• D’un côté ces 24% auraient peut-être été des démissions avant l’instauration de la rupture conventionnelle. Pour moi ce dispositif est à double tranchant : d’un côté les possibles licenciements déguisés, de l’autre la possibilité de partir d’une entreprise avec un filet de sécurité (indemnités chômages). Cela doit aussi probablement dépendre du statut du salarié (un ouvrier a généralement moins de poids qu’un cadre pour ce qui est de négocier un départ ou refuser une rupture conventionnelle imposée).