Quelques #photos de lucioles pour dire bonsoir
▻http://quit007.deviantart.com/art/Hunting-for-Females-131963412
#beau
Quelques #photos de lucioles pour dire bonsoir
▻http://quit007.deviantart.com/art/Hunting-for-Females-131963412
#beau
EcoIndex
EcoIndex est un outil communautaire, gratuit et transparent qui, pour une URL donnée, permet d’évaluer :
sa performance environnementale absolue à l’aide d’un score sur 100 (higher is better) ;
sa performance environnementale relative à l’aide d’une note de A à G ;
l’empreinte technique de la page (poids, complexité, etc.) ;
l’empreinte environnementale associée (gaz à effet de serre et eau).
Il y a de quoi améliorer donc ;)
Je ne connais pas la valeur réelle de ce testeur
l’empeinte de visionscarto est mieux :)
Sympa comme outil, même si pas mal de choses que ça ne prend pas en compte.
Un ratio en plus pour le contenu serait plus juste, quand tu as une page unique pour ton site par exemple … tu divises le résultat ?
Il y a quand même peu de tests (par exemple il n’évalue pas le coût du Javascript exécuté, il est vrai que cela serait difficile à faire) et ce n’est pas très bien documenté ou expliqué (par exemple la « complexité » n’est pas du tout la complexité, c’est le nombre d’éléments du DOM). Ça frôle quand même sérieusement le gadget. (Et je ne dis pas ça par jalousie, mon site perso a un D, je suis plus vert que SeenThis.)
Aux sources de la sémiologie graphique
►https://cybergeo.revues.org/554
L’innovation représentée par la Sémiologie graphique s’ancre dans l’itinéraire d’une personnalité douée d’un véritable génie du visuel. Celui-ci s’est épanoui à travers des expériences cruciales de recherche et l’implication dans la demande d’information statistique territoriale des années soixante. La Sémiologie graphique résulte de recherches développées par J. Bertin à partir des années cinquante, en rupture avec le contenu classique de son éducation à la cartographie. Ce traité est publié dans un contexte d’expansion de la sémiotique, notamment celle des images. Il synthétise des règles issues d’une pratique et privilégie le sens de la vue pour le traitement et la représentation des données.
#cartographie #bertin #visualisation #sémiologie #sémiologie_graphique
OpenRouteService with new API, functions and look
▻http://k1z.blog.uni-heidelberg.de/2017/04/29/openrouteservice-with-new-api-functions-and-look
We would like to introduce you to a brand new API of OpenRouteService.org and a revamped route planner with many more features than before.In terms of features we have introduced a brand new isochrones endpoint which allows time or distance metrics and is even able to compute multiple locations at once. You will also be able to give our new hiking profile a buzz and even use reverse directions for isochrones which consider topography and special attributes of streets such as one way streets.
All of this comes in a new look with an improved user experience. We have added an easier share functionality of routes and shorter permalinks. You will be able to down- and upload more formats (gpx, tcx, kml and geojson) than before and even export computed isochrones as geojson files. We revamped the route instructions list with toggle functions to keep the list neat and clear for your needs.
C’est possible d’utiliser ça à l’intérieur d’un autre site donc, par API ?
Euh chez moi il ne se passe rien et surtout je n’ai même pas un foutu bouton de validation pour lancer le calcul après avoir défini départ et arrivée. Pas comprendre l’ergonomie…
Ah ok, en fait quand ya qu’une possibilité, ça affiche un seul truc sous le champ, mais moi je croyais du coup que c’était ce qu’il avait sélectionné comme adresse, alors qu’en fait il faut re-cliquer dessus pour le sélectionner.
Cool ! Ils commencent à voir une interface graphique vraiment chouette.
C’est possible d’utiliser ça à l’intérieur d’un autre site donc, par API ?
@rastapopoulos oui cf le lien de la première phrase de l’article, ainsi que les liens en bas de celui-ci :p
Actualités | Sciences Po
“MON COURS VISE À FAIRE COMPRENDRE LA FACE CACHÉE D’INTERNET”
▻http://www.sciencespo.fr/actualites/actualités/“mon-cours-vise-à-faire-comprendre-la-face-cachée-d’internet”/3021
« L’extrême droite a une génération d’avance »
Car si numérique soit-il, le cours n’en est pas moins politique avec, en trame de fond, la confrontation avec « la fachosphère », la toute puissante communauté d’extrême droite qui sévit sur la toile et hante les forums. « Ils ont une génération d’avance sur leurs adversaires », diagnostique celui pour qui l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen devient inéluctable d’ici 2022. « Ils ont été censurés dans les médias il y a quinze ans, donc ils se sont réfugiés sur Internet, où ils ont développé des codes pour transmettre un message qui sera très vite compris. Ils ont aussi appris l’art et la manière de faire de la dialectique de façon adaptée aux médias sociaux », assène-t-il.
▻http://formation.sciences-po.fr/enseignement/2015/OBUS/2055?_ga=2.253146318.633498325.1495616736-1035126911.149483444
Il est indispensable de posséder un compte Twitter et un compte Facebook pour participer à ce cours.
M...., doublement pas qualifié
Il y a presque vingt ans quand je disais que je trouvais très préoccupant que les révisionnistes de tous poils étaient infiniment plus présents sur Internet que des sources historiquement plus fiables (et honnêtes), je me trouvais bien seul : tu vois le mal partout, ça va se réguler et les révisionnistes vont retourner dans l’ombre. Et pareil avec cette bouse de Wikipedia et les articles qui changeaient tous les jours sur certains sujets.
Comme toi @aude_v j’aimerais tellement m’être trompé
Ne vous blâmez pas, cela me parait dans une ligne historique logique, où la désappropriation mentale est toujours en jeu. Avant l’imprimerie, le clergé avait le pouvoir de l’information. J’ai regretté ne pas écouter Jean-Louis Weissberg – Anthropologie de la communication numérique-Paris8 - qui nous avait promis un cours sur l’opus-dei et l’utilisation de l’information par l’Eglise.
#extrême_droite
Le coût écologique d’#internet est trop lourd, il faut penser un internet #low-tech
►https://reporterre.net/Le-cout-ecologique-d-internet-est-trop-lourd-il-faut-penser-un-internet-
Le combat pour une informatique émancipatrice échoue le plus souvent à expliquer les effroyables coûts écologiques et humains du numérique, expliquent les auteurs de cette tribune. Qui proposent des pistes pour un internet low-tech afin de nous émanciper des sphères technocratiques et industrielles.
À court terme, un tel projet suppose tout d’abord d’organiser, aux différents stades de leur élaboration et de leur mise en œuvre, l’opposition aux politiques de recherche qui, sous couvert d’encourager l’innovation et le « progrès », ne font que renforcer les logiques écocides et liberticides propres au capitalisme informationnel — par exemple, celles qui participent à la prolifération des objets connectés ou des technologies de surveillance.
À l’inverse, il s’agit d’encourager les travaux émergents des chercheurs et ingénieurs sur la sobriété des équipements, protocoles, services et logiciels qui sous-tendent l’infrastructure numérique [8] ; d’œuvrer à la relocalisation de la production ; de prendre au sérieux la question de l’obsolescence des objets ; bref, de rendre possible et désirable l’avènement d’un internet low-tech, sans doute plus lent, mais beaucoup plus pertinent, durable et résilient, fondé sur des machines aux fonctionnalités simplifiées, contrôlables et réparables par les utilisateurs. high-tech.
Une réflexion qui a du sens mais n’avancera pas beaucoup si elle ne s’attaque pas à la financiarisation du monde.
excellent article, c’est tellement rare de voir des papiers aller au delà la réflexion technophile.
Sur le plan matériel il y a un début de réflexion et d’action avec le Fairphone, et on peut voir du côté des hébergeurs communautaires (notamment les CHATONS en France) une mise en commun des ressources, qu’il faut à mon sens favoriser par rapport à l’auto-hébergement.
Sur le plan des usages enfin, il s’agirait de faire le tri, d’engager un débat sur les pratiques informatiques que l’on souhaite préserver et cultiver – parce qu’elles sont les véhicules d’expressions citoyennes ou artistiques, de solidarités renouvelées, de partages de savoirs –, et celles, chronophages, addictives et aliénantes dont on gagnerait à s’affranchir.
C’est parfaitement dit, et ça passe par une réflexion sur les outils eux même.
Il y a des choses qui vont dans le bon sens, mais trop lentement et il y a déjà urgence.
@goffi Je n’ai pas eu la meme interpretation que toi de cet article. L’approche anti-tech est indéniable. Mais parmi les soluces low-tech, j’entends plutot : Pas de vraies solution, seulement des moindres mal. L’article l’aisse donc la place à l’interpretation.
Je sais bien que la réappropriation est deja une avancée compte tenu du monopole Gafam-Baidu. Mais la mise en commun, l’auto-heb... Rien n’apporte de gain energetique ou en ressources rares.
Je sais bien qu’on peut classer bon nombre de techno electronique dans les low tech, c’est d’ailleurs mon point de vue : ordinateur low tech, circuits memoire, soudure en surface... Meme pas peur. Mais coté services... Le mieux est quand meme de tout eteindre.
L’article apporte une reflexion sur l’égalité d’acces. Et la je suis d’accord. Si les petits n’ont pas les moyens, il faut interdire aux grands.
Je sais bien que la réappropriation est deja une avancée compte tenu du monopole Gafam-Baidu. Mais la mise en commun, l’auto-heb... Rien n’apporte de gain energetique ou en ressources rares.
L’auto-hébergement pourrait diminuer le coût énergétique actuel s’il était placé dans les boîtiers internet qui sont déjà allumés H24 (ce qui est une bêtise en soit pour la grande majorité de la population, mais tant qu’à rester allumé autant utiliser).
Après la mise en commun est une solution bien plus souhaitable et envisageable, et en partant de là, on peut espérer garder et réutiliser les machines le plus longtemps possible, voire utiliser des énergie renouvelable (il y a déjà des serveur tournant à l’énergie solaire par exemple).
Le mieux est quand meme de tout eteindre.
Probablement oui, mais ça n’est pas près d’arriver. D’un autre côté les technologies bien utilisées peuvent apporter beaucoup : SeenThis est un exemple, Wikipédia un autre.
Une réflexion sur notre utilisation de ces technologies, leur implication sur notre écosystème, sur notre vie sociale, sur les inégalités, sur la réflexion et la connaissance, etc. est un point essentiel, et c’est à notre génération de le faire, maintenant.
Pour l’auto-hébergement c’est clair, perso j’ai toujours était farouchement contre, ça me parait une aberration pas possible…
C’est la mutualisation à l’échelle locale le plus utile ET faisable dès maintenant, d’après moi. Des assocs locales, avec des serveurs locaux, comme dans la fédération FDN, comme Auilenet dans le sud-ouest par exemple. Et ensuite c’est relié aux internets, mais si ya des problèmes loin, il reste toujours un internet local qui peut fonctionner et déjà rendre des services aussi.
Les contenus dupliqués en local, la mouvance unhosted, c’est intéressant. Avoir les contenus ENTIERS dans ces mutualisations locales, et avoir un système de synchronisation régulière (que ce soit à base de duplication SQL, de Git, de Syncthing, ou autre système de ce genre).
En tout cas, oui aux chatons et non à l’auto-hébergement, pour moi c’est clair, aussi bien en ressources naturelles et énergétiques, qu’en problèmes d’élitisme.
je ne sais pas si les limites de ce texte sont techniques. On peut imaginer, peut-être, un internet low tech post-apocalyptique, avec un ordi pour 10000 habitants et un système fonctionnant à énergie solaire, le tout décentralisé et organisé en toute convivialité...
Mais il faudrait certainement plus qu’un grand inventaire de nos besoins — une vraie rupture, seule à même de faire que nos désirs ne soient pas captés par l’infrastructure numérique et que nous cherchions ailleurs, hors de ce maillage-là, de nouvelles vies à inventer. Poser clairement la nécessité d’une désinformatisation de la société serait en tout cas un bon préalable, même si l’on doit tenir compte de nos dépendances et de nos contradictions.
Parmi les choses qui ferait rupture, il me semble que des déclarations collectives d’informaticiens refusant de mener plus avant le processus de numérisation, ce serait très fort. Les hackers côté pile qui sont à fond dans le business côté face, c’est de la schizophrénie. Et pourtant, pas de trace d’une organisation d’informaticien qui revienne sur l’impact plus que contestable, au travail par exemple, de l’action des informaticiens eux-mêmes. Même si on est pris par le boulot, la nécessité de payer son loyer, l’envie de ne pas vivre la même dèche que ses darons ou je-ne-sais-quoi-encore, on peut quand même se donner des formes d’organisation pour imaginer se sortir de cette tension entre ce qu’on fait au boulot et le monde que l’on désire. Et donc commencer par critiquer ce que l’on doit faire.
Huhu, le serpent de mer. :)
Ça me génère une grande dose de double bind, effectivement.
Je suis plutôt d’accord avec @kamo, dans l’ensemble.
Après… là maintenant, il y a quand même déjà moyen de faire bien mieux et surtout ne pas participer à augmenter de manière exponentielle les besoins.
– Ne pas avoir de périphériques mobiles, méga miniaturisés (pas de mobile, pas de tablette).
– Limiter le nombre d’ordis, par exemple ne pas forcément avoir un ordi au boulot et un ordi perso, quand on le peut, ce qui n’est pas forcément facile ok (quand on est dans un truc hiérarchique, qu’on peut perdre son travail son ordi, etc), déjà un par famille, peut-être. Et si plusieurs, parce qu’on a fait de la récup avec des vieux ordis (pour faire internet et texte ça suffit).
– Mutualiser au max les services en ligne, pas d’auto-hébergement, pas chacun son petit serveur.
– Avoir le max de ces choses en local, dans sa région voire dans sa ville, ce qui réduit forcément les accès lointains, les besoins en infrastructure.
– Dans les logiciels, participer à des choses autour de l’information mais pas dans l’automatisation ou dans le management (les logiciels « ERP » classiques par exemple).
Tout ça on peut le faire sans augmenter la fabrication et l’utilisation d’énergies, et même ça réduirait grandement.
M’enfin comme de toute façon l’effondrement complet arrive sous peu (#collapsologie), c’est sûr que ça parait peut-être dérisoire.
Lui est graphiste et aurait besoin d’une bécane pareille pour son usage pro mais un con de vendeur a saigné son père aux quatre veines en lui fourguant un ordi pas adapté et super cher.
Il ne faut rien attendre d’autre d’un « vendeur ». Le vendeur est dans son rôle car il touche une commission sur son chiffre.
Non, le mieux pour des néophytes qui n’ont ni le temps ni l’envie d’approfondir leurs connaissances dans les technologie informatiques, ce serait de passer par des associations où des personnes auraient la possibilité de se mettre au niveau des débutant-e-s et de leur conseiller des solutions adaptées. Moi je leur conseillerais d’installer « toutou-linux », un OS adapté pour les « ordinosaures ».
▻http://toutoulinux.free.fr/presentation.php
Métamorphoses des classes populaires françaises
▻https://www.monde-diplomatique.fr/2017/05/HUGREE/57486
(…) Si les commentateurs libéraux déplorent rituellement une durée du travail française moins élevée qu’ailleurs, ils oublient de mentionner les conditions, plus difficiles qu’ailleurs. Sous cet angle, la France s’approche plus de la Grèce que du Royaume-Uni : 79 % des classes populaires portent des charges lourdes (78 % en Grèce et 67 % au Royaume-Uni), 79 % travaillent debout (82 % en Grèce et 75 % au Royaume-Uni), 45 % travaillent dans la fumée ou la poussière (43 % en Grèce, 33 % au Royaume-Uni), et enfin 59 % travaillent dans le bruit (61 % en Grèce et seulement 47 % au Royaume-Uni).
Qui tenterait d’expliquer cette singularité par une plus forte présence d’immigrés, traditionnellement moins bien traités et moins « revendicatifs » que les travailleurs établis, en serait pour ses frais : en France, la part d’étrangers parmi les classes populaires (9 %) est moindre que dans tous les autres pays européens (14 % en Allemagne, 22 % en Espagne, 16 % en Grèce, 12 % au Royaume-Uni, 19 % en Italie). L’explication réside ailleurs : le patronat a fait le choix, ces vingt dernières années, d’intensifier considérablement le travail pour accroître la productivité, au détriment de l’emploi, mais aussi de l’investissement dans les nouvelles technologies et l’amélioration des conditions de travail. Tout comme l’Espagne et le Portugal, la France se caractérise par un volant plus important d’emplois peu qualifiés, précaires et sans perspective de carrière. Certes, l’emprise de l’économie informelle dans les pays du sud de l’Europe limite la portée de cette comparaison. Toutefois, si l’on ne prend en compte que les salariés ayant une activité déclarée, les classes populaires françaises subissent une précarité supérieure et des conditions de travail détériorées par rapport à des pays européens comparables.
Pourtant, elles affichent une proportion de diplômés relativement importante, plus élevée qu’en Espagne, en Grèce et en Italie et analogue à celle du Royaume-Uni. Cette conjonction entre un bagage scolaire non négligeable et des conditions de travail très défavorables peut s’avérer explosive sur le plan politique.
Source : @mdiplo, mai 2017
Et pourtant, elles jouent !
▻https://etpourtantellesjouent.wordpress.com
Tiens, un lieu de témoignage intéressant autour du sexisme, de la place des femmes, dans les jeux de rôles (JdR).
Y a vraiment des trucs qui font gerber encore de nos jours… C’est bien triste. Un témoignage ahurissant (heureusement que ça ne va pas toujours aussi loin) :
Gwen
[Avertissement : Viol]
J’ai 19 ans.
J’ai commencé le JDR à mes 16 ans, quand j’ai déménagé pour mes études.
J’ai trouvé une association et, très timide, j’y suis allée et je me suis rapidement intégrée.
Il y avait très peu de filles, mais une en particulier avec qui je m’entendais bien vu qu’on aimait le même archétype de personnage – le barbare/guerrier bien bourrin et qui parle pas trop (il m’est arrivé de jouer tous types de persos mais ça, c’est mon préféré).
Jamais la moindre remarque sexiste ou déplacée en jeu, le bonheur.
Sauf que, il y avait ce type-là, un peu bizarre, un peu dragueur. Il faisait quelques allusions in game et même IRL mais rien de bien violent. À une convention, il a tenté des approches sur plusieurs joueuses, en faisant jouer son statut de MJ. Il m’a approchée, et au fur et à mesure, je suis allée chez lui pour une créa de perso, et il a tenté de m’approcher. J’ai refusé, mais il a parlé, parlé, menacé, embobiné, menti, manipulé. Et il m’a violée. Plusieurs fois, pendant près d’un mois. Quand je suis enfin sortie de ce calvaire grâce à un autre membre de ce club de JDR, je suis allée en parler au conseil d’administration de celui-ci, vu que ce mec tournait en plus autour d’une autre fille. Ce qu’on m’a répondu ?
« Ouais on le sait c’est la troisième fois qu’il fait ça, on prévient les nouvelles arrivantes d’habitude, on a dû oublier pour toi. »
Et ils l’ont gardé, parce que c’était un joueur sympa et un MJ prolifique. Alors même qu’il utilise le club pour trouver ses « proies ». Alors même que, je l’ai appris par la suite, il adorait décrire des scènes de viol dans ses scénarios, même avec des « gamines » de 16 ans à sa table, mon âge de l’époque donc.
Ils l’ont gardé, et tant pis pour toutes les joueuses du club.
Alors, j’ai quitté le club et déménagé.
C’est malheureusement très courant, (même en dehors des jeux de rôle) le scénario de base toujours hallucinant étant que le groupe va protéger le violeur si il a une position dominante, ne serait-ce qu’en ignorant ses actes (même si il y a des femmes dans ce groupe, oui oui) tellement plus sympathique que la chieuse de dénonciatrice qui n’a plus qu’à partir.
J’ai plusieurs amies qui ont vécu une situation similaire, inclus le « ah zut, on avait oublié de te prévenir »
#viol
Ce qui m’a permis d’apprendre ce que #gn veut dire dans ce contexte : grandeur nature.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_r%C3%B4le_grandeur_nature
Les symptômes d’un état fasciste ~ Reflexiums
▻https://reflexiums.blogspot.fr/2012/08/les-symptomes-dun-etat-fasciste.html
#fascisme
En 2003, le docteur Lawrence Britt, analyste politique de son état a publié un livre dans lequel il a étudié plusieurs caractéristiques d’un régime fasciste. L’étude se base sur des régimes tels que celui d’Hitler, Mussolini ou Pinochet et 14 signes permettent d’identifier les dérives d’un régime vers un état fasciste.
Billet d’août 2012, …
Soyons honnête, nous ne remplissons pas encore tous les critères pour mériter l’horrible appellation de régime fasciste, mais les gouvernements successifs depuis près de 10 ans nous prouvent que nous glissons à grande vitesse vers ce type de régime. Après tout, nous remplissons déjà largement 10 critères sur les 14 cités.
@simplicissimus 10/14 c’est, si je comprends bien, pour #Madagascar.
Comme ces critères sont qualitatifs il me semble difficile de dire de manière binaire s’ils sont « remplis » ou non, mais on pourrait avoir une sorte de mesure (ou de classement relatif) des différents régimes selon chacun de ces axes.
Les cartes mort-nées
Un #récit_urbain qui nous plonge dans les transformations numériques émergentes et radicales de trois villes métropolitaines de #Corée_du_Sud : #Séoul - #Incheon - #Anyang. On y découvre les faces invisibles, omniscientes, évanescentes, de la #ville_connectée.
Initialement publiée dans la revue Manu Militari, cette production illustrée mêle le récit de voyage d’un géographe à la littérature graphique.
La France inégale : partage social de l’espace français
►http://theconversation.com/la-france-inegale-partage-social-de-lespace-francais-75604
Nous ouvrons avec ces toutes premières visualisations notre nouvelle rubrique Data. Avec nous cette semaine, Hervé Le Bras, démographe, directeur d’études à l’EHESS et chercheur émérite à Institut National d’Études Démographiques (INED). Aujourd’hui, la répartition des catégories sociales à travers le territoire.
Sauvegardez le web, librement | wallabag: a self hostable application for saving web pages
▻https://wallabag.org/en
wallabag extrait le contenu des articles (et seulement le contenu)
▻https://github.com/wallabag/wallabag
merci à la Mère Zaclys
« Les bannis du caddie » - Le Temps
►https://www.letemps.ch/suisse/2017/05/19/bannis-caddie
En Suisse, ceux qui volent ou troublent l’ordre public peuvent être exclus des supermarchés durant des années. Et sévèrement punis s’ils tentent d’y pénétrer. Enquête sur une pratique qui a le vent en poupe.
Ce jour-là, Jérémy n’a commis d’autre crime que d’entrer dans ce supermarché alors qu’il n’en avait pas le droit. Il sera condamné le lendemain à 300 francs d’amende, ainsi qu’à payer 250 francs de frais de procédure, selon l’ordonnance pénale émise par le Ministère public genevois le 26 mars dernier, et que Le Temps a pu consulter. En droit, le Français s’est simplement rendu coupable de « violation de domicile ».
Notre enquête dévoile une pratique aussi discrète que répandue : l’interdiction de supermarchés visant une population de petits voleurs récidivistes, de sans papiers, de marginaux et de personnes psychologiquement fragiles. Des damnés de la terre devenus bannis du caddie – parce que les supermarchés, avant d’être des lieux publics, sont des endroits privés dont on peut être exclu presque sur un claquement de doigt.
La police privée progresse... ;(
Les patrons ont-ils lu Marx ?
►https://www.monde-diplomatique.fr/publications/manuel_d_economie_critique/a57176
Les Portes-en-Ré, une île dans l’île. À la pointe extrême de l’île de Ré, cette commune est devenue un des lieux de ralliement des familles de la …
L’entre-soi grand-bourgeois permet cette offensive idéologique. Comme par magie rhétorique, la lutte des classes marche sur la tête : on transforme les « exploiteurs » d’hier en « créateurs de richesses » et les « exploités » en « coûts ». De leur côté, les patrons s’abritent derrière le paravent idéologique de la concurrence libre et non faussée – que les meilleurs gagnent ! –, une vulgate de l’économie libérale qui permet de légitimer une position sociale souvent héritée et collectivement protégée.
Les armes utilisées sont des mots comme « compétitivité », « déficit public », « trou de la Sécurité sociale », « chômage ». Assénées sur tous les canaux d’information, ces notions, devenues naturelles, s’inscrivent dans une guerre des classes que les plus riches mènent à l’échelle de la planète. « Il y a bien une guerre des classes reconnaissait le milliardaire américain Warren Buffett en 2005, mais c’est ma classe qui est en train de la gagner. »
« Les femmes noires savent que le défrisage est dangereux, mais la pression est trop forte »
▻http://www.lemonde.fr/femmes-a-part/article/2017/05/24/les-femmes-noires-savent-que-le-defrisage-est-dangereux-mais-la-pression-est
Aline Tacite, 43 ans, est une précurseuse en France de la coiffure naturelle pour les femmes noires et métissées. Une tendance autant capillaire qu’identitaire. D’après une étude Ipsos sur les femmes africaines, 68 % des Kenyanes préfèrent les coiffures naturelles, contre seulement 3 % des Ivoiriennes et 4 % des Sénégalaises. La question divise aussi les afro-descendantes. Victime d’une importante chute de cheveux occasionnée par des défrisages répétitifs, cette ancienne assistante de direction trilingue dans un cabinet d’avocats international a découvert aux Etats-Unis le natural hair movement, ou « nappy », qui invite les femmes noires à abandonner les altérations chimiques pour se réapproprier leur véritable texture. En 2001, Aline Tacite lance la première journée de débats et ateliers autour de la coiffure noire, puis en 2005 le salon Boucles d’Ebène devenu un rendez-vous incontournable pour les communautés noires. Sa 6e édition se tient à la Cité des sciences et de l’industrie les 27 et 28 mai. Un événement consacré à l’estime de soi.
En 10 ans, 47 décès liés aux violences policières, aucun fonctionnaire en prison | Maxime Grimbert
►https://www.streetpress.com/sujet/1495554039-morts-victimes-police
En 10 ans, 47 hommes désarmés sont morts suite à une intervention musclée des forces de l’ordre. Streetpress a enquêté sur ces 47 dossiers pour un résultat accablant : aucun policier ou gendarme impliqué n’a jamais fini en prison. Source : StreetPress
Changement climatique. Le permafrost entourant la banque mondiale de graines a fondu
▻http://www.courrierinternational.com/article/changement-climatique-le-permafrost-entourant-la-banque-mondi
La réserve de Svalbard, en Norvège, censée protéger les semences mondiales de toutes les catastrophes, est elle-même menacée par le réchauffement climatique.
Par chance, aucune graine n’a été perdue. Mais nul ne s’attendait à ce que l’entrée de la “grotte” de Svalbard installée au cœur du permafrost de l’île norvégienne du Spitzberg, au-delà du cercle arctique, soit inondée… par de la glace fondue. Cette chambre forte souterraine, où des millions de semences sont stockées, est censée jouer un rôle clé dans la préservation des cultures vivrières de toute la planète.
“Nous n’avions pas prévu que le permafrost ne serait plus là et qu’il subirait un climat aussi extrême”, indique au Guardian Hege Njaa Aschim, du gouvernement norvégien, propriétaire de la réserve. “Fin 2016 [l’année la plus chaude jamais enregistrée] les températures moyennes ont augmenté de sept degrés par rapport à la normale au Spitzberg, poussant le permafrost au-delà du point de fusion”, précise le quotidien britannique.
Des mesures d’urgence – comme le creusement de tranchées pour dévier l’eau ou le retrait des équipements électriques de l’entrée du tunnel – ont été prises. Mais cet incident remet en question la fiabilité de cette banque mondiale supposée protéger les graines de toute catastrophe, sans intervention humaine. “Nous devons trouver des solutions. C’est une énorme responsabilité que nous prenons très au sérieux, assure Hege Njaa Aschim. Nous le faisons pour le monde.”
The mysterious Crooked Forest in Poland
▻http://www.thevintagenews.com/2017/05/12/the-mysterious-crooked-forest-in-poland
A veil of mystery surrounds a piece of forest located outside the village of Nowe Czarnowo in Poland, where a grove of 400 oddly-shaped pine trees exists.
The strange sight known as Crooked Forest was planted in the 1930’s, probably by the local population, and it is one of the weirdest natural locations to be seen on the planet. Surrounded by normal pines, these 400 trees are bent at 90 degrees, just above their base, with the curve going back upright after some 3 to 9 feet of veering sideways.
on a déjà un signalement avec commentaires mais je retrouve pas
J’avais relayé une technique amérindienne pour faire un zigzag qui servait de cartographie, ça serait pas ça ?
Pas sûre, me souviens de plusieurs photos semblables à celle-ci et je crois que ton signalement sur la technique c’était encore un autre.
Fut une époque, en France on employait des techniques de cintrage des arbres en foret pour faciliter le travail des charpentiers de marine lors de la fabrication des membrures.
Ah oui @nicolasm quand j’ai vu la photo, j’ai immédiatement pensé au seen sur les fléchages amérindiens.
“Alain Colmerauer, a French computer scientist and a father of the #logic programming language #Prolog, passed away on May 15 [2017] at the age of 76.”
▻https://cacm.acm.org/news/217533-in-memoriam-alain-colmerauer-1941-2017/fulltext
Galina Balashova Architect of the Soviet Space Programme
▻https://dom-publishers.com/products/galina-balashova
This monograph on the work of the Russian architect Galina Balashova presents a unique collection of designs for Soviet cosmonautics. These include plans and engineering drawings for Soyuz capsules and the space stations Salyut and Mir.Balashova acted as a consultant to the Buran programme, the Soviet counterpart to the American Space Shuttle.
Striving for harmony and beauty, the architect strikes an emotional chord in the high-tech world of carrier rockets, laboratories and survival equipment. It is therefore due to Balashova‘s talent that a unique chapter has been added to Soviet architectural history: Architecture for Cosmonautics.
Her exceptional achievements, including designs for medals and emblems, are still scarcely known today – even in Russia.
Totalitarisme numérique - Le Monolecte
▻https://blog.monolecte.fr/2017/05/21/totalitarisme-numerique
Mon père va plutôt très bien pour ses 85 ans, c’est juste que l’emprise numérique sur notre société est en train de le marginaliser sans aucun ménagement.
#administration #capitalisme #numérique #dématérialisation #vieux
Documentaire : Quel a été le rôle des grands médias brésiliens dans l’assassinat d’une adolescente ?
▻https://fr.globalvoices.org/2017/05/22/210626
▻https://www.youtube.com/watch?v=4IqIaDR_GoQ
« L’image d’Eloá en train de pleurer à la fenêtre pendant qu’elle était retenue en otage par son ravisseur, à peine quelques jours avant sa mort, est devenue un symbole emblématique non seulement de la prise d’otage la plus longue de l’histoire du Brésil mais aussi de la pire gestion de prise d’otage et la plus sensationnaliste de l’histoire.
Huit ans après, la cinéaste brésilienne Livia Perez a décidé de faire une chronique sur ce qui est arrivé à Eloá. Mais elle n’a pas souhaité raconter l’histoire à travers d’interviews des proches d’Eloá, au contraire elle a voulu mettre en avant les reporters et la police, afin d’analyser comment les médias et la société idéalisent les histoires de violence contre les femmes. »
France, 2017 : le clitoris apparaît de manière complète dans un manuel de SVT
▻https://www.actualitte.com/article/patrimoine-education/france-2017-le-clitoris-apparait-de-maniere-complete-dans-un-manuel-de-svt/82688?origin=newsletter
La question de la représentation des organes génitaux, et en particulier de l’organe génital féminin, est récurrente depuis quelques années : chaque rentrée scolaire, les manuels observés ne manquent pas d’afficher des représentations erronées, et les résultats se font d’ailleurs sentir dans les classes. Selon un rapport du Haut Conseil à l’égalité entre femmes et hommes sur l’éducation à la sexualité publiés en juin 2016, une fille de 13 ans sur deux et une fille de 15 ans sur quatre ne savent pas qu’elles ont un clitoris, tandis que 83 % d’entre elles ignorent sa fonction.
On remarquera que 68 % des garçons du même âge, interrogés, le savent. Sans verser dans le stéréotype, il est probable que le porno sur Internet, avec les défauts qu’on lui connaît, a pris le relais des manuels de SVT...
En effet, en 2016, sur les huit manuels de SVT publiés en France, aucun ne représentait correctement le clitoris : il est figuré sur les schémas par un point, carrément abstrait, ou, au mieux, par le seul gland, l’extrémité de cet organe. Pire encore, deux manuels l’ignoraient franchement.
En cette rentrée 2017, grande nouvelle : un manuel de SVT, celui des éditions Magnard, propose une représentation anatomiquement correcte du clitoris, comme le révèle le site spécialisé sur ces questions SVT Égalité. « Tous les autres (Belin, Bordas, Didier, Nathan, Hachette, Lelivrescolaire) ont recyclé leurs éternels schémas faux : sans clitoris, ou le mentionnant sans le représenter, ou en le réduisant à un organe de quelques millimètres (alors qu’il en fait 10 cm en moyenne). Pourtant, l’anatomie complète du clitoris (non seulement son gland mais également les bulbes du vestibule et les piliers) est connue depuis... le XVIIe siècle ! », indique l’équipe de SVT Égalité sur Facebook.
Aussi dans La Voix du Nord :
Le clitoris entièrement décrit pour la première fois dans un manuel scolaire
Magalie Ghu, La Voix du Nord, le 16 mai 2017
▻http://www.lavoixdunord.fr/163647/article/2017-05-16/le-clitoris-entierement-decrit-pour-la-premiere-fois-dans-un-manuel-sco
En 2016, la chercheuse Odile Fillod a modélisé un clitoris à échelle réelle grâce à une imprimante 3D
Une vieille discussion ici, autour du film « Le clitoris cet inconnu » avec la même #Odile_Buisson
►https://seenthis.net/messages/542035
Et dans l’Obs :
Le clitoris dans les manuels de SVT : « Une condition sine qua non d’égalité »
Barbara Krief, L’Obs, le 16 mai 2017
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20170516.OBS9462/le-clitoris-dans-les-manuels-de-svt-une-condition-sine-qua-non-
Compilation d’article sur la #sexualité animale et humaine :
►https://seenthis.net/messages/686795
Aux amateurs de cartographie
A Time-Lapse Map of Every Nuclear Explosion Since 1945 - by Isao Hashimoto
►https://www.youtube.com/watch?v=LLCF7vPanrY
Wow, c’est flippant, et c’est sans compter les « #accidents » sur des centrales nucléaires, Fukushima, Tchernobyl, Three Mile Island etc.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27accidents_nucl%C3%A9aires
Je ne peux pas croire qu’avec tous ces efforts, ils ne vont pas finir par vouloir les tester en vraie grandeur un jour...
#Nucléaire #Bombes #Explosions #Tests #Folie #Suicide #Dystopie #FinDuMonde
Nouveau #plugin #SPIP : Fonds d’articles
▻https://zone.spip.org/trac/spip-zone/browser/_plugins_/fonds
C’est un plugin particulièrement important dans les sites que je réalise désormais, parce qu’il me permet d’installer les images qui viendront se fondre sous le texte de l’article, ce qui constitue un aspect central de mes #longforms avec SPIP.
Par exemple :
– dans les dossiers histoires d’Orient XXI :
▻http://orientxxi.info/l-orient-dans-la-guerre-1914-1918/german-asymmetric-warfare-in-world-war-i,1423
– les articles d’Orient Palms :
▻http://fr.orientpalms.com/L-oeil-de-Tony-Hage
– la page d’accueil de Paris-Beyrouth :
►http://www.paris-beyrouth.org
– les « formes longues » du site de l’OPPIC :
►http://www.oppic.fr/rubrique18.html
– bien entendu, ma spectaculaire démonstration à base d’images de la NASA :
►http://www.orientpalms.com/demo/spip.php?rubrique2
Le principe est de créer des images se terminant par un dégradé vers un aplat de couleur (de la même couleur que le fond de la page, que l’on indiquera aussi dans l’interface du plugin), puis d’installer cette image en « fond » d’article, une partie se trouvant avant le pavé de texte, et la seconde (la partie peu contrastée) en dessous du pavé de texte. Le plugin permet d’installer de telles images en haut et en bas de l’article. D’autres options permettent d’installer une image « en fond » d’article, sans notion de haut et de bas.
Par ailleurs, l’affichage est responsive, avec un balisage moderne qui autorise le pré-chargement des images et l’affichage adapté sur écran haute définition.
Pour créer l’effet de dégradé ci-dessus…
(1) Je pars de l’image d’origine (celle-ci n’est pas très grande, je préfère si possible travailler avec des images de 2400 pixels de large, pour couvrir les besoins d’un écran haute définition de type iPad) :
(2) Dans mon logiciel de dessin, je déterminer (avec des règles bleues ici) comment découper mon image :
(3) Étape particulièrement importante : j’applique un dégradé vers une couleur d’aplat (qui correspondra à la couleur de mon fond d’article) sur la partie basse de l’image :
(4) Je découpe l’image en deux parties :
Je sauvegarde ces deux images (img_haut.jpg
et fond_haut.jpg
par exemple) sur mon disque dur.
(5) Je me rends dans l’espace privé de mon site, sur l’article qui convient, et je trouve en colonne de droite, l’encadré suivant :
Les deux intitulés qui m’intéressent sont : « Image du haut », où je vais installer img_haut.jpg
, et « Dégradé du haut » où j’installe fond_haut.jpg
. Je peux uploader via « Enregistrer », mais ici, je vais cliquer plutôt sur la pipette.
Et hop… Cela donne directement une vue réduite de la page :
La pipette a indiqué que je voulais extraire automatiquement la couleur en bordure bas de l’image. Si le résultat automatique ne convient pas, je peux évidemment renseigner le code de la couleur à la main. (Et à l’inverse, si j’ai oublié de passer par la pipette pour uploader les images, je peux simplement cliquer sur la pipette une fois les images déjà chargées, ça fonctionnera aussi.)
Si nécessaire, j’effectue la même opération pour le bas de l’article.
On peut tout à fait n’installer qu’une image de haut, ou qu’une image de dégradé du haut, ou la même chose en bas, selon la nature des images qu’on utilise. Toute la difficulté, c’est de bien prévoir à quel endroit on accepte ou on interdit de placer le texte par dessus l’image, avant tout par souci de lisibilité.
Un autre usage très simple consiste à ne même pas utiliser d’image, ni en haut ni en bas, mais à simplement choisir une couleur de fond d’article.
Au niveau des squelettes, il faut modifier son squelette d’article pour appeler fonds_article.html
, par exemple :
[(#INCLURE{fond=fonds_article}{id_article})]
Ce squelette gère l’ajout des images. En revanche, c’est toujours à vous de créer le squelette d’affichage du bloc de texte de l’article (contenant le texte, mais aussi le titre, le sous-titre, et tout ce que vous voulez…).
De manière automatique, le squelette du plugin essaiera de charger un squelette : inc/contenu-article.html
mais vous pouvez aussi lui passer un autre nom de squelette, que vous passerez dans une variable contenu_article
:
[(#INCLURE{fond=fonds_article}{id_article}{contenu_article=inc/mon_squelette_a_moi)]
Oui, c’est un peu brut de décoffrage, il va falloir bosser un peu de votre côté…
Ah, un détail mignon : sur écran de petite taille (smartphone, tablette verticale), les images sont recadrées automatiquement, on conserve tout leur contenu vertical, mais on supprime une partie de la droite et de la gauche de l’image. De cette façon, sur petit écran, on limite l’aspect « minuscule bandeau horizontal », en « zoomant » un peu par rapport à l’image d’origine.
Quelques remarques :
– d’expérience, ce n’est pas évident du tout à utiliser ; pas techniquement (une fois qu’on a réussi à bidouiller les squelettes), ni de l’interface, mais surtout au niveau graphique ; si on n’a pas de solides compétences de graphisme (et si on ne sait pas bien utiliser un logiciel de manipulation d’images), on n’y arrivera pas ;
– du coup : ça réintroduit un graphiste dans la mise en ligne des articles. (Je te laisse réfléchir à ça…)
– réaliser les images du haut avec des dégradés est généralement beaucoup plus difficile que de créer les images du bas de l’article. Avec les images du haut, on est généralement coincés par le corps des gens, sur lesquels on ne peut pas facilement appliquer de dégradé de couleur… avec les images du bas, on a souvent le ciel ou le plafond, c’est nettement plus facile (mais moins spectaculaire puisqu’on ne le voit qu’après avoir scrollé tout l’article)
– par ailleurs, il faut essayer de faire des images « du haut » (au-dessus) du texte très larges et pas trop hautes, c’est-à-dire de grands bandeaux très horizontaux, puisque sinon on va rejeter le texte après l’image, possiblement en dehors de l’écran ; ça ajoute encore de la difficulté dans la création des images de fond du haut de l’article (alors que, en bas de page, on n’a aucun problème à avoir une image très haut).
Le plugin permet aussi de gérer une image en fond d’article (ni en haut, ni en bas, « en fond »…). Cela se passe dans la partie basse de l’interface :
On chargera donc une image dans « Image de fond », qui devra s’afficher sous le bloc de texte de l’article.
Il y a alors trois options pour dimensionner ce bloc de texte :
– taille automatique, le bloc aura naturellement la taille fabriquée par son contenu ; c’est l’image qui tentera de s’adapter aux dimensions du bloc de texte (donc de manière potentiellement grotesque) ;
– remplir l’écran, le bloc aura la hauteur de la fenêtre du navigateur ; si nécessaire, le plugin ajoutera de l’espace en haut et bas du texte pour centrer le texte dans l’écran, ou au contraire provoquera un ascenseur vertical (pas dément). C’est surtout destiné à un texte très court. Et c’est excessivement difficile à maîtriser, à cause des grandes différences de tailles d’écrans ;
– proportions de l’image : fabriquer un bloc de la « taille » de l’image affichée sur toute la largeur de l’écran ; on ne cherche pas à « remplir » l’écran, mais à afficher toute l’image. Comme précédemment, c’est destiné aux textes courts, ça ajoute du blanc ou ça ajoute des ascenseurs selon la hauteur du bloc de texte, mais c’est généralement plus facile à maîtriser…
Dans le cas de remplir l’écran, par défaut le plugin affichera l’image en « position : fixed », l’image s’affichera avec cet effet de « parallaxe » (qui personnellement me sort désormais par les oreilles…), c’est-à-dire un élément qui ne scrolle pas pendant que le reste de la page défile.
Et une dernière technique : si tu fais ça en haut et bas d’articles, et que tu affiches tous les articles d’une rubrique les uns après les autres dans la même page, tu obtiens un énorme… longform. Et c’est comme ça que j’ai fabriqué ma démo de la Nasa. (Ou, moins « fondue » graphiquement, la page d’accueil de Paris-Beyrouth.)
Dans le cas de la Nasa, toute la difficulté consiste à découper les images pour que le bas de l’article se « fonde » pour devenir le haut-dégradé de l’article suivant, et qu’on ait ainsi une impression de passage d’un article à l’autre avec une même grande image dégradée vers le haut et vers le bas. C’est pas évident à faire graphiquement, ça demande des images très spécifiques, le choix des couleurs se complique d’autant, mais le résultat est assez bluffant.
Super !
Au niveau technique (je fais ce que je sais hein :p) il y aurait sûrement moyen de rendre ça générique pour l’activer (avec une config) sur n’importe quel type de contenu (objet SPIP). Le stockage est dans un sous-dossier « article123 » donc on devrait pouvoir avoir la même chose pour « rubrique123 » ou « patate123 ».
(D’ailleurs je ne vois pas pourquoi l’id est répété dans le nom des fichiers, puisqu’on stocke déjà tout dans un sous-dossier dédié à tel contenu précis.)
Pour les images, effectivement je ne vois pas ce qu’on pourrait automatiser de plus, et donc il faut forcément des compétences graphiques, c’est sûr.
À la limite, avec une interface plus complète dans l’admin avec du JS, on pourrait imaginer faire le découpage, définir la ligne où va commencer le dégradé, et créer le dégrader (pas auto, avec un outil graphique pour définir l’amplitude, etc)… il y a des librairies JS qui permettent de manipuler ce genre de choses. Mais bon ça demande un sacré gros boulot en plus…
– oui sur la généralisation, très juste, juste faire attention que ça stocke trois petites infos en base de donnée de l’objet (intitulé des images, et dimensionnement quand image de fond) ;
– ne me demande pas pourquoi je répète le numéro dans un dossier déjà numéroté :-))
– une évolution que j’envisage, effectivement, c’est de ne plus demander deux images pour gérer l’endroit où commence le texte, mais d’utiliser directement un curseur à gérer par glisser-déposer sur l’image dans l’interface privée ; parce que c’est un des points les plus bloquants pour les usagers ;
– une autre difficulté : mon plugin image_reponsive
ne fabrique pas de timestamp, et comme il faut souvent s’y reprendre à plusieurs fois, hé ben c’est pas pratique parce que l’usager lambda se fait planter par son cache quand il veut voir ses nouvelles images…