevski : “Chaque pierre dans cette Europe nous est chère […] Notre continent est un trésor vivant, il faut le protéger. Hélas, on préfère prendre le contre-pied de cette proposition : bannir Dostoïevski et faire la guerre. C’est la destruction garantie car il n’y aura pas de vainqueur. »

    #russophobie #makine #culture

    • Témoignage :
      Marché de Hem(Fr) petit marché et on ne peut plus bourgeois ce matin.
      Rien aux couleurs de l’Ukraine, ici pas de figurants parisiens.
      Pas un mots sur la guerre.

      Ensuite un verre dans une brocante bistrot en Belgique, à côté.
      A la table d’à côté, une famille de 6 personnes, digne du marché de Hem, trés classe moyenne.

      Je résume :
      A propos de l’Ukraine, que de fake news, il y a cette histoire truquée de miss Ukraine . . . .
      Artistes russes : Mais ils traitent ce gens comme les juifs durant la guerre . . .

      Comme quoi, les médias ont encore beaucoup d’efforts à faire afin d’arriver aux objectifs fixés par leurs patrons milliardaires.

  • Ali Abunimah sur Twitter : "Check this out. In 2019, nytimes accurately described Azov Battalion as “Ukrainian neo-Nazi paramilitary organization” ([first] image). Now it’s just a “unit of the Ukrainian National Guard” ([second] image).

    See how this works?" / Twitter
    https://twitter.com/AliAbunimah/status/1500899683346038789

    #sans_vergogne

  • Regarder l’Ukraine avec des yeux palestiniens
    8 mars | Yousef Munayyer pour The Nation | Traduction CG pour l’AURDIP
    https://www.aurdip.org/regarder-l-ukraine-avec-des-yeux.html

    (...) Lorsque l’invasion de l’Ukraine par la Russie a commencé la semaine dernière, mes premières pensées ont été pour la population civile d’Ukraine, qui sera confrontée au fardeau le plus lourd alors qu’une force bien plus puissante cherche à lui imposer sa volonté. Combien devront-ils mourir ? Combien de civils seront-ils tués par des « tirs de précision » qui sont tout sauf précis ? Quand la liberté viendra-t-elle pour eux ? La verront-ils pendant leur vie ? Ou, comme nous, Palestiniens, verront-ils leur lutte durer pendant des générations ? J’espère pour eux que ce sera la première possibilité.

    Pourtant, s’il était facile en tant que Palestinien de s’identifier avec les scènes de bombardement, de destruction, et avec les réfugiés, la réponse internationale à l’invasion de l’Ukraine par la Russie, nous a été tout à fait étrangère.

    En une nuit, le droit international a semblé avoir à nouveau de l’importance. L’idée qu’un territoire ne pouvait pas être pris par force a été soudain une norme internationale digne d’être défendue. Des pays occidentaux ont cherché à promouvoir une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies condamnant les actions de la Russie, tout en sachant parfaitement que la Russie, membre permanent du Conseil de sécurité, y opposerait son veto. « La Russie peut mettre son veto sur cette résolution, mais elle ne peut le mettre sur nos voix », a dit l’ambassadrice des Etats-Unis, Linda Thomas-Greenfield. « La Russie ne peut mettre son veto sur la charte des Nations Unies. Et la Russie ne peut mettre son veto sur le fait de rendre des comptes. »

    Quand l’inévitable veto de la Russie est tombé, les diplomates occidentaux ont souligné qu’il mettait en lumière l’isolement de la Russie. Effectivement, la Russie était isolée. De même que les Etats-Unis l’ont été chaque fois qu’ils ont mis l’unique veto du Conseil de sécurité des Nations Unies sur plus de 40 résolutions condamnant les violations par Israël du droit international et les mauvais traitements infligés aux Palestiniens. (...)

    #Ukraine #Palestine

  • Paix aux chaumières, guerre aux palais !- Spartacus
    http://spartacus1918.canalblog.com/archives/2022/03/08/39377291.html

    Paix aux chaumières, guerre aux palais ! Internationalistes, nous refusons de nous laisser enrégimenter par l’un ou l’autre des deux camps qui ont jeté leur dévolu sur le territoire de l’Ukraine pour s’affronter militairement. Chacun à leur échelle, Poutine, (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Ilan Pappé – Quatre leçons de la guerre en Ukraine- Acta
    https://acta.zone/ilan-pappe-quatre-lecons-de-la-guerre-en-ukraine

    Dans cette brève et incisive intervention, l’historien Ilan Pappé analyse l’hypocrisie et le deux poids deux mesures du discours occidental qui s’est révélé au grand jour avec l’offensive russe en Ukraine : du triage raciste des réfugiés à la légitimation des crimes de l’État d’Israël contre le peuple (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Les « pouvoirs miraculeux » de la radioactivité
    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/radieux.html

    Il fut un temps où l’on enveloppait les bébés dans de la layette enrichie au radium pour qu’ils aient bien chaud. Leurs mères, très avant-gardistes, s’enduisaient le visage de crèmes de beauté « irradiantes » en buvant à la paille des sodas atomiques...

    #radioactivité

    • L’appel de PACBI dénonce la collaboration entre Locarno et le Fonds israélien du cinéma. En quoi est-elle problématique ?

      Eyal Sivan : En 2005, l’Etat hébreu a lan­­cé une grande campagne nommée « Branding Israël ». Elle formule la néces­si­té de re­dorer l’image du pays, ternie dans le monde, selon trois axes : promouvoir la culture dite progressiste, recourir à des personnalités publiques en tant qu’ambassadeurs de bonne volonté et vendre Tel Aviv comme une ville accueillante pour les homosexuels. Faute de pouvoir défendre sa politique, le gouvernement envoie donc à l’étranger des artistes – qu’il tient par ail­leurs pour des traîtres – afin de présenter une vitrine positive du pays. Dans son discours au Fes­ti­val de Haïfa, Shimon Peres s’est adres­­sé ainsi aux ci­­néastes israéliens : « L’Amé­ri­que a imposé sa culture à travers le cinéma, nous allons imposer notre image à travers le cinéma, c’est votre devoir. »

      Tout cinéaste qui montre son film à ­l’étranger sous la bannière officielle d’Israël serait de fait récupéré à des fins de propagande. Même s’il exprime un point de vue critique ?

      – Sachant que 85 % de la société juive israélienne a soutenu l’attaque sur Gaza l’été dernier et que 70 % de la société israélienne vote à droite ou à l’extrême droite, comment se fait-il que la majorité des films dont on soutient la diffusion à l’étranger soient critiques ? Ils ne le sont en fait pas tant que ça. A y regarder de plus près, leur propos peut souvent se résumer en une phrase : nous sommes misérables parce que nous sommes obligés d’opprimer les autres. La figure victimaire par excellence, c’est le pauvre soldat de Tsahal contraint de participer au massacre de Sabra et Chatila – vous voyez certainement de quel film je parle (le documentaire animé Valse avec Bachir, ndlr). En déchirant ce voile progressiste, que voit-on ? Que des films plus radicaux comme ceux d’Avi Mograbi ou les miens ne sont pas vus dans le pays, pas distribués dans le circuit commercial. Le public israélien s’en fout ou nous insulte !

  • Angela Davis : « L’industrie carcérale aux États-Unis n’est que le prolongement de l’#esclavage » - The Dissident
    http://the-dissident.eu/6414/angela-davis-lindustrie-carcerale-aux-etats-unis-nest-que-le-prolongem

    « Le 13ème amendement a permis à un nouveau système de punition de naître. L’#emprisonnement est comme l’esclavage, dans le sens où un grand nombre de personnes de couleurs vivent dans les mêmes conditions que des esclaves, dans les prisons. Pourquoi les États-Unis ont-ils le plus grand nombre de personnes incarcérées au monde ? Parce que le #capitalisme, notamment à travers les #entreprises américaines, a tout simplement besoin de main d’œuvre bon marché ! Les prisonniers sont devenus très rentables. »

    #prison

  • Lifi : et si l’avenir du wifi passait par la lumière... - Rue89 - L’Obs
    http://rue89.nouvelobs.com/2015/05/09/lifi-si-lavenir-wifi-passait-lumiere-258997

    Pour surfer sur la Toile, il suffira peut-être bientôt d’allumer la lumière. Inventé en 2007, le Lifi, contraction de « Light Fidelity », permet de faire passer Internet par les lampes à LED.

    Avec notre bon et pas si vieux wifi, Internet est diffusé par des ondes : un abonnement chez un fournisseur d’accès, un routeur et une connexion à distance depuis ordinateurs portables, smartphones ou tablettes, le tout dans un périmètre restreint. Avec le Lifi, pas d’ondes mais des signaux lumineux, à raison d’un million par seconde, envoyés depuis le lampadaire du coin ou votre lampe de salon.

    ...

    L’avantage du Lifi ? Pas d’ondes donc pas d’interférences. Un gros plus pour les avions qui, s’ils veulent s’équiper en wifi, doivent blinder toutes les parties électriques. Plus sécurisé également. Le flux d’informations circulant dans la lumière, le piratage est compliqué à l’intérieur, voire impossible depuis l’extérieur.

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    Question vitesse, le Lifi bat aussi son grand frère avec un débit bien supérieur comme le détaille Suat Topsu, cofondateur et PDG de la start-up francilienne Oledcomm à l’origine de l’invention.

    « Dans les gares par exemple, le Lifi va avoir une fonction de guidage et va donner des informations de géolocalisation. Mais il peut aussi permettre de se connecter sur une borne et de télécharger un film avant de monter dans le train avec un débit 10 à 20 fois supérieur au wifi, soit une seconde et demie pour l’équivalent d’un format DVD. »

    ...

    L’inconvénient majeur ? L’échange unidirectionnel. Traduction : si l’information peut parvenir à votre smartphone et vous permettre de vous géolocaliser ou d’avoir accès à des horaires, impossible d’aller sur Google ou de consulter sa boîte e-mail. Une sorte de wifi à sens unique.

    Pour aller sur Facebook depuis la lampe du salon, il faudra attendre l’arrivée de terminaux compatibles Lifi ou de récepteurs capables de communiquer avec les lampes.

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    Dans le sud de la France, c’est l’hôpital de Perpignan qui est en pointe sur le sujet. La technologie lumière a été installée aux urgences en décembre dernier commente Vincent Templier, directeur du système d’information.

    « On a d’abord fait ce choix parce que l’hôpital est sur une faille sismique donc avec les protections antisismiques, ça provoque une cage de Faraday qui fait rebondir les ondes. Ce qui génère des perturbations électromagnétiques qui peuvent être compliquées pour le matériel biomédical.

    Et c’est aussi un moyen d’appliquer le principe de précaution en vigueur dans les crèches et les maternelles où le wifi est interdit depuis janvier. »

    Reste un village (oui, un village) qui est en avance sur tout le monde.

    Meyrargues, petite commune de moins de 4 000 habitants dans le département des Bouches-du-Rhône. Seule ville pilote en France à s’essayer au Lifi. Objectif : mieux informer les habitants et économiser de l’énergie grâce aux ampoules dernière génération. Là-bas, c’est le lampadaire qui vous dira à quelle heure ouvre le bureau de poste.

    http://seenthis.net/messages/345325

    #LiFi #internet #LED #innovation

  • Il n’y a pas de mot pour ça, sauf en suédois | Big Browser
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/05/04/il-ny-a-pas-de-mot-pour-ca-sauf-en-suedois

    Saviez-vous que les Japonais ont un mot pour exprimer la façon dont le soleil passe à travers les feuilles des arbres ? Que pisan zapra désigne le temps nécessaire pour manger une banane en malais ?

    L’illustratrice Ella Frances Sanders a recensé quelques-uns de ces mots impossibles à traduire autrement que par une périphrase dans un livre intitulé Lost in Translation. Quartz publie certains de ses dessins et nous permet d’apprécier les langues à leur juste valeur. Tout comme le travail de traducteur.

    Je me souviens d’un post seenthis sur le même sujet avec, comme ici, une représentation graphique des mots intraduisibles, mais n’arrive plus à le retrouver... Ça remonte à quelques mois

    #traduction #langue #Ella_Frances_Sanders