Entretien avec Sébastien Louis après les affrontements entre hooligans anglais et russes samedi 11 juin 2016 à Marseille
▻http://lemonde.fr/euro-2016/article/2016/06/13/euro-2016-les-hooligans-russes-ont-mene-un-raid-comme-un-commando-paramilita
Sébastien Louis est historien spécialisé dans l’étude des supporteurs radicaux, coauteur notamment de Soutenir l’équipe nationale de football (Editions de l’Université de Bruxelles).
Comment décririez-vous ces hooligans ?
Nous avons affaire à une nouvelle génération de hooligans depuis la fin des années 90, venus des pays de l’Est, Russie et Pologne principalement : ce sont des gens qui font des #sports_de_combat, qui s’entraînent quotidiennement. Ils ne prennent pas de drogue, pas d’alcool, ils ont un mode de vie ascétique pour se dédier à ces affrontements. Ils organisent même des tournois en parallèle dans les bois, sur les parkings, des « fights » organisés à 15 contre 15. L’image du hooligan bedonnant qui buvait plus que de raison est dépassée. C’est aussi un problème géopolitique. Ces supporteurs radicaux ont une certaine liberté en Russie, ils sont parfois manipulés par les services secrets qui les encouragent à mener certaines actions violentes.
(…)
Cette situation est aussi le fruit d’une absence de stratégie de la part de la DNLH [Direction nationale de lutte contre le hooliganisme] et de *l’amalgame qui est fait entre #supporteurs, #ultras et #hooligans¨. Les interdictions de stade se sont multipliées – 218 cette année liées notamment à l’état d’urgence –, mais nous avons toujours été dans une politique répressive. Dire que ces incidents sont uniquement le fruit de la consommation d’alcool est une erreur. Il faut se confronter aux supporteurs, dialoguer avec eux, se former dans les conditions les plus difficiles. C’est bien beau de faire des répétitions avec les étudiants, mais quand on se retrouve face à des hooligans russes pratiquant le #MMA, c’est autre chose.
Ne rentrons pas dans le rang ! - Vacarme 73 - Chantier « Rentrer hors des clous » - Ouverture ▻http://www.vacarme.org/article2802.html
La plupart des rentrées ne sont que des rappels à l’ordre, comme des sortes de déclinaisons infinies du mot que Marcel Jouhandeau aurait adressé, suivant la légende, aux manifestants de Mai 68 : « Rentrez chez vous ! Dans vingt ans, vous serez tous notaires ». Misère perpétuée de cette espèce d’essence pure de la pensée réactionnaire : rien ne sert de sortir car chacun finira par rentrer dans son lieu, dans sa classe, dans l’immuable ordre du monde. Ô toutes ces foutaises et tous ces mensonges : rentrée des classes, rentrée économique, rentrée littéraire — toujours enjoindre chacun à revenir à ce qui doit se penser, s’entreprendre, s’écrire. Même la rentrée sociale est devenue une blague : « cette année, ça va chauffer », eh oui, ça va chauffer — et puis rien. Dans les faits, la situation est toutefois un peu plus ambivalente. Cet été, on n’a pas seulement demandé à la Grèce, et à tous les pays susceptibles de l’imiter, de rentrer dans le rang, on lui a demandé de rentrer dans des clous où il est impossible de vivre jusqu’à ce qu’elle en sorte pour de bon. Et c’est pareil avec tous les migrants : on les enjoint comme jamais à rentrer chez eux, et en même temps on les place dans des conditions où il est impossible de rentrer. Tandis qu’on demande toujours de partir à nos propres pauvres — ça s’appelle la flexibilité.
Voilà ce qui mérite d’être interrogé : il y a aujourd’hui une violence symétrique dans l’injonction à rentrer et dans l’injonction à sortir qui laisse chacun hagard, dans un in-between state où il n’y a plus ni sens, ni orientation, ni projet commun. Alors on fait comment pour subvertir tout cela, pour rentrer mais hors des clous ?
]]>La Tuta, dernier dirigeant (avant le prochain) du cartel mexicain des "Chevaliers du Temple" a été arrêté...
Voici ce qu’on en écrivait dans Le Monde diplomatique de décembre dernier... "Enlèvements, séquestrations, racket, assassinats, campagnes d’intimidation... Le sentiment de toute-puissance des Chevaliers Templiers, cartel issu en 2011 de la « famille du Michoacán », a conduit la population à s’organiser en milices, fortes d’un total estimé à vingt mille hommes en 2014. La région, dite « Tierra caliente », fait l’objet d’une surenchère guerrière, avec un chiffre officiel de neuf cent soixante et un homicides en 2013..."
Lire la suite : ►http://www.monde-diplomatique.fr/2014/12/BEAULANDE/51137
@mdiplo
Hier samedi, l’AFP annonçait par erreur la mort de Martin Bouygues.
▻http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/02/28/l-afp-et-la-mort-dementie-de-martin-bouygues-le-film-des-evenements_4585294_
Disons-le tout de suite, il ne s’agit pas d’un coup monté avec le Diplo, qui vous invite dans son numéro de mars au Turkménistan, pays où le champion français du bâtiment est roi.
Voyage au Bouyguistan, par David Garcia
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2015/03/GARCIA/52756
Avec un sous-sol gorgé de gaz, le Turkménistan attire les grandes entreprises étrangères peu regardantes sur les questions des droits de l’homme. Parmi les clients privilégiés du régime, le numéro un français du béton occupe une place de choix. Bouygues a reconstruit une bonne partie du centre-ville de la capitale Achkhabad, où plus d’une cinquantaine de bâtiments monumentaux porte sa marque.
Dans « Bouygues, le bâtisseur du dictateur », David Garcia révèle par le détail les liens noués entre la multinationale française et ce régime de caricature, marqué par un culte de la personnalité suranné. Les images documentaires qu’il a ramenées permettent de découvrir le « persico-palladien », un style improbable inventé par les architectes français pour satisfaire les caprices du satrape.
]]>Quand les médias se mettent à Snapchat
▻http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/snapchat-puissant-decevant
Il reste toutefois un peu d’espoir : il y a bien des #médias comme Mashable, NPR, Vanity Fair qui ont créé des comptes sur #Snapchat et utilisé les codes de l’interface pour imaginer une nouvelle grammaire éditoriale. ▻http://www.niemanlab.org/2015/02/snapchat-stories-heres-how-6-news-orgs-are-thinking-about-the-chat-app
Un élément clé notamment : le maintien du doigt sur l’écran pour afficher les contenus est un excellent témoin de l’engagement de l’utilisateur... C’est peut-être eux qui pourront faire de Snapchat un nouveau Twitter de l’actu... Plus personnel, plus direct, plus mobile...
Dans ce domaine, il faut aussi guetter des acteurs comme Whatsapp, déjà utilisé par Pro Publica, pour créer des liens plus directs avec les lecteurs sur le #mobile.
▻http://www.propublica.org/article/whatsapp-followers-from-around-the-world-discuss-firestone-and-the-warlo
(pas vu ce qu’ils y faisaient encore) #CM #médias_sociaux via @booz cc @m_gael @quetzal
Mexique : le crime de trop ? | ARTE Info
►http://info.arte.tv/fr/mexique-le-crime-de-trop
Un slogan créé après la disparation et le probable massacre de quarante-trois étudiants en septembre dernier dans l’Etat de Guerrero. Le crime de trop pour les Mexicains ?
Cette affaire a révélé l’ampleur de la collusion entre les autorités et le crime organisé. Le 26 septembre 2014, le maire de la ville d’Iguala a demandé à la police d’arrêter une manifestation d’étudiants, la police les a livrés à un cartel qui les a fait disparaître. L’émotion puis l’indignation ont été telles que le pays s’est embrasé, avec dans les rues des manifestations inédites depuis cinquante ans. Le divorce est semble-t-il consommé entre le peuple et ses représentants.
Dans l’Etat de Guerrero, l’un des plus pauvres et des plus violents du Mexique, la société se prend en charge et s’organise. Des villages et des villes ont chassé la police, corrompue et complice, pour créer des milices d’auto-défense. La population assure désormais la sécurité, armes à la main, et les résultats sont spectaculaires. Les criminels ainsi arrêtés sont ensuite jugés par des tribunaux populaires. La défiance envers les institutions est à son comble.
]]>Quatre millions d’euros de « bonus de bienvenue » pour le nouveau directeur général du groupe pharmaceutique #Sanofi, nommé jeudi 19 février : la nouvelle a fait jaser jusqu’au gouvernement, pourtant peu habitué, ces derniers temps, à rabrouer les patrons. La prime a été accordée « en contrepartie des avantages auxquels il a renoncé en quittant son précédent employeur » plaident les porte-parole du groupe, qui a supprimé quatre mille postes depuis 2009. Suivant la trace de la Pyostacine, un des médicaments fabriqué par la firme, Quentin Ravelli montrait en janvier dernier que « la frontière est mince entre les dysfonctionnements et les pratiques routinières ».
]]>Der Tagesspiegel ne comprend plus le monde
▻http://www.tagesspiegel.de
Le journal conservateur nous fournit une image surprenante du monde : d’après lui on serait tous devenus fous. Le peuple allemand serait en train de se transformer dans une bande de révolutionnaires fanatiques anti-américains.
Voilà.
Amerika - Je friedvoller, desto verhasster
▻http://www.tagesspiegel.de/politik/russland-ukraine-und-antiamerikanismus-amerika-je-friedvoller-desto-verhasster/11407772.html
Plus l’Amérique se comporte paisiblement plus elle est haïe.
im Weißen Haus regiert seit mehr als sechs Jahren Barack Obama, ein Friedensnobelpreisträger. Als eine seiner ersten Amtshandlungen drückte er die „Reset“-Taste im Verhältnis zu Moskau, bot atomare Abrüstung und vertrauensbildende Maßnahmen an. Das Gros der Truppen aus Irak und Afghanistan zog er ab. In Kairo warb er um die Sympathien der Muslime. Als Syriens Diktator Assad trotz einer „roten Linie“ Chemiewaffen einsetzte, blieb Obama aus Rücksicht auf Syriens Schutzmacht Russland untätig. Der Intervention in Libyen schloss er sich widerwillig an, führte „von hinten“. An den Atomverhandlungen mit dem Iran hält er trotz dramatischer Entfremdung von der Regierung in Israel fest.
Ja, es gibt den NSA-Skandal und die Drohneneinsätze. Doch beides hat mit amerikanischer Russlandpolitik nichts zu tun. Ausgerechnet Obama, der jede direkte Konfrontation scheut und einsieht, dass Amerika „die Probleme der Welt nicht alleine lösen kann“, wird in der Ukrainekrise alles Böse unterstellt, ein Dritter Weltkrieg, das Streben nach globaler Dominanz. Es ist wohl so – und mitnichten nur in Putins Russland: Je friedvoller die jeweilige US-Regierung, desto verhasster Amerika.
Déjà 20% des allemands veulent une révolution violente anti-capitaliste.
20 Prozent der Deutschen zur Revolution bereit
▻http://www.tagesspiegel.de/politik/studie-zu-linksextremismus-20-prozent-der-deutschen-zur-revolution-bereit/11411344.html
Wie Klaus Schroeder und Monika Deutz-Schroeder vom SED-Forschungsverbund herausfanden, ist eine links motivierte kritische Haltung zu Demokratie und Kapitalismus recht weit verbreitet.
L’enquête décrite par le journal trouve que l’héritage idéologique du partie est-allemand SED est toujours vivant.
Nach einer repräsentativen Befragung von 1400 Personen schälte sich heraus, dass ein Sechstel der Bevölkerung entweder linksradikale oder sogar linksextremistische Positionen teilt – auch wenn sich diese Gruppe dessen zum Teil möglicherweise gar nicht bewusst ist.
La population extrémiste ne se rend même pas compte qu’elle l’est.
Als Linksradikale definieren die FU-Forscher jene, die den Kapitalismus, also die Marktwirtschaft, abschaffen wollen. Linksextreme sind dagegen Leute, welche die bürgerliche Gesellschaft zerstören und den bestehenden Staat zerschlagen wollen – also für eine Revolution plädieren. Das sind offenbar gar nicht so wenige. Nach der Befragung sind 20 Prozent der Bevölkerung der Meinung, mit Reformen lasse sich eine Verbesserung der Lebensbedingungen nicht erreichen, stattdessen plädierten sie für Revolution.
20 % des Allemands sont pour la révolution.
60 Prozent der Ostdeutschen und auch ein Drittel der Westdeutschen halten Sozialismus für eine gute Idee, die nur schlecht ausgeführt worden sei. 30 Prozent meinen, eine echte Demokratie sei nur ohne Kapitalismus möglich.
Pour environ la moitié le socialisme est une bonne idée.
Knapp zwei Drittel halten die Bundesrepublik nicht für eine echte Demokratie, weil nicht die Wähler das Sagen hätten, sondern die Wirtschaft.
Prèsque deux tiers des gens ne trouvent pas qu’ils vivent dans une véritable démocratie.
Si on croit cette enquête, on aura bientôt une mouvement de solidarité avec le peuple grèque qui effacera les gouvernements chrétien-socialo-verts et remplacera l’état allemand par une démocratie populaire.
Voici la seule question qui risque de faire échouer la révolution : les auteurs de l’étude n’ont interrogé que 1400 personnes.
]]>En kiosque, ce mercredi, le Monde diplomatique du mois de mars
▻https://www.facebook.com/Monde.diplomatique/photos/a.102820101687.103444.34398236687/10152569739141688/?type=1
Comment un appareil s’éloigne de sa base, par Julian Mischi (Le Monde diplomatique, janvier 2015)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2015/01/MISCHI/51938
De multiples facteurs expliquent l’affaiblissement du Parti communiste français. La volonté d’adapter son discours aux attentes des classes moyennes l’aurait-il précipité ?
]]>VENEZUELA
Un voyage à la rencontre de la réalité politique vénézuélienne…
du 25 avril au 08 mai 2015
▻http://www.amis.monde-diplomatique.fr/article4292.html
▻http://www.amis.monde-diplomatique.fr/IMG/pdf/Voyage_AMD_Venezuela_2015.pdf
]]>Un théâtre chilien qui décoiffe, par Marina Da Silva
▻http://blog.mondediplo.net/2014-12-15-Un-theatre-chilien-qui-decoiffe
On s’est intéressé à La Imaginación del futuro (L’Imagination du futur), crée en 2013, dans le contexte des célébrations du quarantième anniversaire de la mort de Salvador Allende, par l’inclassable compagnie de théâtre La-resentida (Le ressentiment).
]]>« J’aime l’entreprise » ou l’erreur de calcul, par Régis Debray (Le Monde diplomatique, octobre 2014)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2014/10/DEBRAY/50859
Les déclarations d’amour marquent rarement un tournant historique, mais nos annales retiendront le « j’aime l’entreprise » lancé par notre premier ministre au Mouvement des entreprises de France (Medef) un jour d’août 2014. Les cris du cœur ont leur ambiguïté. Comment interpréter celui-ci ?
]]>Comment un appareil s’éloigne de sa base, par Julian Mischi
►http://www.monde-diplomatique.fr/2015/01/MISCHI/51938
De multiples facteurs expliquent l’affaiblissement du Parti communiste français. La volonté d’adapter son discours aux attentes des classes moyennes l’aurait-il précipité ?
]]>Gestion du flux à Pôle emploi, par Mustapha Belhocine
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2015/01/BELHOCINE/51932
Se voir agir, et saisir d’un même regard les circonstances qui nous font agir : cette distance au rôle est un trait commun à de nombreux observateurs critiques de la société. Combinée à la prise de notes quotidienne et à la faculté littéraire de rendre vivantes des situations, elle fait un écrivain. Tel Mustapha Belhocine, acteur et narrateur du vaste monde du travail précaire.
]]>Fidèle à ses valeurs démocratiques, le Monde consacre un « longform » à « ces grecs qui ont voté Syriza », avec six beaux portraits de grecs, leurs préoccupations, leurs attentes, leurs espoirs, leurs craintes. Et ça seulement trois semaines après l’élection. Ah, pardon, désolé : c’est un longform « Avec la Grèce qui n’a pas voté Syriza ».
►http://www.lemonde.fr/europe/visuel/2015/02/13/cette-grece-qui-n-a-pas-vote-syriza_4576014_3214.html
On le savait déjà, le Monde est « avec » la Grèce qui n’a pas voté Syriza… Mais ça va mieux en l’écrivant.
]]>« On savait que l’expérience Syriza serait une leçon de choses en politique, la mise à nu, toutes technicités juridico-financières envolées, des ressorts fondamentaux de la puissance et de la souveraineté. De ses confiscations dans des institutions aussi. Nous y sommes – et encore plus vite que prévu.
Comme on pouvait s’y attendre également, le lieu névralgique du rapport de force se trouve à Francfort, à la Banque centrale européenne (BCE). Ce qu’aucun article des traités européens ne permet juridiquement – mettre à la porte un Etat-membre – c’est la BCE, hors de toute procédure, par une opération entièrement discrétionnaire sans aucun contrôle démocratique, qui le peut. Et qui vient d’en donner l’avant-goût, dix jours à peine après l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement malséant, porté par un mouvement populaire ayant le front de réclamer la fin de l’absurde tourment auquel le pays a été soumis par notre chère Europe, un pays en situation de crise humanitaire [1] – au cœur de l’Union européenne (UE) et, plus encore, par l’Union ! –, un pays pour lequel, après quelques autres, il faudrait maintenant songer à formaliser juridiquement l’idée de persécution économique – et nommer les persécuteurs. Là contre, le peuple grec s’est donné un gouvernement légitime, mandaté pour faire cesser cet état de persécution. Un gouvernement souverain. »
►http://blog.mondediplo.net/2015-02-06-Syriza-cernee
Du nihilisme à l’émancipation, par Evelyne Pieiller
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2015/02/PIEILLER/52656
Affirmer que ce qu’il est convenu d’appeler le #progrès est une notion occidentale, et douter qu’il représente véritablement un… progrès, n’est pas exactement d’une nouveauté saisissante. Souligner que l’ère de la mondialisation néolibérale suscite au nom de ce même progrès le développement d’une pathologie — le narcissisme plus ou moins pervers — et la salue comme un signe de normalité ne l’est pas davantage. (…) Trois ouvrages viennent aujourd’hui s’ajouter à ces déplorations diverses, mais ils proposent plus que des variations sur un air connu : car tous trois, au-delà de leurs divergences, mettent en lumière comment la logique de notre #modernité, sous couvert de l’amélioration du bien-être et de l’épanouissement des possibilités de chacun, serait porteuse d’un #nihilisme intrinsèque, d’un goût masqué de la mort. Ce qui ne peut aujourd’hui qu’avoir une résonance particulière.
]]>Les Rafale du Maréchal, par Philippe Leymarie
►http://blog.mondediplo.net/2015-02-13-Les-Rafale-du-Marechal
Il en rêvait : le maréchal Abdel Fattah Al-Sissi, chef de l’Etat égyptien, pourra faire voler « ses » chasseurs Rafale tout neufs lors de l’inauguration de l’élargissement du Canal de Suez, en août prochain. Dassault, le constructeur de cette machine jusqu’ici invendable, pourra espérer développer à l’international cet avion qui a déjà fait ses preuves. Et l’Etat français économiser sur ses soutiens discutables au seul avionneur militaire du pays…
]]>L’univers social et politique de M. Dominique Strauss-Kahn, par Serge Halimi (mars 2002)
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2002/03/HALIMI/8809
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