• Mise en place d’un barème du montant des amendes proportionnel aux revenus des contrevenants #pétition du Sénat
    https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1289


    #égalité

    Le montant des #amendes forfaitaires, en particulier pour les infractions au code de la route est actuellement uniforme pour tous les contrevenants. Cela implique une distorsion de la capacité à payer en fonction des revenus et donc une capacité de dissuasion réduite de l’amende pour les citoyens qui ont des revenus élevés.
    Afin de réduire cette inégalité devant l’amende et lui redonner son caractère dissuasif, je propose que les amendes soient calculées en France, comme cela se fait depuis plusieurs années en Finlande, en multiples des revenus d’une journée de travail.
    De cette manière, le coût pour le contrevenant a le même impact proportionnel sur son revenu mensuel, quel que soit le montant de ses revenus et retrouve son caractère dissuasif.

    #démocratie #sécurité_routière

    Marche déjà très bien en 🇫🇮

    Un gars au RSA fait un petit excès de vitesse < 10 km/h avec sa vielle R5 de 715 kgs : ça lui coutera 90€ (amende minorée) soit 16% de son revenu mensuel et 1 point de permis. C’est énorme !

    Une personne très aisée en SUV Maserati de 2 Tonnes gagnant 20k€/mois fait un excés de vitesse < 10 km/h : ça lui coutera aussi 90€ et 1 point, mais ça ne représentera que 0,45% de son revenu mensuel, soit rien !

    16% vs 0,45%

    🖍️ Signez et 🔁 boostez cette pétition lancée par @fredB 🙏

    https://framapiaf.org/@lyon5avelo@masto.bike/109723117801000812

  • Désarmés jusqu’aux dents
    https://www.dedefensa.org/article/desarmes-jusquaux-dents

    Désarmés jusqu’aux dents

    • Alors que les applaudissements extatiques saluant Zelenski résonnent encore, un coup d’œil sur le paysage désolé des capacités d’armement, – disposition et production, – aux USA comme dans les autres pays du Camp du Bien. • On ne cesse de rester stupéfaitdevant ces pays qui sont lancés dans une politique de provocation contre un (des) pays tout de même mieux équipés que l’Irak et l’Afghanistan sans avoir pris ses dispositions au niveau de leurs capacités, au cas où les choses tourneraient mal. • Mais lorsque l’on est du Camp du Bien, tout va bien...

    Les observateurs américanistes attentifs ont remarqué un changement sémantique important dans le discours de Poutine lors de sa conférence de presse de mercredi : l’“Opération Militaire Spéciale” est est devenue une (...)

  • Faut pas que ça se perde, alors je vous rappelle qu’ici à Montpellier, en 2021, le préfet avait mis en scène le contrôle militarisé de la plage, fusil mitrailleur en bandouillière, pour coller 405 euros à d’épouvantables contrevenants qui avaient ouvert une bouteille de rosé. Voui : pour lutter contre la transmission du Covid à la plage.
    https://seenthis.net/messages/909670

    Sur leurs serviettes, pourtant, la grande majorité des bronzeurs n’avaient pas le masque. Et pourtant, même seul, même loin des autres personnes, il est obligatoire de le porter. Aux côtés du secrétaire général de la préfecture de l’Hérault, Thierry Laurent, quelque 17 gendarmes et policiers municipaux étaient ainsi mobilisés pour mener le contrôle.

    Disposées en ligne, les forces de l’ordre ont pour cela longé cette plage du Grand-Travers et se sont arrêtées pour avertir les personnes de porter leurs masques. « Elles peuvent l’enlever lorsqu’elles mangent ou qu’elles boivent. Cependant, une fois terminé, elles doivent remettre leurs masques. Nous ne les verbalisons pas aujourd’hui à ce sujet, sauf si les personnes refusent d’obtempérer. Mais c’est assez rare », indiquait le commandant en charge de l’opération.

  • Nicolas Framont sur Twitter : "C’est le très libéral Financial Times qui le dit : en France, 80% de la fortune des milliardaires provient de l’héritage. Remballez vos histoires de « réussite », d’"innovation", de « prise de risque ». L’explication principale de l’existence des riches c’est : l’argent de papa. https://t.co/VYWXKLusAh" / Twitter
    https://twitter.com/NicolasFramont/status/1594648574217928704

  • Aux Pays-Bas, un algorithme discriminatoire a ruiné des milliers de... | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/111122/aux-pays-bas-un-algorithme-discriminatoire-ruine-des-milliers-de-familles

    Cette histoire est absolument abominable.
    Quand l’algorithme décide, les familles plongent. Et personne au bout du fil pour reconstruire la réalité. Car la vraie et véritable réalité, c’est que l’algorithme vous a qualifié de « fraudeur » et donc c’est forcément la vraie vérité.
    Au secours, le monde est devenu fou.

    Rotterdam (Pays-Bas).– Chaque jour, Sabrina Sliep décroche son téléphone pour écouter les mêmes histoires de désespoir. Il y a ces familles expulsées de leur maison, toujours relogées chez des proches, ces mères qui cumulent deux boulots pour garder la tête hors de l’eau, ces parents qui se débattent avec des idées noires. Des parcours brisés un jour par une lettre des impôts et, qui sont depuis comme en pointillé. « Certains ont besoin de conseils pour leurs démarches, d’autres juste de pleurer et d’être écoutés », souffle l’infirmière d’une voix émue, dans un café de la périphérie de Rotterdam (Pays-Bas).

    Sabrina Sliep assure des permanences pour Lotgenotencontact, une ligne d’écoute ouverte en mars 2022 pour et par les victimes de la « Toeslagenaffaire », « l’affaire des allocations familiales ». Comme elles, la quadragénaire s’est vue réclamer par l’administration fiscale et douanière néerlandaise chargée du versement et du contrôle des prestations sociales, un trop-perçu colossal de l’ordre de 70 000 euros.

    Comme les autres, elle n’a eu droit à aucun recours, aucune explication. Alors qu’elle vivait seule avec ses deux enfants, elle a mis sa vie en suspens pour éponger une dette dont elle ignore toujours la cause. Depuis 2012, 25 000 à 35 000 familles auraient souffert de cette affaire, fruit d’une succession de faillites de l’État : présomption de culpabilité envers des ménages de bonne foi, confiance aveugle dans un algorithme xénophobe, intransigeance d’une administration sourde aux alertes et à la détresse…

    #Algorithme #Pays_Bas #Pauvreté #Folie_numérique

  • https://abcpenser.com/notions/salaire

    Fervent défenseur du salaire à la qualification à la personne, appelé communément le salaire à vie, Bernard Friot, en restitue ici l’histoire, depuis la création du Code du Travail (1910), suivie de celle des conventions collectives (1919), du régime général de sécurité sociale et du statut de la fonction publique (1946) jusqu’à la Sécurité Sociale Professionnelle prônée par la CGT à partir des années 1990. Il précise ainsi ce qu’il entend par le « salaire communiste ».

  • https://abcpenser.com/notions/travail

    Décider de son travail, c’est la condition pour qu’il ait réelle valeur anthropologique. Pour Bernard Friot, trop de temps militant est consacré à la gestion de la « souffrance au travail » née de sa pratique aliénée. L’auto-organisation des travailleurs sur leur travail concret et sur les choix de création monétaire, d’investissement, d’inscription dans la division internationale du travail, doit devenir le cœur de l’action collective si nous voulons sortir le travail de la folie dans laquelle l’entraîne le capitalisme.

  • Technologie : Des arbres dans le metaverse pour sauver la planète Malheurs Actuels
    https://malheursactuels.com/tech-arbres-metaverse

    C’est une nouvelle qui fait déjà sourire les investisseurs de la tech et les activistes écologistes : une start-up texane, baptisée Climate4Good, a lancé le projet « A virtual planet for a dead planet » (une planète virtuelle pour une planète morte en français, NDLR). Le principe est simple et peut même paraître enfantin, puisqu’il s’agit de planter des arbres, afin de participer à la lutte contre le réchauffement climatique.


    Pourtant, dans ce cas précis, il existe une petite astuce : en effet, ces arbres ne seront pas plantés dans nos villes ou nos campagnes, mais directement dans le metaverse, via d’ingénieuses lignes de code disséminées dans cet univers virtuel. Gary Gross, co-fondateur de Climate4Good, précise : « l’idée est d’encourager les entreprises installées dans le metaverse à agir concrètement pour le climat, et à les sensibiliser via un système d’achat de lignes de code qui leur permettront de planter des arbres virtuellement – plus besoin de s’embêter à le faire dans la vraie vie (IRL, NDLR) ! ».

    Autre particularité : ces arbres spéciaux pourront également s’acheter via des systèmes de NFT, ce qui les rend encore plus uniques. « Certes, le numérique pollue toujours un peu, mais quand au moins l’arbre virtuel ne coûte rien à entretenir – des coûts réels qui peuvent donc être réinvestis dans la protection de l’environnement, plutôt que dans son entretien », souligne Gary Gross.

    D’ores et déjà, le gouvernement français a salué cette avancée et annoncé faire une demande à Climate4Good afin de créer des nappes phréatiques virtuelles dans le metaverse, afin d’apporter une solution aux sécheresses récurrentes qui frappent le territoire national.

    #Humour #arbres #digital #metaverse #numérique #planète #startup #technologie #mark_zuckerberg #virtuel #Climat

  • https://theconversation.com/covid-19-la-surmortalite-en-suede-durant-la-pandemie-a-ete-parmi-le

    Alors que la plupart des pays du monde ont fermé leurs frontières au début de la pandémie de Covid-19, la Suède est restée accessible.

    Alors que la plupart des pays du monde ont fermé leurs frontières au début de la pandémie de Covid-19, la Suède est restée accessible.

    L’approche du gouvernement a été controversée, certains la qualifiant d’ « expérience suédoise ». Mais près de deux ans et demi après le début de la pandémie, que pouvons-nous dire aujourd’hui des résultats de cette « expérience » ?

  • Incendies dans les Landes : « Est-ce qu’il ne faudrait pas que nos députés débattent de l’avenir de cette “forêt” faussement “verte” ? », Hugues Jallon, écrivain et éditeur.

    Enfant, quand j’allais à la mer en traversant la forêt des Landes dans la voiture familiale, je trouvais ce paysage bizarre : des arbres tous identiques avec leurs troncs droits comme des « I » et parfaitement alignés comme les tombes d’un cimetière militaire. J’ignorais tout de l’histoire et de la réalité présente de ce décor.
    Plus tard, j’ai appris assez facilement (par Wikipédia et d’autres petites sources faciles d’accès) que cette forêt avait été plusieurs fois dévastée dans les années 1950 et qu’à la suite de cela, on avait décidé de replanter « en ligne » les pins en prévoyant de larges coupe-feu pour éviter la propagation des incendies.

    J’ai appris aussi que cette immense forêt artificielle était assez récente, elle datait du Second Empire. C’est une loi de 1857 qui a autorisé la plantation massive de pins dans ce « désert », comme l’appelait Napoléon III. Un « type » nommé Jules Chambrelent (1817-1893) avait poussé pour assainir cette zone humide et ouvrir la voie à la prospérité de ses habitants en créant ex nihilo une filière d’exploitation du bois fondée sur la monoculture du pin maritime.

    En fait, j’ai appris que la forêt des Landes dont certaines parties brûlent aujourd’hui n’était pas une forêt, mais une « usine ». Pas une seule et unique usine, mais plusieurs usines aux mains de propriétaires petits et grands – en fait, surtout des grands : 75 % de la superficie appartient à moins de 20 % des propriétaires et l’Etat n’en possède qu’environ 10 %. On raconte que, dans ces familles de propriétaires, il y a une tradition : lorsqu’un enfant naît, on lui attribue une parcelle où on plante des pins (bien alignés, bien droits), ce qui lui assurera un bon petit capital à sa majorité.
    Maintenant, je comprends mieux mon malaise quand je découvrais enfant ce paysage bizarre.

    Ah oui, j’oublie quelque chose. Et avant, qu’est-ce qu’il y avait avant à la place de cette forêt ? Eh bien, avant, il y avait de drôles de gars montés sur des échasses et entourés de moutons, on les voit sur de vieilles photos sépia. J’ai appris que ces bergers et leur famille vivaient pauvrement sur cette lande qui, pour une large part, appartenait à tous ; on appelle cela des « communs », ce qui est une belle idée. Les autres ont été expropriés au moment de la plantation massive des pins.

    Alors je m’interroge. Je me demande ce qu’on va faire après ces incendies tragiques qui ont fait fuir des milliers d’habitants et que des centaines de pompiers tentent courageusement d’éteindre. On va reconstruire ces villages qui ont disparu dans les flammes, bien sûr. Et ces milliers d’hectares de forêt ? On va replanter des pins ?

    Les spécialistes des sols et du climat nous disent qu’il faut s’inquiéter de la disparition des zones humides. Alors je me demande : est-ce qu’il ne faudrait pas que nos députés s’emparent de ce dossier et de ses enjeux écologiques ? Est-ce qu’il ne faudrait pas qu’ils débattent de l’avenir de cette « forêt » faussement « verte » – en fait, les pins détruisent complètement les sols, et rien ne peut pousser sous leurs frondaisons ? Il y a peut-être autre chose à imaginer que de reconstruire cette « usine » et ce paysage bizarre et monotone.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/08/15/incendies-dans-les-landes-est-ce-qu-il-ne-faudrait-pas-que-nos-deputes-debat

    #Landes #forêt #forêt_usine #incendie

    • « Surtout après un incendie, il est le plus souvent préférable de laisser la forêt se régénérer naturellement », Sylvain Angerand, Ingénieur forestier et coordinateur de l’association Canopée
      https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/08/28/surtout-apres-un-incendie-il-est-le-plus-souvent-preferable-de-laisser-la-fo

      Avec plus de 60 000 hectares de forêts partis en fumée, cet été a marqué le retour des grands incendies en France. Un risque qui ne va faire que croître avec les changements climatiques et qui devrait nous inciter à repenser en profondeur notre politique forestière. Pourtant, l’annonce d’un grand chantier national de reboisement pourrait produire l’effet inverse et affaiblir encore davantage nos forêts en cédant au lobbying d’une partie de la filière.

      L’empressement à vouloir planter des arbres est, avant tout, une stratégie de communication destinée à rassurer l’opinion publique en donnant l’illusion d’une maîtrise de la situation et d’un retour rapide à la normale. Mais c’est aussi l’aveu d’une profonde incompréhension de la part de la puissance publique des enjeux forestiers, car planter des arbres n’est pas toujours le choix le plus avisé. Surtout après un incendie, il est le plus souvent préférable de laisser la forêt se régénérer naturellement. Une option plus efficace et moins coûteuse dans de nombreuses situations.

      De plus, les plantations d’arbres sont encore trop souvent monospécifiques ou très faiblement diversifiées, ce qui est pourtant indispensable pour renforcer la résistance et la résilience des peuplements face à de nombreux aléas comme les sécheresses, les tempêtes, les maladies ou encore les incendies. Même sur des sols très pauvres comme dans les Landes, où il est difficile de se passer du pin maritime, il est toujours possible d’introduire, en mélange, des feuillus comme le chêne-liège ou le chêne tauzin pour renforcer les peuplements.

      L’intérêt du mélange est solidement étayé scientifiquement et, pourtant, il peine à s’imposer comme une condition aux aides publiques ou comme une règle à respecter dans les plans de gestion. Après la tempête de 2009 dans les Landes, la quasi-totalité du massif appartenant à des propriétaires privés a été replantée en monoculture avec l’aide de l’argent public.

      L’abandon des pouvoirs publics

      Le constat est similaire pour les aides plus récentes du plan de relance qui, faute d’écoconditions suffisantes, ont été détournées par une partie des acteurs pour planter des monocultures, parfois en remplacement de forêts en bonne santé mais jugées peu rentables économiquement (rapport « Planté ! Le bilan caché du plan de relance forestier », Canopée, mars 2022).

      Ces dérives ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat de l’abandon des pouvoirs publics à construire une politique forestière intégrant l’ensemble des enjeux. Tiraillée entre quatre ministères, la forêt ne bénéficie pas d’un portage politique fort capable de défendre et de trancher en faveur de l’intérêt général. Elle est laissée au seul jeu d’influence des acteurs, la règle au sein de la filière étant de ne surtout pas pointer du doigt les dérives de certains.

      Alors qu’elle représente une exception dans le paysage forestier, la filière bois landaise s’oppose à toute forme de renforcement des règles de gestion forestière
      A ce jeu d’influence, la filière bois landaise est passée maître. Alors qu’elle représente une exception dans le paysage forestier, cette filière s’oppose à toute forme de renforcement des règles de gestion forestière alors même que la majorité des acteurs n’y serait pas opposée, voire y serait favorable. Un exemple : les règles encadrant la gestion des forêts privées (schémas régionaux de gestion sylvicole) sont en cours de révision dans l’ensemble des régions françaises.

      Si, globalement, les projets soumis à consultation du public sont peu ambitieux, celui de la région Nouvelle-Aquitaine est sans doute le plus révélateur du désengagement de l’Etat : aucun seuil d’encadrement des coupes rases, aucune interdiction de transformer les dernières forêts de feuillus du massif landais en plantations de pins maritimes et aucune obligation de diversification dans les nouvelles plantations (« Projet de schéma régional de gestion sylvicole (SRGS) de Nouvelle-Aquitaine et ses deux annexes vertes », 2022).
      Des petites plantations en trouées

      Pire encore, la filière a réussi l’exploit de glisser l’eucalyptus dans la liste agréée des arbres pouvant être plantés et bénéficier d’aides publiques, alors même que cet arbre est hautement inflammable comme le Portugal en a fait la désastreuse expérience (« Arrêté portant fixation des listes d’espèces et de matériels forestiers de reproduction éligibles aux aides de l’Etat » en Nouvelle-Aquitaine, 2021).

      Avant de réinjecter de nouveau de l’argent public dans un plan de reboisement, il est donc indispensable que les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités pour mettre fin à ces dérives. L’organisation de la filière forêt-bois doit être remise à plat pour mettre fin aux conflits d’intérêts.

      Il est non seulement illusoire mais aussi dangereux d’imaginer adapter la forêt au changement climatique en remplaçant les forêts existantes par de nouveaux arbres ou en s’empressant de vouloir replanter systématiquement après des tempêtes ou des incendies qui ne manqueront pas de se multiplier.
      La priorité doit être de s’appuyer et de restaurer des dynamiques naturelles, de venir améliorer les peuplements existants en les enrichissant si besoin par des petites plantations en trouées et de fixer des règles claires lorsqu’une plantation sur une plus grande surface est nécessaire.