Rezo

Le portail des copains

    • sa situation, comme l’avait relevé CheckNews, est commentée par plusieurs membres de sa famille : ses oncles Alain Duhamel (éditorialiste de BFM TV) et Patrice Duhamel (ex-directeur général de France TV, auteur d’un livre qui sort bientôt sur les relations entre présidents et Premiers ministres), sa tante Nathalie Saint-Cricq (éditorialiste politique chez France TV et femme de Patrice Duhamel), son cousin Benjamin Duhamel (journaliste à BFM TV, fils de Patrice et Nathalie) et la compagne de son cousin Agathe Lambret (journaliste sur la radio France Info).

      [...]
      Depuis le début de la polémique, le 12 janvier dans l’après-midi, Nathalie Saint-Cricq est intervenue plusieurs fois sur les antennes de #France_TV, évoquant parfois sa nièce. Sans que leur lien de parenté ne soit explicité. [idem sur #France_info]

      La parentèle journalistique plaide la maladresse, sans hésiter à en faire preuve eux-mêmes. C’est de famille ?
      #media #gouvernement #Amélie_Oudéa-Castéra

  • Le règlement européen sur l’IA n’interdira pas la #Surveillance biométrique de masse
    https://www.laquadrature.net/2024/01/19/le-reglement-europeen-sur-lia-ninterdira-pas-la-surveillance-biometriq

    Traduction du communiqué de presse de la coalition Reclaim Your Face.

    Le 8 décembre 2023, les législateurs de l’Union européenne se sont félicités d’être parvenus à un accord sur la proposition de règlement tant attendue relative…

  • Lighting up Long #Covid - by Eric Topol - Ground Truths
    https://erictopol.substack.com/p/lighting-up-long-covid

    There’s a lot here from the past couple of weeks! Most importantly, we have multiple independent confirmations of the immune dysregulation in people with Long Covid via controlled studies. We may be closer to a biomarker with the central finding of persistent complement activation, which would help in both managing individuals with Long Covid and clinical trials testing candidate interventions.

    The new publications that confirm the protective power of vaccination against Long Covid cannot be underscored enough. There is general lack of awareness of this benefit of vaccines, and except for not getting Covid or a reinfection, it is the best way to protect against Long Covid.

    The potential neurologic damage that is occurring from Covid continues to be underestimated, as the 2 new publications highlight, and to so many previous ones that have demonstrated nueroinflammation-induced injury.

    We desperately need large, rigorous, randomized clinical trials to test treatments. So far the only one we have in a gut microbiome intervention as I previously reviewed, from Hong Kong, and not yet replicated.

    Into our 5th year of Covid, the chronic sequelae of Long Covid, which can be profoundly disabling, and continues to be inadequately acknowledged. The risk has not gone away, especially with the massive number of infections globally that have been seen during the JN.1 variant rise to dominance. Fortunately, the science and research presses on to illuminate the pathobiology and means of prevention. Hopefully, 2024 will the year we finally get some validated treatments to alleviate so much suffering that’s out there.

    Thanks for reading, subscribing and sharing this post.

  • Le ministère de l’Intérieur envisage la dissolution de trois associations qui soutiennent la Palestine
    https://www.streetpress.com/sujet/1705598072-ministere-interieur-envisage-dissolution-rois-associations-p

    Selon des documents rédigés par les services de renseignements, le ministère de l’Intérieur envisage la dissolution de trois associations pro-palestiniennes : le Comité Action Palestine, Samidoun Paris Banlieue et Capjpo EuroPalestine.

    Ce cauchemar.

  • « Eux, ils arrivent à quinze, ils te foutent la misère, mais toi, tu es toute seule » : Nine revient sur 19 années de placard – L’envolée
    https://lenvolee.net/eux-ils-arrivent-a-quinze-ils-te-foutent-la-misere-mais-toi-tu-es-toute-se

    Émission de l’Envolée du vendredi 12 janvier 2024

    On diffuse un long et très fort entretien avec Nine, prisonnière #longue_peine et correspondante de longue date de l’Envolée, récemment sortie et qui revient sur ses 19 années de placard pendant lesquelles elle s’est fait trimballée dans les toutes les #prisons_pour_femmes de #France. Elle raconte les décès, les trafics et les violences des matons, des #ERIS et des ELAC, les fouilles abusives, et les #viols et les #violences_sexuelles des surveillants dans le quartier pour femmes des #Baumettes. Mais aussi les solidarités et les révoltes, et toutes les fois où elle s’est battue pour ses codétenues. Pendant toute sa détention, elle n’a jamais arrêté de se bagarrer contre l’administration pénitentiaire qui lui a fait payer très cher. Elle décrit aussi les façons dont la tôle l’a détruite et les séquelles qu’elle découvre depuis sa sortie il y a quelques mois.

    « J’ai pris grave. Pour prendre 51 CRI au total, c’est qu’ils n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère ! Les Elac m’ont massacrée pour me sortir du QD alors que le téléphone ne m’appartenait pas. Donc oui, ils sont rentrés, à quinze. Et les Eris, et les Elac, à coup de pieds, le plastique dans la gueule, plaquée contre le mur, menottée, tirée comme un chien par les menottes, comme une merde, à éclater mon bras, etc. Mon doigt en charpente, le dos éclaté, la bouche qui coule du sang. Il te prend le crâne et il te plaque boum ! la tête contre le mur, tu crois quoi ? C’est gratuit ? Après il faut apprécier ces gens-là ? Moi je peux pas. »

    « Taper dans les barreaux collectivement c’est pas illégal, puisqu’il faudrait une caméra qui filme tout le monde. Sauf que tout le monde met un rideau de l’autre côté de la fenêtre et tes barreaux sont à l’intérieur. Tu prends ta casserole et bim bim bam ! Je te garantis que quand c’est 200 femmes qui le font, ah ça fait du bruit ! Les voisins ils sont contents hein ! Ça commence à 20h, ça finit à minuit. »

    https://www.mediafire.com/file_premium/zyoudwhih3ma7c0/lenvolee-24-01-12.mp3


    L’abonnement au journal est gratuit pour les prisonniers et les prisonnières.
    #lenvolée

  • Le scandale des offres bidons : 61 % des offres d’emploi de France Travail sont illégales - L’Humanité
    https://www.humanite.fr/social-et-economie/assurance-chomage-2/le-scandale-des-offres-bidons-61-des-offres-demploi-de-france-travail-sont-

    La CGT chômeurs a passé au crible près de 1 200 offres mises en ligne par l’ex-Pôle emploi. Verdict : 61,1 % d’entre elles seraient illégales, selon le syndicat qui réclame un véritable contrôle des annonces.

    • En même temps j’ai fait pas mal de candidatures bidons pour être sûr de pas être recruté mais faire croire que je cherchais à l’époque ou j’étais chez popol, ça compense.

  • Le risque fasciste de l’IA | Hubert Guillaud
    https://hubertguillaud.wordpress.com/2024/01/18/le-risque-fasciste-de-lia

    Le propos fera certainement bondir nombre de thuriféraires de l’IA. Il mérite pourtant une écoute attentive car il souligne que la face sombre de l’IA est plus sombre qu’on le pense. Dan McQuillan est maître de conférence au département d’informatique de l’université Goldsmiths de Londres. Il est l’auteur de Resisting AI, an anti-fascist approach to artificial intelligence (Résister à l’IA, une approche anti-fasciste de l’IA, Bristol University Press, 2022, non traduit).

  • Vague après vague | jef klak
    https://www.jefklak.org/vague-apres-vague

    Au début de la pandémie de Covid-19, les initiatives autonomes pour préserver la santé des un·es et des autres ont foisonné : brigades de solidarité populaire pour distribuer des repas aux plus pauvres pendant le confinement, fabrication artisanale de masques, auto-organisation à l’échelle des quartiers. Des paroles et des réflexions ont accompagné ces actions.
    Elles venaient des militant·es de la lutte contre le VIH/Sida (Gwen Fauchois) ; du milieu écolo (Aude Vidal) ; de groupes antivalidistes (le Collectif Luttes et handicaps pour l’égalité et l’émancipation) ; de personnes venues des luttes anticarcérales, antiautoritaires ou antifascistes (Acta.zone).

    Au sortir du confinement, des collectifs ont continué à prendre des mesures pour éviter d’occasionner des clusters, avec des tests, des masques, de l’aération. Mais, en parallèle, les intérêts économiques pesaient de tout leur poids pour inciter à un retour rapide au business as usual, puis l’arrivée des vaccins dans les pays industrialisés a changé la donne. L’attention portée au Covid est peu à peu retombée, même dans les espaces qui y étaient les plus sensibles. Au fur et à mesure que la pandémie se banalisait, avec ses vagues à répétitions, le Covid a cessé d’être perçu comme un problème social urgent dont il fallait s’emparer et les gestes de protection collectives sont tombés en déshérence.

    Je voudrais raconter un bout de l’histoire de ces quatre années de pandémie, celui dont j’ai été témoin, depuis la petite partie du champ politique où je m’inscris, où les gens valorisent le fait de s’auto-organiser, critiquent depuis toujours l’État et ses institutions répressives, sont hostiles au capitalisme et aux destructions qu’il engendre et attentif·ves aux relations de pouvoir qui structurent la société. Depuis 2020, dans ce camp des luttes et du mouvement social, une position a éclos, revendiquant l’importance de se prémunir collectivement de la contagion, indépendamment des directives gouvernementales, pour des raisons politiques.

    #covid_19 #santé #politique #RDR #masque #autodéfense_sanitaire #minorité_de_la_minorité #Cabrioles #darwinisme_social

  • « A la conférence de presse de Macron, le fantôme du général de Gaulle était omniprésent »
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/01/17/a-la-conference-de-presse-de-macron-de-gaulle-etait-omnipresent_6211299_8234

    Tout, dans la mise en scène et le timing (le soir, en prime time), rappelait les conférences de presse, très théâtrales, du Général. Arnaud Jolens, le responsable « image » de la présidence, s’était d’ailleurs plongé dans les archives de l’Elysée pour bâtir son « plan de réalisation » pour les télévisions, nombreuses à retransmettre l’événement. Pour être fidèle aux images de l’époque, le fauteuil de Macron avait été remonté de 20 centimètres, afin que « le rapport buste-table » soit le même que pour de Gaulle.

    Ah ouais, quand même…

    • Se mettre sur la pointe des pieds, est-ce c’est de droite ?

      https://www.rtbf.be/article/petit-nicolas-sur-la-pointe-des-pieds-5328483

      Les couples Obama et Sarkozy se sont pliés à la traditionnelle séance de photos protocolaires du sommet de l’OTAN, le week-end dernier. Les mauvaises langues du Spiegel ont remarqué que le Président français se mettait sur la pointe des pieds lorsque les flashs crépitaient. De quoi créer un portfolio. C’est un peu facile. Mais l’image est forte.

    • « A la conférence de presse de Macron, le fantôme du général de Gaulle était omniprésent »

      Une France sépia idéalisée
      Renouer avec le macronisme des origines, comme le suggèrent les stratèges de l’Elysée, passait donc d’abord, mardi soir, par l’affirmation d’un imaginaire gaullien dont s’était inspiré Macron dans sa conquête et ses premiers mois au pouvoir : position transpartisane, pragmatisme et efficacité, méfiance à l’endroit des représentants politiques, des syndicats et des journalistes (des « stylographes », méprisait le Général), appel à de hauts fonctionnaires zélés pour gouverner par ordonnances, pratique verticale du pouvoir.

      Une référence utile – dans le gaullisme se mêlent grandeur de la France et valeurs de la République – au moment où le chef de l’Etat lance un « #réarmement_civique » afin de tenter de redonner aux Français le goût du vivre ensemble dans un pays travaillé par les inégalités et la question identitaire.

      Le « rendez-vous avec la nation » de ce président impopulaire, qui entend retrouver l’oreille et le cœur des Français, passe donc par la réponse à une « angoisse culturelle », doublée d’une supposée « demande de conservation », théorisées depuis longtemps à l’Elysée – et quotidiennement alimentées par les médias de Vincent Bolloré.
      Macron a choisi de rassurer en proposant aux Francais un retour vers une France sépia idéalisée : instauration progressive de l’uniforme à l’école, apprentissage de La Marseillaise par les élèves de primaire, cérémonie de remise du diplôme au collège. « La France sera plus forte si nous sommes plus unis, si nous réussissons à partager des valeurs, une culture commune, le sens du respect », a-t-il plaidé, assumant entre les lignes une nostalgie pour la période supposée glorieuse des années 1960, où la France exerçait encore un rayonnement dans le monde.

      Clins d’œil à la droite conservatrice
      Tout au long de sa conférence de presse, Macron a ainsi multiplié les formules désuètes, vantant sa fréquentation de « la laïque », ou se présentant comme « un enfant des deux écoles », comme le chantait Michel Sardou. Elevé par une grand-mère adorée, Macron a toujours revendiqué une forme de décalage avec son temps, étalant des goûts loin des standards de sa génération. « J’ai grandi de manière anachronique », confiait-il au Monde en 2018.
      Mais, au-delà de ce tropisme personnel, et de ce fameux « ethos de droite » qui s’épanouit à mesure que le temps passe, la convocation de la #France_d’hier répondait d’abord à un calcul électoral, à six mois des européennes. En multipliant les clins d’œil à la droite conservatrice, le président entend conserver son socle et contrer la progression du Rassemblement national.

      Interrogé sur le décalage entre un gouvernement présenté en préambule comme étant « le plus jeune de la Ve République » et des mesures qui fleurent bon la France d’antan, Macron s’est défendu d’être « vieux jeu ». En 1967, de Gaulle avait terminé sa grande conférence de presse en dissertant sur « l’après-gaullisme » : « Tout a toujours une fin. Chacun se termine. Pour le moment, ce n’est pas le cas. » « Je gouvernerai jusqu’au dernier quart d’heure », fait valoir Macron en écho. Il y a décidément des ritournelles qui ne changent pas.

      https://justpaste.it/2gtup

      "c’est pas de la pipe"

    • pardon mais ça veut dire quoi ça sent le sépia ? je vois cette expression associée à macron, est-ce ça sent le brun, le fascisme ? ou le sapin ? ou la vieille photo ? ou tout ça à la fois ?

      1. Liquide brun-noir sécrété par des glandes ventrales de la seiche, pour camoufler sa fuite. · 2. Encre brune préparée avec ce liquide

    • Une photo ancienne, bien loin de la staretupenaicheune. Ni contraste, ni définition, ni allant, pas même « en marche » donc. Une France du passé, imaginaire. Notre jeune homme moderne de la politique ? Un boomer au carré qui ne sait pas élargir son micro socle électoral de retraités.
      En écho, "ca sent le sapin", pour un kamikaze sans panache.

      edit Seul le journaliste de la BBC aurait quitté la conférence de presse salle lorsque la manip est devenue trop visible.

    • @colporteur je me suis étonnée aussi que plus de 200 journalistes lui tiennent le bavoir et restent assis sagement, la promesse d’un buffet a du les retenir. J’évite même les images et vidéos parce que ça me rend malade, et en général je me demande comment on peut rester stoïque devant cette litanie pétainiste.

  • « Pulsations pour le vivant » : EELV veut incarner une alternative New Age à la NUPES - CONTRETEMPS
    https://www.contretemps.eu/ecologie-tondelier-toussaint-eelv-new-age-nupes

    [...]
    Le parti Les Écologistes – EELV voulait tourner la page de la NUPES en lançant sa campagne pour les élections européennes au plus vite. C’est chose faite, avec un premier événement début décembre intitulé « Pulsations – meeting pour le vivant ». Difficile d’intéresser aux enjeux européens dans la période, alors les médias ont été invités avec une promesse : il y aurait « de nombreuses surprises ».

    La surprise qui a marqué le plus grand nombre, c’était une séance de booty therapy, dont la définition proposée par le site Booty Therapy est la suivante : « une pratique qui mêle sport, danse et développement personnel ». Créée par Maïmouna Coulibaly, la booty therapy permettrait aux participant·es de « relâcher leurs émotions et guérir une partie de leurs traumas et épreuves, à travers des exercices collectifs ». La pratique ciblerait notamment les femmes victimes de violences et les encouragerait à assumer leur physique et leur histoire, à travers des danses qui mobilisent le bassin.

    Invisibilisant totalement le reste de l’événement, ce cours de danse de 20 minutes au milieu du meeting n’a pas laissé indifférent. Dans le meilleur des cas, il a été jugé gênant, hilarant, pas à la hauteur des enjeux ou encore déconnecté des attentes des citoyen·nes. Dans le pire des cas, il a été attaqué par l’extrême droite. Les performeuses ont en effet subi un cyberharcèlement intolérable à l’issue de leur prestation, en raison de leur physique et de leur couleur de peau.

    Pour justifier cette animation et tenter de réparer les dégâts, les cadres du parti se sont mis en ordre de bataille. Première défense : nous n’aurions « rien compris ». Chacun·e jugera de la pertinence de qualifier d’ignorant·es la majorité des potentiel·les électeur·rices à l’occasion d’un lancement de campagne. Deuxième défense : si nous émettons des réserves quant à la booty therapy, c’est que nous serions sexistes et racistes. Défense totalement légitime lorsque les attaques visaient les intervenantes ou leurs danses, mais qui ne peut pas être un argument d’autorité suffisant pour éviter tout débat contradictoire.

    Mais c’est un autre argument des cadres écologistes, passé un peu inaperçu médiatiquement, qui nous intéresse ici. Il s’agissait d’expliquer que la pratique de la booty therapy était politique, car elle permettait de mettre en avant les méthodes de développement personnel et leurs bienfaits supposés pour les victimes de violence. C’est sans doute là l’argument le plus problématique.

    Booty Therapy propose des stages mettant en avant le concept de « féminin sacré » et les intervenantes ont évoqué le « pouvoir thérapeutique » de cette pratique, qui permettrait de « rallumer la puissance de vie ». Ces éléments de langage sont classiques de la mouvance spirituelle et ésotérique New Age, qui défend l’idée d’un lien intime entre corps, âme, esprit et cosmos. Il s’agissait, là, de leur donner place dans un meeting politique. Nous sommes donc ici bien loin d’un simple cours de twerk.
    [...]
    Une dépolitisation et un projet libéral difficiles à cacher
    Il s’agit d’abord d’affirmer qu’un parti politique devrait se garder de mettre en avant les pseudo-sciences ou les pratiques ésotériques. Il s’agit ensuite et surtout d’affirmer que le « développement personnel » n’a pas sa place en politique.

    La politique vise à organiser la vie du pays et à améliorer le quotidien des gens via l’action collective. À l’inverse, le développement personnel se fonde sur l’idée que la solution est « à l’intérieure de chacun·e » et que « nous sommes les seul·es responsables de notre bonheur ». Il nous apprend à « manager nos vies », comme une entreprise capitaliste qu’on devrait amener à être rentable. Vous êtes pauvre ? C’est parce que vous n’avez pas encore développé votre plein potentiel, faites davantage d’efforts ! Vous êtes déprimé·e ? C’est parce que vous n’avez pas investi dans la nouvelle application mobile thérapeutique, qui vous apprend la méditation pour 10 € par mois !

    Il s’agit en réalité d’une approche individualiste et néolibérale, qui pousse à faire un travail constant sur « soi-même », pour mieux invisibiliser le caractère structurel des inégalités ou de nos « difficultés quotidiennes ». C’est l’exact inverse de ce que devrait porter un parti écologiste ancré à gauche. Car si la solution est intérieure, si aucun facteur extérieur ne peut permettre d’améliorer nos vies, pourquoi devrions-nous militer pour changer la société ? Lorsqu’on porte un projet écologiste, notre rôle doit être au contraire de dénoncer les logiques libérales et capitalistes. Au lieu de miser sur des solutions individualistes, nous devrions démontrer le caractère systémique des atteintes aux humains et à la nature, et rendre possible l’action collective, seul moyen d’instaurer le rapport de force nécessaire à la transformation de nos sociétés.

    La booty therapy rejoint également cette idée de travail sur soi, où l’autonomisation passerait par la conscience de « la puissance féminine de vie » et la guérison des traumatismes par l’éveil du corps. La défense de ce féminisme individualiste par EELV est le reflet d’une forme de dépolitisation des combats féministes au sein du parti. Cela est d’autant plus visible lorsque sur 3h30 de meeting, aucune proposition politique n’a en revanche été émise sur ces questions. Marie Toussaint a défendu la booty therapy en reprenant l’affirmation : « le corps des femmes est politique ». C’est vrai. Mais cela n’exonère pas de proposer un contenu programmatique ambitieux pour les droits des femmes, sans quoi cela donne l’impression d’un purplewashing.

    Certes, l’absence de projet politique dans ce meeting ne se limitait pas à la lutte contre les discriminations. De toute la soirée, une seule et unique proposition a été présentée : le droit de veto social. Le reste du meeting était consacré au constat des problèmes auxquels nous faisons face, à l’énumération des valeurs du parti, et à la présentation du parcours des candidat·es. Seul Gaspard Koenig se risquera à présenter une solution, en conclusion de son intervention : « Pourquoi ne serait-il pas légitime d’utiliser des mécanismes de marché qui sont efficients quand ils sont utilisés à des fins vertueuses ? ».

    L’invitation de ce libéral-libertaire au meeting est un indice de plus quant à l’orientation politique retenue par Les Écologistes – EELV. Sa présence, couplée à la mise en avant de pratiques libérales individualisantes dessine une ligne claire : celle d’une campagne qui tente de séduire l’électorat déçu du macronisme. Un air de déjà-vu, une énième version de « l’écologie au centre », qui aura eu le mérite de provoquer les seules « Pulsations » du meeting : les pulsations de rejet, ou de déception, de celles et ceux qui espéraient y trouver une écologie radicale et anticapitaliste.

    Tourner la page de la NUPES pour conquérir les « déçus du macronisme »

    Enfin, c’est le timing qui interroge. Les Écologistes – EELV est le premier parti à organiser un meeting de campagne, avant même d’avoir établi l’ordre de ses premier·es de liste, et visiblement avant d’avoir produit un contenu programmatique. Pourquoi donc vouloir organiser un meeting, six mois avant l’élection, sans avoir plus d’une proposition à présenter ? Rien ne semblait presser : à ce stade, les autres partis se posent à peine la question de la composition de leur liste et le contexte politique au Proche-Orient comme en France ne laisse aucun espace médiatique à l’échéance électorale de juin prochain. Une seule explication : l’objectif était de tourner, au plus vite, la page de la NUPES.

    Sortir de l’alliance à l’occasion des européennes était déjà, en réalité, au cœur du dernier congrès du parti, près de 2 ans avant l’élection. Ainsi, on comprend que, dès les premiers mois de la NUPES, la direction d’EELV n’avait qu’une hâte : y mettre un terme. Le parti perçoit en effet les européennes comme une sorte de sondage en conditions réelles, une occasion de revanche pour établir un nouvel équilibre des forces à gauche.

    Triste stratégie en réalité, qui consiste à espérer que la très faible participation des classes populaires aux élections européennes sera favorable à EELV. EELV pense ainsi pouvoir gagner sa place de leader parmi « ceux qui vont voter », plutôt que d’essayer de convaincre tous·tes les autres. Cela explique d’autant plus l’orientation de campagne, qui vise à attirer les déçus du macronisme.
    [...]

    Sur le même sujet, transmis par @mad_meg :
    LE MARCHÉ DU « BONHEUR » : la nocivité du développement personnel et des nouvelles spiritualités
    https://seenthis.net/messages/1036282

  • Val-de-Marne : le septuagénaire responsable d’une agression raciste contre un jardinier condamné à un an de prison ferme
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/15/val-de-marne-le-septuagenaire-responsable-d-une-agression-raciste-contre-un-

    « Espèce de sale bougnoule », avait lancé l’accusé avant de se saisir d’un cutter et d’entailler sur dix centimètres de longueur la gorge de la victime, âgée de 29 ans.

    Un homme de 76 ans, qui avait blessé d’un coup de cutter au menton un jardinier après l’avoir traité de « bougnoule », à Villecresnes (Val-de-Marne), a été condamné lundi 15 janvier à Créteil à un an de prison ferme sous bracelet électronique. Il devra en outre payer 5 000 euros à la victime. Le tribunal de Créteil l’a déclaré coupable de « violences volontaires en raison de la race, de l’ethnie ou de la religion, de « dégradations » et « d’injures racistes ».
    [...]
    Interrogé par les journalistes après l’audience, le jardinier s’est dit « très déçu » : « J’attendais quand même la requalification en tentative de meurtre. » Le parquet, comme l’avocate de la défense, ont assuré qu’il n’y avait pas d’intention d’homicide, relevant que le pronostic vital de la victime n’avait jamais été engagé.

    edit le journal s’en tient à l’AFP et se garde bien de signaler que l’agresseur a agi en état de récidive légale.

    #racisme #justice

    • Nous sommes dans le cas d’une tentative, matériellement constituée (coup de cutter à la gorge, agrafes et 70 points de suture), ce qui est bien plus qu’un projet qui est lui même plus qu’une simple intention. Le parquet et les juges osent un ’il est pas mort donc y a pas tentative’. Vu cette qualification pénale ahurissante, j’imagine que le plaignant que le journal dit « déçu » (...) va faire appel.

    • Lmonde n’a pas les yeux en face du trou, gorge est remplacé par menton la ligne suivante

      … entailler sur dix centimètres de longueur la gorge de la victime, âgée de 29 ans.

      Un homme de 76 ans, qui avait blessé d’un coup de cutter au menton …

  • Alma-Gare : la démolition, une vision dépassée
    https://topophile.net/savoir/alma-gare-la-demolition-une-vision-depassee

    Plus d’une vingtaine d’urbanistes, architectes et habitants organisés en collectifs, demandent aux pouvoirs publics, dans une tribune au « Monde », qu’une réflexion soit engagée afin de privilégier la réhabilitation plutôt que la destruction de logements sociaux dans le cadre de la politique de la ville. Cela aurait dû être une belle opération de réhabilitation.... Voir l’article

    • Israeli officials allege that Hamas carried out a pre-mediated and carefully executed massacre of 364 Israeli civilians at the Nova music festival near Gaza on 7 October as part of the Palestinian resistance’s Operation Al-Aqsa Flood. They claim that Hamas and other Palestinians had hours to murder Israeli partygoers before the army reached the scene.

      However, new details have emerged showing that Israel’s Border Police was deployed at the Nova site before Hamas stumbled on the festival, causing the eruption of a major battle.

      While some ravers were indeed killed by the Palestinian resistance - whether by intent or in the chaos of battle - the evidence now suggests that the majority of civilian deaths were likely inflicted by Israeli forces themselves.

      This was due to the overwhelming firepower employed by occupation forces - including from Apache attack helicopters - and because Tel Aviv issued the controversial Hannibal Directive to prevent Hamas from taking Israeli party-goers as captives.

      Operation Philistine Horseman

      At 6:30 am, just after sunrise on 7 October, fighters from the Hamas military wing, the Qassam Brigades, launched its military operation, firing a barrage of missiles toward Israel. Thousands of its fighters and those from other factions breached the Gaza border fence in multiple locations to attack surrounding Israeli military bases and take captives in settlements as leverage for a mass prisoner swap deal.

      Though it would take the army hours to respond, units of the Border Police were quickly deployed. At 6:42 am, a mere 12 minutes after Operation Al-Aqsa Flood was launched, the Southern District Commander of the Israeli Police, Amir Cohen, gave an order code-named “Philistine Horseman,” sending police officers and Border Police who were on alert to the sites of various battles.

      This included members of the Yamam, and Tequila commando units that have no police duties but conduct military and counter-terrorism operations, including undercover assassinations in the Gaza Strip and occupied-West Bank.

      According to a senior Israeli officer speaking with by the New York Times, the first formal reinforcements to southern Israel came from commandos that arrived by helicopter.

      Sagi Abitbol, a policeman working as a security guard at the festival, was among the first to confront Hamas fighters near Nova, and witnessed the early arrival of these helicopters.

      During the fighting, 59 Israeli police officers were killed, including at least 17 at the Nova festival.

      Hamas did not plan to attack the festival

      Avi Mayer of the Jerusalem Post asserted that Hamas carefully planned to attack the concert in advance, intending to murder as many Israeli civilians as possible. The facts, though, tell an entirely different story.

      An Israeli police investigation reported by Haaretz indicates that Hamas was unaware of the festival in advance. The official findings suggest that the intended target was Re’im, a settlement and military base located just down the road - on Route 232 - from the Nova site.

      A major fight did indeed take place at Re’im, home to the Israeli army’s Gaza Division, the Palestinian resistance’s stated military target. The commander of the base was forced to call in airstrikes from an Apache helicopter on the base itself just to repel the Hamas attack.

      The police investigation also indicates that Hamas fighters reached the festival site from Route 232, rather than from the Gaza border fence, further supporting the claim that the festival was not a planned target.

      Following the launch of missiles from Gaza - and before Palestinian resistance fighters arrived on the scene - the organizers of the festival promptly ceased the music and initiated an evacuation.

      According to a senior police officer quoted by Haaretz, roughly 4,400 people were present at Nova and the “vast majority managed to escape following a decision to disperse the event that was made four minutes after the rocket barrage,” while the first shots were not heard for another half hour.

      Trapping civilians: Israel police blocked the vital 232 Road exit

      However, as people exited the festival site by car and moved onto Route 232, Israeli police established roadblocks in both directions, leading to a traffic jam that trapped many partygoers in the area where fighting between Hamas and the Border Police would eventually break out.

      “There was a lot of confusion. The police barricaded the road, so we couldn’t go near Be’eri. We couldn’t go near Re’im, the two near kibbutzim,” says one witness, Yarin Levin, who was trying to evacuate the area with his friends.

      Levin, a former Israeli soldier, said this is when they had their “first encounter of the terrorists… fighting against the police that are there… two terrorists got lost in some kind of gun fight, so they found us.”

      Another witness, Shye Weinstein, also confirms the Israeli police roadblocks that blocked the main exit from the festival. He took photos of a Border Police vehicle and a heavily armed policeman in combat gear impeding the road in front of his car.

      A cell phone video from a concert attendee shows Israeli police and security forces using their vehicles to block the road near the festival site and exchanging fire with Hamas fighters.

      When gunfire erupted, those trapped on the road fled east into open fields, whether in their cars or by foot. Many made it past the fields and hid near trees, under bushes, and in ravines.

      But body cam footage shows heavily armed Israeli police units taking up positions on the road and firing across the open field into the trees where civilians had taken cover.

      Photos of destroyed cars near the Nova music festival
      As Nova attendee Gilad Karplus, also a former Israeli soldier, told the BBC:

      “We pretty much knew they would probably block the road. I’m pretty sure a lot of people got killed on those roads...We drove into the field and tried to hide from them… afterwards we got a bit deeper into the fields and then they started firing sniper rifles on us from different places and also heavy artillery.”

      Though Karplus and other partygoers were being fired on by the Border Police, they couldn’t make sense of this, and initially believed the shooting was from Hamas fighters disguised as police or soldiers. In other words, these witnesses actually saw Israeli forces firing on them.

      For Hamas to have executed a plan involving elaborate disguises, the Nova operation would have had to be pre-planned, and the Israeli police investigation has already ruled that Hamas was unaware of the festival in advance. Moreover, no other site of clashes on 7 October reported sightings of Palestinian fighters donning Israeli uniforms - neither at the various breached settlements, nor at the Israeli military bases they entered.

      Friendly fire

      In short, both the Border Police and Apache attack helicopters were deployed to the festival site immediately. According to Israeli Air Force (reserve) Colonel Nof Erez, the helicopters were in the air by 7:15 am - 45 minutes after the launch of Al-Aqsa Flood - with a significantly larger number deployed throughout southern Israel within a few hours.

      A survivor of the festival, Noa Kalash described hearing gunfire from both Hamas and Israeli forces, as well as airstrikes from attack helicopters and warplanes, while hiding in the bushes for hours to stay alive.

      “We hear guns all over the place and people shooting and we can already recognize if its terrorists shooting or if it’s the army. Or it is an airplane, or a helicopter or rockets,” Kalash recalled.

      It is abundantly clear that helicopter fire killed some of the terrified concertgoers. Haaretz quotes a police source saying that Apache helicopters “fired at the terrorists and apparently also hit some of the revelers who were there.”

      Multiple eyewitnesses who visited the Nova site after the battle ended described the horrific destruction. As another news report states:

      “It’s impossible to describe the scenes there in words. You can only list the sights that go on for a kilometer. There are hundreds of burned and bullet-riddled cars, huge wet bloodstains buzzing with flies and emitting a sickening odor, bags with body parts collected by the ZAKA [rescue] organization, thousands of bullets and casings and shrapnel of every kind.”

      A Times of Israel journalist who visited the site days later recounted that, “dozens of cars were parked in rows, some of them burnt husks containing charred bodies of young festival-goers who were shot and burned alive.”

      Saving bullets for soldiers

      Incredibly, Israeli officials claim it was Hamas fighters who destroyed hundreds of cars at Nova, burning their passengers alive. But Hamas did not have this kind of firepower.

      The group’s fighters were armed only with light machine guns and RPGs, and their ammunition was limited to what they could bring with them in pick-up trucks from Gaza.

      Guardian journalist Owen Jones noted this while discussing a 43-minute compilation of video footage from 7 October shown to select journalists by the Israeli army. He says Hamas fighters “urge bullets to be saved for killing soldiers. One terrified reveler in a car is asked, ‘Are you a soldier?’”

      As Jones notes: “So there is clearly some distinction being made between civilians and soldiers in the footage selected by Israel of the thousands of hours of footage which we don’t see.”

      While Hamas’ ammunition was limited, the Border Police were heavily armed and Apache helicopters are equipped with Hellfire missiles and 30 mm automatic chain guns, which can hold up to 1,200 rounds of ammunition and fire 625 rounds a minute.

      This suggests Israeli forces caused most of the death and destruction at Nova - which could be confirmed If Israel were to release all of its video footage from 7 October.

      The Hannibal Directive

      Israeli forces had not only the fire power, but also an official order to kill Israelis at Nova.

      A major reason Hamas launched the Al-Aqsa Flood operation was to take Israeli captives that could be exchanged for the thousands of Palestinians held captive in Israeli prisons. But Israeli forces were determined to prevent Hamas from taking captives back to Gaza, even if this meant killing the captured civilians.

      An investigation of Israel’s long-controversial Hannibal Directive concludes that “from the point of view of the army, a dead soldier is better than a captive soldier who himself suffers and forces the state to release thousands of captives in order to obtain his release.”

      But, on 7 October, according to a Yedioth Ahronoth investigation, the Hannibal Directive - which has previously only applied to army captives - was issued against Israeli civilians as well. The Hebrew-language daily writes that "at noon on October 7, the IDF [Israeli army] ordered all of its combat units in practice to use the ‘Hannibal Procedure’ although without clearly mentioning this explicitly by name.”

      The order was to stop “at all costs any attempt by Hamas terrorists to return to Gaza, that is, despite the fear that some of them have abductees,” the investigation concludes.

      In the days and weeks after the incident, Israeli authorities made a great show of distributing images of vehicles destroyed at the festival site, fully implying that the cars - and the dead victims inside - had been burned to a crisp by Palestinian fighters. The Yediot report completely upends that claim:

      “In the week after the attack, soldiers of elite units checked about 70 vehicles that were left in the area between the settlements and the Gaza Strip. These are vehicles that did not reach Gaza, because on the way they were shot by a combat helicopter, an anti-tank missile or a tank, and at least in some cases everyone in the vehicle was killed,” including Israeli captives.

      Nof Erez, the Israeli Air Force colonel noted above, similarly concluded, in regard to Israel’s indiscriminate use of helicopter firepower that day, that “The Hannibal directive was probably deployed because once you detect a hostage situation, this is Hannibal.”

      An apparent instance of this at the Nova festival was inadvertently documented by the BBC, which reported that video footage showed a woman who was taken hostage, but who:

      “Suddenly reappears two minutes later. She jumps and waves her arms in the air. She must think help is at hand - by this time, the Israeli Defence Forces had began their efforts to repel the incursion. But seconds later she slumps to the floor as bullets bounce around her. We don’t know if she survived.”

      The rationale for the Hannibal Directive was further explained by Brigadier General Barak Hiram, who ordered a tank to open fire on a home to resolve a hostage situation in Kibbutz Be’eri, “even at the cost of civilian casualties.” The strike killed 12 Israelis, including 12-year-old Liel Hetzroni, and dozens of Hamas fighters.

      “I am very afraid that if we return to Sarona [Israeli military headquarters in Tel Aviv] and try to hold all kinds of negotiations [to free hostages], we may fall into a trap that will tie our hands and not allow us to do what is required, which is to go in, manipulate, and kill them [Hamas]...”

      #7_octobre_2023 #Nova_festival #Hamas #FDI #directive_hannibal

  • Faire face au risque écofasciste | Antoine Dubiau solidaritéS Genève
    https://solidarites.ch/geneve/journal/428-2/faire-face-au-risque-ecofasciste

    Antoine Dubiau est l’auteur de l’ouvrage « Écofascismes. De quoi l’écofascisme est-il le nom, et que peut-on faire pour le contrer ? » L’écofascisme peut être appréhendé comme le résultat d’un double processus, celui d’écologisation du fascisme d’une part et celui de fascisation de l’écologie d’autre part. Source : Relevé sur le Net...

  • COVID levels are up to 19 times higher than reported, WHO says as it warns of the potential dangers of repeat reinfection: ‘We don’t know everything about this virus’
    https://fortune.com/well/2024/01/12/covid-jn1-pandemic-world-health-organization-warns-dangers-repeat-covid-infection-cardiac-pulmonary-neurologic/?s=31

    Because most people have some immunity to COVID, “we don’t necessarily know how often we’re getting infected,” a WHO spokesperson said. Source: Fortune