Numéritérature

"Lire un ePub, sur liseuse ou non, signifie d’entrer dans une nouvelle dimension. Et s’il y demeure l’essentiel, à savoir mots et littérature, en celle-là nous est offert une nouvelle expérience de lecture… Je vous invite donc à ne pas manquer cette excitante aventure !"
►http://numeriterature.com/2012/04/05/lire-un-epub-introduction

Je ne pouvais raisonnablement faire l’impasse sur de plus amples précisions. Particulièrement après avoir publié dans ce format le premier « Numéritérature Magazine » (sur lequel je m’appuierai d’ailleurs lors des démonstrations pratiques, que vous trouverez dans une seconde partie)… Je suis assez convaincu – du reste – que d’aucuns ont dus rester pantois, à la vue de cette étrange extension « .epub ». Quelques-uns auront sans doute téléchargé ce premier e-magazine sur la littérature numérique sans savoir trop qu’en faire…

#ePub, #Lecture, #Numérique, #Livrel, #Numéritérature,

Déjà plusieurs participations au débat ! N’hésitez pas à apporter votre pierre à l’édifice ! ;-)
►http://numeriterature.com/2012/03/23/du-salon-du-livre-au-salon-du-lire

Votre article me laisse sceptique mais j’ai tout de même envie d’y répondre. Non pour vous offrir une réponse hautaine et sarcastique mais plutôt pour exprimer sincèrement mes doutes, tout en vous confortant un minimum, car de telles réflexions et incitations à l’action me paraissent utiles dans le secteur de l’édition numérique.

...

Willem, tu poses des questions légitimes et ton article est très intéressant (une mention pour le livre connecté vs enrichi, j’attends ton billet avec impatience).

...

Ce n’est pas souvent que je sors mon clavier vengeur pour y aller de mon commentaire fougueux, car ces élans du coeur ne me semblent au final que quelques gouttes de pipi dans le grand océan de pixel. Au mieux ça ne sert qu’à soulager l’affect, mais dans le fond, cela ne fait pas avancer le schmilblick d’une once. Une réponse pour être étayée demanderait beaucoup plus de temps que celui que je vais y consacrer, et, de plus, pour régler ce genre d’affaire, je préfère d’avantage l’action

...

L’idée d’un salon du lire virtuel, me plaît. On pourrait y ajouter des actions concrètes, cad des rendez-vous en réel dans lesquels lecteurs, auteurs ,éditeurs se rencontreraient à travers lectures et activités d’un autre type que ce qui existent déjà, en s’inspirant des nouvelles relations qui s’établissent entre ses trois partenaires dans le numérique.

...

Tu as bien raison Willem, l’objectif qui me semble majeur est de toucher les journalistes du “vieux monde” comme tu dis ! L’idée serait de le faire avec moins de moyens (en temps et en argent) possibles je pense, quitte à en effet songer à une plateforme de la lecture numérique telle que tu la conçois, une fois que les pure players ou d’autres auront les moyens de la mettre en place.

...

Beaucoup de choses à dire, pour réagir au sujet de ce billet. Pas le temps de m’étendre pour le moment mais, tout de même, je voulais rappeler qu’il y a déjà eu des expériences de “Salon du livre en ligne”. Le site ►http://www.planetexpo.fr où ça se passait n’existe plus, mais j’ai retrouvé un petit compte-rendu ici :
►http://www.artesi-idf.com/article.php?artno=2328&headLine=srubri
En clair, en novembre 2000, des auteurs et éditeurs tenaient des stands virtuels, discutaient sur des forums spécifiques dans le site, s’échangeaient des dédicaces…

#Ebook, #Livrel, #Numérique, #Internet, #Numéritérature, #Débat

Un salon littéraire numérique ? Le débat est lancé ! Venez participer :
►http://numeriterature.com/2012/03/23/du-salon-du-livre-au-salon-du-lire

Du Salon du Livre au Salon du Lire…

Dès lors, n’est-il pas temps de prendre le sujet à bras-le-corps ? Je veux dire : à quand un authentique Salon du Lire ? Lequel, loin de servir à l’auto-promotion d’un éditeur en particulier, serait au contraire un point de convergence pour tout acteur de la présente révolution numérique. Puisque de deux choses l’une : soit nous attendons l’hypothétique initiative du vieux monde (tout en continuant de rouspéter depuis notre « ghetto »), soit nous prenons le parti de l’action (en s’employant alors à bâtir un modèle nouveau)… Et je n’entends ici faire la leçon à personne. Pas plus que je ne prétends détenir la réponse au problème posé. Quant à ce projet, pour le reste, il ne me revient pas personnellement de le mettre sur pied. C’est aux maisons 100% numériques qu’appartient d’abord cette question. Puis ensuite à nous, tous autant que nous sommes, à savoir les « littéraires connectés ».

...

Un texte dont je vous conseille vivement la lecture !
►http://www.shaomi-blog.net/2012/03/la-mort-inutile-de-mohammed-merah.html

La mort inutile de Mohammed Merah

Il était jeune, il était beau, il sentait bon le sang chaud... Il était mort et il avait tout fait pour...

Mohammed Merah est mort. Il a défrayé la chronique et il est mort. Affaire classée...

Qu’est-ce que t’as branlé, Mohammed ? Elle a servi à rien, ta mort de pseudo-martyr...

Qu’est-ce que t’as branlé, Mohammed ? À l’heure où j’écris ces lignes, samedi soir, tu pourrais être quelque part en boite, en train de rigoler avec tes potes, de séduire une minette aux yeux de biche, de faire des conneries de petit con peut-être, mais des conneries qui au moins ne prêteraient guère à conséquences. Après ça, tu te serais sans doute marié, t’aurais eu quelques gamins, t’aurais p’têt’ ben divorcé aussi au bout du compte mais quand même ta mère, là, au lieu de pleurer toute seule dans son lit jusqu’à la fin de ses jours, elle aurait pu faire sauter ses petits-enfants sur ses genoux. Tu crois pas que ça aurait été plus joli, comme tableau ?

Du Salon du Livre au Salon du Lire…
►http://numeriterature.com/2012/03/23/du-salon-du-livre-au-salon-du-lire

En traitant de l’actualité numérique au récent Salon du Livre de Paris , j’ai discerné un certain rejet des « technophiles » envers cette manifestation. Sentiment que – du reste – je saisis parfaitement, n’étant moi-même que peu adepte de ces grandes foires commerciales. Ceci additionné aux multiples divergences entre acteurs de l’édition papier et ceux de l’électronique… Néanmoins, soyons clairs : mon objectif n’était – au travers de mes précédents billets – que de relayer une information. Laquelle m’a paru somme toute utile… Il en demeure cependant que, au fil de ces derniers jours, a mûri en moi l’idée du présent appel . Car je me propose bien ici de faire ce que j’oserais désigner sous le terme de « plaidoyer » .

...
#Appel, #Numérique, #Salon #Littéraire, #Numéritérature

« Aimer, c’est résister. » – recueil collectif

►http://numeriterature.com/2012/03/19/aimer-cest-resister-recueil-collectif

Dix choix à se surprendre . À se délecter . À se perdre . Et à reprendre, parfois. Mais à ne pas résister … Avis aux lecteurs curieux : il se trouve ici de quoi satisfaire vos désirs d’explorations . Et aimer – pour le coup – c’est créer…

#Livre, #Numérique, #Édicool, #Numéritérature

« Aimer, c’est résister. » – recueil collectif
►http://numeriterature.com/2012/03/19/aimer-cest-resister-recueil-collectif

Ce livre constitue pour moi une double découverte . Si ce n’est même davantage. Car je ne connaissais les éditions Édicool que de nom, n’ayant jusqu’ici croisé leur logo qu’au détour d’un tweet ou l’autre. De même que j’ignorais tout de cette récente collection, la bien nommée « Les 10… » , mise en orbite numérico-littéraire depuis octobre 2011. Et dont le principe consiste à réunir dix plûmes des plus novatrices , ceci autour d’un thème donné. « L’affaire » du Sofitel et sa désormais célèbre suite 2806, pour le mot d’ordre d’hier ; et l’amour – en ce qu’il est une résistance – aujourd’hui…

#Critique, #Numérique, #Littérature, #Numéritérature

À l’occasion du Salon du Livre qui vient d’ouvrir ses portes, le Syndicat National de l’Édition (SNE), présidé par Antoine Gallimard, publie une intéressante “Lettre ouverte aux candidats” de la prochaine élection présidentielle.
►http://numeriterature.com/2012/03/16/sne-lettre-aux-candidats-a-lelection-presidentielle

Réaffirmation du rôle essentiel de l’éditeur , face au défi des nouvelles technologies (internet et numérique).

Défense du prix unique du livre , y compris pour les formats numériques (Ce qui est contesté par “certains grands opérateurs de l’Internet”, considérant que cette mesure favorise un prix trop élevé).

Réaffirmation du droit d’auteur à l’ère numérique (Une défense qui me semble être ici faite avec un soupçon de mauvaise foi. Et l’on sourira de la référence aux propos de Steve Jobs).

Promotion de la lecture .

Je vous offre ici de télécharger la fameuse lettre ouverte (PDF)

SNE : Lettre aux candidats à l’élection présidentielle !
►http://numeriterature.com/2012/03/16/sne-lettre-aux-candidats-a-lelection-presidentielle

À l’occasion du Salon du Livre qui vient d’ouvrir ses portes, le Syndicat National de l’Édition (SNE), présidé par Antoine Gallimard, publie une intéressante “Lettre ouverte aux candidats” de la prochaine élection présidentielle. Ledit document témoigne des inquiétudes vis-à-vis de la révolution numérique en cours, mais aussi des ambitions du monde éditorial français en la matière. On y apprend, entre autres, que la part du numérique dans le marché du livre “grand public” ne représente pas même 2% à ce jour. Et seulement 5% des Français auraient déjà lu un livre numérique . Ces chiffres sont issus du Baromètre SOFIA-SNE-SGDL sur les usages du livre numérique, laquelle étude devrait être dévoilée en intégralité aujourd’hui même… Au-delà de ces considérations, l’appel du SNE se présente en quatre points :
...

Le numérique au Salon du Livre de Paris…
►http://numeriterature.com/2012/03/15/le-numerique-au-salon-du-livre-de-paris
#Demain :

Sur la Scène numérique (D8) :

De 10H30 à 18H00 : « Les Assises du livre numérique »

Cette manifestation propose un tour d’horizon des opportunités, innovations et perspectives du numérique pour le secteur de l’édition, en présence d’intervenants experts dans leur domaine.

(Dont voici un programme plus précis : Matinée – Après-midi)

À noter qu’entre 10H30 et 11H30 sera présenté le « baromètre SOFIA–SNE–SGDL sur les usages numériques », à propos duquel vous aurez plus de précisions ici.

De 18h00 à 19h30 : « Révolution numérique et diffusion des savoirs »

L’institut français, en partenariat avec l’INA, le Collège de France, la BnF et la Société Européenne des Auteurs, présente ses nouveaux outils numériques à l’attention des professionnels du livre français et étrangers et du grand public.

De 19h30 à 20h30 : « Présentation de BD numériques »

BD sur tablettes et mobiles : portrait d’un acteur totalement numérique, AveComics plateforme de lecture et de vente.

Au stand du syndicat national de l’édition (H11) :

De 11H30 à 12H30 : « Littérature jeunesse et nouveaux supports de lecture »

Tablettes numériques, ebooks, téléphones, ordinateurs, comment évolue la littérature de jeunesse avec la multiplication des supports de lecture ? Des albums aux documentaires, des livres pour tout-petits aux romans, qu’apporte à chacun le développement du numérique ?

Le numérique au Salon du Livre de Paris…
►http://numeriterature.com/2012/03/15/le-numerique-au-salon-du-livre-de-paris

Je ne crois pas vous apprendre, si vous êtes Français et amateur de littérature, que le Salon du Livre de Paris s’ouvre officiellement ce vendredi… Mais quelle y sera donc la place de l’édition numérique ? Je me propose ici de vous en offrir un petit aperçu. Et le moins qu’on puisse dire, à ce stade, est que la part dédiée aux nouvelles technologies devient de plus en plus conséquente… « Désormais, la question n’est plus de savoir si le livre sera ou non numérique, mais bel et bien d’en saisir concrètement toutes les opportunités et les enjeux. »

Entretien avec Anita Berchenko : « Je revendique d’être un auteur numérique ! »
►http://numeriterature.com/2012/03/13/anita-berchenko-je-revendique-detre-auteur-numerique

Anita Berchenko est assurément de ces auteurs qui ont très tôt lié leur plume aux nouvelles technologies . En pariant sur l’immense potentiel de la Toile, d’abord, où elle tient un blogue depuis plusieurs années. Et non seulement d’y offrir quelques-unes de ses œuvres en lecture libre , cette dernière rédige des billets très pertinents sur la littérature à l’heure de l’informatique . J’en veux pour preuve les textes « Le rêve de l’araignée », « Papyrus numericus », et « L’araignée se réveille », que je vous recommande chaudement… Puis celle-ci a encore relevé le défi – corps et âme, si j’ose dire – de l’édition numérique. En 2011, elle publie coup sur coup « Les hirondelles sont menteuses » et « Suite 2806 » chez NUMERIKLIVRES , tout en devenant directrice de collection pour le compte de ce même éditeur… Mais trêve de présentations ! Pour en apprendre davantage à son propos, entamons au plus vite cette interview …

« Ah. », premier livre 100% numérique d’une « major » !
►http://numeriterature.com/2012/03/03/ah-premier-livre-100-numerique-dune-major

Il y a deux mois paraissait le premier livre 100% numérique d’une grande maison d’édition française. En l’occurrence, au Seuil… Je vous propose ici un petit compte rendu de cette sortie, et cela sans occulter les opinions – plutôt critiques – qu’elle aura suscitées sur la Toile…

Cinq nouvelles chaudes autour du numérique…
►http://numeriterature.com/2012/03/11/en-vrac-4
Certains d’entre vous auront certainement vu tourner cet article sur les réseaux sociaux. Celui-ci m’a paru d’une telle pertinence, cependant, que je ne pouvais m’empêcher de l’épingler ici. Et ce n’est pas tant le plaidoyer en faveur du numérique qui s’y trouve intéressant, mais bien cette très juste définition de la littérature : « L’expérience littéraire ne repose pas sur un moment de perception, ou sur un contact physique avec un objet matériel (…), elle réside dans le mouvement de l’esprit suivant une séquence de mots de son début à sa fin. Plus que toute autre forme d’art, c’est du pur matériel mental, aussi proche que possible de la pensée elle-même. »

Peut-être êtes-vous au courant qu’un nouvel éditeur 100% numérique a fait son apparition sur la Toile. Il s’agit des « Éditions de Londres », qui publient pour le moment et gratuitement plusieurs œuvres tombées dans le domaine publique ( Voltaire, Victor Hugo, Rimbaud, Gérard de Nerval, Jules Vernes ,…), initiative toujours bonne à prendre. Voici une interview assez franche du fondateur, Vincent Potier.

Si vous habitez la France (et plus particulièrement les villes de Paris, Nantes, Rennes, Toulon, ou Toulouse ), je souhaite attirer votre attention sur divers événements organisés ce lundi 12 mars . Leur but étant de faire se rencontrer grand publique et édition numérique.

Voilà justement quelques chiffres concernant les parts de marché du numérique dans le monde de l’édition. ( 8% aux États-Unis , 6 % en Grande-Bretagne , et seulement 1,8% en France )

Je vous parlais précédemment du premier éditeur 100% numérique belge, et de la revue littéraire dont il était en quelque sorte le prolongement. Cette dernière a précisément eu la fierté de publier son centième texte. Lequel est signé par Nicolas Ancion , dont je vous invite à découvrir le fameux « Tant de chiens » .

À bientôt pour un prochain aperçu de l’actualité numérique !

En aparté avec Jacques Mercier !
►http://numeriterature.com/2012/03/06/en-aparte-avec-jacques-mercier

Face à quiconque ne connaîtrait pas Jacques Mercier, je déduirai qu’il vit en dehors du « Plat Pays ». Car c’est ici rien moins qu’une figure culturelle belge que j’ai l’honneur d’interviewer… Jacques Mercier est d’abord une personnalité des médias, actif tant en radio qu’au petit écran, où il s’est fait connaître à travers d’innombrables émissions alliant la culture au ludique. Mais c’est aussi et bien sûr un homme de lettres, dont la bibliographie est longue d’une quarantaine de titres. On découvre, parmi ceux-ci, essais, romans, recueils de nouvelles ou encore de poésie. Il signe aujourd’hui « L’orage », chez ONLIT BOOKS, nouvel éditeur numérique belge… Je vous proposerai, en fin d’échange, divers liens pour le découvrir davantage… Mais plongeons à présent dans le vif du sujet, et cela par une entrée en matière très… « ardissonienne »…

►http://numeriterature.com/2012/03/09/la-pile-du-pont-audrey-betsch

Je peux d’ores et déjà vous le confirmer… Ce roman est d’un matériau absorbant. Du fait de son sujet, d’abord. Où nous partageons la vie âpre et déréglée d’une infirmière de nuit. Cloé. Trentenaire. Divorcée. Ne voyant sa petite fille – Zoé – que trop épisodiquement, en alternance avec le père… Serait-ce l’auteure elle-même ? « La pile du pont » prend en tout cas les formes d’une autofiction, en laquelle on ne peut s’empêcher de voir une forte empreinte autobiographique…

En vrac « Numéritérature »
►http://numeriterature.com/2012/03/04/en-vrac-3

Cinq nouvelles chaudes autour du numérique…

Face à quiconque ne connaîtrait pas Jacques Mercier , je déduirai qu’il vit en dehors du « Plat Pays » . Car c’est ici rien moins qu’une figure culturelle belge que j’ai l’honneur d’interviewer… Jacques Mercier est d’abord une personnalité des médias, actif tant en radio qu’au petit écran, où il s’est fait connaître à travers d’innombrables émissions alliant la culture au ludique. Mais c’est aussi et bien sûr un homme de lettres , dont la bibliographie est longue d’une quarantaine de titres. On découvre, parmi ceux-ci, essais , romans , recueils de nouvelles ou encore de poésie . Il signe aujourd’hui « L’orage », chez ONLIT BOOKS , nouvel éditeur numérique belge… Je vous proposerai, en fin d’échange, divers liens pour le découvrir davantage… Mais plongeons à présent dans le vif du sujet, et cela par une entrée en matière très… « ardissonienne »…

►http://numeriterature.com/2012/03/06/en-aparte-avec-jacques-mercier

Interview d’auteur numérique : Jacques Mercier, figure médiatique belge !

►http://numeriterature.com/2012/03/06/en-aparte-avec-jacques-mercier