Lukas Stella

INTOXICATION MENTALE, Représentation, confusion, aliénation et servitude, Éditions L’Harmattan, 2018. — L’INVENTION DE LA CRISE, 
Escroquerie sur un futur en perdition, Éditions L’Harmattan, 2012. — STRATAGÈMES DU CHANGEMENT De l’illusion de l’invraisemblable à l’invention des possibles Éditions Libertaires, 2009. — ABORDAGES INFORMATIQUES (La machine à réduire) Croyances informatisées dans l’ordre des choses marchandes, Éditions du Monde libertaire - Alternative Libertaire, 2002 — http://inventin.lautre.net/linvecris.html

  • RÉSISTANCE VERTE

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  • DÉMYSTIFICATION DU NARRATIF DE PROPAGANDE

    1. Le « coronavirus » est un virus extrêmement dangereux

    Les coronavirus sont une famille de virus à laquelle appartient le Sars-cov2, agent de la maladie appelée covid19. Cette dernière est une pneumonie atypique potentiellement dangereuse pour certaines catégories de la population, tout comme les autres infections respiratoires par ailleurs… Sinon, pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début. Le taux de létalité réel (nombre de morts par personnes infectées) est évalué entre 0,27 et 0,65 %(2). C’est 5 à 15 fois moins que les 3 % donnés en début de pandémie. C’est du même ordre de grandeur que le taux de létalité de la grippe saisonnière (0,1- 0,5 %) et bien loin des taux de létalité des virus les plus mortels comme Ebola ou la variole qui dépassent largement les 20 %.
    De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente(3) : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie. Dans les données statistiques belges, il n’y a aucune surmortalité dans les tranches d’âges inférieures à 65 ans pour l’année 2020. En Belgique(4), près de la moitié des décès « covid » ont eu lieu en maison de repos(5).
    Le fait est qu’une très grande majorité de « morts covid », 92 % selon un rapport Sciensano (6), sont des décès de patients ayant un ou plusieurs facteurs de risques appelés comorbidités. Beaucoup de victimes étaient donc malheureusement déjà très faibles lorsqu’elles ont été contaminées. Aussi, on peut se demander à quel point le virus a joué un rôle dans la mort de ces personnes ?
    Les cas graves chez les personnes en dessous de 45 ans et en bonne santé sont pratiquement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques ou peu symptomatiques(7) (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5 % des « cas covid » doivent être hospitalisés, avec environ 1 % de cas graves nécessitant un passage en soins intensifs(8) qui sont en grande partie des personnes âgées et/ou fragiles.
    Quant aux séquelles du covid, elles sont difficiles à évaluer, mais semblent réversibles et concernent surtout des fatigues ou des pertes de l’odorat. Seuls 20 à 30 % des patients hospitalisés (eux même très minoritaires) présenteraient encore des séquelles majeures 60 jours après rémission(9).
    Avec jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, une maladie qui épargne quasi totalement les enfants et une médiane des décès à plus de 80 ans(10)…Sans minimiser la douleur ou la souffrance des victimes et de leurs familles, on peut objectivement trouver pire comme affection.

    2. C’est un virus très contagieux

    Là encore, il n’a rien d’exceptionnel. La contagiosité du Sars-cov2 est du même ordre que la plupart des infections respiratoires virales, un peu plus contagieuses que la grippe, sans plus.
    On peut calculer théoriquement la contagiosité d’une maladie grâce à une formule mathématique appelée R0 ou « taux de reproduction ». Celui du covid19 varie, selon la littérature, entre 2 et 4(11). Le R0 de la grippe saisonnière est d’environ 2, celui des oreillons est de 4 à 7, la rubéole de 5 à 7, la diphtérie 6 à 7, la varicelle de 10 à 12 la coqueluche de 12 à 17, et la rougeole de 12 à 18…(12)
    Donc, contrairement à ce que l’on nous fait croire, le Sars-cov2 n’est pas plus contagieux que ses cousins, les autres coronavirus, responsables des rhumes qui ont des R0 qui se situent aussi aux alentours de 3.

    3. Il n’y a pas de traitements

    Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique, s’attache aux essais cliniques randomisés en double aveugle comme seule valeur de preuve. Mais ni la science ni la médecine ne peuvent se résumer à ce type de mesures statistiques. La médecine, c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, les observations faites par les praticiens de terrain à travers le monde ont mis en évidence plusieurs thérapeutiques qui donnent de bons résultats(13). Nous ne reviendrons pas sur la polémique de l’Hydroxychloroquine, mais cette dernière est utilisée dans beaucoup de pays avec des résultats satisfaisants selon leurs autorités sanitaires, le Maroc, la Grèce, l’Inde… Pour ne citer qu’eux(14). L’Azithromycine, un antibiotique fréquemment utilisé dans les infections respiratoires, est aussi plébiscitée par de nombreux médecins généralistes, car il semble éviter les formes graves, à condition d’être administré tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre la covid(15). Sans parler de l’Ivermectine, un antiparasitaire dont l’efficacité est aujourd’hui largement démontrée.
    En prophylaxie (en prévention), le zinc et la vitamine D pourraient permettre de réduire drastiquement l’incidence des cas graves. Aux stades plus avancés, on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone, les anticoagulants pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie.
    L’intubation des patients en soins intensifs est surtout due au fait qu’ils arrivent à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie. Chose qui se produit logiquement lorsqu’on choisit de ne pas soigner les gens en leur disant de rester chez eux et de ne prendre que du paracétamol…

    4. Nous avons assisté à une « deuxième vague »

    Le concept de « vague » ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il s’agit d’une terminologie de novlangue anxiogène qui ne reflète absolument pas la dynamique des épidémies virales.
    Les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes(16) : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît, soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques). Il semblerait que ce soit le deuxième chemin que le Sars-cov2 ait emprunté.
    Aujourd’hui, on nous parle de 3ème vague comme si l’hypothétique pic de covid à venir et l’épisode d’automne étaient issus du même phénomène épidémique que le premier épisode de mars 2020. Il n’en est rien, car ce sont des variants différents du virus qui se sont propagés(17). La « deuxième vague » était une épidémie différente de la première, et n’était pas un « rebond » de la première voire un phénomène prévisible ou inexorable. Sinon, pourquoi n’y a-t-il pas eu de « deuxième vague » en extrême orient… ?
    Tout ce que nous pouvons faire ce sont des observations, car nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

    5. Les variants ou mutants sont nécessairement plus dangereux

    Encore une fois, c’est une idée reçue largement véhiculée par les médias sensationnalistes. Tous les micro-organismes mutent, surtout les virus. Et la catégorie à laquelle appartient le Sars-cov2, les virus à ARN, mute énormément(18). Les virus responsables de la grippe mutent également. Chaque année, ce sont des mutants différents de l’an dernier qui donnent les épidémies hivernales. Le but d’un virus n’est pas de tuer ses hôtes, mais de s’y adapter pour survivre et se multiplier. C’est pourquoi, généralement, un virus mutant peut être plus contagieux sans être plus mortel.
    Depuis le début de la pandémie, on a recensé 12.000 mutations de ce Sars-cov2, seules quelques-unes ont eu un impact sur la dynamique de la pandémie(19)… de quoi relativiser donc !

    6. Il y a une augmentation des « cas » et des « contaminations »

    Il ne s’agit pas de « cas » ou de « contaminations » au sens clinique du terme. Ce qu’il se passe c’est que les autorités, ainsi que la presse, recensent des tests PCR protocolaires où l’on détermine si un individu est porteur du virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne soit malade ni contagieuse(20). D’autant qu’une majorité de positifs sont asymptomatiques, cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou au mieux que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.
    Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir des faux positifs. Selon certaines études, jusqu’à 90 % des tests PCR positifs n’ont aucune signification clinique lorsqu’ils sont réalisés de manière aussi large au sein d’une population(21).
    Seuls des indicateurs comme les hospitalisations, l’occupation en soins intensifs et la mortalité ont une signification quant à la gravité de l’épisode épidémique. Et là encore, tout n’est pas fiable à 100 %, car ces indicateurs se basent aussi sur des tests PCR…

    7. Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

    Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.
    Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invitées à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elle présente peu de risques et est donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme(22).
    Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires, car on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prises empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, déconseillés, puis obligatoires, c’est à n’y rien comprendre !

    8. Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance » de venir à bout du virus

    Tout d’abord, La vaccination est un OUTIL sanitaire, pas une « baguette magique ». Or, on assiste littéralement à un dogmatisme vaccinaliste sans précédent, qui relève davantage de la foi que de la démarche scientifique ! Cette stratégie consiste à miser sur l’immunité collective artificielle obtenue grâce à une vaccination massive. Cette dernière n’étant, en réalité, qu’une « imitation » de l’immunité collective naturelle, mais sans les inconvénients sanitaires comme les cas graves et les décès. Du moins, en théorie…
    Pour l’instant, seuls deux (bientôt trois) vaccins sont disponibles en Belgique. Et ces deux premiers vaccins impliquent une nouvelle technologie à ARN messager pour laquelle nous n’avons aucun recul chez l’homme à une si grande échelle.
    Les seules données dont nous disposons pour évaluer l’efficacité et la sécurité de ces vaccins sont les publications des firmes pharmaceutiques sur leurs essais cliniques de phase III, réalisés sur un laps de temps inédit. Autrement dit, contrairement à ce qu’affirme péremptoirement cette gigantesque propagande vaccinaliste, on nage dans le flou. Aucune certitude sur les risques réels à long et moyen terme, qui demeurent inconnus. Rien n’indique avec certitude que cette campagne de vaccination sera efficace pour réduire l’incidence des cas graves. Surtout lorsqu’on nous affirme que nous ne savons pas si les personnes vaccinées seront toujours contagieuses ni combien de temps durera l’immunité hypothétique conférée par les vaccins, ou si ces derniers seront efficaces face aux nouveaux variants(23).
    Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?
    Selon le principe de la balance bénéfice/risque, ces vaccins devraient être réservés aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, il est légitime de considérer que c’est une ineptie !

    9. Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

    Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité tant sur la dynamique épidémique que sur la mortalité. ABSOLUMENT RIEN ! C’est d’ailleurs ce à quoi a abouti l’investigation scientifique du plus éminent épidémiologiste au monde, le Professeur Ioannidis de l’université de Stanford, dans une étude minutieuse parue dans la revue European Journal of Clinical Investigation(24).
    Par simple observation, les pays n’ayant imposé aucune de ces mesures (la Suède, la Biélorussie, l’Estonie) ou de manière locale ou allégée (Allemagne, Pays-Bas, Croatie) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques(25), sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie, Espagne et Royaume-Uni)(26) !
    Souvenez-vous de la raison pour laquelle on a imposé le 1er confinement : aplanir la courbe des hospitalisations afin de ne pas saturer les lits de réanimation. Cet aplanissement de la courbe n’a JAMAIS été scientifiquement démontré, et le narratif officiel s’attache à confondre coïncidence et causalité lorsqu’il prétend que les « lock-down » sont suivis d’une chute de l’incidence des cas. Le confinement aurait soi-disant servi à éviter la saturation d’un système hospitalier déjà sous tension depuis 20 ans et très sont souvent surchargées lors des pics épidémiques de grippes(27).
    Que l’on soit clair :
    Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté(28), sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.
    Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical, dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique, lorsque le risque de contagion est grand surtout, si l’on est une personne à risque, et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalables, y compris en extérieur et en dehors d’une période de pic épidémique par-dessus le marché. Ça, c’est de la grosse foutaise, pardon !
    Non, il est légitime de penser que le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés.

    10. Les autorités savent ce qu’elles font

    Il est dans certains esprits peu subversifs l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. Il n’y a rien de plus faux. Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général, fonctionnent par médiocratie et cooptation. C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus médiocres, mais obéissants et reconnaissants.
    Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à obtenir des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et n’ont que leur ambition carriériste comme objectif. Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme. Un sacré cocktail !
    C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, antidémocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

    Annes Bouria
    https://www.kairospresse.be/article/covid19-debunkage-du-narratif-de-propagande

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    1. Démystification.

    2. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

    3. https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/QTSKB

    4. https://statbel.fgov.be/fr/propos-de-statbel/que-faisons-nous/visualisations/mortalite

    5. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_Daily%20report_20210124%20-%20FR.pdf

    6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.

    7. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptom :~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.

    8. https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/uTSKB

    9. https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2774380

    10. https://lameuse.sudinfo.be/555970/article/2020-05-07/voici-les-vrais-chiffres-de-la-mortalite-du-coronavirus

    11. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_sous-haute-surveillance-pour-le-deconfinement-comment-calculer-et-influe

    12. https://www.sante-sur-le-net.com/r0-virus-le-plus-contagieux

    13. https://www.amjmed.com/article/S0002-9343(20)30673-2/fulltext

    14. https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/covid-19-depister-desinfo/2020/10/28/hydroxychloroquine-fini-probablement

    15. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=

    16. https://www.virologie-uclouvain.be/fr/chapitres/transmission-epidemiologie/comportement-du-virus-dans-la-population

    17. https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-variante-espagnole-virus-origine-deuxieme-v

    18. https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-mutations-un-mode-d-adaptation-normal-des-virus_140746

    19. https://www.nature.com/articles/s41467-020-19818-2

    20. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pa

    21. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html

    22. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-

    23. https://www.levif.be/actualite/sante/vaccins-covid-un-arsenal-elargi-mais-des-questions-en-suspens/article-news-1376777.html

    24. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/eci.13484

    25. https://www.worldometers.info/coronavirus

    26. https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

    27. https://www.legeneraliste.fr/actu-medicale/la-grippe-provoque-lengorgement-de-certains-hopitaux

    28. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-

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  • LE CRIME PARFAIT

    Un film d’Olivier Probst
    1984 au meilleur de l’immonde

    https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/2020/12/vaccination-covid-19-le-crime-parfait.html

    Ce documentaire haletant se regarde comme un film de science fiction dont on ressort rempli d’effroi, sauf qu’ici il ne s’agit pas de science fiction mais de la dure réalité qui risque fort, si nous n’y prenons garde d’URGENCE, de bouleverser nos vies à jamais, pour servir les intérêts d’une caste maléfique, pitoyable, impitoyable et mortifère que ce film dérangeant démasque sans concessions, témoignages et preuves à l’appui.
    Ce documentaire se divise en trois volets. Tout d’abord, il nous présente les faits dans toute leur cruauté qui sont en eux-mêmes indiscutables et glaçants. Et ces faits représentent un excellent résumé de toutes les mises en garde que les sites de réinformation ne cessent de mettre en lumière pour tenter, si possible, de rendre la vue aux aveugles.
    Le deuxième volet insiste sur un aspect méconnu et volontiers occulté dans les analyses du phénomène qui nous frappe et qui est pourtant essentiel à sa compréhension et devrait éveiller nos esprits pour mettre nos consciences en alerte maximale. Il analyse les ressorts occultes qui sous tendent un projet littéralement diabolique. Faute de connaissance, la plupart de nos contemporains négligent cet aspect pourtant essentiel à la compréhension des maux qui nous frappent. Ainsi par exemple, pour avoir négligé ceux-ci nous subissons aujourd’hui les affres de l’invasion de l’Islam, qui est pourtant la plus sanguinaire et bestiale « religion d’amour, de tolérance et de paix ». Mais nous perdons de vue que l’Islam n’est, hélas, pas le seul danger qui menace nos vies. Il y encore d’autres phénomènes occultes, tels, sans être exhaustif, la franc maçonnerie, l’eugénisme, le transhumanisme, l’écologisme et, osons le mot qui résume tous ces courants mortifères, le satanisme.
    Le troisième volet s’attache à tenter de nous livrer les clefs qui devraient nous aider à pousser un cri de légitime défense de toute la force de nos cœurs, de notre âme et même de notre instinct de survie : « Nous voulons vivre et nous voulons vivre libres ! »
    Ce film est le meilleur résumé des faits tragiques que nous a réservé l’année 2020, la vraie réalité qu’aucun média mainstream ne vous montrera jamais. Pour ressortir « vivant » de la vision de ce documentaire, il faut avoir un certain niveau de maturité et maîtrise de soi qui n’est pas donné à tout le monde, c’est pourquoi je conseille de le diffuser avec sagesse autour de nous pour éviter de rajouter de la peur sur des esprits terrorisés par le matraquage des croque morts de nos médias de propagande.

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    LE TEXTE DU FILM

    https://1984aumeilleurdelimmonde.blogspot.com/2020/12/vaccination-covid-19-le-crime-parfait.html

    http://resistance-verte.over-blog.com/2021/02/le-crime-parfait.html

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    VACCINATION COVID19, LE CRIME PARFAIT
    Vidéo 1 h 45 mn

    https://odysee.com/@FlowerPower:b/Vaccination-Covid19%2C-Le-Crime-Parfait-par-Olivier-Probst:2

    https://lbry.tv/@FlowerPower:b/Vaccination-Covid19,-Le-Crime-Parfait-par-Olivier-Probst:2

    https://gloria.tv/post/HXCVVmWeZYyA4FQgFR8DiEpPf

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    DOCUMENTAIRE COVID-19, LE CRIME PARFAIT
    Version longue 2 h 36 mn

    https://rumble.com/vd782h-le-documentaire-qui-va-faire-du-bruit-le-crime-parfait.html

    https://odysee.com/@Coronavirus-infos:e/lecrimeparfait:d

    https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v4/streams/free/Vaccination-Covid-19,-le-crime-parfait/9dbfb2bb6e4eb6bf36a706842658c861a124d8ab/023a23

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  • SPECTACLE DE LA CRISE ET CRISE DU SPECTACLE

    "Ce qui est nouveau, c’est que l’économie en soit venue à faire ouvertement la guerre aux humains ; non plus seulement aux possibilités de leur vie, mais à celles de leur survie."
    Guy Debord, Commentaires sur la société du Spectacle

    C’est le monde de la vie fausse et morose, le monde de la réification capitaliste accomplie, le monde de la valeur d’échange en guerre contre l’humanité, le monde de la survie augmentée, le monde de la consommation morbide de masse qui, en rendant les hommes si faibles et si vulnérables, en les rendant passifs et sédentaires, en les rendant si seuls, tue par l’intermédiaire d’un virus dont la seule spécificité est d’être inattendu. Ce qui tue, derrière les apparences spectaculaires de la « crise sanitaire », c’est l’obésité diabétique du sucre mortifère et ses ravages cardiaques et vasculaires ; c’est la destruction pulmonaire dont est responsable l’air vicié et pollué par le Capital, la chimie destructrice (...) ; c’est le délire hypocondriaque général au service de Big Pharma. Ce virus ne fait que le révéler.

    Le Coronavirus, derrière les apparences, révèle ainsi l’immense catastrophe pour les corps et les esprits que notre monstrueux monde capitaliste a historiquement produit. Il révèle la réalité du type d’être humain que ce monstre froid a anthropologiquement engendrée, et il élimine ces humains anonymement.

    Cercle Marx (extraits)
    https://cerclemarx.com/spectacle-de-la-crise-et-crise-du-spectacle
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  • IL EST TEMPS DE RETROUVER LA JOIE DE VIVRE
    Confrontés à l’impasse dans laquelle le gouvernement et ses experts médicaux nous ont conduits dans la gestion de la crise sanitaire, le Grappe attend du monde politique la remise en cause de la stratégie délétère et inefficace actuellement en vigueur et l’adoption d’un objectif de santé globale. Une société sans contact avec des citoyens assignés à résidence derrière des écrans est invivable et inhumaine.

    Le Grappe, association d’éducation permanente visant à promouvoir une politique véritablement écologique, lance un appel à une réaction rapide du monde politique et à un retour de la culture du débat et du respect des règles démocratiques.

    1. Le Grappe réclame une évaluation en urgence de la pertinence sanitaire des mesures liberticides en vigueur.

    Une vision de la santé, exclusivement centrée sur la lutte contre le coronavirus SARS-COV19, est réductrice, donc erronée. Il est temps de prendre en compte tous les aspects de la santé, qu’il s’agisse de santé mentale, émotionnelle, affective, sociale ou encore spirituelle.
    De nombreuses mesures liberticides actuelles peuvent être qualifiées comme infantilisantes, incohérentes ou incompréhensibles, sans que la moindre preuve de leur efficacité sanitaire soit apportée. Les citoyens ont le droit de disposer de ces preuves, si elles existent.
    De toute manière, conformément à son rôle éducatif et à sa conception démocratique du fonctionnement sociétal, le Grappe s’est attelé à une analyse critique des choix effectués depuis un an. Une évaluation des retombées sanitaires mais aussi écologiques, sociales et démocratiques de ces choix est en cours en coopération avec des spécialistes indépendants et d’autres associations de la société civile.

    2. Dans l’immédiat, le Grappe propose de programmer à bref délai la levée des mesures liberticides.

    L’octroi d’aumônes financières aux secteurs considérés comme les plus en souffrance est utile mais insuffisant. Il faut organiser la réouverture rapide des lieux de socialisation et la reprise des activités culturelles, sportives, politiques ainsi que celles de l’Horeca et des métiers dits de contact. Il y va du bien-être mental, psychologique et social et de l’équilibre de vie de chacun.

    3. Le Grappe considère par ailleurs qu’empêcher à tout prix la circulation du virus est un objectif chimérique.

    Il est légitime de penser qu’on peut limiter la propagation du virus ; il est irréaliste et contre-productif de tout miser sur cette stratégie et de conditionner la fin du processus à une vaccination généralisée de la population.
    Les raisons de remettre en cause cet objectif de vaccination généralisée sont multiples :
    – L’innocuité des vaccins mis sur le marché à ce jour est douteuse. En particulier les vaccins à ARN messager de Pfizer et de Moderna ont échappé à l’obligation légale d’évaluation de leur impact sur le génome humain et l’environnement par dérogation votée à la hussarde par le parlement européen et le Conseil le 15 juillet 2020 pour accélérer le processus d’autorisation.
    – Aucune preuve scientifiquement validée de l’efficacité des vaccins pour la non transmission du virus n’a été apportée ;
    – Les trois vaccins d’ores et déjà autorisés font l’objet de retards de livraison qui fragilisent plus encore la stratégie boiteuse des autorités européennes.

    La propagande actuellement déployée en faveur de la vaccination n’est pas compatible avec le principe du consentement éclairé des patients exigé par la loi belge et les conventions internationales.
    A ce propos, il faut signaler la piqûre de rappel injectée par l’Assemblée du Conseil de l’Europe le 27 janvier dernier : « l’Assemblée demande donc instamment aux membres et à l’Union européenne : (…) pour ce qui est d’assurer un niveau d’acceptation élevée des vaccins : (…) de s’assurer que les citoyens et citoyennes soient informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement. »
    En ce sens l’adoption d’un projet de loi concernant la création d’une base de données centralisée et le fait que ces données puissent être communiquées à des tiers n’a rien de rassurant. L’Autorité de protection des données elle-même, estime que cela constitue une ingérence considérable dans le droit à la protection des données personnelles.
    On sait qui fait partie de la population à risque depuis de nombreux mois. Se focaliser sur cette population et l’informer correctement pour éviter les situations à risque est l’approche qui s’impose. Permettre aux autres, et particulièrement à la jeunesse, de vivre de manière responsable une vie normale moyennant les mesures d’hygiène appropriées est un choix réaliste, intelligent et respectueux, au contraire de celui qui nous est imposé aujourd’hui de manière autoritaire et policière.

    4. Le Grappe déclare que la prévention et des soins ambulatoires appropriés sont les meilleures réponses à privilégier pour réduire les risques liés au Covid et éviter l’hospitalisation.

    Outre une bonne hygiène de vie et une alimentation saine à base de produits frais, la supplémentation en vitamine D et en zinc permet de renforcer le système immunitaire et d’éviter la maladie ou d’en réduire les effets négatifs.
    Des protocoles pour traitement ambulatoire reconnus comme efficaces et peu coûteux sont proposés par des associations de médecins et des personnalités indépendantes de l’industrie pharmaceutique.
    Le Grappe appelle les autorités de santé et tous les médecins généralistes à prendre connaissance de ces protocoles, publiés notamment par les associations AIMSIB et Reinfo covid* et à choisir en toute liberté la meilleure manière de soigner.

    Le Grappe appelle à refuser que se perpétue une dictature hygiéniste aussi inefficace que dommageable pour tous.

    Pierre Stein, président,
    Martine Dardenne, sénatrice honoraire et secrétaire,
    Paul Lannoye, député européen honoraire et membre du Bureau

    *https://reinfocovid.fr
    https://www.kairospresse.be/article/il-est-temps-de-retrouver-la-joie-de-vivre
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  • UNE DÉRIVE AUTORITAIRE DANS L’AIR DU TEMPS
    http://inventin.lautre.net/contributions.html#deriveyannis

    Tous les prétextes sont bons pour dominer, exploiter, culpabiliser et piétiner un peu plus la foule désorientée. Une foule inconsciente de sa capacité à renverser le cours des choses pour prendre sa vie en mains, perdue dans le repli sur soi. Le capitalisme ne nous protège pas du fascisme, et pour cause, le fascisme est la forme ultime du capitalisme. Le fascisme est partout dès lors que l’autorité se manifeste, menace et brutalise... Maud et Yannis Youlountas

  • UNE AUTRE ÉTUDE MONTRE QUE LES CONFINEMENTS NE FONCTIONNENT PAS

    Les pays qui ont mis en place des mesures de confinement sévères ne doivent pas s’attendre à avoir un nombre de décès par million lié au covid comparativement plus faible.

    En Italie et au Royaume-Uni, par exemple, où des mesures de confinement ont été imposées à plusieurs reprises, le nombre total de décès par million reste l’un des plus élevés au monde. Aux États-Unis, les États où les mesures de confinement sont les plus sévères, comme New York, le New Jersey et le Massachusetts, sont parmi les États où le nombre total de décès est le plus élevé.
    Les partisans de la quarantaine, bien sûr, sont susceptibles d’affirmer que si les chercheurs contrôlent une variété d’autres variables, alors nous sommes sûrs de voir que les quarantaines ont sauvé des millions de vies. Pourtant, les recherches continuent de nous montrer que ce n’est tout simplement pas le cas.

    La dernière étude qui montre la faiblesse de la position pro-confinementest parue ce mois-ci dans le European Journal of Clinical Investigation, sous la direction d’Eran Bendavid, Christopher Oh, Jay Bhattacharya et John P.A. Ioannidis. Intitulé “Assessing Mandatory Stay-at-Home and Business Closure Effects on the Spread of COVID-19”, les auteurs comparent les “interventions non médicamenteuses plus restrictives” (INMpr) et les “interventions non médicamenteuses moins restrictives” (INMmr). Les interventions les plus restrictives comprennent les ordonnances obligatoires de maintien à domicile et les fermetures forcées d’entreprises. Les mesures moins restrictives comprennent “des directives d’éloignement social, la dissuasion des voyages internationaux et nationaux, et l’interdiction des grands rassemblements”. Les chercheurs comparent les résultats au niveau infranational dans un certain nombre de pays, notamment l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Iran, l’Italie, les Pays-Bas, l’Espagne et les États-Unis. Ils les comparent ensuite à ceux de pays appliquant des mesures moins restrictives, principalement la Suède et la Corée du Sud, où les ordonnances de maintien à domicile et les fermetures d’entreprises n’ont pas été largement appliquées.

    La conclusion : "Nous ne constatons aucun effet bénéfique clair et significatif des INMpr sur la croissance des affaires dans aucun pays… Dans aucun des 8 pays et dans aucune des 16 comparaisons (avec la Suède ou la Corée du Sud), les effets des INMpr n’ont été significativement négatifs (bénéfiques). Les estimations ponctuelles étaient positives (pointant dans la direction des INMpr entraînant une augmentation de la croissance quotidienne des cas)". En d’autres termes, les mesures de confinement plus restrictives ont fait apparaître des résultats moins bons.

    Ces données suggèrent que les fondements théoriques de la philosophie du confinement sont erronés. Comme le résument Bendavid et al, "Le modèle conceptuel qui sous-tend cette approche est que, avant une immunité significative de la population, le comportement individuel est le principal facteur de réduction du taux de transmission, et que toutes interventions non médicamenteuses (INM) peut donner un coup de pouce au changement de comportement individuel, avec des taux de réponse qui varient d’un individu à l’autre et dans le temps. Les INMmr pourraient avoir des effets anti-contagion importants si la réponse comportementale individuelle est importante, auquel cas des INM supplémentaires plus restrictives pourraient ne pas apporter beaucoup de bénéfices supplémentaires. D’autre part, si les INM n’apportent qu’un soutien relativement faible au comportement individuel, les INMpr peuvent entraîner des effets comportementaux importants à la marge et une forte réduction de la croissance des nouveaux cas."

    Traduction : des mesures modérées encourageant la prudence en matière d’exposition à d’autres personnes réduisent probablement la propagation. Par conséquent, des mesures plus strictes permettront certainement de limiter encore mieux la propagation !
    Mais cela ne semble pas être le cas. Les auteurs suggèrent plutôt que les zones où la mortalité du covid est plus faible sont des zones où le public a recherché des fruits à portée de main pour ralentir la propagation. Il s’agissait notamment d’annuler les grands événements à forte affluence et de limiter les déplacements. Des exigences plus strictes en plus de cela ne semblent pas produire d’effet bénéfique et, si tant est qu’il y en ait, ont l’effet inverse de celui escompté.

    Cette étude, bien sûr, est la dernière d’une longue série d’études similaires qui remettent en question l’hypothèse – qui n’est qu’une hypothèse – selon laquelle les mesures d’immobilisation sévères réduisent la mortalité.
    Par exemple, en mai dernier, des chercheurs de The Lancet ont conclu que les “mesures de confinement strictes” ne “protègent pas les personnes âgées et fragiles” et ne réduisent pas la mortalité due au covid-19. Plus tard, en juillet, une étude de The Lancet déclarait “Les auteurs ont identifié une association négative entre le nombre de jours avant tout confinement et le nombre total de cas déclarés par million, où une période plus longue avant la mise en œuvre de tout confinement était associée à un nombre inférieur de cas détectés par million”. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31035-7/fulltext#
    Dans une étude du 1er août, également publiée par The Lancet, les auteurs ont conclu que “les fermetures rapides des frontières, les confinements complets et les tests à grande échelle n’étaient pas associés à la mortalité du COVID-19 par million de personnes”.

    Une étude de juin publiée dans Advance par Stefan Homburg et Christof Kuhbandner a révélé que les données “suggèrent fortement” que "le confinement britannique était à la fois superflu (il n’a pas empêché un comportement par ailleurs explosif de la propagation du coronavirus) et inefficace (il n’a pas ralenti visiblement le taux de croissance des décès)."
    https://advance.sagepub.com/articles/Comment_on_Flaxman_et_al_2020_The_illusory_effects_of_non-pharmaceutical_interventions_on_COVID-19_in_Europe/12479987/1

    En fait, la tendance générale des infections et des décès semble être remarquablement similaire dans de nombreuses juridictions, quelles que soient les interventions non médicamenteuses (INM) mises en œuvre par les décideurs politiques.
    Dans un article publié avec le National Bureau of Economic Research (NBER), les auteurs Andrew Atkeson, Karen Kopecky et Tao Zha ont constaté que les décès liés à la covide-19 suivaient un schéma similaire “pratiquement partout dans le monde” et que “le fait de ne pas tenir compte de ce schéma familier risque de surestimer l’importance des INM mandatées par les politiques pour façonner la progression de cette pandémie mortelle”.
    Refusant de se laisser décourager par ces lacunes dans le récit officiel, les partisans du confinement insistent souvent sur le fait que les confinements doivent être tolérés parce qu’”il vaut mieux prévenir que guérir”. Mais cette notion est également très discutable.

    Le confinement et les autres formes d’isolement obligatoire entraînent une foule de problèmes de santé qui leur sont propres. Comme le notent Bendavid et al., les INM restrictives :
    Incluant la faim, les overdoses d’opioïdes, les vaccinations non effectuées, l’augmentation des maladies non-liées au Covid dues à des services de santé manqués, la violence domestique, la santé mentale et le suicide, ainsi qu’une série de conséquences économiques ayant des implications sur la santé – il est de plus en plus reconnu que leurs avantages supposés méritent d’être étudiés avec attention.
    Il n’est peut-être pas surprenant que les données sur la surmortalité pendant la pandémie de covid-19 suggèrent que seuls deux tiers de la surmortalité peuvent être médicalement liés au covid-19.

    Comme l’explique une étude du JAMA : “Certaines personnes qui n’ont jamais eu le virus peuvent être mortes à cause des perturbations causées par la pandémie”, déclare le Dr Steven H. Woolf, directeur émérite du Center on Society and Health de l’université de Virginie et premier auteur de l’étude. “Il s’agit notamment de personnes souffrant d’urgences aiguës, de maladies chroniques comme le diabète qui n’ont pas été correctement prises en charge, ou de crises émotionnelles qui ont conduit à des overdoses ou à des suicides”.

    AUGMENTATION DES DÉCÈS DUS À LA DÉMENCE

    Et ces effets peuvent également être ressentis à long terme. Les crises économiques, comme celle-ci, qui ont été aggravées par les fermetures obligatoires et les ordres de se confiner à domicile, entraînent d’innombrables “années de vie perdues” en raison de l’augmentation du nombre de suicides, de maladies cardiaques et d’overdoses de médicaments.
    De plus, étant donné la nature des fermetures et les personnes touchées, cela a affecté de manière disproportionnée les femmes et surtout les femmes hispaniques, qui sont fortement représentées dans la main-d’œuvre des entreprises de services qui ont été fermées par le gouvernement.

    L’effet cumulatif peut être assez important. Dans une nouvelle étude de Francesco Bianchi, Giada Bianchi et Dongho Song du Bureau national de la recherche économique, les auteurs concluent que les retombées économiques – en termes de chômage et de ses effets – entraîneront près de neuf cent mille décès au cours des quinze prochaines années.
    Bien sûr, toutes les douleurs économiques qui ont coïncidé avec la panique du covid-19 en 2020 ne peuvent pas être imputées à des fermetures forcées. De nombreuses personnes auraient probablement réduit volontairement les contacts avec les autres par crainte de la maladie. Cela aurait en effet provoqué des distorsions économiques et un chômage plus important dans certains secteurs.

    Mais, comme l’admettent Bianchi, Bianchi et Song, les confinements ont “contribué à réduire davantage l’activité économique” au-delà des réactions volontaires normales au covid-19. En combinant ces faits avec ce que nous savons de la nouvelle étude de Bendavid et al., à savoir que les mesures volontaires ont permis d’atténuer la majeure partie des effets, on peut en déduire que la “nouvelle réduction” de l’activité économique n’a produit aucun avantage supplémentaire pour la santé. Autrement dit, la part de destruction économique causée par les arrêts forcés a été infligée au public pour rien.

    Avant 2020, bien sûr, c’était de notoriété publique. Dans un article publié en 2006 dans Biosecurity and Bioterrorism et intitulé “Disease Mitigation Measures in the Control of Pandemic Influenza” http://www.liebertpub.com/publication.aspx?pub_id=111 (Mesures d’atténuation des maladies dans le cadre de la lutte contre un virus pandémique) par Thomas V. Inglesby, Jennifer B. Nuzzo, Tara O’Toole et D.A. Henderson, les auteurs concluent :
    Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes (confinement forcé des personnes malades avec le puits ; restriction complète des mouvements de larges populations ; difficulté à faire parvenir les fournitures, les médicaments et les aliments essentiels aux personnes se trouvant dans la zone de quarantaine) que cette mesure d’atténuation devrait être éliminée de toute considération sérieuse.

    Pourtant, les bureaucrates de la “santé publique” ont soudainement décidé en 2020 de jeter par la fenêtre des décennies de recherche et d’imposer des mesures de confinement à des centaines de millions d’êtres humains.

    CONFINEMENTS OBLIGATOIRES VS DISTANCIATION SOCIALE VOLONTAIRE

    Il convient de noter qu’aucun des chercheurs qui remettent en question le récit du confinement n’exprime de problème quant aux mesures volontaires visant à réduire l’exposition à la maladie. Peu sont même susceptibles de s’opposer à des mesures comme l’évitement des rassemblements massifs à l’intérieur.

    Mais ce genre de mesures est fondamentalement différent des fermetures d’entreprises et des ordres de refuge à domicile. Le problème des confinements obligatoires – par opposition aux mesures volontaires de distanciation sociale – est mis en évidence par le fait qu’elles privent sans discernement les populations vulnérables des services et de l’assistance dont elles ont besoin. Et par “populations vulnérables”, j’entends toute personne qui est vulnérable à une maladie quelconque mettant sa vie en danger. Bien que nous soyons conditionnés à croire que les décès dus aux maladies cardiovasculaires sont les seuls décès qui méritent d’être remarqués, le fait est que le monde comprend des personnes vulnérables au suicide, aux overdoses de médicaments et à la ruine économique – qui s’accompagne d’innombrables effets secondaires sous forme de problèmes de santé. En refusant à ces personnes la liberté de chercher un revenu et d’obtenir le soutien social et médical dont elles ont besoin, nous disons essentiellement que ces personnes sont remplaçables et qu’il vaut mieux faire pencher la balance en faveur des patients infectés par le covid.

    Mais comme le suggèrent les preuves de plus en plus nombreuses dont nous avons parlé plus haut, les mesures de confinement ne produisent même pas les effets souhaités. Ainsi, les personnes vulnérables souffrant de dépression, de cancer non traité et d’autres maladies mortelles ont été forcées de souffrir tout simplement sans aide, sans raison valable. Cela a été fait pour s’adapter à un discours politique, mais il était basé sur un lot de mauvaises hypothèses, une science à moitié cuite et l’arrogance des politiciens.

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    https://www.nber.org/system/files/working_papers/w28304/w28304.pdf
    https://www.nber.org/papers/w27719.pdf
    https://www.aubedigitale.com/une-autre-etude-montre-une-fois-de-plus-que-les-confinements-ne-foncti
    https://mises.org/wire/yet-another-study-shows-yet-again-lockdowns-dont-work
    https://www.medicalnewstoday.com/articles/1-in-3-excess-deaths-in-the-us-not-directly-caused-by-covid-19

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  • VACCIN, IL EST PLUS EFFICACE D’ATTRAPER LE VIRUS ET DE SE RÉTABLIR

    Merck abandonne ses vaccins contre le COVID et affirme qu’il est plus efficace d’attraper le virus et de se rétablir

    Le fabricant de vaccins Merck a abandonné le développement de deux vaccins contre le coronavirus, affirmant qu’après des recherches approfondies, il a été conclu que les vaccins offraient une protection moindre que le simple fait de contracter le virus lui-même et de développer des anticorps.

    La société a annoncé que les vaccins V590 et V591 étaient “bien tolérés” par les patients testés, mais qu’ils généraient une réponse du système immunitaire “inférieure” par rapport à une infection naturelle.
    https://www.merck.com/news/merck-discontinues-development-of-sars-cov-2-covid-19-vaccine-candidates-cont

    Des scientifiques allemands ont affirmé que le vaccin britannique Oxford/AstraZeneca est efficace à moins de 8 % chez les plus de 65 ans.
    https://www.politico.com

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  • SYNERGIE DE MALADIES PLUTÔT QUE PANDÉMIE

    "Le Covid-19 n’est pas une pandémie, mais une syndémie, c’est-à-dire la rencontre entre une maladie virale provoquée par le Sars-Cov2 et un ensemble de pathologies chroniques, telles que l’hypertension, l’obésité, le diabète, les troubles cardio-vasculaires, le cancer… L’interaction du Covid-19 avec la hausse mondiale continue ces trente dernières années des maladies chroniques et de leurs facteurs de risques, dont l’obésité, l’hyperglycémie et la pollution atmosphérique, a créé les conditions d’une tempête, alimentant le nombre de morts du Covid-19.
    Quelle que soit l’efficacité d’un traitement ou la protection d’un vaccin, la recherche d’une solution purement biomédicale à la Cmovid-19 échouera."

    Richard Horton, rédacteur en chef de la revue Lancet.

    Le terme de syndémie a été créé par l’anthropologue médical américain Merrill Singer dans les années 1990 pour expliquer une situation où « deux ou plusieurs maladies interagissent de manière à causer plus de dommages que la simple somme de ces deux maladies ».

    Il s’agit d’une synergie de plusieurs maladies ou problèmes concentrés de manière anormalement élevée, des troubles concomitants dans des interactions complexes. Les différentes pathologies ne sont pas simplement présentes ensemble, elles se renforcent mutuellement pour créer un fardeau excédentaire à leur simple addition. Une approche classique nous aurait fait envisager chacune d’entre elles comme autant de problèmes indépendants, étudiés et traités séparément. L’approche syndémique propose au contraire de les considérer ensemble, d’étudier leurs interactions et de les relier au contexte social plus large afin de chercher à les traiter plus globalement, sans disséquer ni isoler.

    C’est une compréhension globale de la combinaison de l’attaque virale avec différents maux dont souffrent depuis longtemps, et de plus en plus, des populations soumises aux pressions médiatiques, à la peur des autres, à des niveaux de stress, de pollutions mentales et chimiques, de mal-bouffe et finalement de mal-vivre insupportables.

    Nos corps et nos mentals sont affaiblis par nos modes de vie dissociés, machinisés, productiviste, de plus en plus stressants. Bien plus que des politiques sanitaires morbides et liberticides, nous avons besoin de dénouer nos blocages confinés, de développer des situations de santé pour chacun, de cultiver le goût du plaisir partagé et de libérer la vie, sans contrainte et sans entrave. 

    Toujours ingouvernable

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    https://www.franceculture.fr/emissions/la-suite-dans-les-idees/la-suite-dans-les-idees-emission-du-samedi-09-janvier-2021

    https://www.philomag.com/articles/syndemie-deja-malades-avant-de-tomber-malades

    https://www.maisonmedicale.org/La-syndemie-un-concept-neuf.html

    https://www.bbc.com/afrique/monde-54540803

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  • LES MESURES SANITAIRES
    NE SERVENT À RIEN

    Restaurants ouverts, pas de masque obligatoire,
pas de confinement... que se passe-t-il réellement en Suède ?
    Reportage du 16 janvier 2021 (https://www.nexus.fr)
    Nous avons contacté l’un de nos journalistes, Olivier Kauffer, vivant à Stockholm depuis plusieurs mois. Dans cette vidéo, il nous montre images à l’appui comment vivent les Suédois et quelle est la véritable situation sanitaire dans le pays. Les masques ne sont pas obligatoires et les restaurants sont toujours ouverts.
    Contrairement à la désinformation des médias français qui circule depuis plusieurs semaines, la situation sanitaire n’est pas catastrophique. La Suède n’a pas confiné le pays, et n’est pas en passe de le faire. Les restaurants sont ouverts et la majorité des Suédois ne porte pas le masque qui n’est pas obligatoire dans les lieux publics.
    Pour rappel, le jour de ce reportage, la situation sanitaire en Suède et en France était quasiment similaire en termes de mortalité et de proportion de morts sur la population générale (légèrement plus importante pour la France), alors que la France a drastiquement confiné le territoire, imposé le masque obligatoire et fermé les restaurants.
    Voici les chiffres officiels au 22 janvier 2021
    • Suède, nombre de morts du Covid-19 :
10 921, pour 10 230 000 d’habitants soit une mortalité de 0,106 %.
    • France, nombre de morts du Covid-19 :
71 998 pour 66 990 000 d’habitants soit une mortalité de 0,107 %.
    https://youtu.be/-xGLvXTstlI


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    On ne combat pas un virus qui fait partie de nous sans se détruire. On soigne les malades et on laisse l’immunité générale se développer, sinon on part perdant en aggravant la situation, prolongeant et développant l’épidémie.
    Les mesures sanitaires de distanciation liberticide sont dangereuses pour la population.
    ingouvernable

    Publié le 24 janvier 2021 par Résistance verte

  • BIG PHARMA AU PARLEMENT EUROPÉEN

    Interview par Kairos de l’eurodéputée Michèle Rivasi.

    Nous devions rencontrer la députée européenne Michèle Rivasi cette semaine à Paris, pour une interview exclusive. Changement de dernière minute : Curevac, multinationale biopharmaceutique allemande, a accepté de rendre public le contrat qu’elle a passé avec la Commission européenne, Michèle Rivasi doit venir d’urgence à Bruxelles pour lire ce contrat. Nous la rencontrons le 19 janvier, juste après la découverte de ce dernier, dans des circonstances pour le moins particulières.

    45 minutes, dans une pièce fermée, avec interdiction de faire des copies ou prendre des photos, pour consulter un contrat de 67 pages.
    Nombreux passages sont noircis, notamment le prix des vaccins, les lieux de production, mais aussi deux pages entières qui portent sur la responsabilité juridique de la multinationale. Lorsque Madame Rivasi demandera à la Commission qui est responsable en cas d’effets secondaires dus au vaccin, il n’y aura pas de réponse...

    Ce qu’il se passe dans les arcanes des institutions européennes concernant les contrats entre les entreprises pharmaceutiques (Pfizer, Astrazeneca, BioNTech, Moderna, Curevac…), dépasse le cadre spécifique des négociations et illustre parfaitement la mainmise de sociétés privées sur l’Europe, donc sur tous ses États membres. Donc sur nos vies.

    KAIROS, journal antiproductiviste pour une société décente
    https://youtu.be/P_rwtxzC13s

  • LE COMMENCEMENT DE LA FIN DES BABY BOOMEURS

    Le baby-boom, ou « pic de natalité », est une période de remontée exceptionnelle de la fécondité juste après la dernière guerre mondiale. Cela a causé le phénomène du baby-boom de 1945 à 1965. Durant ces années le taux de natalité était très élevé, une augmentation de près de 40 % entre 1940 et 1946.

    Le baby-boom a pour conséquence aujourd’hui d’entraîner une élévation de la part des personnes âgées dans la population. Après la Libération c’est 10 millions de naissances en 10 ans, un record dans l’histoire de notre démographie. Cette génération de baby boomeurs qui a grandi dans la France des Trente Glorieuses était la jeunesse de 1968.

    Une classe d’âge qui a vieilli sans se voir vieillir a été contemporaine de l’extraordinaire allongement de la durée de vie. L’espérance de vie se situe entre 79 et 85 ans en France (2019).

    L’âge moyen des victimes du Covid est de 81 ans. (Santé publique France). C’est le même âge que la moyenne de l’espérance de vie. Selon les statistiques le covid ne raccourcit pas la durée de vie des malades. La mortalité s’est déplacée, on meure moins des autres maladies et plus du covid, sauf pour les suicides.

    L’excès de mortalité n’est pas due à l’épidémie mais à l’augmentation du nombre d’individus de la population vieillissante. Cela fait dix ans que le nombre des plus de 60 ans augmentent. La classe des baby boomeurs qui arrivent à 74 ans, va augmenter considérablement le nombre de morts chaque année, et ceci pendant plus de dix ans. Même sans épidémie le taux de mortalité va grimper bien plus que les 9 % de l’INSEE pour 2020, mais jusqu’à plus de 20 %, conséquence de la génération baby boomeurs arrivant en fin de vie.

    L’angle mort du contexte n’est jamais vu par les propagandistes bornés d’un pouvoir corrompu. Le gouvernement gères servilement les intérêts des labos, des affairistes mafieux et des spéculateurs de la haute finance.

    685 000 décès du cancer et 71 342 du covid en 2020. Près de dix fois plus de morts du cancer que du covid et le gouvernement autorise les pollutions chimiques et protège la commercialisation de tous les produits cancérigènes...

    Toujours ingouvernable

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https://www.insee.fr/fr/statistiques/1906667?sommaire=1906743#tableau-T16F035G3
    https://www.euromomo.eu

    http://resistance-verte.over-blog.com/2021/01/le-commencement-de-la-fin-des-baby-boomeurs.html

  • VIRUS ÉPIDÉMIE TESTS VACCINS
    Alexandra Henrion-Caude
    Directrice de recherche à l’Inserm à l’Hôpital Necker, généticienne spécialiste de l’ARN

    Le mot confinement n’est pas exact, nous avons été assigné à résidence.
    « Mal nommer les choses c’est ajouter du malheur au monde ». Albert Camus
    Le virus devait circuler. Une fois qu’il a bien circulé la population n’est plus à risque.
    Le virus n’a toujours pas été isolé.
    Chacun pense qu’il est contaminant, et l’autre aussi...
    Les asymptomatiques ne sont pas porteur du virus.
    Les tests PCR ne permettent pas le diagnostique.
    Quand on vaccine contre le coronavirus ont a le risque d’empirer la maladie.
    C’est un vaccin génique expérimental. Nous ne connaissons pas les effets à court, moyen et long terme d’une expérimentation la plus totale.
    Il y a une parole scientifique qui se fait censurer.
    On vous colle une étiquette pour vous neutraliser.
    Après la vaccination vous projetez six fois plus de particules virales dans votre respiration.
    La vaccination risque de provoquer l’émergence de nouveaux variants. (académie de médecine)
    Des solutions et des traitements sont là.
    https://vimeo.com/500933141

  • ÉPIDÉMIE TERMINÉE !

    L’épidémie est terminée en France, mais les médias disent le contraire et la propagande terrorisante est plus active que jamais.
     
    L’imagination au pouvoir : pendant la vague de mars, c’était le décompte journalier morbide des morts, puis en octobre des « cas » ( sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs ) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme de fait le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo peste qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.
     
    LE SCÉNARIO ACTUEL

    Depuis plusieurs semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel[1]. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positif dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité [3] [4] [5] et les inconvénients[6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées.

    Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.
     
    LE RÉSEAU SENTINELLE

    Le réseau Sentinelle est un réseau de recherche et de veille sanitaire en soins de premiers recours en France métropolitaine. Créé en novembre 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la santé, de la recherche médicale et de Sorbonne Université. Il fédère plus de de 1400 médecins de ville, généralistes et pédiatres. C’est lui qui permet de suivre chaque année les épidémies de bronchiolite, grippe, gastro entérite, rougeole et rhume et leurs virulences. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières et dépend du ministre qui veille à ce que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

    Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes n’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

    Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles, et dont chacun mesure chaque jour la nocivité tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les salariés précaires, les pauvres, les cafés -restaurants, le monde de la culture et du sport, les petits commerçants.

    Les jeunes adultes sont les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches, sans que ces mesures ne permettent de sauver nos vieillards poussés également au syndrome de glissement par abandon de la vie qui mérite d’être vécue (entourée des siens, des amis etc..) aidés de plus vers la mort par le Rivotril des décrets de mars et octobre, à injecter en cas de problème respiratoire et de « suspicion » de covid.

    Les traitements précoces qui résoudraient facilement la grande majorité de ces épisodes infectieux sont toujours interdits contre toute logique sanitaire, qui manifestement n’est pas l’objectif. Les médias continuent à ancrer dans les cerveaux des téléspectateurs qu’il n’existe par de traitement, mensonge énorme répété par les ministres et l’argument d’autorité est tragique. Pourtant la mortalité très basse des pays qui utilisent le traitement Raoult, l’ivermectine ou l’artémisine depuis de début de l’épidémie sont des preuves scientifiques bien établies que nos gouvernants ne veulent pas reconnaitre. Le but est évidement de prolonger la crise et la ruine de la classe moyenne et de nous faire consommer du remdesivir, puis les vaccins géniques non testés sur plus de deux mois, et leurs risques majeurs.

    L’ÉPIDÉMIE EST VRAIMENT TERMINÉE

    Réseau sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

    Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une Infection Virale Aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.
    En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés) En semaine 53 : aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID- 19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation 23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

    Cette absence confirmée de malade de Covid19 en consultation de ville dure depuis la semaine 47. Ces données permettent d’estimer qu’en fin d’année 2020, le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale était inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants[7], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

    La quasi-disparition des malades Covid19 est aussi observée par SOS médecins et aux urgences des hôpitaux. Cette quasi-absence de malades Covid19 vus en médecine générale et en pédiatrie, par SOS médecins et aux urgences hospitalières dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement réalisés en dépistage sur des asymptomatiques, qui ne sont ni malades, ni porteurs de virus entiers, ni contagieux. Si l’épidémie était encore active, les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades covid19 ; or ils n’en voient plus.
     
    Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

    On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence indéfiniment pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

    La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021 précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson, dont toutes les prédictions se sont révélées fausses [8] ,[9] mais que le gouvernement suit à la lettre.
    Les prophéties sont là pour conditionner la population naive et non pour aider à la sécurité sanitaire. Le déroulement de la gestion de l’épidémie le démontre jour après jour.

    SORTIR DE L’EMPRISE DU GOUVERNEMENT SUR LA POPULATION

    Que peuvent faire les innombrables victimes de ces mesures aberrantes ?

    Cesser d’avoir peur d’un virus qui rend actuellement beaucoup moins de gens malades que les rhumes saisonniers.

    Cesser d’être dupe de la propagande des médias et des promesses gouvernementales : indemnisations et réouvertures prochaines toujours prévues dans 15 jours et toujours reportées à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier (alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant). Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

    Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR quand on est en bonne santé ne sert à rien, ni pour celui qui les subit[10] , ni pour ses proches[11] mais contribue uniquement à alimenter la propagande gouvernementale pour prolonger l’état d’urgence et les fermetures.

    STOP TESTS !

    Rappeler à tous les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid19.

    STOP POLITIQUE MORTIFÈRE !

    Informer ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous, leur rappelant que la prolongation des restrictions tue l’économie, obère l’avenir des jeunes[12] et menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français, sans protéger réellement qui que ce soit.

    Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis. Que les responsables paient !

    Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions, liberté de prier, d’aller au restaurant, au théâtre ou au musée, à la faculté, dans les bars ou en discothèque etc. Sans masque, qui n’est que témoin de la soumission que nous impose les dirigeants soumis à l’OMS, sauf en quelques pays plus respectueux de leurs peuples comme la Finlande, l’Islande, la Suède[13], la Norvège[14], la Biélorussie.

    LIBERTÉ !

    Gérard Delépine, le 13 janvier 2021
    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/reseau-sentinelle-sos-medecins-urgences-ne-voient-plus-de-covid19-stop-co

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    [1] Aucun essai randomisé, ni aucune étude historique n’accrédite l’efficacité du couvre-feu contre une épidémie qui brime surtout les jeunes alors que les seuls qu’il faut protéger sont les séniors déjà malades.

    [2] Coronavirus : pourquoi le variant sud-africain inquiète les scientifiques ? les chercheurs n’ont pas constaté une hausse de la mortalité directement liée à ce variant.

    [3] OMS Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs ivd 15 12 2020 https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users

    [4] Cour d’appel de Lisbonne du 26-08-2020 : Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2,

    [5] Recommandation du l’agence sanitaire galloise du 20 juillet 2020 : The performance of the existing RT-PCR is isunsuited to the non-targeted screening of asymptomatic individuals, les tests PCR ne sont pas adaptés au dépistage global, non ciblé d’individus asymptomatiques https://gov.wales/technical-advisory-cell-principles-using-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2

    [6]E Surkova, V Nikolayevskyy, F Drobniewsk False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020 https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext

    [7] Pour la grippe saisonnière on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000

    [8] N Delépine LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT Economie matin28 4 2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-d

    [9] N Delépine Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie France Soir 11 1 2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie

    [10] Puisque les cas positifs ne sont pas traités

    [11]L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts

    [12] D’après l’OMS : les jeunes sont touchés de façon disproportionnée par les conséquences à long terme des mesures sanitaires : l’interruption de la scolarité, l’incertitude économique, la perte ou le manque de possibilités d’emploi, les effets sur la santé physique et mentale et les traumatismes causés par la violence domestique. Par exemple, des troubles anxieux provoqués par la COVID-19 ont été détectés chez près de 90 % des jeunes, plus d’un milliard d’élèves dans presque tous les pays ont été touchés par la fermeture des écoles et un jeune sur six dans le monde a perdu son emploi pendant la pandémie.

    [13] Qui vient seulement de recommander le masque dans les transports publics

    [14] Qui n’impose le masque que dans les transports publics bondés

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  • COORDINATION POUR UNE SANTÉ LIBRE

    Conférence de coordination des collectifs
de médecins indépendants
pour une autre gestion sanitaire

    Le samedi 9 janvier 2021, dans un lieu tenu secret, la première conférence des médecins français libres intitulée : « Coordination pour une santé libre de médecins et des collectifs médicaux soignants et scientifique ». Les intervenants ont annoncé constituer un nouveau conseil scientifique citoyen pour réinformer les Français avec toutes les données médicales et scientifiques disponibles.

    30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens au sein de la Coordination pour une santé libre de médecins et des collectifs médicaux soignants et scientifique. (12 janvier 2021)

    Étaient présents : le Dr Violaine Guérin, endocrinologue et membre du collectif Laissons les médecins prescrire ; Dr Érice Ménat, médecin généraliste et membre du collectif Laissons les médecins prescrire ; Martine Wonner, Députée du Bas-Rhin ex-Lrem, membre du groupe parlementaire Libertés et territoires, psychiatre ; Alain Houpert, sénateur LR de la Côte-d’Or & radiologue ; Dr Guillaume Gérard, immuno-rhumatologue ; Claude Escarguel, microbiologiste ; Claire Delval, médecin généraliste.

    https://reinfocovid.fr
    https://stopcovid19.today
    
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    https://youtu.be/ulJ-SZD2beo


    https://youtu.be/giHQMAuWe2c

    SIGNEZ LE MANIFESTE

    https://manifestes-libertes.org

  • UNE DÉRIVE AUTORITAIRE DANS L’AIR DU TEMPS

    Comme on l’a vu ces derniers mois, en Grèce comme en France, tous les prétextes sont bons pour dominer, exploiter, culpabiliser et piétiner un peu plus la foule désorientée. Une foule inconsciente de sa capacité à renverser le cours des choses pour prendre sa vie en mains, perdue dans le repli sur soi, le crétinisme et la recherche de boucs-émissaires encore plus pauvres.
 

    Le capitalisme ne nous protège pas du fascisme, et pour cause : le fascisme est la forme ultime du capitalisme. Il est déjà présent en germe dans tous les replis de notre société basée sur la domination et l’exploitation, en dépit de ses déclarations d’intention et de ses belles devises. Le fascisme est partout dès lors que l’autorité se manifeste, menace et brutalise : dans le couple, dans l’éducation, dans notre rapport à la vie et à la Terre sous toutes les formes, dans la guerre économique ou militaire, dans la misère invisibilisée comme dans le luxe pétaradant, dans la hiérarchie de la production et dans celle de l’administration… partout ! Ce n’est qu’une question de degré, d’opportunité, de circonstance. Une différence qui va jusqu’à montrer du doigt avant de tuer, au lieu de le faire silencieusement dans l’hypocrisie et les faux habits de la démocratie.
 

    Combattre le fascisme sans remettre en question la société autoritaire qui légitime les rapports de domination et le capitalisme qui organise l’exploitation, c’est jeter des pierres dans l’eau : on peut se satisfaire d’un peu de bruit et de quelques vaguelettes un bref instant, mais le fond reste le même. Car le fond du problème, en réalité, c’est tout le système qui l’engendre. La Justice bourgeoise ne suffira pas à nous débarrasser du fascisme, ni en Grèce ni en France. La preuve : il est toujours là, et plus puissant encore, comme un hydre aux multiples têtes qui repoussent sans cesse.
 

    Il n’est pas étonnant qu’en cette période de crise, des libéraux et des membres de l’extrême-droite se rapprochent et s’unissent : le fascisme gagne toujours de l’avancement en temps de crise. Quand le pouvoir se raidit, se durcit, se cramponne à ses privilèges. Car le fascisme est le joker du capitalisme. Il est son vrai visage, dans le trouble et l’agitation, quand le masque démocratique tombe.

    Maud et Yannis Youlountas, janvier 2021 (extrait)

    http://blogyy.net/2021/01/11/extreme-droitisation-du-gouvernement-et-autres-nouvelles
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  • LE VIRUS FAIT CORPS EN NOUS-MÊME

    Le virus n’est pas un ennemie envahisseur à combattre et à vaincre, car c’est perdu d’avance. Des virus il y en a partout, on en a des millions dans le corps, ils sont en nous-même et on apprend toujours à vivre avec. Vouloir les combattre c’est se détruire.


    Le danger de l’épidémie n’est pas la contagion mais la peur et la psychose mortifère que les médias et les politicards génèrent. Ce n’est pas un problème de vaccins, de prolifération, de gouttelettes, de protection, de distanciation, de confinement, de restriction des libertés, de maintien de l’ordre et de répression, mais bien une question de vitalité, d’environnement propice, de prévention, de médicaments et de soins, de qualité des soins dans de bonnes conditions...


    Il s’agit maintenant de libérer la médecine de la corruption qui la gangrène, de libérer la recherche scientifique de l’emprise de la finance et de la main mise des trusts pharmaceutiques, d’émanciper la population de la dictature de l’État et de la marchandise par sa libération.


    Toujours ingouvernable


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    _#Coronavirus #Covid19 #Vaccins #Soins #Tests #PCR #OGM #Épidémie #Pandémie #Virus #Masques #Distanciation_

  • QUESTIONS INÉVITABLES

    Il est intéressant d’entendre les gens parler de la situation actuelle, donnant leurs avis sur les chiffres, l’évolution et les prédictions futures, les mesures du gouvernement, le vaccin, les masques… De ces avis se dessinent des « camps », avec des « pro » et des « anti ». Des divisions apparaissent donc, même chez ceux qui peu de temps avant se réunissaient pourtant autour d’une interprétation commune du monde et de la volonté de le changer(1). 

    Sachant toutefois qu’une majorité de la population reçoit principalement ses informations des officines gouvernementales que sont les médias de masse, les divergences ne sont le plus souvent que des réactions variant uniquement au gré de traits de personnalité propres à chacun(2) : l’un ou l’autre recevra la même information du journal télévisé, laquelle passera par un filtre personnel et donnera naissance à une opinion. 

    Le ministère de l’Information occulte, censure, ment, divertit, focalise, donne des infos contradictoires… Impossible dans ce contexte que l’opinion soit libre. Comme le disait Hannah Arendt : « La liberté d’opinion est une farce si l’information sur les faits n’est pas garantie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l’objet du débat » (La Crise de la culture, 1961). Nous pourrions toutefois tenter de réconcilier ceux qui ont encore la capacité d’accepter que la vérité se construit et ne se reçoit pas telle quelle, en posant certaines questions qui ne divisent pas et devraient les mettre d’accord, lever des doutes et montrer qu’il manque indubitablement au sujet quelque chose pour pouvoir penser et se construire des opinions librement(3). En somme, ces questions ne devraient pas mener à la conclusion qu’elles ne méritaient pas d’être posées : 

    – Pourquoi l’État, depuis le début de l’épisode Covid-19, refuse-t-il systématiquement et catégoriquement d’interroger sa position au regard de toutes les propositions, informations, témoignages qui s’inscrivent à l’encontre du prescrit officiel ? Ainsi, depuis le début du Covid-19 en Belgique, de nombreux appels, cartes blanches, lettres ouvertes, ont été écrits par des professionnels de la santé, sans qu’ils n’aient jamais été suivis d”un débat et sans qu’ils influent sur la ligne de conduite gouvernementale.

    – Pourquoi les accords et tractations avec les multinationales sont-ils tenus secrets alors que les décisions qui sont prises influent énormément sur nos vies et nécessiteraient dès lors une totale transparence ? Il faut que les gens sachent si les choix qui sont faits en leur nom le sont dans l’intérêt commun ou dans celui de quelques multinationales.

    – Pourquoi le travail des groupes d’experts demeure entouré d’un voile d’opacité(4) ?

    – Pourquoi ne peut-on pas avoir un débat sur la situation de saturation des hôpitaux qui, selon certains, seraient due uniquement aux mesures politiques prises antérieurement (réduction des budgets de santé, numerus clausus, dévalorisation des métiers de soins, etc.) et à l’absence totale de travail sur la prévention. Si cela est vrai, nous ne sommes pas en présence d’une véritable pandémie avec une létalité importante qui est une des caractéristiques de celle-ci.

    – Pourquoi les supposés effets bénéfiques du confinement ne sont-ils pas mis en balance avec les conséquences dramatiques que ces mêmes mesures vont causer.

    – Pourquoi l’État se dévoilerait-il aujourd’hui comme pouvoir au seul service du bien public, dont celui de la santé, alors que depuis des décennies il n’a pas empêché ou a organisé : la misère, l’usage intensif de pesticides, l’inégalité scolaire(5), la pollution de l’air, l’usage intensif de la bagnole, la malbouffe, la déliquescence des services publics, la privatisation des médias, une santé à deux vitesses, le réchauffement climatique, etc. Découle de là l’idée qu’il serait actif uniquement dans le cadre d’une société de croissance qui privilégie quelques individus au détriment de la masse, la voie vaccinale dans l’épisode actuel du Covid laissant à nouveau penser qu’on continue le business as usual ? 

    – Pourquoi les politiciens et leurs experts nous illusionnent depuis des mois avec l’idée qu’il est possible de venir à bout d’un virus, alors que c’est tout simplement impossible(6) ? 

    – Pourquoi la solution unique pour les gouvernements est-elle le vaccin, alors que la transparence est inexistante (cf. point 2) et que le vaccin semble s’inscrire dans une seule logique commerciale ? 

    – Pourquoi ceux qui portent un autre regard sur la situation que celui officiel sont-ils systématiquement calomniés, licenciés, censurés ? 

    Toutes ces questions sans réponses, dont la liste n’est pas exhaustive, démontre qu’aucun débat véritable n’a lieu. Dans la folie actuelle, nous sommes laissés pour aveugles si nous écoutons les médias dominants. Ces derniers et les gouvernements empêchent que les questions reprises ici soient débattues. Ils veulent créer, comme chaque fois, l’illusion du consensus. Derrière la volonté de former une chimérique « Nation de citoyens solidaires » (Macron), à l’instar de l’époque du « Nous sommes tous Charlie » et de ses discours solennels(7), se cache au fond l’injonction au conformisme servile : « Travaillez, consommez, fermez-là, nous nous occupons de vous ». 

    Alexandre Penasse 
    https://www.kairospresse.be/journal/kairos-47

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    1. À ce titre, le Covid-19 révèle certainement des divergences profondes endormies auparavant (comme le rôle que l’un ou l’autre attribue à l’État). Plus que d’être une cause, l’épisode actuel serait alors un révélateur.
    2. Traits eux-mêmes « politiques » et déterminés par le système dans lequel le sujet évolue. Réalité évidemment tue par le pouvoir, qui vante – et vend – d’autant plus la liberté de penser qu’elle est nourrie par ces mêmes officines.
    3. Et donc se constituer comme sujet.
    4. https://www.lespecialiste.be/fr/actualites/pas-de-raison-de-maintenir-lesavis-d-experts-secrets.html
    5. La Belgique est le pays le plus inégalitaire des pays de l’OCDE, c’est-à-dire que plus on est pauvre plus on échoue à l’école en Belgique.
    6. Voir « On ne peut pas gagner la guerre contre le coronavirus », Kairos, septembre-octobre 2020, ou https://www.kairospresse.be/?s=coronavirus
    7. Voir « Nous ne sommes pas tous Charlie », Kairos, février-mars 2015 https://www.kairospresse.be/article/nous-ne-sommes-pas-tous-charlie,
    et sur le site https://www.kairospresse.be/article/nous-ne-sommes-pas-tous-charlie, et le dossier : https://www.kairospresse.be/dossier/tous-charlie-plus-complexe

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  • LES MASQUES RENDENT STUPIDES

    Cet article du psychologue comportementaliste Patrick Fagan paru dans le mensuel britannique The Critic explore les raisons pour lesquelles les masques “rendraient les gens stupides” et seraient une forme de “déshumanisation.” (Extraits).

    […] “Les masques peuvent désormais être ajoutés à la liste des obligations qui vous rendent stupides. […] voici les faits qui expliquent pourquoi vous ne devriez absolument, catégoriquement, pas porter de masque. Ils vous rendent influençables ; ils vous rendent plus susceptible de suivre les directives de quelqu’un d’autre et de faire des choses que vous ne feriez pas autrement. En bref, ils vous privent de votre fonction exécutive – votre conscience.

    Un excellent exemple nous vient d’une étude réalisée par Mathes et Guest (1976), qui ont demandé aux participants s’ils seraient prêts, et combien ils devraient être payés, pour porter une pancarte à la cafétéria de l’université disant “la masturbation, c’est chouette” Les résultats ont montré que lorsque les gens portaient un masque, ils étaient plus susceptibles de porter l’affiche et qu’il leur fallait moins d’argent pour le faire (30 dollars contre 48 dollars en moyenne).
    Pendant ce temps, Miller et Rowold (1979) ont présenté un bol de chocolats aux participants à Halloween et leur ont dit qu’ils n’avaient le droit d’en prendre que deux chacun. Lorsque les enfants pensaient qu’ils n’étaient pas surveillés, ils se servaient eux-mêmes. Les enfants sans masque ont enfreint la règle, en prenant plus de chocolats, 37% du temps, contre 62% pour les enfants masqués. Les auteurs ont conclu que les masques “entraînent une diminution des inhibitions comportementales”. […]

    Les effets désinhibiteurs du port d’un masque sont décrits par les psychologues en termes de suspension des mécanismes de contrôle du surmoi, permettant aux impulsions subconscientes de prendre le dessus. Saigre (1989) a écrit que les masques “raccourcissent” les systèmes de défense conscients et encouragent une “régression massive” vers un état plus primitif ; Castle (1986) a écrit que les mascarades du XVIIIe siècle permettaient aux porteurs de masques de libérer leurs pulsions hédonistes et sexuelles réprimées ; et Caillois (1962) a écrit de la même façon sur les carnavals masqués européens impliquant des activités libidinales, notamment “les indécences, les bousculades, les rires provocateurs, les seins à découvert, les imitations de bouffonnerie, une incitation permanente à l’émeute, les festins et les excès de paroles, de bruit et de mouvement”. Au XIIe siècle, le pape Innocent III a interdit les masques dans le cadre de sa lutte contre l’immoralité ; et en 1845, l’État de New York a rendu illégal le port de masques en public par plus de deux personnes, après que des agriculteurs aient porté des masques pour attaquer leurs propriétaires.

    Du point de vue de la neuro-imagerie, les masques sont connus pour inhiber l’identité et le contrôle des impulsions – tous deux associés à la fonction exécutive dans le cortex préfrontal (par exemple, Glannon, 2005 ; Tacikowski, Berger & Ehrsson, 2017). En d’autres termes, les masques font taire le Jiminy Cricket dans le cerveau.
    Il n’est pas étonnant que le fait de se couvrir la bouche nous fasse taire psychologiquement. Des études ont montré que les vêtements ont un effet puissant sur notre façon de penser (ou non), via un principe connu sous le nom de cognition encapsulée : le port d’une blouse de laboratoire améliore la fonction cognitive (Adam & Galinsky, 2012), le port d’une blouse d’infirmière augmente l’empathie (López-Pérez et al., 2016), et le port de marques contrefaites augmente la probabilité de tricher dans un test (Gino, Norton & Ariely, 2010). De même, dans le monde du langage corporel, le fait qu’une personne mette sa main sur sa bouche est un signe qu’elle écoute attentivement : elle est prête à recevoir des informations, et non à les remettre en question.

    Bien qu’aucune étude ne se soit penchée sur l’effet des masques sur le raisonnement verbal, on peut supposer sans trop se tromper que l’amorce d’un “silence” aurait un effet cognitif. Par exemple, les extravertis sont moins dociles que les introvertis (Cohen et al., 2004 ; Gudjonsson et al., 2004) ; le développement de la conscience chez l’homme est fortement lié à celui du langage (par exemple, Arbib, 2006) ; et la parole intérieure est fortement liée aux fonctions cognitives (Alderson-Day & Fernyhough, 2015). Le raisonnement verbal est étroitement lié au raisonnement moral (Hayes, Gifford & Hayes, 1998) : l’incapacité à “parler” réduit la capacité à déduire un comportement moral et immoral.

    Il existe également une raison plus fondamentale pour laquelle les masques peuvent rendre stupide : la diminution du flux d’oxygène vers le cerveau. Les voiles faciaux réduisent la fonction ventilatoire à long terme (Alghadir, Aly & Zafar, 2012), et les masques chirurgicaux peuvent réduire l’oxygénation du sang chez les chirurgiens (Beder et al., 2008) : croyez-le ou non, se couvrir la bouche rend la respiration plus difficile. En examinant le masque facial N95, une étude de 2010 (Roberge et al.) a conclu que “les niveaux de dioxyde de carbone et d’oxygène étaient respectivement nettement supérieurs et inférieurs aux normes ambiantes du lieu de travail” à l’intérieur du masque. Une étude post-COVID a révélé que 81 % des 128 travailleurs de la santé qui portaient un masque ont développé des maux de tête à la suite du port d’un équipement de protection individuelle (Ong et al., 2020).

    Non seulement les masques faciaux rendent la respiration difficile, mais les preuves qu’ils fonctionnent même pour arrêter la propagation du coronavirus sont au mieux limitées. Une marque populaire de masque porte même un avertissement sur son emballage indiquant qu’il “n’offrira aucune protection contre COVID-19” ; quant à la prévention des porteurs de la maladie, une méta-analyse a révélé, par exemple, que sur huit études d’essais contrôlés randomisés, six n’ont constaté aucune différence dans les taux de transmission entre les groupes de contrôle et d’intervention (tandis que l’une d’entre elles a constaté qu’une combinaison de masques et de lavage des mains est plus efficace que la pédagogie seule, et l’autre que les masques N95 sont plus efficaces que les masques chirurgicaux standard ; bin-Reza et al., 2012). Les masques non chirurgicaux, tels que les écharpes et les chiffons, sont presque inutiles (Rengasamy et al., 2010). Les masques peuvent même être malsains, provoquant une accumulation de bactéries autour du visage (Zhiqing et al., 2018).

    Le fait que les masques ne fonctionnent probablement même pas nous amène à la dernière raison pour laquelle le port d’un masque inculque la stupidité et la conformité : à travers un bombardement de mensonges, de contradictions et de confusion, l’État submerge votre capacité à raisonner clairement.
    Comme l’a écrit Theodore Dalrymple, “Dans mon étude des sociétés communistes, je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande communiste n’était pas de persuader ou de convaincre, ni d’informer, mais d’humilier ; et donc, moins elle correspondait à la réalité, mieux c’était. Lorsque les gens sont contraints de se taire lorsqu’on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire encore lorsqu’ils sont contraints de répéter eux-mêmes ces mensonges, ils perdent une fois pour toutes leur sens de la probité. Consentir à des mensonges évidents, c’est en quelque sorte devenir soi-même mauvais. La volonté de résister à quoi que ce soit est ainsi érodée, et même détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler”.

    Le but des masques faciaux n’est pas de protéger les humains, mais de diminuer l’humanité – de voler aux gens leur ego, leur identité et leur autonomie. […]
    Il est difficile de prédire comment la roue de la vie tournera dans les années à venir, mais tous les signes laissent présager des difficultés. Pendant les années de crise d’un cycle générationnel, une seule chose peut être garantie : l’importance d’un esprit clair. Pour cela, il faut se permettre la dignité, l’identité et le Logos de l’être humain – et ne jamais, jamais porter de masque.”

    L’article intégral (anglais) : The Critic : Face masks make you stupid
    https://thecritic.co.uk/face-masks-make-you-stupid
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