bohwaz

’Cause punks got the loveliest dreams

  • Framacarte, pour libérer vos maps de Google ! | Framablog
    http://framablog.org/2015/12/23/framacarte-pour-liberer-vos-maps-de-google

    Les barbu-e-s de la communauté le savent déjà : l’alternative Libre à GoogleMaps, c’est OpenStreetMaps (OSM pour les intimes). En un peu plus de dix ans, plus d’un million de personnes ont participé à ce projet de cartographie du monde librement utilisable et accessible…

    Mais comment faire pour que la famille Dupuis-Morizeau s’empare de ce magnifique outil offert par la communauté et se dégooglise un grand coup ? Notre réponse : Framacarte.

    #map

  • Dans le Val-d’Oise, récit d’une perquisition musclée
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/23/dans-le-val-d-oise-recit-d-une-perquisition-musclee_4815543_1653578.html
    Par Paul Barelli (Nice, correspondant), Richard Schittly (Lyon, correspondant) et Laurent Borredon

    Perquisitions au Pepper-Grill à Saint-Ouen-l’Aumône, le 21 novembre. (...)
    A 20 h 31, un homme tente péniblement d’ouvrir la porte intérieure du sas d’entrée, (...) casque, gilet pare-balles, bouclier antiémeute. (...)

    Sous le regard ébahi des clients, des dizaines de policiers en tenue d’intervention déboulent dans la grande salle du restaurant. Une perquisition administrative commence...

    Les clients se figent. Les fonctionnaires ordonnent à la dizaine de salariés présents en salle de se rassembler autour d’une table libre. « Ordre du préfet ! », répondent-ils lorsqu’on les interroge.

    Braqué avec un fusil

    Puis les policiers tentent d’ouvrir les portes avec un bélier. Ils en défoncent une première. Elle donne sur les cuisines, par ailleurs accessibles par une porte battante : il suffisait de s’avancer de quelques mètres dans le couloir.

    Ils partent ensuite à l’#assaut d’une deuxième porte, celle-là bien fermée. Le propriétaire du restaurant leur propose de l’ouvrir avec sa clé. Pas de réponse, la porte est cassée. (...) Une dernière porte est attaquée. Un coup, deux coups, puis le policier qui tient le bélier se rend compte qu’il suffisait en fait de tourner la poignée. Derrière, une salle de douche.

    Le propriétaire, Ivan Agac, 28 ans, (...) découvre qu’« il existe des raisons sérieuses de penser que se trouvent des personnes, armes ou objets liés à des activités à caractère terroriste » dans le restaurant qu’il a lancé il y a deux ans. Il est estomaqué. Pendant la discussion, un policier en uniforme farfouille sans conviction dans les armoires, jetant les dossiers à terre sans même faire mine d’en examiner le contenu.

    Pas un seul contrôle d’identité

    « Vous avez de la chance, on n’a rien trouvé, vous n’allez pas partir en garde à vue », conclut l’officier. Puis la troupe s’en va. Il est 21 h 01. Les policiers n’ont découvert ni « armes » ni « objets liés à des activités à caractère terroriste ». Quant aux « personnes », en trente minutes de perquisition, ils n’ont pas procédé à un seul contrôle d’identité, ni d’employés, ni de clients, donc ils ne risquaient pas d’en trouver… (...)

    Pourquoi, alors ? Le maire PS, Alain Richard, ancien ministre de la défense de Lionel Jospin (1997-2002), ne souhaite pas commenter une perquisition « qui pourrait avoir des suites judiciaires ». Une source policière explique qu’une « #salle_de_prière_clandestine » était recherchée. Sauf qu’une salle de prière, il y en a bien une, mais elle n’est pas particulièrement clandestine, il s’agit d’une petite pièce indiquée par un pictogramme, située à côté du bureau de M. Agac, et destinée aux clients qui le souhaitent.

    « On ne fait pas mouche à tous les coups, loin de là. Le principe de ces perquisitions, c’est de taper large, justifie le préfet, Yannick Blanc. (...)

    « C’est de la communication »

    Dans la région lyonnaise, les responsables policiers évoquent ainsi un bilan des saisies « plutôt positif » : lance-roquettes, fusil d’assaut AK47, fusil-mitrailleur MAT49, 1 kg d’héroïne, 1,2 kg de cannabis… « On a bénéficié d’un effet de surprise, ces perquisitions nous ont donné une #liberté_d’action efficace, estime le patron d’un service d’enquête spécialisé. Nous avons ciblé des gens que nous n’avions pas réussi à accrocher dans nos investigations, nous en entendions parler en marge de nos enquêtes sans avoir de billes, notre intuition était bonne ! »

    (...) « C’est de la communication », commente un haut responsable policier à Paris. Et le risque de dommages collatéraux n’est jamais très loin. A Nice, vendredi 20 novembre, une fillette de 6 ans a été légèrement blessée lors d’une perquisition administrative menée dans le centre. (...)

    Lundi 23 novembre, la police avait procédé à 1 072 perquisitions en application de l’article 11 de la loi de 1955 sur l’état d’urgence. Elles ont donné lieu à 139 #interpellations, qui ont débouché sur 117 #gardes_à_vue. Ce qui signifie que, dans environ 90 % des cas, les policiers ont fait chou blanc. Comme au Pepper-Grill.

    Au niveau national, le ministère de l’intérieur affiche la saisie de 201 armes. Dans 77 cas, de la drogue a été découverte.

    #perquisitions_administratives #état_d'urgence

    • Je lis des gens qui disent pleurer, qui disent ne pas pouvoir se remettre au travail, qui disent avoir mal au coeur. Certains ne sont là que dans l’escalade à la démonstration émotionnelle, surtout parmi les personnes publiques. D’autres plus proches émettent tout de même des émotions très fortes, personnelles.

      J’ai l’impression d’être Sheldon Cooper. Je ne sais pas partager cette émotion, ou même la ressentir. Je la comprends mais je la trouve trop peu rationnelle et je ne sais pas déconnecter cette réalité.

      via @biggrizzly

    • réagir avec autant d’intensité et de force collective pour 11 morts impossible à empêcher au nom d’une liberté que nous n’avons justement jamais perdu, après s’être tu face à tout le reste, c’est aussi un symbole. Un symbole très fort, même si à tendance cynique et dépressive, de privilégiés dans leur fauteuil.

    • D’autant que le racolage de Demorand hier sur Inter était à gerber, ses interlocuteurs à chaud et en pleurs et ses questions pour relancer leurs larmes, c’était carrément indécent et on se sentait gêné de participer à cet étalage médiatique d’émotions entre deux publicités radiophoniques.

      #mort_kilométrique

    • Pourquoi j’écris tout ça  ? Parce que toutes nos lois liberticides n’empêcheront jamais deux personnes isolées d’aller déclencher une fusillade avec dix morts à la clef, jamais. Alors que donner un abri aux SDF, arrêter la guerre Israélo-palestinienne, stopper l’exploitation industrielle, arrêter la faim dans le monde, ne pas déclencher de guerre par intérêt… tout ça est collectivement à notre portée. Pour peu que nous soyons tous prêts à nous y engager, ce serait presque simple.

      Mon discours est peut être politiquement incorrect et mal placé, mais les priorités de notre société me font bien plus honte que ces quelques lignes. Seul ce qui touche notre classe sociale élevée occidentale mérite tout ça. La faim, le froid, la maladie, la guerre, l’esclavage par le travail  ? ça va, on laisse faire, c’est le problème des autres, pauvres, orientaux ou de l’hémisphère sud.

  • Archiver le web, par Éric Daspet | Carnet de notes
    https://n.survol.fr/n/archiver-le-web

    J’adore le principe de la wayback machine de l’initiative Internet Archive. Ils indexent le web et gardent une archive des versions rencontrées. (...) Et si on réutilisait l’initiative à titre personnel  ? Pouvoir retrouver les contenus déjà visités, même s’ils ont été retirés ou ont été amendés.

    #OpenWayback
    http://netpreserve.org/openwayback

    #pywb
    https://github.com/ikreymer/pywb

    prise en mains de #pywb
    http://literarymachin.es/pywb-wayback-machine

    #archivage_militant via @karlpro

    • Bof, c’est clairement de mauvaise foi sur le coup du « Hello world » qui nécessiterait 10000 trucs. Angular est à la fois simple et complexe, on peut faire des trucs tout bête sans se prendre la tête et en même temps on peut fabriquer des machineries incroyables et plutôt efficaces à condition de bien maîtriser la bête. Que trouve tu de mieux dans reactJS car au premier abord ça me branche beaucoup moins qu’Angularjs ?

    • Bof, c’est clairement de mauvaise foi sur le coup du « Hello world » qui nécessiterait 10000 trucs.

      Oui, carrément caricatural :) Mais il n’a pas tort sur certains aspect « sur-ingéniérés ». Il se fait aussi bien remettre à sa place dans le premier commentaire (Nathan).

      J’ai posté le lien car ça m’intéresse, j’aime avoir la propagande et la critique. Je « n’achète pas tout » dans l’article et l’auteur a des opinions très tranchées (mais pas inintéressantes).

      Très vite (pas le tps de tout détailler) :

      Ce que je reproche à Angular :
      – Courbe d’apprentissage très plate puis ’falaise’ : c’est magique pour faire très très vite un POC, mais dès qu’il faut factoriser, généraliser, et faire des choses un peu avancées, il faut mettre les mains dans la machine et en comprendre une bonne part des tréfonds (la façon dont sont gérés les scopes, le binding, le dirty-checking, etc...). C’est pas progressif du tout.
      – Très mauvaise documentation et exemples (cf plus haut)
      – Coté UI, on se retrouve avec un HTML très sale, très pénible à travailler, surtout si les précédents développeurs se sont « amusés » avec les directives. (disclaimer, je suis « webdesigner/dev front » plutôt que « dev back qui s’est mis au front »)
      – On y retrouve beaucoup d’idiomes et de patterns issus de JAVA, je ne vois pas l’intérêt en JS, et ça me file des boutons, désolé :)

      Ce qui m’attire dans ReactJS :
      – Périmètre très restreint : ça gère des composants, c’est tout. Contrairement à Angular où on a : vues + routeur + binding + composants + contrôleurs + services + tests.
      – Fait pour la performance.
      – ça ne pousse pas un modèle d’architecture ou d’organisation en particulier (défaut ou avantage ? ça dépend des contextes, plutôt avantage pour moi).
      – je suis plus dubitatif sur le JSX, mais c’est à tester.

      Je n’ai pas encore ’vraiment’ testé React (les tuto du web ça compte pas ^^). Je suis impatient, mais là où il faudra bosser, je pense, c’est dans l’organisation du code et des vues lorsque le projet grossira.

      Bref, je pense que Angular est très adapté à certaines situations et projets, mais j’avoue que sur certains point j’ai été assez déçu.

      Ce qui m’énerve également, c’est la tendance à vouloir en mettre partout, sans comprendre ce que c’est et pourquoi c’est fait ; comme c’est un peu la mode actuellement (javascript = AngularJS pour certains).

    • Actuellement on charge tout en html : le formulaire principal, les 25 messages, leurs formulaires de réponse, les boutons « modifier, supprimer », etc. Ça fait circuler beaucoup de code inutilement, et puis ça ne permet pas de gérer facilement l’ajout d’un commentaire, le temps réel et tout ça.

  • The expatriate, un nanar défiscalisé.

    Un sous Jason Bourne, tourné à Bruxelles, au menu télé du soir. On reconnaît la ville, tiens c’est bizarre. On dit localement, Bruxelles, nid d’espion d’accord mais quand même... Un peu de recherche web et hop, voilà le fin mot de l’histoire. Un film qui doit se tourner à L.A. mais qui n’a pas un radis, et hop on change le scénar et on récupère 2 millions d’euros grâce au tax shelter. Un peu de lifting et de traitement d’image et au montage, Bruxelles prend un air américain...

    Quelques clics encore et hop un peu d’infos sur le tax shelter via une « société » (swim with sharks) qui vous aide à en bénéficier :

    N’hésitez plus : investissez maintenant avec xx Funding !

    Le tax shelter, de quoi s’agit-il ?

    Créé en 2004, le tax shelter est un incitant fiscal permettant à toute entreprise de bénéficier d’une exonération fiscale de 150% du montant investi dans une production audiovisuelle.

    Vos 5 avantages

    -Sécurisation sur le plan financier
    - Sécurisation sur le plan fiscal
    - Optimisation financière et fiscale de l’opération
    - Solution sur mesure
    - Privilèges pour les investisseurs
    (...)
    Le tax shelter est un incitant fiscal mis en place par le gouvernement fédéral en 2004.
    Grâce au tax shelter, votre société bénéfice d’une exonération fiscale de 150% du montant investi en Belgique dans une production audiovisuelle.
    Cette exonération est toutefois limitée à 50% du bénéfice réservé imposable de votre société, avec un plafond de 750.000 euros par période imposable.
    Autrement dit, votre société peut investir jusqu’à un tiers de son bénéfice réservé imposable.

    Mesures fiscales en faveur de la production audiovisuelle (site fédéral)
    http://finances.belgium.be/fr/entreprises/impot_des_societes/avantages_fiscaux/tax_shelter

    Tax Shelter : La petite mort du cinéma belge ?
    Le tax shelter, vous connaissez ? Voilà une excellente idée qui a fini par pourrir peu à peu le petit monde du cinéma belge. Explications. Urgence.
    http://www.moustique.be/culture/cinema/244729/tax-shelter-la-petite-mort-du-cinema-belge

    Dans les premières années du tax shelter, le petit monde du cinéma est à la fête. Les tournages affluent. Techniciens, réalisateurs, acteurs, boîtes de production : tout le monde se réjouit de l’entrée par camions entiers de ces millions d’euros.

    Du coup, les Français mais aussi les Américains s’intéressent à ce miraculeux mécanisme et viennent chercher chez nous de quoi boucler leurs budgets. L’argent du tax shelter devant bien entendu être dépensé sur notre sol, Nicole Kidman tourne ainsi à Bruxelles dans Grace de Monaco, Jean Dujardin dans Möbius et Aaron Eckhart (star du Batman de Nolan) dans The Expatriate. Même la dernière production de Spielberg, The Fifth Estate sur la vie de Julian Assange, s’arrête en Belgique, en février dernier.(...) Que du bonheur ? Pas sûr...

    Quand les requins prennent la barre

    Attirées par cette loi idéaliste, des « sociétés intermédiaires » se sont en effet créées. Des requins, diront certains. Leur business : dénicher l’investisseur et le mettre en contact avec une production afin d’empocher une jolie commission allant de 7 à 15 pour cent. Ainsi, ces sociétés « parties en guerre pour décrocher les investisseurs » promettent non plus un rendement à 4,52 pour cent comme la loi le stipule.

    Mais bien jusque 20 à 25 pour cent. Par quel tour de passe-passe ? En demandant au producteur de racheter lui-même des parts du film à l’investisseur. Manœuvre qu’il ne peut réaliser qu’en puisant dans les fonds servant à réaliser le film. Ou comment de l’argent destiné à la production file finalement tout droit dans les poches des intermédiaires et des investisseurs...

    #belgique #finances #cinéma #niche_fiscale

  • Garradin 0.6 — Gestion d’association, maintenant avec les cotisations - LinuxFr.org
    http://linuxfr.org/news/garradin-0-6-gestion-d-association-maintenant-avec-les-cotisations

    Garradin est un logiciel libre de gestion d’association développé depuis 2 ans. Il se veut être la solution de gestion de petite et moyenne association la plus complète et la plus simple à utiliser. Il permet la gestion des adhérents et des cotisations, la tenue d’une comptabilité en partie double et l’envoi de courriels entre membres ou à tous les membres. Mais il contient aussi un wiki complet, comprenant la possibilité de chiffrer les pages, ainsi qu’un site web simple mais puissant grâce aux squelettes « à la SPIP ».

  • European Word Translator
    http://ukdataexplorer.com/european-translator


    via http://www.neatorama.com/2014/03/30/European-Word-Translator/#!BY2oG

    “How do you say…” peppers every conversation when you’re trying to negotiate a different language. The European Word Translator fills in the blank, so to speak. This application uses Google Translate to give you your word in many European languages. Just enter a word (or two), and they will come up on the map. In the map above, the word is “cat.” There are some caveats:

    Translations are generated by Google Translate. Some may be inaccurate or use non-European (e.g. Brazilian Portuguese) words.

    Just one translation is provided for each word; watch out for words with multiple meanings!

    The Google Translate API does not yet translate into all European languages.

    * If Google Translate cannot find a translation, it simply shows the English word. This may be the case for the starred words on the map.

    Still, it’s fun to explore, and may be useful for those studying the relationships between European languages.

    • Why would it take a month?

      This is a great question. There are all sorts of extreme technical challenges associated with spelunking. In many ways, spelunking deep caves is much more difficult than high peak mountaineering.

      For one, the amount of equipment needed far exceeds that of mountaineering. A deep expedition will use specialized camping gear, food, lights, SCUBA re-breathers, suspension gear and literally miles of rope.

      The spelunkers must go slowly as mistakes/injuries put the everyone in the expedition in danger. Think about how difficult it would be to have to haul a non-ambulatory person out from the bottom of a cave.

      It’s dark and cold. Spelunkers do not use their lights unless absolutely necessary to save on power. This slows everything down.

      It’s also very wet. These caves are filled with flowing water howling winds. Spelunkers are constantly soaked. The nature of caves ensures that no permanent base camps can be set up. The water will destroy anything you leave down there, so every time they go in, they essentially must start all over.

      And I haven’t even touched on sumps yet. Caves are just basically massive water conduits. Every so often they form what they call sumps. They look like pools but really there are completely flooded sections of the cave, beneath the water’s surface. That’s why they need the re-breather equipment, because once you hit a sump, you have to swim through it. Navigating sumps is the most dangerous part of spelunking.

      If you, or anyone else, truly are interested in this then I recommend checking out Blind Descent. It goes into great detail on just how truly difficult it is to explore these caves. It also details the rare breed of person that takes on the challenge of exploring the deep caves. One of the most fascinating books I have ever read.

      Alright this all sounds great but these expeditions sound like the perfect opportunity for an elaborate and terrifying prank. I normally hate pranks but this is too perfect.

      Spelunk down ahead of an expedition of your friends with a group of paid actors. You could set up any number of mind bending horrors in the depth of that cave. It would be expensive and horribly inconvenient but all so worth it.

      – Leave strange signs of possible human habitation in a cave area, Stone bowls and knives. Bones and scraps of unknown animal. Freak them out. Have a group of men strip down, cover themselves in white chalky substance, milky white contacts, and carry stone spears. Appear around one of the corners deep in the cave. Shouting in an alien tongue.

      – A small, very well kept child in formal clothing. Perfect English and manners. Coached to provide as little information as possible as why he is down there. He forgets or doesn’t know. Just insisting he wants to get back to the surface. Carries a small book with him. Like a Bible but it preaches an archaic message of some hateful demon worshiping religion. Little boys lets slip at some point some creepy shit. “Thank you for inviting me to your world, I can’t wait to make it a place a torment”.

      – Old German men in tattered Nazi uniforms. (make sure none of their party speaks German).

      – Figures in bio-hazard suits shining lights at their party in a massive cavern. Then quickly disappearing while leaving behind notes to turn back.

      Yeah its cliche but so are all my ideas. It is the fucking unreal context of being 20 days into a underground expedition that makes it terrifying.

  • Inside the Guardian’s #CMS : meet #Scribe, an extensible rich text editor
    http://www.theguardian.com/info/developer-blog/2014/mar/20/inside-the-guardians-cms-meet-scribe-an-extensible-rich-text-editor

    Scribe exposes a simple, browser-agnostic, low-level framework to manage and extend interactions with #contentEditable.

    https://github.com/guardian/scribe via @archiloque qui serait peut-être pas mal à intégrer dans #SPIP

  • Pour les amateurs, nombreux ici semble-t-il…
    15 heures en Géorgie, une heure en Roumanie : combien de temps faut-il travailler pour se payer une #bière ?
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20140211trib000814733/15-heures-en-georgie-une-heure-en-roumanie-combien-de-temps-faut-il-travai

    Après le Big Mac et la pizza, c’est au tour de la bière de servir d’indice. C’est en tout cas ce qu’a essayé de faire le site Quartz, qui a calculé le nombre d’heures de travail nécessaires pour gagner un demi litre de bière dans chaque pays.

    Pour réaliser son enquête, le site a comparé le salaire minimum dans différents pays, grâce aux données de l’Organisation internationale du Travail (OIT) et le prix moyen de 50 centilitres de la boisson à base de houblon dans un bar ou un restaurant local d’après la base de données de Numbeo.

    C’est en Géorgie qu’il faut travailler le plus longtemps (15,1 heures) pour pouvoir acheter une bière. Il faut environ une journée de travail (7,5 heures) en Libye, mais seulement 2 heures au Maroc. En Chine, il faut compter un peu plus d’une heure.

    C’est le double de la France, où il faut travailler une bonne demi-heure. Il en faut un peu moins (24 minutes) aux Etats-Unis, en Espagne, au Canada, au Japon, en Belgique et en Allemagne. Au Luxembourg, on peut s’offrir une pinte en 20 minutes. Et à Porto-Rico, 12 minutes suffisent !

  • C’est vrai que la france est le pire pays au monde niveau toilettes publiques... Et quand il y en a, elles sont payantes. La France le seul pays au monde où il faut payer pour chier...

    http://www.terraeco.net/Chacun-cherche-son-chiotte,52472.html

    « Si votre W.-C. perso déclare forfait, préparez-vous à vous creuser la cervelle. Ou un trou. Car dégotter des toilettes dans l’espace public relève de la mission impossible.

    Et un jour, mes toilettes furent bouchées. Le plombier ne viendrait que le lendemain. Restait l’errance urbaine à la recherche d’un lieu d’aisance. Ma chance est immense, car j’habite Paris, l’une des cités les mieux loties en matière de commodités publiques. De plus, nous sommes au XXIe siècle, ce qui me donne accès à l’une des 400 sanisettes gratuites de la capitale. Aurais-je eu envie de me soulager place du Châtelet il y a cinquante ans, l’opération eût été moins aisée. Certes, les vespasiennes campaient plus nombreuses sur les trottoirs. Mais ces lieux de drague notoires étaient réservés aux hommes. Alors, quand l’entreprise JCDecaux créa des latrines mixtes et sécurisées à l’aube des années 1980, les Parisiennes entrèrent dans une nouvelle ère. Lorsqu’en 2006 la mairie décida d’en instaurer la gratuité, alors que leur location coûte encore aujourd’hui quelque 16 millions d’euros par an, ce fut Byzance dans la capitale.

    Chasse au trésor
    Il n’empêche, j’hésite. Le W.-C. public a mauvaise réputation. Le site d’avis de voyageurs Zoover a interrogé 3 000 vacanciers sur la question. Le chiotte français arrive en tête des plus sales d’Europe, avant le turc et le polonais. Quant à le dénicher, c’est souvent une véritable chasse au trésor. Les malades chroniques de l’intestin ne le savent que trop bien. Parmi leur cortège de maux existe celui de devoir courir aux toilettes plusieurs fois par jour. Pour eux, l’Association François-Aupetit a tenté de recenser les possibilités urbaines dans une application de géolocalisation. « Ce référencement est extrêmement difficile tant les informations sont indisponibles, indique Nathalie Rutayisire, responsable de projet de l’association. Sans compter qu’une grande partie des toilettes repérées sont hors-service parce que mal entretenues, ou fermées pour éviter une occupation par des publics indésirables. »

    C’est l’excuse de Guillaume Pepy, pédégé de la SNCF, quand on l’interpelle sur les cinquante centimes d’euros nécessaires pour accéder aux W.-C. de ses gares. Partout, le chiotte républicain et égalitaire a muté en droit de péage. Dans le métro parisien, on compterait une dizaine de W.-C. pour plus de cinq millions d’usagers quotidiens, voyageurs pressés pas épargnés par l’envie pressante ou pauvres à la recherche d’un peu de chaleur et d’un abri. A la station Cluny-La Sorbonne s’est installé un water-closet de luxe, géré par l’entreprise Point W.-C. : « Le petit coin ne sera plus jamais comme avant ! Désormais, il faudra parler d’escale bien-être », vante la RATP. En d’autres termes, uriner hygiéniquement pour un euro sans le PQ. La démission du service public en matière urinaire va loin. Les toilettes du Luxembourg, gérées par le Sénat, sont ainsi payantes, et hommes et femmes ne sont pas soumis au même tarif…

    Epidémie d’hépatite A

    L’Association François-Aupetit se tourne, elle, désormais vers les cafetiers à qui elle propose, par convention, d’ouvrir gracieusement leurs toilettes aux malades dotés d’une carte spécifique. « Nous démarchons le privé pour pallier le manque public », résume sobrement Nathalie Rutayisire. Mais si certains sont condamnés à rester chez eux pour accéder à un W.-C. sans débourser un kopeck, d’autres n’ont même pas ce loisir. Il y a plus de dix ans, l’association La raison du plus faible a enquêté sur l’offre d’hygiène pour les personnes à la rue : 80 % des villes de plus de 50 000 habitants avaient tout bonnement fait disparaître les toilettes accessibles sans condition. La situation ne s’est pas améliorée.

    A Marseille, par exemple, rien n’est moins simple que de se soulager dignement. La cité, deuxième ville de France en population, ne dispose que de sept W.-C. payants. A tel point que des habitants facétieux ont récemment organisé une « chasse aux toilettes publiques » sur le vieux port. La blague fait sourire mais alerte également sur la galère quotidienne de 12 000 personnes sans domicile fixe. Médecins du Monde a d’ailleurs tenté de réveiller les autorités sur la question. En pure perte. L’ONG, qui gère un centre de consultation médicale pour publics précaires, s’est retrouvée l’été dernier avec une épidémie d’hépatite A sur les bras, largement imputable à l’absence d’eau et de W.-C. en libre-service. « Le droit universel d’accès à l’eau, reconnu par l’ONU, n’a pas passé les portes de Marseille, déplore Cendrine Labaume, coordinatrice générale. L’absence d’équipement public s’inscrit dans une guerre contre les pauvres, et non contre la pauvreté. »

    Les sanisettes et Notre-Dame

    C’est bien l’avis de la Coalition eau, un regroupement d’ONG qui a élaboré un projet de loi visant à graver l’accès à l’eau et à l’assainissement dans le droit français. Le texte, qui sera examiné en 2014, prévoit l’obligation d’installer des W.-C. publics pour les communes de plus de 3 500 habitants, « en vue d’assurer la salubrité publique et la dignité de tous ». Une fois cette base hygiénique acquise, il sera toujours temps de s’attaquer aux autres inégalités de l’accès au trône. Mes copines et moi passons ainsi en moyenne 2,5 fois plus de temps à l’intérieur des sanitaires que ces messieurs. La faute notamment à la position nécessitant effeuillage, très pénible en hiver. Résultat : pour un même nombre de W.-C., on attend toujours plus aux toilettes des filles. Les Suédois sont en train de résoudre le problème en apprenant aux petits garçons à pisser assis et essayent de faire passer une loi pour obliger les hommes à renoncer aux urinoirs. A Paris, de toute façon, c’est en toute discrétion que chacun choisit sa position une fois que la porte de la sanisette a coulissé comme celle d’un vaisseau interstellaire. 13 millions de visiteurs s’y sont isolés l’année dernière, soit autant d’entrées qu’à Notre-Dame. N’y tenant plus j’ai d’ailleurs fini par me décider. Sur le boulevard de Belleville, j’ai patienté entre deux prostituées chinoises gelées qui prenaient leur pause-pipi. A mon tour dans l’habitacle, l’expérience ne fut pas inoubliable. Mais soulageante et démocratique. »

    http://www.terraeco.net/En-France-nous-tolerons-que-nos,52473.html

    « Les toilettes sont un sujet éminemment politique, rappelle le sociologue Julien Damon. Mais contrairement à ses voisins, la France ne l’aborde qu’en se pinçant le nez…

    Pourquoi les toilettes brillent-elles par leur absence dans l’espace public ?

    Elles n’ont pas disparu, mais il y en a moins qu’autrefois. Nous avons d’abord, tous ou presque, des toilettes privées. Le taux d’équipement français est de 98 %, alors qu’il était de 60 % en 1960. A mesure que l’équipement progressait dans l’univers privé, l’espace public en a été débarrassé. Ces toilettes publiques étaient d’ailleurs très mal vues, parce que parfois mal fréquentées, connues comme lieux de consommation de drogue et de prostitution, etc. Leur maintenance, enfin, représente un coût. Peu d’élus veulent devenir le Monsieur Pipi qui a mis en route un plan volontariste en la matière. Celui-ci ne manquerait pas d’être raillé dans les journaux satiriques, ce qui n’aurait pas lieu dans d’autres pays.

    Uriner dans l’espace public, est-ce un problème culturel ?

    Dans n’importe quelle ville japonaise et jusqu’à la capitale roumaine, vous avez la possibilité de satisfaire vos besoins les plus fondamentaux partout, dans des services propres et gratuits. La situation française apparaît d’ailleurs très choquante pour un certain nombre de nos voisins européens, des Scandinaves aux Anglais, en passant par les Allemands. Nous tolérons en effet que nos rues sentent la pisse ! Puisque pour nombre de personnes, il n’y a pas d’autre exutoire que pisser contre un mur, nous subissons ce phénomène visuel et odorant insupportable. C’est également un comportement de mâle sale, de marquage du territoire, totalement inacceptable dans d’autres cultures européennes. Ce comportement, interdit et potentiellement sanctionné par une amende, n’est pas toléré ailleurs en Europe comme il l’est chez nous.

    Les toilettes sont-elles un objet politique ?

    En France, oui, et ce depuis les querelles de Clochemerle, village de roman (de Gabriel Chevalier, publié en 1934, ndlr) dans lequel le maire déchaîne les passions en décidant d’installer un urinoir près de l’église. C’est un sujet bien plus politique qu’économique. La preuve : les villes veulent devenir des smart cities (des « villes intelligentes », ndlr), à des coûts faramineux, alors qu’elles n’ont même pas de toilettes de qualité.

    Comment garantir le droit à pisser ?

    Se soulager est un besoin fondamental. Que, dans l’espace public, soit mis en place des équipements pour cela devrait relever du code de l’urbanisme. Gratuité, propreté et sécurité sont fondamentales. Il faut des obligations de service public en la matière, que cette question soit ensuite gérée par le public ou le privé. D’autant que la population française vieillit et que les besoins vont augmenter. Les pouvoirs publics devraient par exemple subventionner les bistrotiers et les restaurateurs pour qu’ils mettent à disposition leurs W.-C. De toute façon, aujourd’hui, si vous êtes malin et bien habillé, vous pouvez aller dans les plus belles toilettes du monde en permanence. Il suffit d’entrer fièrement au Ritz et de faire comme si vous saviez où elles se trouvent. Il faut que cela soit possible partout et légalement organisé. »

    • Dans une société vieillissante, cette disparition est préoccupante.

      J’ai régulièrement ce problème quand je voyage. En gros, quand je prend mon thé le matin, une heure après, il me faut uriner. C’est comme ça. Mais il le faut vraiment. En général, ce n’est pas trop chiant quand je suis chez moi, mais si j’ai un RDV extérieur, ça peut vite être galère. À une époque, j’avais repéré un chiotte public dans un bled à mi_distance entre chez moi et le bled-en-chef, exactement à l’heure stratégique en cas de RDV du matin. Il y a 2 ans, sous prétexte de rénovations, ces toilettes ont été définitivement condamnées. Et il n’y en a pas d’autres sur le trajet. Ce qui fait que j’arrive à mes RDV en crabe et je déteste ça.

      Quand je suis allée aux grottes, j’avais prévu un dernier tour avant de quitter l’autoroute, mais je ne sais plus pourquoi, j’ai raté la station. Résultat, me voilà dans la cambrousse à ne pas trop savoir à quelle je vais arriver et n’ayant pas du tout envie d’arriver en me tortillant (bonjour le premier contact). Bref, les routes sont petites et désertes, je trouve un chemin et me planque entre les deux portières. Forcément, deux voitures et une moto sont arrivées à ce moment-là.

      D’ailleurs, en parlant d’autoroutes, maintenant que c’est privatisé, je remarque qu’il y a de plus de petites aires qui sont fermées pour maintenance à durée indéterminée. Du coup, il ne reste plus que les grandes aires saturées séparées de longues portions sans commodités.

    • @monolecte : en fait en voyageant à l’étranger on constate que c’est vraiment une spécificité française (pourquoi donc ? on préfère que les gens aillent pisser dans les rues ?!). En belgique les week-ends les centre-villes voient débarquer des chiottes « de chantier » amovibles, dans les quartier des bars, afin de limiter les clients qui ont bien bu et qui ont besoin d’uriner. En Australie et Nouvelle-Zélande il y a des toilettes publiques gratuites partout, dans tous les patelins même les plus petits, toujours propres, souvent même plus que celles des restaurants (!). Parfois même des douches froides ou chaudes gratuites ou pour quelques pièces. Les gares (même celles du métro !) sont aussi toutes équipées de toilettes gratuites et propres. Bizarrement leurs rues sont très propres du coup, même les crottes de chiens y sont très rares…

      Comme quoi c’est toute une idéologie et une gestion publique qu’il faudrait revoir…

    • Pendant les fêtes du bled, j’ai remarqué que le grand sport des participants qui boivent toute la nuit, c’est de trouver des ruelles pour se soulager. Certaines sont d’ailleurs temporairement rebaptisées « rue de la pisse ». Ce que l’odorat confirme le lendemain matin. Faut dire que les bogédas ouvertes pour l’occasion ne disposent pas de toilettes non plus.

    • Bah, @bohwaz, les chiottes dans les pays du Benelux sont souvent payantes. Quand à tes urinoirs de quartier de beuverie, ce sont des mesures electoralistes, issues des protestations d’assos d’habitants ayant assez que leur pas de porte pue la pisse. Pas de charité publique, ces toilettes s’adressent avant tout aux hommes, les demoiselles devant passer, majoritairement, par la case « bonjour, madame pipi ».
      On ne compte plus les cafés qui refusent l’accès à leur toilettes aux non consommateurs. Une association de personnes souffrant de maladies inflammatoires de l’intestin a dressé une carte des lieux « access friendly ». L’adhérant à cette association reçoit une sorte de laisser-pisser qui lui ouvre grand les portes des commerces et lieux publics compatissants à leur problème de défécation intempestive.

  • Comment c’est vraiment quand tu fais fabriquer tes trucs en Chine.

    Getting it Made : Stories from Shenzhen
    http://www.youtube.com/watch?v=Qwhe0RWDMvE

    Bunnie Huang de Chibitronics explique tout en une petite demi heure : Comment trouver la bonne usine et devenir copain avec le patron, comment prendre en mains le processus de fabrication, comment gérer les problèmes de douane, de corruption et de diarrhée.
    Attention, il n’y a pas de son entre 2:30 et 4:30 (app.).

    http://chibitronics.com


    J’achète : http://www.crowdsupply.com/chibitronics/circuit-stickers

    #in_english #startup

  • La France, ce pays où les bus urbains coûtent 30% plus cher qu’ailleurs
    http://transports.blog.lemonde.fr/2013/12/16/la-france-ce-pays-ou-les-bus-urbains-coutent-30-plus-cher-quailleurs/#xtor=RSS-32280322

    Carrosseries étincelantes, baies panoramiques, sièges moelleux, moteurs impeccables, technologies futuristes… Bienvenue au salon des marchands d’autobus. Les Rencontres nationales des transports publics, qui se déroulent chaque année, sont au bus ce que le Mondial de l’automobile est à la voiture. Lors de la dernière édition, à Bordeaux, fin novembre, élus et constructeurs y ont établi des contacts, négocié des marchés, conclu des commandes. La France est le premier marché européen pour les bus urbains, devant l’Allemagne. Mais au fait, comment vend-on un bus à un maire, un président d’agglomération ou un adjoint aux transports d’une ville de France ? L’enquête révèle quelques surprises. Des bus « uniques ». « C’est un marché difficile », témoigne, sous le couvert de l’anonymat, le commercial d’un constructeur (...)

  • « Pourquoi Hitler n’a pas eu la bombe atomique » de Nicolas Chevassus-au-Louis. Un petit livre d’histoire consacré à une question scientifico-technique. Pourquoi l’Allemagne nazie, qui avait en 1933 les meilleurs physiciens du monde et une des meilleures industries, n’a pa sréussi à gagner la course aux armes nucléaires ?

    Les médias se sont surtout focalisés sur un chapitre à sensation du livre, celui qui révèle qu’un test d’une arme nucléaire a eu lieu en Thuringe en mars 1945. Mais l’auteur fournit peu de détails, aussi bien sur les preuves que sur la nature de l’engin (véritable réaction en chaîne ?) Beaucoup plus intéressants sont les autres chapitres sur l’organisation du travail sur la bombe en Allemagne. Alors que les États-Unis démocratiques mettaient en place une organisation unique, dirigée militairement par un général à la poigne de fer et doté de pouvoirs illimités, l’Allemagne hitlérienne laissait chaque groupe gérer comme il le voulait ses recherches. Selon l’auteur, c’est la principale raison de l’échec nazi.

    Chez Amazon : http://www.amazon.fr/Pourquoi-Hitler-pas-bombe-atomique/dp/2717865934

    • On peut rapprocher cela des anecdotes de la course à la Lune, quelques dizaines d’années plus tard, où pour aboutir, le responsable du programme a été contraint de supprimer tous les processus d’appel d’offre et de mise en concurrence des différentes entreprises sur les rangs pour l’ensemble des projets à accomplir... Il a en somme supprimé tout ce qui est si fonctionnel dans notre économie de marché idéale... pour aller plus vite... et économiser de l’argent.
      Pas trouvé de référence dans l’immédiat. C’est un souvenir d’un documentaire sur le sujet... subversif le documentaire...