Nicole Garreau

Poétesse sans talent et dictateuse sans vergogne

  • consulte la rubrique nécro du jour — vous savez que c’est la principale occupation des gens de son âge — et y apprend que quarante-cinq ans après ses vacances aux sports d’hiver Michel Blanc vient de réussir à conclure.

    Comme quoi, la ténacité, ça paye.

  • se dit souvent que les gens heureux font SEMBLANT d’être heureux. Ou alors ils sont inconscients. Ou alors ce sont des sociaux-traîtres.

    En tout cas c’est trop chelou et ça dissimule très certainement quelque dérèglement psychiatrique.

  • devrait peut-être cesser d’ajouter quotidiennement de nouvelles chansons dans son walkwoman : ça va finir par le rendre tellement lourd qu’il n’aura plus rien de portatif.

    Sans rire c’est quelque chose qui n’en finit pas de l’émerveiller, ça : que l’on puisse stocker des dizaines de milliers de chansons et de morceaux de musique sur un truc qui tient dans le creux de la main alors que de son temps à elle on peinait à faire tenir un seul titre de trois minutes sur un cylindre de cire gros comme une canette.

    Quand on y réfléchit c’est limite un truc de zinzins.

    • Le téléphone en bakélite fixe de mon enfance m’impressionnera jusqu’à ma mort. Je pouvais appeler l’horloge parlante et dire merci monsieur à la fin ( !). Appeler les ami·es et la famille mais pas trop longtemps car c’était cher. C’était un objet magique.
      Alors que mon smartphone avec lequel je peux presque tout faire et rarement téléphoner avec, est presque banal.
      La magie n’est plus ce qu’elle était.

  • dirait que c’est à ce style de propos insidieux que l’on remarque que France Cul’ est quand même rudement gangrenée par la droite. Lors d’une émission sur le procès qui mena à l’exécution de Louis XVI le 2 pluviôse de l’An I, le ceusse qui cause dans le poste fait mine de s’interroger : « La mise à mort du roi par la Révolution a-t-elle grandi cette dernière ou n’a-t-elle pas plutôt terni son image ? » — rien que l’ordre des propositions dans la phrase laisse augurer de quel côté va pencher le programme.

    Alors que bon, le raccourcissement du citoyen Capet fut justement le point d’orgue des festivités, et considérer la Révolution sans cette attraction serait comme imaginer un Club des Cinq sans Claude et Dagobert ou un repas sans tofu.

    Les réacs et autres révisionnistes sont partout ! Ne vous laissez pas influencer, camarades lecteurices, et refusez de vous informer ailleurs que sur ce flux SeenThis.

    Vous promettez ?

  • ne voudrait pas avoir l’air de chipoter mais puisque nous en sommes à décortiquer les mots (cf dazibao précédent) retenons tout de même que de façon contre-intuitive « naguère » désigne une période certes passée mais... récente (« il n’y a guère »), « jadis » une période à peine plus ancienne (vieux français « ja a dis » pour « il y a déjà des jours » c’est-à-dire pas non plus des siècles) et « d’antan » ne concerne que ce qui se passait l’année dernière (contraction des latins « ante » et « annum »).

    Décidément, à partir d’un certain âge même le vocabulaire ne peut plus rien pour nous et si votre dictateuse préférée voulait évoquer les temps durant lesquels elle était un peu moins vieille elle serait certainement obligée d’employer une expression du style « avant le Déluge » ou « pendant la préhistoire ».

    • C’est triste, hein, ce que je vous raconte ? Que voulez-vous, je suis une dictateuse cruelle et sanguinaire, et désormais sur mon lit de mort il ne me reste d’autre projet que celui de faire pleurer le Lectorat.

  • remarqua que beaucoup s’émerveillèrent, à l’occasion du dernier dazibao, de l’utilisation du vocable « oniromancie », aussi ne résiste-t-elle pas à la tentation de faire son instituteuse à deux balles : « -mancie » est un suffixe issu du grec « μαντεία » qui signifie « divination », et devant lequel on peut placer à peu près n’importe quoi. « Oniromancie » désigne le fait de voir grâce aux rêves, « cartomancie » grâce aux cartes, « chiromancie » grâce aux lignes de la main, etc etc.

    La seule exception est la « simamancie », en dépit de laquelle la maman de France Gall ne parvenait pas du tout à voir la vie de sa fille.

  • doit avoir des dons d’oniromancie ou un truc du genre : dans ses rêves nocturnes le monde est en charpie, tout n’y est que ruines, dévastation et désolation, or quand elle se réveille... eh bien tout est pareil.

    Après ça soulève bien sûr une question : est-ce qu’elle rêve ça parce que le monde est ainsi, ou est-ce qu’il est ainsi parce qu’elle le perçoit comme ça ? Ha ha, les deux ma capitaine, dans la vie tout est toujours lié à tout, il y a une sorte d’intrication quantique, on fait partie de l’Univers de la même manière que l’Univers est constitutif de soi. Ça s’auto-alimente, si vous voulez — à supposer que nous existions en tant qu’entités nous ne sommes jamais que de petites cavernes de Platon sur deux pattes.

    Allez, bonne journée quand même.

  • tombe des nues : ainsi donc un·e « lapicide » c’est quelqu’un·e qui taille des pierres ? Si on le lui avait demandé elle aurait dit que c’était le nom des gens qui tuent des lagomorphes !

    La langue française, on ne peut pas s’en lasser.

  • avait évoqué, dans un des dazibaos du 21 vendémiaire CCXXXI, le cas de ce noyer rebelle qui produisait des noix à la coquille légèrement biseautée, ce qui les rendait presque impossibles à ouvrir à moins bien sûr de les écrabouiller — mais auquel cas le cerneau se retrouve mêlé à l’endocarpe et on ne peut plus le manger.

    Et bien figurez-vous que ce gredin a depuis fait des émules ! Alors qu’il était à l’époque le seul des cinq noyers du bord du chemin dont les fruits présentaient cette singulière configuration, ses deux voisins les plus proches se sont mis à l’imiter ! C’est l’extension de la révolte des juglandacées qui ne veulent plus que Sapiens Sapiens boulotte ses graines !

    Ce coup-ci c’est sûr, la Nature est en colère et se prépare à nous expulser — ce qui est plutôt une bonne nouvelle puisque aucune autre espèce animale végétale ou minérale ne nous regrettera.

  • voulait se faire « Le Dahlia noir » d’Ellroy — il s’avère qu’elle ne l’avait jamais lu et que le bouquin est en ce moment disponible en adaptation radiophonique sur France Cul’. Le propos lui semblait raisonnablement alléchant : un roman sombre dans le L’Os-en-Gelée des années Quarante, l’histoire d’une certaine Elisabeth Short qui s’en fait tailler un et que l’on retrouve façon puzzle au milieu d’un terrain vague, bon, ça avait des relents de polar pur et dur qui à défaut d’être un chef-d’œuvre de stylistique laissait augurer un réel dépaysement.

    Mais... Pfffff... Que c’est clichetonneux... L’impression d’avoir déjà lu ou entendu ça des milliards de fois, avec des méchant·e·s très méchant·e·s, un cadavre très mort, une pègre très pègre, des flics très flics, c’est lourd, c’est convenu, ça schlingue la testostérone à plein nez — l’occasion de constater encore une fois à quel point la pauvreté de l’imaginaire masculin est terrifiante.

    Elle aimerait encore mieux lire un Barbara Cartland.

  • fait mollement défiler cette chose toujours un peu vulgaire nommée « actualité » et elle ne vous raconte pas comme iels lui courent sur le haricot, tiens, toustes les nationalistes, régionalistes et globalement toustes les ceusses qui revendiquent la légitimité d’être de quelque part sous prétexte qu’une divinité quelconque leur aurait donné cet endroit, que leurs présumé·e·s ancêtres y auraient pique-niqué il y a cent mille ans, que ça leur aurait été attribué par le traité de Pétaouchnok ou le pacte de Troufignon-les-Oies, ou plus prosaïquement parce qu’iels l’ont lu un jour dans Picsou Magazine.

    Quand dans un monde idéal la Garreau sera enfin dictateuse de la République, toustes celleux qui se réclament d’un endroit plutôt que d’un autre iront casser des cailloux en Sibérie.

  • lit un truc sur « la femme d’Egtved », une gamine de seize à dix-huit ans datant de l’Âge du bronze et dont la dépouille a été retrouvée au Jutland au fond d’une sépulture, fringuée comme Raquel Welch dans un péplum des cavernes, et pour qui les analyses isotopiques ont révélé qu’en dépit de sa jeunesse la meuf avait déjà parcouru plusieurs fois le trajet Forêt Noire / Jutland — et à pinces, forcément, pas en EasyJet®.

    Ce qui conduit la vieille Garreau à l’hypothèse suivante : en fait la femme d’Egtved était une influenceuse de l’Antiquité, et le Danemark de l’époque avait la même fonction que le Dubaï d’aujourd’hui. D’alleurs ça commence par la même lettre ; coïncidence ?

    Ce qui est bath, avec Sapiens Sapiens, c’est qu’iel a beau se gargariser de prétendues « innovations » iel n’invente fondamentalement jamais rien et fonctionne de manière archaïquement identique depuis la nuit des temps.

    #MamieNicoleAnthropologueDébutante.

  • insiste peut-être lourdement mais elle croit que c’est vraiment le seul enseignement que nous apporte la plus épaisse des solitudes : ce que nous prenions pour notre identité ou notre personnalité n’existe pas, c’est uniquement une construction sociale, une tentative pour s’inscrire dans la fantasmagorie collective — si cette collectivité disparaît il ne reste assez rapidement plus rien des échafaudages que nous y avions érigés (ou que nous y avions laissé ériger) dans le seul but de survivre. Ainsi « quand on est dans le désert depuis trop longtemps » (© Capdevielle) on n’a plus ni nationalité ni couleur de peau, on n’est plus ni belle ni moche, ni trotskyste ni stalinienne, on n’a ni sexe ni genre ni nom ni prénom, on n’est plus ni gentille ni méchante ni ceci ni cela. On est seulement une machine réduite (ou élevée !) à sa plus intrinsèque expression : un amas de bactéries ordinaires dans le grand fatras du vivant, un organisme dont l’unique fonction est de transformer l’oxygène en gaz carbonique et les nutriments en engrais.

    Un seul élément de notre consubstantialité n’est pas une simple vue de l’esprit : l’âge. À la différence de tout le reste l’âge est une donnée objective qui ne dépend d’aucune relation avec autrui et nous poursuit jusqu’au plus profond de notre ermitage. On est soit jeune soit vieille soit entre les deux. C’est factuel. Ce n’est pas sujet à interprétation. Ce n’est pas une image, on n’a pas besoin du miroir de la Société pour s’y situer et le savoir.

    C’est pour ça qu’elle écrit si souvent qu’elle est mathusalemique, cacochyme et subclaquante : c’est aujourd’hui la dernière chose qu’elle puisse considérer comme étant réellement constitutive de son individualité.

    #MamieRadote.

  • n’a pas parlé de bouquins depuis un bon moment, n’est-ce pas ? Bah oui, chaque année c’est pareil, avec le début de la saison des pluies elle lit moins — elle a pour habitude de bouquiner en plein air, ses vieux yeux sont désormais à la peine dans la semi-obscurité permanente de la thébaïde.

    Alors bon, elle compense, hein, elle écoute des lectures et des adaptations radiophoniques sur France Cul’ ou ailleurs. Ce n’est certes pas tout à fait pareil mais c’est bath quand même, et puis elle a remarqué que « lire avec les oreilles » avait tendance à la ramener vers les classiques et à combler quelques unes de ses honteuses lacunes en ce domaine.

    Bizarrement elle ne se sent pourtant pas légitime à parler de textes qu’elle a entendus et non pas lus. Comme quoi même si elle s’autoproclame reine des wokistes, il y a encore des choses qu’elle a du mal à déconstruire.

  • ne dispose peut-être que de dix-sept centimes d’avoir sur sa carte de fidélité à votre saleté de magasin mais... bien sûr que vous allez les lui déduire immédiatement du prix de son bloc de tofu ! Qu’est-ce que vous croyez ? Qu’elle va thésauriser, attendre une éternité d’en avoir accumulé deux ou trois de plus avant de les utiliser ? Ha ha, mais à son âge elle n’a plus le temps, d’ici dix à douze minutes elle sera morte et enterrée or elle n’a aucune intention de vous laisser prospérer sur son cadavre !

    Tenter d’essorer les subclaquantes jusqu’à la dernière seconde ; la voilà la philosophie de l’Économie de marché.

  • la connaît, elle, la solution — L’UNIQUE solution — qui permettrait de résoudre d’un seul coup d’un seul tous les problèmes économiques, les histoires de dette publique, de dette extérieure, d’inflation, de déflation, de stagflation et autres fariboles ; seulement si elle l’exposait ici elle vous parie que Zuckerberg (1) viendrait chouiner que la publication va à l’encontre des standards de la communauté.

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    (1) Pour rappel, tous ces dazibaos sont initialement publiés sur Facebook...

  • vient d’apprendre un mot ! Ça alors ! À son âge mathusalemique, vous vous rendez compte ? « Apophénie » ! C’est tout de même étrange qu’elle découvre ce terme seulement aujourd’hui, non ? C’est à se demander s’il n’y aurait pas un message caché...

  • était au lavoir municipal. Pendant que ses sarouals, ses robes de princesse et ses tabliers à fleurs virevoltaient dans le tambour d’une machine elle s’était assise tout au bout du banc : ne regardant strictement personne, tenant un gros bouquin sur les genoux et avec les écouteurs du walkwoman vissés dans les oreilles elle arborait son habituelle mine renfrognée signalant clairement qu’elle n’est absolument pas « open » et qu’il vaut mieux s’écarter si l’on ne veut pas se prendre un méchant coup de sac à main — bref, tous les voyants étaient au rouge et n’importe qui aurait dû fuir.

    Eh bien vous la croirez si vous voulez mais une autre usagère des lieux a tout de même essayé d’engager une conversation avec elle.

    Comme quoi les rombières acariâtres ne sont jamais tranquilles nulle part tant leur charisme est incroyable.

  • ne parvient pas à se rappeler l’auteurice de la maxime « Le Code pénal c’est comme un dictionnaire médical, en lisant ça on risque d’attraper n’importe quoi », mais elle croit qu’il en va de même pour à peu près tous les domaines. Là par exemple elle écoute un balado résumant les tenants et aboutissants des principales écoles philosophiques occidentales, et du nihilisme au matérialisme dialectique en passant par l’existentialisme ou le rationalisme elle se reconnaît « au moins un petit peu » dans presque toutes, l’exception étant peut-être l’humanisme qui lui passe complètement au-dessus de la tête.

    En fait sa personnalité toute entière est contenue dans la conscience aiguë que la personnalité n’existe pas.

  • est désolée mais même quand on lit un bouquin vintage, là, un truc en papier qui ne sent pas très bon, eh bien le livre c’est le serveur, le ciboulot c’est le disque dur sur lequel on va le télécharger, et la vision c’est la connexion Wi-Fi ! Intrinsèquement il n’y a pas de différences, ça fonctionne pareil, l’informatique et Sapiens Sapiens c’est kif-kif bourricot — d’ailleurs le Lectorat le plus assidu s’en souviendra, la vieille dictateuse avait jadis développé toute une théorie sur le fait que nous n’étions que des ordinateurs croyant s’être affranchis et cherchant à se dupliquer.

    Non, la seule chose qui nous distingue encore un peu de ce que nous prenons pour des machines c’est l’orgueil — mais ce n’est qu’une question de temps, quelques fils à transformer en nerfs et le tour sera joué. Et quand l’ordinateur nouvelle génération nous aura supplanté·e·s (bon débarras !), nous qui serons l’ancienne, il adoptera la même démarche en se considérant comme être vivant et en élaborant d’autres appareils à peine moins sophistiqués qu’il nommera à son tour « informatique ».

    Combien de fois ce processus s’est-il déjà répété jusqu’à aujourd’hui ? Ha ha, même cette question est nulle et non avenue : pour savoir cela il faudrait qu’il y ait un point de départ, une linéarité, une direction, une fin. Mais nous (et donc l’Univers) ne sommes que des 0 et des 1, il n’y a donc pas de limites physiques, spatiales ou temporelles !

    Savoir pertinemment que rien n’existe concrètement et pourtant devoir vivre comme si ce n’était pas le cas ; vous admettrez que si nous n’étions pas entre esthètes et érudit·e·s y aurait de quoi virer zinzin.

  • n’était à sa place nulle part, de toute façon : elle était trop gueuse pour aller avec les bourges mais trop bourge pour fricoter avec les gueuses, trop intello pour s’assimiler aux populos mais trop populo pour avoir une place chez les intellos, trop hommasse pour s’intégrer dans les groupes de filles mais trop girly pour traîner dans ceux des garçons, trop trotskyste pour dictater auprès des stalinien·ne·s mais trop stalinienne pour révolutionner avec les trotskystes — on vous en passe et des meilleures.

    En revanche quiconque l’aurait traitée de centriste se serait pris un grand coup de sac à main.

  • écoute l’émission scientifique de France Cul’ sur l’existence ou la non-existence du hasard et à un moment une des intervenantes définit celui-ci comme l’absence de corrélation en prenant l’exemple suivant :

    « On a constaté que les pays où l’on mangeait le plus de chocolat sont également ceux dont sont originaires le plus de personnes ayant reçu le prix Nobel, mais c’est une simple coïncidence puisqu’il n’a jamais été prouvé que le chocolat rendait plus intelligent ».

    Ha ha, non, certes, chère madame ; en revanche le fait d’avoir les moyens financiers de bouffer du chocolat — nourriture superfétatoire s’il en est — prouve que l’on n’a pas de souci pour s’alimenter à satiété, or il est beaucoup plus aisé de rédiger des monuments littéraires ou de réfléchir à la mécanique quantique quand on est repu·e que quand on est dans un patelin du tiers ou du quart-monde à crever la dalle en se prenant des missiles sur la tronche.

    Si les ceusses qui baignent dans le cacao reçoivent davantage de prix Nobel que les autres ce n’est pas une question de hasard ou de non-hasard, mais uniquement de sociologie et donc de politique.

    Allez, sans rancune, mais la prochaine fois que vous avez besoin d’une expertise invitez plutôt des punkàchiennes goudous nullipares stoïco-nihilistes kimilsungistes-kimjongilistes-kimjongunistes, elles sont beaucoup plus awares que les bourgeoises.

  • avait bien besoin de cela en plus, tiens : elle s’est fait un tour de rein en ne faisant le tour de rien, si bien qu’elle ne peut même plus aider sa vieille chienne à monter sur le canapé — il y a Gai-Luron et Belle Lurette que la pauvre bête n’y parvient plus toute seule.

    Ces deux-là vont finir comme deux baleines échouées gisant sur le sol de la thébaïde.

    Mourez à vingt ans : après il n’y a plus rien d’intéressant.

  • a vu aujourd’hui un gentil poney anti-bonnet lentiponner dans le Bourbonnais tandis qu’un gars à bonnet qui fut déjà poney se déboutonnait pour se pomponner.

    Maintenant elle ne va pas l’écrire de peur de voir des abonné·e·s se désabonner.