Passerelle Eco

Editeur de pratiques pour l’écovillage global et pour la transition permaculturelle

  • Création d’un Écolieu Décroissant d’Habitat Réversible en Bretagne
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2446

    Nous vous proposons une rencontre le 15 Décembre pour vous présenter un projet de création d’un écolieu géant d’habitat réversible avec des axes importants de décroissance, d’autonomie et de soutenabilité. Le projet d’acquisition d’une ferme se situera proche du train, entre Nantes et Auray. Ici c’est la première phase de création du groupe des futurs résidents. Dans la salle 42 au Solilab, 8 Rue de Saint-Domingue à Nantes à 18h30 Un écovillage décroissant d’habitat réversible en Bretagne : des axes pour (...)

  • Procès gagné : l’état a l’obligation d’agir pour le climat
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2443

    Le 14 octobre dernier, grâce à l’Affaire du Siècle, l’État a été condamné à agir pour le climat ! Il a jusqu’au 31 décembre 2022 pour réparer les conséquences de son inaction climatique entre 2015 et 2018. Autrement dit, l’État a 14 mois pour rattraper le retard accumulé en 3 ans : il doit doubler l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre prévu en 2022 ! Les juges ont tranché : l’Etat n’a plus le choix, la France doit agir concrètement et rapidement pour le climat ! Ainsi, l’Affaire du (...)

  • Plantes et arbres supportant la juglone et pouvant pousser sous un noyer
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2440

    La culture sous un noyer ou à proximité d’un noyer est difficile, voire impossible, car le noyer secrète une substance, la juglone, qui élimine la concurrence. Il existe cependant quelques plantes qui peuvent pousser sous un noyer ou à proximité. Cet article présente la juglone, son rôle et une liste de plantes résistant à la juglone. Cet article vient en complément à la revue Passerelle Eco n°77 Les noyers et caryers produisent la juglone chimique (5 hydroxy-1,4-napthoquinone), qui est exsudée par (...)

  • Nouvelles et rendez-vous de La Smala, Écovillage et Habitat Participatif
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2442

    Chers ami.e.s de la Smala, bonjour, Dans nos écovillages, on est heureux. On mange bien, on s’entraide, et on organise des concerts sympa cet automne. Tous les logements et ateliers sont attribués. Il y aura de nouvelles options dès printemps 2022. Le saviez-vous ? L’UNFCCC est l’agence de l’ONU qui organise les COP. On parle beaucoup de la COP26 ces jours. Mais la marée monte, et c’est le thème du prochain TEDxGeneva en FR&EN, organisé avec l’UNFCCC le 12 novembre pour donner la parole aux (...)

  • Pétitions pour la protection des haies bocagères
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2435

    La revue Passerelle Eco n°77 sur le thème « Jardins Vergers et Haies Fruitières » présente les mesures gouvernementales en faveur de la protection des haies et en faveur de la plantation de haies bocagères. Comme le cadre juridique est insuffisant, des actions locales ou nationales se montent pour demander son renforcement ou pour la défense d’un site particulier. Cette page présente quelques pétitions successivement : pour la défense et la protection des haies bocagères existante pour le (...)

  • Passerelle Eco n°77 « Les Fruits de la Biodiversité 2) Jardins forêts et haies fruitières »
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2441

    Après la création d’un verger écologique, cette revue présente la création de jardins-forêts et de haies fruitières. Choisir les espèces, associer les plantes et former des guildes, création de baissières et gestion de l’eau, haies fruitières écologiques et commerciales, à haute biodiversité de Evelyne Leterme, jardins forêts, forêt comestible de Damien Dekarz, jardins vergers de Antoine Talin...

    • C’est pervers. Les vieux schnocks réacs se félicitent d’avoir réussi á enrichir leur cérémonie d’Oscars de pacotille par la présence de l’incarnation de l’innocence naïve qui en plus leur a fait le plaisir de venir habillée tout en blanc - á vomir.

      C’est de la récup et connaissant la tendance politique des organisateurs de l’événement il est évident que la présence de la figure de proue du mouvement contre la catastrophe climatique nuit à sa propre cause.

      Allez, continuez á acheter des domaines en Nouvelle-Zélande, ce sera le dernier endroit á couler avent l’arrivé inexorable de l’apocalypse finale. Greta, c’est un élément de décor romatique pour ceux qui n’ont pas encore compris qu’on les a trahi et abandonné en route vers l’île á hélice.

      Goldene Kamera – Wikipedia
      https://de.wikipedia.org/wiki/Goldene_Kamera

      Die Goldene Kamera ist ein deutscher Film- und Fernsehpreis der Funke Mediengruppe. Zuvor war es von 1966 bis 2015 der Preis der Fernsehzeitschrift Hörzu des Axel-Springer-Verlags. Deutsche Schauspieler und internationale Hollywood-Stars werden einmal im Jahr auf einer Gala mit der goldenen Trophäe für herausragende Leistungen ausgezeichnet. Die Preisvergabe ist nicht nur auf Fernseh- und Filmschaffende begrenzt, auch wenn diese den Schwerpunkt der Ausgezeichneten bilden. Auch Musik-Acts zählen regelmäßig zu den Preisträgern.

      #climat #politique #médias #Allemagne

    • @klaus merci pour ton sentiment sur cette apparition de Greta à cet événement.

      J’aurais bien aimé écouter sa réaction après la récompense, j’ai trouvé une vidéo mais c’est doublé et difficile à comprendre

      https://www.youtube.com/watch?v=29k-f9K0NmQ

      Par contre on peut écouter ici une autre interview, cette fois-ci c’est en VO anglais non doublé :

      https://www.goldenekamera.de/preisverleihung/nominierte-preistraeger-2019/article216784787/Greta-Thunberg-Ich-bin-nicht-wie-alle.html

      On peut lire aussi les réactions de la twittosphère, mais c’est incompréhensible des francophones :

      https://twitter.com/goldenekamera/status/1112088906240012290
      https://twitter.com/goldenekamera/status/1112090758947983360

      « Mon billet », comme dit #Franck_Lepage, qu’il y aura une réaction, probablement dès @lundimatin ;-)

    • Elle parle trés bien, mais ses mots sont aussi acceptables pour les auteurs crypto-fascistes des georgia milestones comme pour un socialiste écologique parce qu’elle tient le discours de la reponsabilité individuelle (qui est toujours en jeu) sans mentionner la décroissance planifiée nécessaire pour une solution pacifique du problème de fond.

      Elle évite surtout de nommer les forces et les personnes qui s’opposent á ce chemin qu’il faudrait écarter du pouvoir si on voulait sérieusement changer quoi que ce soit.

      J’aime son humour quand elle s’adresse aux vedettes présentes en leur expliquant qu’il faudrait arrêter de prendre l’avion pour se rendre á sa plage tropicale préférée. Tout le monde applaudit en sachant pertinemment que son prochain séjour sur les îles des Seychelles est déjá programmé.

      C’est un événement organisé par des faux culs pour une bande d’hypocrites et tout le monde les regarde à la télé en s’imaginant comment ce serait si on pouvait aussi partir au soleil loin des soucis quotidiens.

      Tu veux une alternative ? Voilà : Il faut se battre courageusement sans avoir peur de mourir. C’est l’unique attitude qui corespond à la taille du problème.

      Белое солнце пустыни
      (White Sun of the Desert - v.o. russe avec sous-titres en anglais)
      C’est l’autre maniére de prendre du soleil.
      https://www.youtube.com/watch?v=GqnqFhc9aho

    • Merci @fr06 pour cette source :

      Le capitalisme vert utilise Greta Thunberg
      https://reporterre.net/Le-capitalisme-vert-utilise-Greta-Thunberg

      Je résume. Nous avons d’un côté une plateforme numérique en construction, We Don’t Have Time, qui a pris un réel essor il y a quelques mois grâce à Greta Thunberg, « jeune conseillère » de la fondation dirigeant cette plateforme. J’ai oublié de préciser au passage que les centaines de milliers d’adresses mail collectées par Rentzhog valent de l’or. Et de l’autre, nous avons une famille de milliardaires comptant une ex-ministre qui investit dans cette start-up, puis qui embauche Ingmar Rentzhog dans un think tank développant les thèmes de la croissance verte, de l’économie circulaire, bref, de greenwashing.

      Ce greenwashing qui permet au capitalisme de perdurer. Greta Thunberg se retrouve à conseiller ceux qu’elle fustige. Comme disait l’auteur du Guépard, « si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change » (Guiseppe Tomasi Di Lampedusa).

    • Sur sa page Facebook, elle a partagé le transcript du discours.

      My speech tonight at Goldene Kamera in Berlin. There is no recording available without me dubbed into German yet...
      so here it is:

      I dedicate this award to the people fighting to protect the Hambach Forest. And to activists everywhere who are fighting to keep the fossil fuels in the ground.

      We live in a strange world. Where all the united science tells us that we are about 11 years away from setting off an irreversible chain reaction way beyond human control that will probably be the end of our civilization as we know it.
      We live in a strange world where children must sacrifice their own education in order to protest against the destruction of their future.
      Where the people who have contributed the least to this crisis are the ones who are going to be affected the most.
      Where politicians say it’s too expensive to save the world, while spending trillions of euros subsidizing fossil fuels.
      We live in a strange world where no one dares to look beyond our current political systems even though its clear that the answers we seek will not be found within the politics of today.
      Where some people seem to be more concerned about the presence in school of some children than the future of humankind.
      Where everyone can choose their own reality and buy their own truth.
      Where our survival is depending on a small, rapidly disappearing carbon budget. And hardly anyone even knows it exists.
      We live in a strange world. Where we think we can buy or build our way out of a crisis that has been created by buying and building things.
      Where a football game or a film gala gets more media attention than the biggest crisis humanity has ever faced.
      Where celebrities, film and pop-stars who have stood up against all injustices will not stand up for our environment and for climate justice because that would inflict on their right to fly around the world visiting their favorite restaurants, beaches and yoga retreats.

      Avoiding catastrophic climate breakdown is to do the seemingly impossible. And that is what we have to do.
      But here is the truth: we can’t do it without you in the audience here tonight.
      People see you celebrities as Gods. You influence billions of people. We need you.
      You can use your voice to raise awareness about this global crisis. You can help turn individuals into movements. You can help us wake up our leaders - and let them know that our house is on fire.

      We live in a strange world.
      But it’s the world that my generation has been handed. It’s the only world we’ve got.
      We are now standing at a crossroads in history.
      We are failing but we have not yet failed.
      We can still fix this.
      It’s up to us.

      source : https://m.facebook.com/gretathunbergsweden/posts/801083100259512

    • Les systèmes de traduction automatique étant manifestement incompétants en ce qui concerne l’article recommandé par @fr06 j’ai pris le temps de fabriquer une traduction en allemand qui n’a pas de vocation littéraire mais cherche à reproduire exactement le contenu de l’article d’Isabelle Attard

      Le capitalisme vert utilise Greta Thunberg
      https://reporterre.net/Le-capitalisme-vert-utilise-Greta-Thunberg

      Der Grüne Kapitalismus benutzt Greta Thunberg
      9. Februar 2019 von Isabelle Attard

      Unsere Kolumnistin verbrachte mehrere Jahre in Schwedisch-Lappland und leitete die französisch-schwedische Freundschaftsgruppe in der Nationalversammlung. So betrachtete sie mit einem gefühlvollen Blick die Geschichte der jungen Umweltaktivistin Greta Thunberg.......

      Isabelle Attard war ökologische Volksvertreterin aus Calvados. Sie bezeichnet sich als „Ökoanarchistin“.

      Seit rund fünf Monaten steht eine 16 Jahre junge Schwedinn mit Asperger-Autismus im Rampenlicht der Medien auf der ganzen Welt. Sie befindet sich in einem „Schulstreik“, um ihrer Stimme Gehör zu verschaffen, und ihr Kampf ist fair. Es geht darum, den Milliardären, den politischen Entscheidungsträgern, sei es auf der COP24 in Polen oder kürzlich in Davos, eine Botschaft zu übermitteln, um sicherzustellen, dass sie ihre Klimaverpflichtungen einhalten.

      Ihre letzte Rede hat fast jeden Umweltaktivisten auf der Welt bewegt:

      „Ich will nicht, dass du verzweifelt bist, ich will, dass du in Panik gerätst. Ich möchte, dass du jeden Tag die Angst in mir spürst und so tust, als gäbe es ein Feuer, denn es brennt wirklich. (...) Es besteht noch eine geringe Chance, die Treibhausgasemissionen zu stoppen, um für einen großen Teil der Weltbevölkerung Leiden zu verhindern.“

      Hinter diesen Highlights verbirgt sich ein kleines schwedisches PR-Genie, Ingmar Rentzhog. Die andere Seite des Märchens ist weniger schön, aber interessanter.

      Der schwedische investigative Journalist Andreas Henriksson ist nach meinen Recherchen der erste, der dieses Thema untersucht, und sein Artikel wurde am 11. Dezember 2018 im Blog von Rebecca Weidmo Uvell veröffentlicht.

      PR-spinnet bakom Greta Thunberg
      https://uvell.se/2018/12/11/pr-spinnet-bakom-greta-thunberg

      Zwichenüberschrift:
      Alles wurde sorgfältig geplant, um die junge Schwedin in eine internationale Heldin zu verwandeln.

      Die schöne Geschichte von Greta Thunberg beginnt am 20. August 2018. Ingmar Rentzhog, Mitbegründer des Start-ups We Don’t Have Time, trifft Greta Thunberg vor dem schwedischen Parlament und veröffentlicht einen bewegenden Beitrag auf ihrer Facebook-Seite. Es ist der erste Tag des von Greta begonnenen Streiks. Am 24. August erschien in einer Autobiographie, die Familienkrise und Klimakrise vermischt, Scener ur hjärtat, co-geschrieben von Malena Ernman, Greta’s Mutter, Svante Thunberg, ihrem Vater, Beata, ihrer Schwester und Greta, in den Buchhandlungen. Die Elternkünstler - Lyriksänger und Schauspieler - sind in Schweden bekannt; Greta, noch nicht.

      Tatsächlich kennen sich Ingmar Rentzhog und Greta’s Familie bereits und nahmen am 4. Mai 2018 gemeinsam an einer Klimakonferenz teil. So gab es wenig Raum für Zufälle, beim Treffen in Stockholm, auf dem Bürgersteig vor dem Parlament zwischen Ingmar und Greta.

      Alles wurde sorgfältig geplant, um die junge Schwedin in eine internationale Heldin zu verwandeln, und zwar ab dem ersten Artikel in der meistgelesenen Tageszeitung des Landes, Aftonbladet, der nur wenige Stunden nach Rentzhog’s Facebook-Post erschien.

      We Don’t Have Time, das von ihm 2016 mitbegründete Startup-Unternehmen, hat den Ehrgeiz, ein soziales Netzwerk mit mehr als 100 Millionen Mitgliedern zu schaffen, das Politiker und Wirtschaftsführer beeinflussen wird, mehr gegen die globale Erwärmung zu tun. So steht es zumindest in der Webbroschüre des Startups.

      Ab hier wird es kompliziert. Zu den Gesellschaftern des Startups gehören die Mitglieder zweier miteinander verbundener Familien: die Familie Persson, die Kinder des Milliardärs Sven Olof Persson, der unter anderem im Autohandel (Bilbolaget Nord AB) reich geworden ist, und der Familie Rentzhog. Die beiden Investorenfamilien, die sich im Jämtland getroffen haben, haben keinen Bezug zur Ökologie, sie sind Finanzspezialisten.

      Zwichenüberschrift:
      Den Planeten retten, gleichzeitig das Wirtschaftswachstum beibehalten und mehr Globalisierung fordern.

      Im Mai 2018 wurde Ingmar Rentzhog als Präsident und CEO des Think Tanks Global Utmaning eingestellt, der nachhaltige Entwicklung fördern will und sich als politisch unabhängig erklärt. Seine Gründerin ist keine andere als Kristina Persson, Tochter des Milliardärs und ehemaligen sozialdemokratische Ministers für strategische Entwicklung und nordische Zusammenarbeit zwischen 2014 und 2016. Bei einer Analyse der Tweets des Think Tanks entdeckt man ein starkes politisches Engagement für ein Bündnis am Vorabend der Europawahlen, das von den Sozialdemokraten bis zur schwedischen Rechten reichen sollte. Der Feind sind „Nationalismen“, die in ganz Europa und der Welt entstehen. Solche würden Ideen unserem verehrten Präsident Macron nicht missfallen.

      Am 16. Januar 2019 gab Global Utmaning in sozialen Netzwerken stolz seine neue Zusammenarbeit mit Global Shapers bekannt, einer Gemeinschaft junger Führungskräfte im Alter von 20 bis 30 Jahren, „die ein großes Potenzial haben, eine Rolle in der Zukunft der Gesellschaft zu spielen und die sich für die Verbesserung der Situation der Menschen um sie herum einsetzen“. Dieses Netzwerk ist ein Produkt des Weltwirtschaftsforum 2011. Ihre Führer wollen den Planeten retten, gleichzeitig das Wirtschaftswachstum aufrechterhalten und eine noch stärkere Globalisierung fördern. Sie verfolgen ein ausgearbeitetes Programm.

      Forum économique mondial; Global Shapers — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Forum_%E9conomique_mondial#Global_Shapers

      Lassen Sie mich zusammenfassen. Auf der einen Seite haben wir eine digitale Plattform im Aufbau, „We Don’t Have Time“, die vor einigen Monaten ernsthaft Fahrt aufnahm, und zwar dank Greta Thunberg, einer „jungen Beraterin“ der Stiftung, die diese Plattform betreibt. Ich habe vergessen zu erwähnen, dass die Hunderttausende von E-Mail-Adressen, die Rentzhog gesammelt hat, Gold wert sind. Und auf der anderen Seite haben wir eine Milliardärsfamilie mit einem ehemaligen Minister, der in dieses Start-up investiert und dann Ingmar Rentzhog bei einem Think Tank anstellt, der die Themen Green Growth und Kreislaufwirtschaft fördert, d.h. Greenwashing betreibt.

      Diese Greenwashing, ermöglicht dem Kapitalismus weiter zu überleben. Greta Thunberg berät diejenigen, die sie anprangert. Es ist wie der Autor des Leopard (Il Gattopardo) sagte: „Wenn wir wollen, dass alles so bleibt, wie es ist, muss sich alles ändern“ (Giuseppe Tomasi di Lampedusa).

      Post-scriptum: Ausdrücklich gesagt sei: Der Kampf dieses Teenagers und all der jungen Menschen, die überall auf der Welt in ihre Fußstapfen treten, ist gesund und eine gewaltige Quelle der Hoffnung auf ein ökologisches Bewusstsein.

      Auf der anderen Seite denke ich, dass wir uns nicht über die Rolle bestimmter Erwachsener um sie herum täuschen lassen sollten, den Spin-Doktoren, Mentoren, Spezialisten für Greenwashing, Green Growth und Kapitalismus. Um effektiv zu kämpfen, ist es notwendig, sich nicht täuschen zu lassen.

      Diese Chronik von Isabelle Attard wurde von Osservatorio inernazional Per i Diritti ins Italienische übersetzt.
      https://www.ossin.org/uno-sguardo-al-mondo/analisi/2477-greta-thunberg-cosa-c-e-dietro-la-favola

      In einem Beitrag, der am 2. Februar 2019 auf ihrer Facebook-Seite veröffentlicht und mit Reporterre übersetzt wurde, antwortete Greta Thunberg ihren Kritikern.
      https://reporterre.net/La-jeune-militante-du-climat-Greta-Thunberg-repond-a-ses-detracteurs

      Originaltext:
      https://m.facebook.com/732846497083173/posts/767646880269801

  • Le bio peut-il nourrir la planète ? | www.natureandmore.com
    https://www.natureandmore.com/fr/all-about-organic/le-bio-peut-il-nourrir-la-planete

    - En Europe et Amérique du Nord : avec de bonnes conditions de culture, et un usage présumé élevé d’engrais et de pesticides, le rendement du bio est 60 à 100% celui du conventionnel, selon la culture.
    – Dans le second monde : avec des conditions de culture mitigées et un usage présumé plus irrégulier d’engrais et de pesticides, le rendement du bio est 92 à 100% celui du conventionnel, selon la culture.
    Dans le tiers-monde : avec des conditions de culture difficiles, des intrants faibles, dans les zones d’agriculture vivrière, le rendement du bio est 100 à 180% celui du conventionnel.

  • À La Barrejaire, création, chantier et éduc’pop
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2437

    Salut à toustes, C’est Émilie, nouvellement salariée de La Barrejaire. Me voilà dans ce bureau si atypique, où je peux écouter et observer la nouvelle saison s’installer. Dans mes rêveries je me demande à quoi celle-ci va ressembler après cet été d’automne. Et puis je reviens à mes petits papiers d’organisation, le pc pour chercher des infos, contacter des personnes, écrire des projets, penser des animations… patrimoine, écologie, éducation à l’environnement… Je me rappelle qu’une délégation Zappatistes (...)

  • Journée des Portes Ouvertes de L’habitat participatif
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2436

    La 8ème édition des Portes Ouvertes Européennes de l’Habitat Participatif propose encore ce weekend de mettre à l’honneur le vivre-ensemble et montrer qu’il existe de nouvelles manières de « Vivre ensemble demain » ! -* L’occasion de se renseigner, de visiter des habitats existants. L’occasion pour les groupes en émergence de trouver et rencontrer leurs futurs voisins. L’occasion pour les habitants de valoriser leur habitat et de contribuer au développement de l’habitat participatif en (...)

  • Estivales de la Permaculture à Montreuil (ANNULÉ)
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2433

    Le festival concrétise l’objet principal du collectif PermaMontreuil, qui est de diffuser la permaculture et la transition là où elles s’expérimentent, dans un esprit d’appropriation par le plus grand nombre. C’est pourquoi le festival met un point d’honneur à accueillir principalement le grand public, parallèlement aux amateurs éclairés ou aux professionnels. Les principes de la permaculture guident l’éthique du festival et sont l’une des conditions de la participation active au collectif organisateur (...)

    • La permaculture pour toutes et tous, c’est l’avenir malgré l’annulation.

      L’agriculture, qui nous nourrit depuis des millénaires c’est le passé.
      Il suffit de constater que tous les 2 jours, une agricultrice, un agriculteur se suicide.
      Aucun futur pour la politique de l’ #union_europénne, l’#ue.

  • Livre « INTUITION ET ACTION »
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2434

    « Notre société a de grands chantiers coopératifs devant-elle : dépollution, climat, égalité (juridique, économique…), évolution en Conscience… Comment nous, "simples citoyen.ne.s", pouvons-nous agir de manière sensée ; comment être heureux.ses sans sombrer dans l’orgueil ou la superficialité consumériste ? » C’est ainsi que Barthélémy Alata, rencontré lors des rencontres nationales de permaculture 2021, présente la 3eme auto-édition de son livre "Intuition et Action". La 4eme de couverture résume le propos : – (...)

  • Anne Archet ⚑ Ⓐ sur Twitter : "Je crois qu’il faut cesser de dire « environnement » et commencer à dire « survie de l’espèce humaine ». Ce serait rigolo d’entendre les politiciens dire « la survie de l’espèce humaine est importante, mais pas aux dépends de l’économie » pendant les campagnes électorales." / Twitter
    https://twitter.com/annearchet/status/1433409822372868099

  • Rocket Stoves et Éoliennes, du 27 sept au 3 oct 2021
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2405

    Du 27 septembre au 3 octobre 2021, se tiendront à la ferme de la Maladière, à Saint-Denis-Sur-Coise (près de St Etienne) les rencontres pyromaniaks. Pendant une semaine, le réseau Feufollet qui regroupe des artisans poêliers et structure proposant la fabrication de poêles à bois dits « Rocket » se rassembleront pour échanger sur leurs pratiques. Au programme, expérimentation, fabrication et discussions autour des poêles à bois mais aussi des moments festifs et ouverts aux publics néophytes pour faire (...)

  • Rencontres annuelles de permaculture, du 19 au 22 aout
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2432

    Les Perm’Annuelles 2021 (Rencontres Nationales de Permaculture) se dérouleront dans le Tarn du 19 au 22 août 2021 Cette année, l’association nationale de permaculture Brin de Paille s’en remet à Perma 81 pour organiser LA rencontre annuelle de permaculture en France. Les Perm’Annuelles tiennent donc lieu de Rencontres Nationales de Permaculture en 2021, et elles se dérouleront cette année sur le Domaine privé Les Nouels, à Penne (81140) dans le Tarn. Ce sont d’intenses journées d’échanges, de (...)

  • Arbres Fruitiers méconnus de la strate canopée
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2427

    Nous continuons ici la présentation des arbres comestibles méconnus, auxquels il est fait référence dans la revue Passerelle Eco n°76 "Les Fruits de la Biodiversité, concevoir un verger écologique. Mûrier blanc (Morus alba) - Famille : Moracées Le Mûrier blanc est un arbre monoïque pouvant atteindre 30 mètres de haut. Il doit plus son nom à la couleur de ses bourgeons qu’à la couleur de ses fruits. Comme toutes les moracées, le mûrier blanc produit du latex. Ses feuilles caduques, alternes, le plus (...)

  • Bon et mauvais impacts des plantations de forêts sur le réchauffement climatique
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2425

    On entend souvent dire qu’il faut planter des arbres pour absorber les gaz à effet de serre. Nous connaissons une multiplication de déclarations : « nous sommes plus verts que vert puisque nous plantons des arbres ». Mais planter, pourquoi, comment, et quoi ? Le Fonds de dotation « Plantons pour l’Avenir », qui permet de défiscaliser les dons à hauteur de 66 % pour les particuliers et 60 % pour les entreprises, affiche par exemple un objectif de « reboiser la France »... Après avoir déboisé ? (...)

  • Arbres-légumes et oléagineux de la strate canopée
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2428

    Les arbres légumes et les oléagineux font partie de la palette des arbres à intégrer dans une haie fruitière ou un jardin-forêt. Nous continuons ici la présentation des arbres auxquels il est fait référence dans la revue Passerelle Eco n°76 "Les Fruits de la Biodiversité, concevoir un verger écologique. Concernant les arbres-légumes : ce sont leurs fruits non sucrés, ou leur feuillage, qui se mangent à la manière des légumes, crus en salade ou cuits. Erable Plane (acer platanoides) - Famille : (...)

  • Arbres méconnus à usage comestible de la strate canopée : fixateurs d’azote
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2429

    La plupart des arbres fixateurs d’azote fixent l’azote de l’air dans les nodules de leurs racines et produisent par ailleurs des gousses emplies de pois comestibles. Tamarinier (Tamarindus indica) - Famille : Fabacées Le tamarinier est un arbre de dix à vingt mètres de haut à tronc plutôt court. À croissance lente, il a une longue durée de vie. Son feuillage est persistant à feuilles alternes, paripennées (jusqu’à douze paires de folioles). Ses fleurs jaunâtres en racèmes terminaux retombants (...)

  • Évolution de la biodiversité : une chute libre
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2430

    On sait que la biodiversité diminue. Mais dans quelle mesure ? En Europe, en seulement trente ans, depuis les années 1980, on observe une chute dramatique des espèces « d’oiseaux communs, tels la perdrix grise, l’alouette des champs ou l’étourneau, une diminution massive de leurs populations » selon la revue Ecology Letters. « Ce sont les espèces dites abondantes qui seraient les plus menacées de disparaître, si cette tendance se poursuivait. (…). Par exemple, 61 % des moineaux auraient déjà disparu » (...)

  • « Le Roi Jéhan » Une histoire pas si moyenâgeuse sur la masculinité, le pouvoir et ses secrets, et un livre concept : on accéde à une double-lecture à l’aide d’un filtre rouge, qui modernise le récit et met les corps et les complexes à nu.

    Sans filtre rouge : Au royaume de Mont-Tournure, le roi Jéhan de Potiguigni, imbus de son pouvoir, tire à la courte paille chacun de ses jugements. Méprisé par son peuple, sourd aux conseils de sa reine, il part en guerre pour faire taire la colère populaire. À moins que ce ne soit pour fuir son plus grand secret...

    Avec filtre rouge : Car au royaume de Mont-Tounu, où l’on vit dévêtu, le roi Jéhan de Petitquiqui pense son sexe si petit que tout le monde en rit. Multipliant les conquêtes pour se rassurer, il délaisse la reine. Mais plus il tire sur sa paille pour la faire grandir, plus la moquerie gagne son entourage. Jusqu’à cette provocation du roi voisin, se targuant d’avoir la plus grosse…

    Comme on voit avec le gif

    Par Bénédicte et Marine des Mazery aux Éditions Lapin, 80 pages - 18 euros
    – (lien HS ?) https://librairie.lapin.org/all-parutions-2021/761-le-roi-jehan.html

    #livre #BD #masculinité #pouvoir

  • Questionnaire avant l’intégration d’un écolieu ou habitat participatif
    https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2431

    Intégrer un Écovillage ou un Habitat Participatif, existant ou en projet, ne se fait pas à la légère. Nous vous présentons ici ce questionnaire, proposé par l’écovillage Les Vies Dansent, mais qui peut s’appliquer à d’autres lieux, d’autres projets. Si vous vous intéressez à un écolieu ou un habitat participatif, ou à un groupe projet, alors les questions posées ci après méritent d’être approfondies. Si vous animez un écolieu ou un groupe projet d’habitat groupé, et que vous souhaitez accueillir de nouveaux (...)

  • Cinquante ans avant la Convention pour le climat : l’incroyable histoire des quatre chercheurs qui avaient déjà tout prévu
    https://www.telerama.fr/debats-reportages/cinquante-ans-avant-la-convention-pour-le-climat-lincroyable-histoire-des-q

    1972, Massachusetts. Quatre étudiants chercheurs sont chargés de réfléchir aux conséquences de la croissance sur la planète. En sortira le rapport Meadows, vendu à dix millions d’exemplaires. Avec enthousiasme, ils arpentent le monde pour convaincre les décideurs d’agir. Lesquels décident de ne rien faire. Ils nous racontent leur fantastique aventure.

    C’est l’histoire d’un rendez-vous manqué. Manqué en 1972, en 1992, en 2012. Et 2022 ne s’annonce pas bien. Un rendez-vous avec la planète, ou plus précisément avec ceux qui la dirigent et qui, décennie après décennie, sur l’environnement, écoutent sans entendre, font mine de s’inquiéter puis atermoient.

    En 1972, les Américains Dennis Meadows, son épouse Donella, Bill Behrens et le Norvégien Jørgen Randers ne forment encore qu’une bande de très jeunes étudiants chercheurs – 26 ans de moyenne d’âge – au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Cambridge (États-Unis). Quatre « mousquetaires » au pedigree varié : un peu baba pour les deux premiers, rentrés deux ans plus tôt d’un long road-trip en Asie ; moins cool pour Jørgen, « jeune homme suffisant et parfaitement représentatif des milieux favorisés d’Oslo, confesse aujourd’hui l’intéressé. J’étais ce garçon doué en maths qui découvre, en intégrant le MIT pour y faire son doctorat de physique, qu’il y a un monde au-delà de la Norvège ». Quant à Bill Behrens, il fêtait tout juste ses 22 ans. Son nom, comme celui des trois autres, apparaît sur la couverture de The Limits to Growth (Les Limites à la croissance), un petit livre de 125 pages décrivant sans fioritures, et sur un ton politique neutre, l’impact destructeur des activités humaines sur notre planète. Les ressources de la Terre ne sont pas infinies, prévenaient les auteurs ; passé un cap, la charge devient trop lourde et les effets cumulés d’une démographie galopante, d’une pollution excessive, d’une consommation sans frein pourraient provoquer un effondrement. Troublé dans sa tranquillité, le gratin politique et économique mondial a lu cette enquête minutieuse, traduite en trente langues et vendue à 10 millions d’exemplaires… puis a choisi de ne rien faire.

    L’organisation était méticuleuse : « Chacun de nous s’occupait d’un secteur, détaille Bill Behrens, 71 ans, contacté par Zoom dans sa maison du Maine. Jurgen se cognait la pollution, je m’occupais des ressources naturelles, Donella de la démographie mondiale… Mais en découvrant les premières projections, nous étions tellement secoués que nous nous sommes dit : “Ce n’est pas possible, on a dû se planter.” On a repris nos calculs, fait quelques modifs ici et là… mais les nouvelles n’étaient pas meilleures. » Ou bien le monde développé réduisait son empreinte écologique avant de crever le plafond, ou bien la nature se chargerait de faire redescendre l’humanité sur terre…

    Une des premières recensions du livre paraît dans The New York Times Book Review : trois économistes en vue tournent en ridicule les conclusions de l’irritant bouquin. Si quelques critiques se montrent plus ouvertes, la plupart des commentaires sont négatifs, voire agressifs. Mais les débats sont passionnants. Et les années qui suivent, euphorisantes pour le quatuor. « C’était une période dingue, se souvient Bill Behrens. J’étais invité dans des colloques aux quatre coins du monde pour débattre de nos conclusions. Des organismes nous payaient le billet d’avion, et nous rémunéraient 1 000 dollars pour parler d’une enquête qu’on avait non seulement adoré faire, mais dont on pensait qu’elle allait changer le cours du monde. » À la longue, pourtant, l’ironie des mandarins, les sempiternelles réserves et ce satané déni vont avoir raison de l’enthousiasme.

    Bill Behrens, comme les autres, avait rendez-vous… avec lui-même. Il a acheté une cabane sans électricité dans les bois, et s’est lancé dans l’agriculture bio, avec vaches et moutons. « Je ne faisais qu’appliquer l’enseignement numéro un des Limites : arrêter de traiter la Terre comme un être à qui on ne cesse de prendre, sans rien lui donner en échange. » Dennis Meadows, lui, continuera longtemps de sillonner le monde pour secouer ses dirigeants. En vain. « Les grandes réformes politiques sont confrontées à un problème de taille, rappelle-t-il, elles exigent que les gens fassent un sacrifice aujourd’hui pour des bénéfices qui ne tomberont que bien plus tard. Et elles exigent des plus riches qu’ils fassent des sacrifices dont d’autres – généralement les plus pauvres – bénéficieront ailleurs. Aucun système politique occidental n’est capable de faire ce choix. Je me souviens d’un dirigeant européen qui, dans les années 1970, m’avait lancé : “Bravo, professeur Meadows, vous nous avez convaincus. Maintenant, expliquez-nous par quel miracle nous pourrons être réélus si nous faisons ce que vous dites ?” »

    Devant l’inaction crasse des responsables politiques et économiques, Donella a insisté pour qu’on ajoute un dernier chapitre, légèrement ésotérique. Les auteurs y proposaient cinq « outils » pour la transition qu’ils appelaient de leurs vœux : l’inspiration, l’honnêteté, le travail en réseau, l’apprentissage et… l’amour. « Du pur Donella, sourit Jørgen Randers. Si j’étais un grand sceptique, elle était une idéaliste qui avait connu la vie communautaire. Ce chapitre sur l’amour, les 3 % de la population mondiale qui partageait ses idées l’ont sûrement adoré. Les 97 % autres considèrent sûrement que c’est de la foutaise. »

    Il y a au moins deux morales à cette histoire. L’une, très sombre, l’autre lumineuse. Et les deux viennent de la bouche de Dennis Meadows, cueillies au tout petit matin – il se lève à 5 heures – alors qu’il faisait encore nuit noire dans le New Hamsphire : « J’ai passé cinquante ans à tenter d’expliquer aux dirigeants d’une cinquantaine de pays les enjeux des Limites à la croissance. Il est trop tard. Cognez-vous la tête contre un mur de pierre, ça fait mal au crâne mais ça n’a aucun effet sur le mur. Donc j’arrête. Et je me replie sur l’action locale, en utilisant la dynamique des systèmes sur les ressources naturelles, et en m’intéressant aux problèmes d’urbanisme de ma ville, Durham. » Des regrets ? « Très peu. Si vous faites dépendre votre bonheur de votre capacité à changer le monde, vous ne serez jamais heureux, car vous avez trop peu de chances de gagner. Quand des jeunes gens s’adressent à moi aujourd’hui, je leur dis les choses suivantes : “Apprenez la résilience, car les décennies qui viennent vont être semées de crises sévères ; apprenez des choses pratiques comme le jardinage ou la plomberie, car elles vous seront très utiles ; et lisez de l’histoire longue, celle des Phéniciens, des Romains, ou de la dynastie Qing.” Ces civilisations ont grandi, elles ont décliné, elles ont disparu. Imaginer que la nôtre pourrait suivre un autre destin me paraît un doux fantasme. Mais j’ajoute toujours ceci : “N’oubliez jamais qu’il existe deux façons de toucher au bonheur. La première est d’obtenir plus – c’est celle après laquelle notre civilisation a couru à perdre haleine –, et la seconde, de vouloir moins.” Philosophiquement, et de manière très pragmatique, je privilégierais le deuxième chemin. »

    #Rapport_Meadows #Club_de_rome #Ecologie #Climat #Histoire_contemporaine