• Sur les traces impossibles du Printemps de Prague - imago mundi
    https://www.imagomundi.fr/article36.html

    Pour qui aimerait découvrir dans le paysage des villes européennes les traces de leur histoire récente – celle qui n’est pas encore, ou alors tout juste, mise en mémoire et patrimonialisée – il lui faudra se repérer à de rares monuments, consulter des images d’archives et passer plusieurs heures au département d’un musée dédié au sujet. Il en est ainsi de Prague et de son Printemps de 1968, réprimé dans le sang.
    par Nepthys Zwer

  • Ça doit pas être triste, le moment où tu essaies d’expliquer à ton client que son site Web vient d’être attaqué par une armée de brosses à dents.

    Three million malware-infected smart toothbrushes used in Swiss DDoS attacks — botnet causes millions of euros in damages
    https://www.tomshardware.com/networking/three-million-malware-infected-smart-toothbrushes-used-in-swiss-ddos-a

    According to a recent report published by the Aargauer Zeitung (h/t Golem.de), around three million smart toothbrushes have been infected by hackers and enslaved into botnets. The source report says this sizable army of connected dental cleansing tools was used in a DDoS attack on a Swiss company’s website. The firm’s site collapsed under the strain of the attack, reportedly resulting in the loss of millions of Euros of business.

    In this particular case, the toothbrush botnet was thought to have been vulnerable due to its Java-based OS. No particular toothbrush brand was mentioned in the source report. Normally, the toothbrushes would have used their connectivity for tracking and improving user oral hygiene habits, but after a malware infection, these toothbrushes were press-ganged into a botnet.

  • Un cabinet de conseil a utilisé Richard Ferrand comme cheval de Troie au Parlement | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/politique/060224/un-cabinet-de-conseil-utilise-richard-ferrand-comme-cheval-de-troie-au-par

    euxDeux ans après le scandale McKinsey, la proposition de loi (PPL) sur l’intervention des cabinets de conseil devait permettre à la puissance publique de reprendre la main sur ce « phénomène tentaculaire » ayant progressivement grignoté l’appareil d’État, selon les conclusions d’une commission d’enquête sénatoriale. Mais, le risque est désormais grand que le texte accouche d’une souris, après avoir été vidé de mesures ambitieuses lors de son examen à l’Assemblée nationale, du 24 janvier au 1er février, sous l’influence des représentants du secteur.

    Tandis que l’État et ses opérateurs ont dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil en 2021, la Fédération Syntec (organisation patronale des cabinets de conseil) a en effet présenté une série d’amendements visant à limiter la portée de cette proposition de loi, portée par la sénatrice Éliane Assassi (Parti communiste français) et le sénateur Arnaud Bazin (Les Républicains).

    https://justpaste.it/9ov6s

  • JO Paris 2024 : le président du comité d’organisation Tony Estanguet visé par une enquête sur son salaire - lindependant.fr
    https://www.lindependant.fr/2024/02/06/jo-paris-2024-le-president-du-comite-dorganisation-tony-estanguet-vise-

    Le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (#Cojop) de Paris, Tony Estanguet, est visé par une enquête ouverte récemment par le parquet national financier et portant sur les conditions de sa rémunération, a appris l’AFP ce mardi de source proche du dossier.

    L’enquête a été confiée à la police judiciaire parisienne la « semaine dernière », a précisé cette source. Contacté par l’AFP, le PNF a indiqué ne pas souhaiter « communiquer à ce stade sur l’existence d’une éventuelle enquête préliminaire relative à la rémunération de Tony Estanguet ».

    Tony Estanguet a perçu une rémunération annuelle de 270.000 euros bruts jusqu’en 2020, selon des chiffres communiqués par le Cojop en 2018. Cette rémunération était ensuite susceptible d’évoluer dans une limite de 20%, en fonction de certains critères de performance, avait indiqué le Cojop à l’époque. Mais le Cojop étant une association de type loi 1901, la rémunération de ses dirigeants est plafonnée par la loi à des niveaux sensiblement inférieurs.

    Selon un récent article du Canard enchaîné, l’ancien sportif aurait donc créé une société qui facture des « prestations non commerciales » au Cojop, qu’il dirige. Ce qui interroge sur le contrôle de « la réalité et la qualité des prestations » effectuées par la société d’Estanguet, poursuivait le journal en octobre.

    #JO

    • JO Paris 2024 : le gouvernement recommande de ne pas se faire livrer pendant la compétition
      https://www.lefigaro.fr/conjoncture/jo-paris-2024-le-gouvernement-recommande-de-ne-pas-se-faire-livrer-pendant-

      Les livraisons pourraient pâtir des difficultés de circulation attendues pendant la compétition. JUSTIN SULLIVAN / Getty Images via AFP
      En cas d’impossibilité de commander à un autre moment, l’exécutif recommande de privilégier des livraisons à des horaires décalés ou en point relais.

      Les Parisiens devront-ils faire une croix sur les livraisons à domicile de commande en ligne pendant les Jeux olympiques ? Le gouvernement invite à « anticiper vos commandes de colis » pour les faire livrer avant le début des JO, le 24 juillet, après les Jeux paralympiques, le 8 septembre, « ou entre les deux olympiades, soit entre le 12 et le 27 août », dans la foire aux questions de son site d’information à destination du public.

      Pour ceux qui ne pourraient pas décaler leurs livraisons, le gouvernement invite à « privilégier des livraisons à des heures et des jours avec moins de trafic », « des livraisons à vélo ou à pied », ou en « point relais en dehors des périmètres de sécurisation ».

      De nombreux propriétaires donnent congé à leurs locataires dans Paris à l’approche de la compétition
      https://seenthis.net/messages/1040313

      La touristification bananière coûte cher

    • Il s’agit de la sixième procédure pénale en lien avec les Jeux olympiques de Paris 2024.

      https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/06/jo-2024-tony-estanguet-le-patron-des-jeux-a-son-tour-dans-le-viseur-de-la-ju

      A moins de six mois de l’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 (du 26 juillet au 11 août), c’est une fuite qui a provoqué quelques remous au sein du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) de l’événement sportif planétaire. Mardi 6 février, l’Agence France-Presse a révélé l’ouverture d’une nouvelle enquête préliminaire par le Parquet national financier (PNF) en lien avec les Jeux et ses organisateurs. Comme le confirme une source proche du dossier, cette procédure pénale vise les conditions de rémunération (270 000 euros annuels brut) du président du Cojop, Tony Estanguet. Elle a été confiée à la brigade de répression de la délinquance économique, au sein de la police judiciaire parisienne.

      Il s’agit de la sixième enquête préliminaire ouverte, depuis 2017, par le PNF en lien avec le Cojop et les Jeux de 2024. A ce stade, l’ensemble de l’état-major du comité d’organisation est dans le collimateur de la justice française. Outre Tony Estanguet, figure de l’olympisme français et triple médaillé d’or aux JO, Etienne Thobois, directeur général de Paris 2024, Michaël Aloïsio, directeur général délégué, et Edouard Donnelly, directeur exécutif des opérations – soit les quatre principaux dirigeants, dans l’ordre hiérarchique, du comité d’organisation des Jeux –, sont désormais dans le viseur des enquêteurs pour des soupçons de « prise illégale d’intérêts », « favoritisme » et « trafic d’influence ».

      Cette fuite via l’AFP n’a guère été du goût du PNF, qui n’a pas confirmé l’information et « n’a pas souhaité communiquer sur l’ouverture d’une éventuelle enquête ». Le PNF indique au Monde avoir « adopté une communication limitée autour des dossiers mettant en cause les différentes structures d’organisation des Jeux olympiques, afin de préserver les chances de réussite de ces procédures ». Il ajoute : « Le choix de certains médias de révéler l’existence d’enquêtes en cours, avant même la réalisation d’opérations de perquisition ou l’audition des principales personnes mises en cause, est de nature à constituer une entrave importante à la manifestation de la vérité. »

      « Ce n’est pas Tony Estanguet qui fixe sa rémunération »

      De son côté, le comité d’organisation, qui a fait part, mardi, de son « étonnement » à l’annonce de l’ouverture de l’enquête, dément « formellement » s’être affranchi de la réglementation en matière de rémunérations applicable aux associations de type loi 1901, forme juridique adoptée lors de la création du Cojop, début 2018. Interrogé mardi soir en marge de l’inauguration de la piscine Annette Kellerman à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Tony Estanguet a affirmé que ce n’était pas lui « qui décid[ait] de [sa] rémunération ni de son cadre ». « Je fais confiance à ce qui a été décidé à l’époque », a-t-il ajouté.

      La rémunération de Tony Estanguet – 270 000 euros brut, dont une part variable plafonnée à 20 % – est « très strictement encadrée », fait valoir le comité d’organisation. Elle a été validée lors du premier conseil d’administration de Paris 2024, le 2 mars 2018, « sur proposition d’un comité des rémunérations composé d’experts indépendants et présidé par [l’ex-PDG de la RATP] Jean-Paul Bailly ». « Ce n’est pas Tony Estanguet qui fixe sa rémunération », précise le Cojop.

      L’organisateur des Jeux assure qu’ en raison du caractère commercial de ses activités – recettes issues des partenariats, de la billetterie et des droits télé entre autres – il n’est pas soumis au plafonnement de la rémunération de ses dirigeants. Rien ne l’empêche donc de rétribuer ses dirigeants comme il l’entend. « Le comité poursuit un but d’intérêt général mais n’a pas une gestion désintéressée, au sens fiscal du terme […] A l’inverse des associations non lucratives, Paris 2024 est par exemple assujetti à la TVA dans les conditions de droit commun […] comme une entreprise normale », poursuit-il, précisant que « le caractère lucratif de son activité, lié à ses recettes commerciales, lui a été confirmé par un #rescrit_fiscal [de Bercy] ».

      Mais pourquoi Paris 2024 n’a-t-il pas salarié son patron alors qu’Etienne Thobois, son numéro deux, rémunéré 260 000 euros brut – soit sensiblement la même somme que Tony Estanguet –, dispose, lui, d’un contrat de travail ? Impossible, répond le Cojop, qui assure que le statut d’une association de type loi 1901 interdit au président de ladite association d’être lié par un quelconque lien de subordination juridique. Cela lui aurait été rappelé par les services de l’Urssaf. « La présidence exécutive de Paris 2024 est considérée comme un mandat et non comme un contrat de travail », explique Michaël Aloïsio, directeur général délégué.
      D’où le recours au régime de travailleur indépendant pour indemniser le patron du comité d’organisation. Concrètement, la société de Tony Estanguet facture chaque mois des prestations au Cojop – une information qui avait été révélée par Le Canard enchaîné, fin octobre 2023 – à hauteur de la rémunération fixée, et dont le montant fait l’objet d’un « audit annuel par l’exécutif du comité d’organisation et d’un examen par le comité des rémunérations », souligne Paris 2024. Le montant de la rémunération du triple champion olympique de canoë n’a pas varié depuis 2018, insiste-t-on du côté de l’organisateur, qui précise en outre que les modalités de versement de la rémunération ont été validées par l’Urssaf et par le contrôleur général économique et financier.

      Une mauvaise série d’enquêtes

      « Aux JO, on sait que chaque faux pas sera visible », prédisait Tony Estanguet, samedi, dans un entretien à Libération. Simple mauvais présage ? Le patron du comité d’organisation n’a, à ce jour, pas pris d’avocat, « car [ses équipes] n’[ont] pas encore été sollicité[e]s dans le cadre d’une procédure », avancent-elles. Ces dernières se disent prêtes à répondre aux questions des enquêteurs, « comme [elles] l’[ont] toujours fait auprès de l’ensemble des organes de contrôle », ajoutent-elles.

      Les révélations de l’AFP sur cette nouvelle enquête menée par le #PNF contribuent en tout cas à rappeler, à quelques mois des Jeux, l’épée de Damoclès qui plane au-dessus des organisateurs sur le plan judiciaire. La mauvaise série se poursuit pour le Comité international olympique. Avant le Cojop, d’autres pays organisateurs des Jeux ont été ciblés par des enquêtes judiciaires.

      Si l’ex-patron du comité olympique brésilien, Carlos Nuzman, n’a été mis en cause puis condamné pour corruption et blanchiment d’argent qu’après les Jeux de Rio, en 2016, les organisateurs des JO de 2021 à Tokyo ont été ébranlés par la tornade judiciaire avant l’événement. Soupçonné par le PNF d’avoir autorisé le paiement de pots-de-vin en vue de l’obtention des Jeux par la capitale nipponne en 2013, l’ex-patron du Comité olympique japonais, Tsunekazu Takeda, a été mis en examen, en 2019, par la justice française pour « corruption active ».
      Rémi Dupré et Nicolas Lepeltier

      Ah la la, ça fait trop penser à Amélie Oudéa-Castéra... Ces ex-sportifs de haut niveau qui ont réussi à se promouvoir, ils se font bolosser par les média, les syndicats et la justice d’un pays tellement égalitariste jusqu’au cauchemar ! C’est trop injuste.

  • J. Sapori : « La police nationale traverse une crise sans précédent sous la Cinquième République » - Actu-Juridique
    https://www.actu-juridique.fr/justice/j-sapori-la-police-nationale-traverse-une-crise-sans-precedent-sous-l

    En 2023, le nombre d’homicides a passé la barre symbolique du millier, en progression de 19% sur quatre ans !

    #homicides #brutalisation #police #cogestion #syndicats_policiers #maintien_de_l'ordre #police_judiciaire #atteintes_aux_personnes #grande_criminalité

    • La monsieur envisage les stratégies de réforme possibles : virer la police et tout miser sur la gendarmerie

      Entre continuer à ne rien faire et entamer un bras de fer périlleux avec les syndicats, il resterait, pour le ministère, la possibilité d’une stratégie médiane, écartant à la fois la stagnation mais, aussi l’hypothèse d’une réforme ambitieuse. Je m’explique. La Police Nationale et la Gendarmerie Nationale sont deux institutions conçues « en miroir », chacune disposant de services qui, dans une certaine mesure, doublent ceux de l’autre « maison ».

      Les Groupements Départementaux de la Gendarmerie sont des alter ego des Directions Départementales de la Police, la Gendarmerie Mobile l’est des CRS, tandis que les Sections de Recherche sont des duplicatas des services territoriaux de la Police Judiciaire. Il serait finalement assez aisé de renforcer les structures de la Gendarmerie au détriment de celles d’une Police Nationale considérée désormais comme ingouvernable. Je ne sais pas si cette stratégie sera mise en œuvre (elle risquerait de faire « tiquer » Bercy : un gendarme, ça coûte environ 25 % plus cher qu’un policier, puisqu’il est logé) mais de toute manière, même si c’était le cas, elle ne sera pas annoncée. Il existe quand même un voyant, qui permettra de constater que le processus est amorcé : l’évolution des effectifs des Sections de Recherche de la Gendarmerie, destinées peut-être, à terme, à remplacer l’antique Police Judiciaire dans la lutte contre la grande criminalité.

    • Ce commissaire divisionnaire retraité dit plutôt redouter que cela arrive (tout en espérant que cela coûte trop cher pour que ce soit fait) et qu’une police efficace nécessite un ministre qui ne soit pas un paltoquet de communicant mais un politique (Joxe pour modèle), l’instauration (ou réinstauration) de directions centrales de services et fonctions policières spécialisés, des formations elles-aussi adaptées à la spécificité des missions sans prétendre à une polyvalence aussi générale que vide de contenu, et prône la sempiternelle « simplification des procédures ».

  • Jean Malaurie : « Toute ma vie a été à la recherche d’une vérité » (rediffusion)
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/terre-a-terre/jean-malaurie-toute-ma-vie-a-ete-a-la-recherche-d-une-verite-rediffusion

    Il vient de mourir et c’était un type incroyable. En 2008, Ruth Stegassy avait fait avec lui un entretien — l’avait laissé parler. Très chouette

  • Palestinians demand international inquiry after mass grave found in Gaza | Israel War on Gaza News | Al Jazeera
    https://www.aljazeera.com/news/2024/2/1/palestinians-demand-international-inquiry-after-mass-grave-found-in-gaza

    Bodies of Palestinian detainees who were handcuffed, blindfolded discovered in plastic bags near northern Gaza school.

  • Israel Withholding Intelligence Dossier on UNRWA Participation in Hamas Attack | The Libertarian Institute
    https://libertarianinstitute.org/news/israel-withholding-intelligence-dossier-on-unrwa-participation

    Israel is refusing to release the full intelligence dossier it compiled about the 12 members of the UN Palestinian aid agency it alleges participated in the Hamas October 7 attack. The US and several other countries cut funding in response to the Israeli assertion, potentially igniting a famine in the besieged enclave.

    UNRWA employs 30,000 people, including 12,000 in Gaza, and is the key to providing life-saving aid to the 2.3 million Palestinians in the Strip. The four-month Israeli onslaught in Gaza has caused a humanitarian crisis as nearly the entire population of the Strip has been displaced and now relies on assistance to survive.

    On January 18, Israel claimed that 12 members of UNRWA participated in the October 7 Hamas attack. UNRWA quickly terminated living employees identified by Tel Aviv. Still, the US and several other top donors to UNRWA suspended funding to the group.

    What intelligence Israel has about the 12 members who participated in the attack is still in question. Israel has released a summary of its intelligence dossier. However, Tel Aviv is refusing to release the complete dossier. “I don’t think we need to give intelligence information,” stated Lior Haiat, a spokesperson for Israel’s foreign ministry.

    Secretary of State Antony Blinken admitted the US has not verified the Israeli assertions. On Monday, the UN announced an investigation into the accusations by Catherine Colonna, the former minister of foreign affairs of France.

    Matthias Schmale, UNRWA director in Gaza from 2017 to 2021, said Hamas has no involvement in his former organization. “During my almost four years in Gaza, I had to fire only one staff member for direct involvement [in Hamas]. This was the exception, not the norm.”

    He added, “Hamas de facto authorities are NOT involved in UNRWA’s core services, which include education and health. Hamas mostly respected that it cannot interfere in the running of the Agency, and we were able to conduct our work in conformity with UN standards and norms.”

    The outcome of the investigation may not have much of an impact as Tel Aviv has already stated its plans for UNRWA. In the short term, Israel wants the organization to continue to deliver aid. Tel Aviv fears without the assistance, the humanitarian crisis in Gaza will grow so large that Tel Aviv will have to halt its military operations.

    A memo in the Israeli military instructed officials not to criticize UNRWA until it had a replacement. That policy did not prevent Israel’s Defense Minister Yoav Gallant from telling a UN delegation that “UNRWA is Hamas with a face-lift.”

    “If UNRWA ceases operating on the ground, this could cause a humanitarian catastrophe that would force Israel to halt its fighting against Hamas,” a senior Israeli official told the Times of Israel. “This would not be in Israel’s interest and it would not be in the interest of Israel’s allies either.”

    That seems to be one point UNRWA and Israel agree upon. “In 4 months of war, around 100,000 people in Gaza were killed, injured, or are currently missing. This represents nearly 5% of the population. You can easily figure out what this would [mean] in your city or country,” Director of UNRWA Philippe Lazzarini posted on X.” In addition, around 17,000 [children] are unaccompanied or separated from their families. More than 80% of the population has been displaced, most several times.”

    A spokesperson for the UN said, “For us, UNRWA’s activities remain essential for the survival of Palestinians in Gaza.” Michael Fakhri, the UN Special Rapporteur on the Right to Food, posted on X, “Some states decided to defund UNRWA for the alleged actions of a small number of employees. This collectively punishes +2.2 million Palestinians. Famine was imminent. Famine is now inevitable.”

    In the long-term, Tel Aviv is calling for the primary aid agency for the Palestinians to be abolished or undergo significant reforms post-conflict in Gaza. “We want there to be a plan of action on how to replace them. We want our international partners to either reform UNRWA entirely or to come up with an alternative,” an Israeli official explained to the Wall Street Journal. US officials told the outlet there was broad agreement with Israel on the need for reforms.

  • Le président Macky Sall plonge le Sénégal dans la crise | Mediapart

    Le président Macky Sall plonge le Sénégal dans la crise
    Trois semaines avant le premier tour de l’élection présidentielle, à laquelle il ne pouvait pas se présenter, le chef de l’État sénégalais a reporté le scrutin sine die. Une partie de l’opposition, vent debout, parle d’une « régression démocratique » inédite.
    Rémi Carayol 5 février 2024 à 12h37

    Le PDF de l’article >https://cutt.ly/PwXZEiwV
    #Sénégal

  • Boeing révèle un nouveau problème de non-conformité sur les fuselages de certains 737 MAX – La Tribune
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/boeing-revele-un-nouveau-probleme-de-non-conformite-sur-les-fuselages-de-c

    Le constructeur aéronautique Boeing a indiqué dimanche avoir été informé par un fournisseur d’un problème de conformité sur les fuselages de certains 737 MAX qui, sans représenter de danger immédiat pour les avions en vol, devrait nécessiter une intervention sur une cinquantaine d’exemplaires non encore livrés. Et entraîner des retards de livraisons.

    Les déboires s’accumulent sur Boeing et sur le 737 MAX, cinq ans après les deux accidents mortels qui avaient cloué l’avion au sol pendant 22 mois. Dimanche, un mois après l’incident de la porte arrachée en plein d’un 737 MAX-9 d’Alaska Airlines, Stan Deal, le responsable de la branche d’aviation commerciale du constructeur américain, a fait état d’un nouveau problème : un fournisseur l’a informé d’un problème de non-conformité sur les fuselages de certains 737, qui, sans représenter de danger immédiat pour les avions en vol, devrait nécessiter une intervention sur une cinquantaine d’exemplaires non encore livrés.

    Selon lui, un employé de ce fournisseur, dont l’identité n’a pas été révélée, a signalé à son supérieur hiérarchique que « deux trous pourraient ne pas avoir été percés exactement selon nos spécifications ». Néanmoins, « tous les 737 peuvent continuer à opérer en toute sécurité », a assuré Stan Deal, précisant que le groupe estimait néanmoins devoir « retravailler sur environ cinquante avions non livrés ».

    « Bien que ce problème puisse retarder certaines livraisons du 737 à court terme, il s’agit de notre seule option étant donné notre engagement à livrer des avions parfaits à chaque fois », a-t-il ajouté.

    Selon l’agence Reuters, le problème se situe à nouveau chez le fournisseur américain Spirit AeroSystems. Le défaut a été repéré pour l’heure sur 22 fuselages, soit près de la moitié des 47 appareils inspectés à ce jour-dans la chaîne de production entre Boeing et Spirit. Si de telles notifications entre un avionneur et son fournisseur sont courantes, ce problème intervient dans un contexte de surveillance accrue du 737 MAX.

  • [Témoignage] « Oublier le bruit de la guerre », espère Lama Abu Jamous, apprentie journaliste de neuf ans documentant la guerre à Gaza
    RFI-5 février 2024 07h25 :

    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240205-en-direct-israel-gaza-combats-sans-rel%C3%A2che-blinken-attendu-dans-r%
    https://www.instagram.com/reel/C27LFlrtelN

    La guerre à Gaza, à travers les yeux d’une enfant : elle s’appelle Lama Abu Jamous, a neuf ans et est journaliste en herbe. La jeune gazaouie comptabilise plus de 800 000 abonnés sur Instagram. Sur son compte, elle partage sa vie, son quotidien sous les bombes israéliennes. Elle tourne des vidéos avec son téléphone, et mène même des interviews. « Voilà, j’ai mis mon casque et mon gilet », raconte Lama dans une de ses vidéos. Un gilet pare-balle siglé « presse », bien trop grand pour une petite reporter de guerre. Un métier risqué ? « Ici à Khan Younès, il n’y a de toute façon pas d’abri […] Les bombardements sont aléatoires », explique-t-elle par téléphone à notre envoyé spécial permanent à Jérusalem, Sami Boukhelifa.

    Depuis le début de la guerre, Lama et sa famille ont été déplacés de force deux fois. De Gaza à Khan Younès, puis de Khan Younès à Rafah. Une enfant de la guerre, privée de tout, mais qui garde espoir. « J’aimerais tellement retourner à l’école. J’aimerais que tous les enfants ici, retournent à l’école. Au lieu de cela, les enfants de Gaza sont obligés de travailler pour aider leur famille. Ils vendent de la nourriture dans la rue. Ils ramassent du bois pour faire du feu et se chauffer. Si seulement le monde pouvait faire quelque chose pour arrêter cette guerre. On pourrait enfin rentrer chez nous », espère Lama.

    Face à l’horreur et les affres de la guerre, en décembre dernier, Lama décide de prendre son téléphone et de raconter la violence qui l’entoure. « J’ai publié ma première vidéo à Khan Younès. C’était sur Instagram. Ils ont bombardé la maison de ma tante. Ma tante, son mari et leurs enfants étaient tranquillement chez eux. Et tout d’un coup, il ne restait plus personne. Donc j’ai voulu montrer cette souffrance, montrer ce qu’ils nous font subir. Montrer la vérité à tout le monde », se souvient-elle. Lama fait des interviews. Comme ici avec un médecin de Gaza, pour parler des enfants victimes de la guerre. Elle documente tout. Mais son souhait le plus cher est d’oublier. « Oublier le bruit de la guerre, les explosions, les bombes, l’artillerie, les tirs... J’aimerais vraiment tout oublier. Mais je n’y arrive pas », termine Lama.

    • L’enfer de la guerre vu par les yeux de Lama Abu Jamous, porte-voix des enfants de Gaza
      Par : FRANCE 24 | Publié le : 26/03/2024
      https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20240326-ama-abu-jamous-gaza-enfants-guerre-israel-hamas-journaliste-pales

      La jeune gazaouie Lama Abu Jamous, 9 ans, partage son quotidien et celui des Palestiniens piégés sous les bombes israéliennes avec ses 884 000 abonnés sur Instagram. Se décrivant comme journaliste, elle met en ligne des vidéos pour témoigner, à hauteur d’enfant, de l’enfer de la guerre dans le territoire palestinien.

      (...) Lama Abu Jamous se retrouve invitée à s’exprimer dans plusieurs médias internationaux, dont la chaîne américaine CNN, alors que les journalistes étrangers se voient toujours refuser d’accéder librement au territoire palestinien et que leurs confrères gazaouis payent un lourd tribut.

      Selon le Comité de protection des journalistes (CPJ), une association basée à New York, au moins 95 journalistes, dont 90 Palestiniens, ont été tués depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas.

      D’où l’attention accordée aux récits et vidéos de Lama Abu Jamous, publiés au gré des coupures Internet. Outre des scènes de rue documentant les conditions de vie des Gazaouis, qu’elle commente elle-même, elle interviewe des membres de sa famille, des journalistes locaux comme Wael Al-Dahdouh, célèbre journaliste de la chaîne Al Jazeera, avec laquelle elle collabore, ou encore des enfants blessés dans des hôpitaux.

      Dans une autre vidéo en ligne, on voit Lama Abu Jamous visiter les décombres de l’immeuble dans lequel se situait l’appartement familial, avant la fuite vers le sud de Gaza.

      Le 25 mars, dans la dernière publication sur son compte Instagram, elle annonce, avec une certaine colère dans la voix, que sa tante, son oncle et leurs enfants, ont été tués dans un bombardement.

      « Mon message au monde est que malgré la douleur il y a de l’espoir, j’espère que la guerre va se terminer », conclut-elle, regrettant comme dans la plupart de ses vidéos, « le temps où la vie était belle ».

  • Déclaration sur les récentes menaces sur l’UNRWA et sur le passage d’une possible complicité à un engagement direct dans le crime de génocide contre les Palestiniens de la part de plusieurs pays.

    Posted on février 5, 2024 | Lemkin Institute for Genocide Prevention (LIGP) | Traduction SF pour l’AURDIP| Traduction SK pour l’AURDIP| Traduction SM pour l’AURDIP

    https://aurdip.org/declaration-sur-les-recentes-menaces-sur-lunrwa-et-sur-le-passage-dune-possi

    L’Institut Lemkin pour la prévention du génocide est profondément préoccupé par la décision d’une coalition de plusieurs nations – les États-Unis et l’Allemagne, de concert avec l’Australie, l’Autriche, le Canada, l’Estonie, la France, l’Irlande, l’Italie, le Japon, les Pays-Bas, la Roumanie, la Suisse et le Royaume Uni – de suspendre le financement de l’Agence des Nations Unies pour l’aide aux réfugiés palestiniens de 1948 et leurs descendants (UNRWA). Cette grave escalade dans la crise à Gaza intervient à la suite du premier jugement de la Cour Internationale de Justice en application de la Convention sur la Prévention et la Punition du Crime de Génocide dans la bande de Gaza (Afrique du Sud vs Israël), dont nombreux sont ceux qui en espéraient un ralentissement du génocide. De plus, ce jugement représente un changement de la part de plusieurs pays d’une possible complicité dans le génocide à une implication directe dans la construction de la famine. C’est une attaque sur ce qui reste de sécurité personnelle, de liberté, de santé et de dignité en Palestine.

    L’Institut Lemkin pour la Prévention du Génocide (LIGP) reconnaît que cette décision peut avoir été prise à la hâte ou sans que les dirigeants nationaux n’aient été correctement conseillés et, si c’est le cas, nous incitons à une inversion. Si aucune inversion ne s’annonce, nous condamnons la décision de priver l’UNRWA de financement et, ce faisant, nous nous joignons à un consensus croissant de professionnels du droit international et de spécialistes du génocide qui mettent en avant que cette action équivaut à une participation accrue au génocide en cours des Palestiniens à Gaza et constitue à la fois une violation du récent jugement de la CIJ et des responsabilités des nations participantes sous l’égide de la Convention pour la Prévention et la Punition du Crime de Génocide (« la Convention sur le Génocide »). Nous avertissons en outre que le retrait du financement octroyé à l’UNRWA agit comme un point d’appui pour la diffusion d’actes génocidaires contre les Palestiniens de Gaza à d’autres zones critiques, où la vie des Palestiniens est mise en danger. En période de famine, procéder à une annulation permanente ou à une pause dans le financement place potentiellement en violation de la Convention sur le Génocide, des États qui ont précédemment versé des fonds. (...)

    #UNRWA #Génocide

  • Remboursement intégral du fauteuil roulant : la fausse promesse de Macron et la grande angoisse des personnes handicapées – Libération
    https://www.liberation.fr/societe/sante/remboursement-integral-du-fauteuil-roulant-la-fausse-promesse-de-macron-e

    On rappelle qu’il a fait exactement le même coup avec les lunettes.

    « Dès 2024, les fauteuils roulants manuels et électriques seront intégralement remboursés », annonçait Emmanuel Macron en avril. Comme tous ceux qui assistaient alors au discours du Président en clôture de la Conférence nationale du ­handicap, le député Sébastien Peytavie (EE-LV), lui-même en fauteuil, a halluciné  : « Cette belle surprise a tout de suite fait naître des attentes chez ­beaucoup de personnes. » Une promesse reprise telle quelle mardi par le Premier ministre, Gabriel Attal, lors de son discours de politique générale, réaffirmant devant les députés que son gouvernement « accompagner [a] nos concitoyens en situation de handicap en toutes circonstances. Nous leur simplifierons la vie. Nous prendrons intégralement en charge le remboursement des fauteuils roulants de ceux qui en ont besoin ». Depuis le discours d’Emmanuel Macron, les conditions de prises en charge des fauteuils roulants ont été revues et discutées avec les associations. Puis la nouvelle nomenclature a été envoyée par courrier à certaines personnes handicapées, présentée à d’autres, avant son entrée en vigueur prévue au printemps.

  • Aux apatrides du web merdique - Par Thibault Prévost | Arrêt sur images
    https://www.arretsurimages.net/chroniques/clic-gauche/aux-apatrides-du-web-merdique

    Quinze ans après sa naissance, le Web 2.0, celui des réseaux sociaux, des applis et de la disruption, est en train d’agoniser, sans qu’on sache encore réellement ce qui lui succédera. En cause : l’emmerdification, ou la lente dégradation du capitalisme de plateforme.

  • This German village is embracing integration

    #Hebertshausen, a small community in southern Bavaria, has taken in five times as many refugees and migrants as required. Locals explain why Germany depends on immigration and what effective integration into a democracy should look like.

    https://www.infomigrants.net/en/post/54827/this-german-village-is-embracing-integration

    #Allemagne #accueil #migrations #réfugiés #asile #rural #intégration #solidarité #villes-refuge

    voir aussi :
    Migrationskrise ? Eine Gemeinde zeigt, wie es geht
    https://seenthis.net/messages/1023354
    via @_kg_

    –—

    ajouté à la sous-métaliste sur les #villes-refuge en #Europe...

    https://seenthis.net/messages/878327

  • CNN staff say network’s pro-Israel slant amounts to ‘journalistic malpractice’ | CNN | The Guardian
    https://www.theguardian.com/media/2024/feb/04/cnn-staff-pro-israel-bias
    https://i.guim.co.uk/img/media/86a4032d59628776965de090bb28c7fa8215152d/0_13_4000_2400/master/4000.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    CNN is facing a backlash from its own staff over editorial policies they say have led to a regurgitation of Israeli propaganda and the censoring of Palestinian perspectives in the network’s coverage of the war in Gaza.

    Journalists in CNN newsrooms in the US and overseas say broadcasts have been skewed by management edicts and a story-approval process that has resulted in highly partial coverage of the Hamas massacre on 7 October and Israel’s retaliatory attack on Gaza.

  • Les #Natchez et les Français : histoire d’une alliance et d’un drame méconnu | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/les-natchez-et-les-francais-histoire-dune-alliance-et-dun-drame-mecon

    En 1729, près de la Nouvelle-Orléans, les Natchez massacrent soudainement des colons français installés dans leur voisinage. Les représailles, féroces, mèneront le peuple #amérindien au bord de la disparition. Dans un ouvrage qui paraît aujourd’hui, l’historien Gilles Havard, à l’origine d’un projet de « traité de #réconciliation », tente d’apporter un nouvel éclairage sur cet épisode tragique.

    #histoire #colonialisme

    • @gonzo

      Reversing an earlier denial, Israeli military officials have admitted that the Telegram channel 72 Virgins – Uncensored was operated by members of a department of the Israel Defense Forces’ Operations Directorate.

      The admission comes after a Haaretz published an exposé on the channel last month, which led to an internal investigation into the matter.
      The probe, conducted by Maj. Gen. Oded Basyuk, head of the Operations Directorate, found that the information that led to the original denial that the channel was operated by or on behalf of the army was incorrect, and relied on misinformation relayed by members of the Influencing Department. In the wake of these findings, the unit’s wartime commander is to end his military service.

      During the original investigation, sources told Haaretz that members of the unit, which is in charge of psychological warfare targeting the enemy and foreign audiences, created 72 Virgins – Uncensored on October 9, two days after the war began, without official approval and without being authorized to do so. Furthermore, the channel was directed at an Israeli audience.

      After processing its findings, IDF officials contacted Haaretz to present their conclusions. In a written response, the IDF Spokesperson’s Unit said that after a thorough investigation, “it was found that the Telegram page was operated by the IDF without authorization and without authority. The incident has been dealt with.”

      The channel’s administrators posted graphic content, such as images of the dead bodies of Hamas terrorists, captioned “Shatter the terrorists’ fantasy,” on a daily basis. On several occasions, they posted exclusive material from investigations or information that was only available to the defense establishment at the time, boasting that it was “exclusive from Gaza.” They uploaded thousands of videos and still images of the killing of terrorists and destruction in the Strip, and encouraged the channel’s followers to share the content so that “everyone can see we’re screwing them.”

      The operators used coarse language in a bid to obscure the IDF’s involvement in the channel. An October 11 post read: “Burning their mother… You won’t believe the video we got! You can hear their bones crunch. We’ll post it right away, get ready.” Photos of Palestinian men captured by the IDF in the Strip and the bodies of terrorists were captioned: “Exterminating the roaches… exterminating the Hamas rats… Share this beauty.” A video of a soldier allegedly dipping machine gun bullets in pork fat is captioned: “What a man!!!!! Greases bullets with lard. You won’t get your virgins.” Another caption was: “Garbage juice!!!! Another dead terrorist!! You have to watch it with the sound, you’ll die laughing.”

      On October 14, alongside the caption “Exclusive video of a good night, don’t forget to share and repost” was a video of an Israeli vehicle repeatedly driving over the body of a terrorist. “Very good, Gershon!!! Run him over run him over!!!! Screw the bastards! Flatten them,” the accompanying text read.

      The channel administrators didn’t stop at images from Gaza. On October 11, hundreds of Israelis, including members of the Beitar Jerusalem soccer team’s violently racist fan club La Familia, rioted at Sheba Medical Center, Tel Hashomer, near Tel Aviv, following a rumor that Hamas terrorists who had invaded Israel were being treated there. People roamed the hospital, cursing out and spitting on medical professionals. Within an hour, a video of the riot was posted to the 72 Virgins channel with the title, “My brothers, the heroesssss, La Familia fans, love you!!!!!!! What heroes, they came to screw the Arabs.”

  • La France pro-russe contre le ‘Patriot’ !
    https://www.dedefensa.org/article/la-france-pro-russe-contre-le-patriot

    La France pro-russe contre le ‘Patriot’ !

    • Les gangs de la communauté de sécurité nationale US et l’excellent Zelenski grognent contre la France qui a confirmé la version russe de l’Il-76 abattu par un ‘Patriot’. • C’est pourtant du pur Macron..• Avec un texte d’Andrew Korybko.

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    « Scandal in the family », disait la chanson des années 1960 dont quelques ancêtres se souviendront. La “famille”, c’est l’Occident-dépressif et les membres honorables qui sont concernés sont les USA et Zelenski d’une part, la France de Macron de l’autre, – qu’on retrouve (la France) au côté de l’im-monde Poutine. On aura tout vu, ce qui est la norme avec le Macron du “en même temps”, l’homme qui dégaine vers la droite aussi vite qu’il dégaine vers la gauche au gré des aléas de la communication. (...)

  • The Impossible Cleanup | Expédition 2024 Henderson Island
    https://henderson.plasticodyssey.org/fr/accueil

    Menée par Plastic Odyssey, l’expédition 2024 sur l’île d’Henderson aura pour objectif de poursuivre le travail entamé par Howell Conservation Fund en 2019. Soutenus par le navire laboratoire du Plastic Odyssey, les explorateurs passeront un mois à tenter « The Impossible Cleanup ».

    https://plasticodyssey.org/henderson-expedition-2024

    Trois jours de mer sont nécessaires pour atteindre l’archipel de Pitcairn, dont fait partie l’île Henderson depuis la Polynésie. L’accès à la plage la plus touchée par la pollution plastique située à l’Est de l’île est impossible directement depuis la mer. Une barrière de corail protège l’île et les éléments s’y déchainent, rendant impraticable le passage maritime.

    L’équipe a donc prévu de passer par une plage située au nord théoriquement plus protégée. Au programme : l’ascension des 30 mètres de la falaise qui borde la plage, puis la traversée de l’île en empruntant un chemin tracé il y a des années sur lequel la nature a repris ses pleins droits, et enfin une désescalade de la falaise pour atteindre le site à dépolluer.


    Pour réussir cette mission impossible, Plastic Odyssey s’est armé de plusieurs solutions low-tech et adaptées à la situation. Parmi ces solutions, l’une sort complètement de l’ordinaire. « Si les déchets ne peuvent pas traverser la barrière de corail, ils peuvent voler au-dessus d’elle ! » explique Simon BERNARD, explorateur à l’initiative de ce projet. « Nous allons utiliser un parachute ascensionnel, technique normalement utilisée pour transporter des touristes sur les plages, mais que nous avons détourné pour faire prendre de la hauteur aux déchets ! ».

    L’équipe prépare le plan d’action depuis plusieurs mois : « Nous avons effectué plusieurs tests concluants avec différentes méthodes, celle du parachute mais également via une plateforme flottante et un radeau en bambous que nous avons fabriqué. L’enjeu va être de réussir à le faire dans les conditions extrêmes que l’on risque de trouver une fois sur place. » détaille Simon.

    • Et pendant ce temps là :
      les pétroliers se recyclent, des carburant au matériaux.
      https://reporterre.net/Total-va-construire-une-usine-geante-de-plastique-en-Arabie-saoudite

      À l’heure où 1,4 million d’oiseaux et 14 000 mammifères marins meurent chaque année après avoir mangé du plastique, TotalÉnergies n’a pas l’air décidé à mettre fin à cette pollution. L’énergéticien français s’est associé au plus gros groupe pétrolier mondial, Saudi Aramco, pour la construction d’un complexe pétrochimique géant à Al-Jubail, sur la côte est de l’Arabie saoudite, peut-on lire sur Mediapart. Objectif de cette usine baptisée « Amiral », produire 1 million de tonnes de polyéthylène par an, cette matière plastique très commune qu’on retrouve dans de nombreux produits de la vie quotidienne — emballages, bouteilles, sacs plastiques, câbles, etc. Montant de l’investissement, 10 milliards d’euros. Le démarrage des activités sur site est prévu pour 2027.

      Au total, 1 tonne de plastique finit dans l’océan toutes les trois secondes.

  • Bodily maps of musical sensations across cultures | PNAS
    https://www.pnas.org/doi/abs/10.1073/pnas.2308859121
    https://www.pnas.org/cms/asset/45cd6b85-f32a-4928-a2db-a4339161729e/keyimage.jpg
    The mean ratings for the 10 target dimensions for each song category in Western and East Asian participants. The correlation between the matrices was 0.91 (P < 0.001).

    Significance
    Music is inherently linked with the body. Here, we investigated how music’s emotional and structural aspects influence bodily sensations and whether these sensations are consistent across cultures. Bodily sensations evoked by music varied depending on its emotional qualities, and the music-induced bodily sensations and emotions were consistent across the tested cultures. Musical features also influenced the emotional experiences and bodily sensations consistently across cultures. These findings show that bodily feelings contribute to the elicitation and differentiation of music-induced emotions and suggest similar embodiment of music-induced emotions in geographically distant cultures. Music-induced emotions may transcend cultural boundaries due to cross-culturally shared links between musical features, bodily sensations, and emotions.

    Abstract
    Emotions, bodily sensations and movement are integral parts of musical experiences. Yet, it remains unknown i) whether emotional connotations and structural features of music elicit discrete bodily sensations and ii) whether these sensations are culturally consistent. We addressed these questions in a cross-cultural study with Western (European and North American, n = 903) and East Asian (Chinese, n = 1035). We precented participants with silhouettes of human bodies and asked them to indicate the bodily regions whose activity they felt changing while listening to Western and Asian musical pieces with varying emotional and acoustic qualities. The resulting bodily sensation maps (BSMs) varied as a function of the emotional qualities of the songs, particularly in the limb, chest, and head regions. Music-induced emotions and corresponding BSMs were replicable across Western and East Asian subjects. The BSMs clustered similarly across cultures, and cluster structures were similar for BSMs and self-reports of emotional experience. The acoustic and structural features of music were consistently associated with the emotion ratings and music-induced bodily sensations across cultures. These results highlight the importance of subjective bodily experience in music-induced emotions and demonstrate consistent associations between musical features, music-induced emotions, and bodily sensations across distant cultures.

    https://www.pnas.org/cms/10.1073/pnas.2308859121/asset/edeb3a8c-888d-4d33-97ac-c3dcf8ac0251/assets/images/large/pnas.2308859121fig02.jpg
    Topographies of bodily sensations evoked by each song category in Western and East Asian listeners. The maps show regions whose activation increased when listening to songs in each category (averaged over songs within each category, P < 0.05 FDR corrected). The correlation coefficients indicate the correlation between the BSMs of Western and East-Asian participants for each emotion.

    (dans la même livraison de PNAS…)