pour @rastapopoulos : #Erykah_Badu
Erykah Badu review – an exhilarating moment in a star’s eccentric orbit
Kate Hutchinson, The Guardian, 6 novembre 2022
▻https://www.theguardian.com/music/2022/nov/06/erykah-badu-review-royal-festival-hall-southbank
pour @rastapopoulos : #Erykah_Badu
Erykah Badu review – an exhilarating moment in a star’s eccentric orbit
Kate Hutchinson, The Guardian, 6 novembre 2022
▻https://www.theguardian.com/music/2022/nov/06/erykah-badu-review-royal-festival-hall-southbank
pour @rastapopoulos :
Après un hommage à Billie Holiday et un autre à Bill Withers, #Erykah_Badu :
▻https://josejames.bandcamp.com/album/on-on
Avec un premier extrait : The Healer
▻https://www.youtube.com/watch?v=hhcu7zidL7U
Le collectif #MusiciansForPalestine poste cette lettre signée par plus de 600 musiciens à travers le monde, dont en France DJ Snake, Dominique Grange, Elli Medeiros, HK, Imhotep (IAM), Keny Arkana, Léonie Pernet, Médine, Mourad Musset (La Rue Ketanou), Mouss et Hakim, Naïssam Jalal, Nawel Ben Kraiem, Sidi Wacho, Skalpel, Titi Robin...
Mais aussi dans le reste du monde Patti Smith, Roger Waters, Rage Against the Machine, Asian Dub Foundation, Digable Planets, Cypress Hill, Run The Jewels, Tune-Yards, Belly, Checkpoint 303, Godspeed You ! Black Emperor, Eryn Allen Kane, Talib Kweli, Vic Mensa, Nicolas Jaar, A-Trak, Mustafa The Poet, Omar Offendum, Pharoahe Monch, Royce da 5’9″, Narcy, Owen Pallett, Malika Tirolien, Nai Barghouti, Shadia Mansour, Lowkey, Noname, Habibi Funk, Yasmine Hamdan, Emel Mathlouthi, Fousey, Lastesis, Machel Montano, des membres de Arcade Fire, The Roots, Sonic Youth, The Strokes, System of a Down, Cocorosie, Chromeo, Mashrou Leila et d’autres…
Musiciens pour la Palestine
Le 27 mai 2021
▻https://www.bdsfrance.org/musiciansforpalestine
La presse américaine, et même la presse israélienne reconnaissent que c’est la plus impressionnante initiative de ce genre, mais aucun média français n’en parle (sauf Révolution Permanente, et Médiapart qui reproduit la lettre)
Quatre syndicalistes et les « Gilets jaunes »
Anne Giraudon, Nara Cladera, Hugo Reis et Benoît Martin, La nouvelle revue du travail, 18, 2021
▻http://journals.openedition.org/nrt/8505
Ma compilation sur le sujet :
►https://seenthis.net/messages/752886
#Prince aussi sort un nouvel album Welcome 2 America, enregistré en 2010 et très politisé, dont voici le premier extrait :
Si vous voulez en savoir plus :
L’album inédit de Prince “Welcome 2 America“ en juillet
Funk-U Magazine, le 8 avril 2021
▻http://www.funku.fr/2021/lalbum-inedit-de-prince-welcome-2-america-en-juillet
▻https://www.fip.fr/groove/sortie-de-l-album-inedit-de-prince-welcome-2-america-18937
Le génie de Minneapolis enregistrait tout dans son antre de Paisley Park et avait déclaré à Rolling Stone « Je n’ai pas toujours donné la meilleure chanson aux labels. J’ai des tonnes de choses enregistrées pendant différentes périodes ». Nul doute que les archives de Prince, nommées The Vault, ressemblent à une immense salle aux trésors qui commence à s’ouvrir depuis la disparition du musicien en avril 2016. Après la sortie de l’album posthume Piano & a Microphone 1983 et la réédition massive dédiée à Sign O the Times, l’entourage de Prince annonce l’arrivée, le 30 juillet, d’un nouveau long-format inédit intitulé Welcome 2 America. Onze morceaux originaux et une reprise du Stand Up and B Strong de Soul Asylum, enregistrés en 2010 avec son groupe culte New Power Generation.
DUBAMIX avec Marina P, Nada, DDM, L’1consolable, Daman, Mantis et Mal Élevé - Communardes Communards (18 mars 2021)
▻https://www.youtube.com/watch?v=8wrd3XNziLg
10 Rue D’la Madeleine - Vive La Commune (2006)
▻https://www.youtube.com/watch?v=yzrz5u_q_e8
#Karimouche et - Princesses
►https://www.youtube.com/watch?v=9rJ8cnGERyk
#Musique #Musique_et_politique #Femmes #Féminisme
Et hop, pour la playlist de chanteuses féministes :
►https://seenthis.net/messages/392880
Un petit reportage de 4 minutes sur la chanson Ya Rayah de Rachid Taha :
►https://www.franceinter.fr/emissions/tubes-n-co/tubes-n-co-26-mars-2021
Et une heure de plus avec Rachid : Français tous les jours, algérien pour toujours
Rebecca Manzoni, France Inter, le 27 mars 2021
►https://www.franceinter.fr/emissions/pop-n-co/pop-n-co-27-mars-2021
Pour ma compile #coronavirus et #musique :
►https://seenthis.net/messages/832339
Ghassan Rahbani - Lessa Faker
►https://www.youtube.com/watch?v=ogr6zveGGms
بتتذكر من فترة، من فترة مش من زمان
كنّا نسافر من بلدنا لأي مكان
بتتذكّر؟ أيه بتذكّر أيه مش من زمان
كنا ناكل بالمطاعم ونشرب كمان
ونغني بحبك يا وطني بحبك يا لبنان
لِسّة فاكر كان زمان مش من زمان
بتتذكّر هاك المَحل لبّسنا القوام
وبلا زُغرا حتى الحذاء كان شغل الطليان
لِسّة فاكر كان زمان، مش من زمان
ما خلّينا مطعم يعتب ولا سهرة كمان
سوشي ياباني أكلنا يا سلام سلِّم يا سلام
وغير سيارة من الشركة ما بتركب المدام
لِسّة فاكر كان زمان لأ مش من زمان
ولما عملوا المهرجان وغنّينا كمان
بتتذكر قديش عزفنا ورقصنا تمام
ولما كان عودك يا حبيبي كان عودك رنّان
كان معك مصاري كتير وبتحوّل كمان
وأموالك نهبُن زعيمك وبتحبّو كمان
وزعيمك باقي حرامي بفضلك تمام
لِسّة فاكر كان زمان لأ مش من زمان
Sur la stérilisation forcée des femmes autochtones au Canada
Alisa Lombard et Samir Shaheen-Hussain, Le Devoir, le 12 mars 2021
▻https://www.ledevoir.com/opinion/idees/596773/canada-sur-la-sterilisation-forcee-des-femmes-autochtones
Le 22 février, la Chambre des communes a adopté à l’unanimité une motion déclarant que « la République populaire de Chine s’est livrée à des actions correspondant à ce que prévoit la résolution 260 de l’Assemblée générale des Nations unies, couramment appelée “convention sur le génocide”, dont la mise en place de camps de détention et de mesures visant à prévenir les naissances à l’égard des Ouïgours et d’autres musulmans turciques ». Nous ne nions pas cette caractérisation de génocide et nous joignons nos voix aux appels mondiaux exigeant une fin immédiate à la persécution des Ouïghours. Cependant, l’honnêteté morale impose aux parlementaires l’examen d’une réalité troublante : le Canada n’a jamais officiellement reconnu qu’il a commis un génocide contre les peuples autochtones ici.
Lors du dépôt de la motion, Michael Chong, le critique conservateur en matière d’affaires étrangères, a déclaré : « L’heure est à la clarté morale. » Pourtant, cette « clarté morale » fait cruellement défaut pour reconnaître que les communautés autochtones se sont vu imposer des mesures très similaires destinées à empêcher les naissances pendant des décennies.
Malgré l’image bienveillante du Canada, son histoire regorge d’exemples de violence médicale génocidaire infligée aux communautés autochtones, y compris envers des enfants, avec des médecins canadiens menant souvent la charge. Ces exemples incluent les stérilisations forcées ciblant les femmes et les filles autochtones. Dans son ouvrage majeur An Act of Genocide, la professeure Karen Stote décrit le fait que des lois eugénistes ont été appliquées pendant des décennies au XXe siècle dans des provinces comme l’Alberta et la Colombie-Britannique, alors que des pratiques similaires, bien qu’informelles, ont sévi dans d’autres provinces, avec ultimement le même résultat dévastateur : la stérilisation de milliers de femmes et de filles autochtones.
Forme de torture
Le racisme systémique anti-autochtone et les pratiques discriminatoires qui se poursuivent jusqu’à ce jour perpétuent un climat général de misogynie et de violence sexiste ciblant les femmes autochtones lors de leurs accouchements. En 2017, une action collective a été intentée par deux femmes autochtones contre des médecins, des autorités sanitaires et divers ordres des gouvernements provincial et fédéral. Plus d’une centaine d’autres femmes autochtones s’y sont jointes depuis, soulignant le fait que la pratique de stérilisations forcées continue en raison du manque d’actions concrètes du gouvernement pour prévenir, punir et réparer.
Au Québec, la question n’est pas de savoir si cette pratique a eu cours, mais à quel point on l’a maintenue. Ces stérilisations, qui sont trop souvent sous-déclarées pour toutes sortes de raisons, dont la méfiance à l’égard des institutions canadiennes, se produisent dans des hôpitaux financés et administrés par le réseau public, et ce, malgré la nécessité — garantie par la Constitution canadienne sur la base de l’égalité réelle — d’obtenir un consentement libre, préalable et éclairé pour les procédures ayant un impact sur l’autonomie corporelle et reproductive.
À la fin de 2018, le Comité des Nations unies contre la torture a reconnu que « la stérilisation forcée […] de femmes et de filles autochtones depuis les années 1970, y compris des cas survenus récemment » au Canada, est une forme de torture. À peu près au même moment, une autre femme autochtone a déclaré avoir été stérilisée de force en Saskatchewan. Dans ce contexte, la députée Niki Ashton a soulevé cet enjeu à la Chambre des communes, affirmant : « Soyons clairs. Cela s’apparente à un génocide. » Cependant, aucune motion formelle sur le génocide n’a été adoptée à ce moment-là. […]
Entre-temps, au Canada, les femmes autochtones sont traitées avec mépris, notamment en lien avec leur rôle même de mères, comme en témoigne la mort brutale de Joyce Echaquan quelques instants après avoir subi les insultes racistes et sexistes du personnel de la santé à l’hôpital de Joliette. Cette culture médicale bien enracinée traite les femmes et les filles autochtones de manière paternaliste plutôt que selon l’approche d’un fiduciaire envers un bénéficiaire exigée par la loi. Une telle culture de colonialisme médical a été renforcée par des incitatifs financiers et une réglementation léthargique des professions médicales, ce qui a entraîné des répercussions dévastatrices et évitables sur la vie des femmes, des familles et des communautés autochtones.
Chacune et chacun d’entre nous, en particulier celles et ceux qui travaillent dans le secteur de la santé, a le devoir de faire mieux, de s’acquitter de ses obligations légales et constitutionnelles envers les patientes et les patients et de sauvegarder et de respecter la dignité de chaque personne. Toutefois, des problèmes systémiques enracinés dans le racisme et le sexisme requièrent des solutions systémiques. Une première étape importante pour y parvenir consiste à faire face à la gravité des problèmes et à élaborer des solutions destinées à les résoudre au niveau institutionnel. Faisant écho aux propos du député conservateur Chong lors du dépôt de la motion concernant l’imposition de mesures visant à prévenir les naissances chez les Ouïghours en Chine, nous pensons qu’il est grand temps que le Canada reconnaisse officiellement la même violence genrée qu’il a infligée aux femmes et aux filles autochtones ici : « Nous devons l’appeler par son nom : un génocide. »
Alisa Lombard est avocate principale sur les actions collectives proposées concernant la stérilisation forcée des femmes et des filles autochtones au Canada. Samir Shaheen-Hussain est urgentologue pédiatrique, professeur adjoint à l’Université McGill et auteur de Plus aucun enfant autochtone arraché. Pour en finir avec le colonialisme médical canadien.
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Coerced and forced sterilization of Indigenous women and girls : This is what genocide looks like in Canada
Alisa Lombard and Samir Shaheen-Hussain, Toronto Star, le 9 mars 2021
▻https://www.thestar.com/opinion/contributors/2021/03/08/coerced-and-forced-stereilization-of-indigenous-women-and-girls-this-is-wha
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Nous ne pouvons plus continuer comme si de rien n’était
Samir Shaheen-Hussain, La Presse (Montréal, Québec, Canada), le 25 février 2021
▻https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-02-25/racisme-systemique-et-principe-de-joyce/nous-ne-pouvons-plus-continuer-comme-si-de-rien-n-etait.php
#Samir_Shaheen-Hussain :
►https://seenthis.net/messages/874281
#Joyce_Echaquan :
►https://seenthis.net/messages/879292
#Contraception_forcée :
►https://seenthis.net/messages/788024
#Canada #Québec #Médecine #Soins #Autochtones #Peuples_autochtones #Discriminations #Racisme #Colonialisme #Colonisation #Histoire #Crimes #ça_continue #Féminicide #Racisme_systémique #femmes #pauvres #stérilisation #hystérectomie #utérus #sexisme #classisme #capitalisme
Lettre ouverte à Stevie Wonder : s’il-vous-plaît, dites non à l’Israël de l’apartheid
Par la Campagne américaine pour le Boycott Académique et Culturel d’Israël (USACBI)
▻https://www.bdsfrance.org/lettre-ouverte-stevie-wonder-sil-vous-plait-dites-non-a-israel-de-laparth
Cher Stevie Wonder,
Le Collectif d’organisation de la Campagne américaine pour le Boycott Académique et Culturel d’Israël (USACBI) et les soussigné.e.s vous écrivent pour vous exhorter à rester ferme sur votre opposition à l’Apartheid en refusant le Prix Wolf d’Israël.
Nous aimerions tout d’abord vous exprimer notre reconnaissance et nos remerciements pour votre soutien passé, ferme et réfléchi, aux droits et à la dignité de la personne humaine à travers le monde, ainsi que pour vos actions en tant que musicien de renommée mondiale et votre statut de « Messager de la Paix » de l’ONU.
Par votre refus de jouer à l’occasion d’une collecte de fonds pour les Amis des FDI en 2012, vous avez clairement poursuivi votre opposition au régime d’apartheid en Afrique du Sud. A ce moment là, vous avez reconnu un fait que Desmond Tutu a lui aussi reconnu ; le régime israélien d’apartheid est pire que celui d’Afrique du Sud.
Nous sommes sûrs que vous voir remettre le « Prix Wolf » peut vous sembler être un grand honneur, mais nous vous prions de bien vouloir considérer ce que vous allez ratifier si vous l’acceptez : l’occupation et la répression du peuple palestinien ; l’incarcération indéfiniment renouvelable de ses membres sans charge ni procès dans les prisons israéliennes ; la punition collective illégale dont les Palestinien.ne.s souffrent quotidiennement dans toute la Palestine occupée ; le déni du droit au retour pour les Palestinien.ne.s sur leur terre natale – volée et colonisée en 1948 ; et les pratiques continuelles d’apartheid – y compris le refus d’Israël de vacciner la population palestinienne sous son occupation armée contre la COVID, tandis qu’il vaccine les citoyens israéliens.
Tout ceci est aux mains du régime d’apartheid israélien, et ce prix reflète cette politique.
Nous restons inspirés par vos actions en 1985 quand, en l’honneur de votre 35ème anniversaire, vous avez parlé et chanté si justement à l’ONU pour défendre l’égalité raciale et dénoncer l’apartheid Sud africain.
Nous vous demandons de rester fidèle à ces mêmes engagements et d’exiger justice et liberté pour la cause palestinienne de libération nationale.
Dites NON à ce « Prix », dites NON à la normalisation de l’Apartheid israélien, et soutenez la Justice, l’Égalité et la Liberté pour le peuple palestinien tout entier.
Vous aussi, signez cette lettre :
▻https://usacbi.org/2021/03/stevie-wonder-please-say-no-to-apartheid-israel-an-open-letter
#Stevie_Wonder #Musique_et_politique #USA #Palestine #Boycott #BDS #Boycott_culturel
11 musicien-ne-s palestinien-ne-s indépendant-e-s que vous devez écouter sans attendre
Said Said, The National, le 1er février 2021
▻https://agencemediapalestine.fr/blog/2021/03/08/34826
Je note en particulier une version fantastique, live au Danemark, de près de 9 minutes de Everyland par #47Soul :
Et un rappeur de Jérusalem Est que je ne connaissais pas, #Shabjdeed - Amrikkka
#Aziz_Sahmaoui, le 28 février 2021 (oui, c’était tout à l’heure, une heure de musique ) :
▻https://www.youtube.com/watch?v=wwzpDOWv_wY
The Extrajudicial Execution of Ahmad Erekat
Forensic Architecture, Vimeo, le 19 février 2021
▻https://vimeo.com/514430932
A l’époque, sur seenthis:
▻https://seenthis.net/messages/862795
#Forensic_Architecture #Ahmad_Erekat #Palestine #Angela_Davis
Hommes et COVID-19: une tempête parfaite
Alexandra S. Arbour, Québec Science, le 25 février 2021
▻https://www.quebecscience.qc.ca/carnet-sante/hommes-covid-19-tempete-parfaite
Il y aurait un « sexe faible » face à la COVID-19 : les hommes ont deux fois plus de risques de souffrir d’une forme grave de la maladie ou d’en mourir que les femmes, peu importe leur tranche d’âge ou leurs problèmes de santé.
Cités ici:
Sex differences in immune responses that underlie COVID-19 disease outcomes
Takehiro Takahashi, Mallory K. Ellingson, Patrick Wong, Benjamin Israelow, Carolina Lucas, Jon Klein, Julio Silva, Tianyang Mao, Ji Eun Oh, Maria Tokuyama, Peiwen Lu, Arvind Venkataraman, Annsea Park, Feimei Liu, Amit Meir, Jonathan Sun, Eric Y. Wang, Arnau Casanovas-Massana, Anne L. Wyllie, Chantal B. F. Vogels, Rebecca Earnest, Sarah Lapidus, Isabel M. Ott, Adam J. Moore, Yale IMPACT Research Team, Albert Shaw, John B. Fournier, Camila D. Odio, Shelli Farhadian, Charles Dela Cruz, Nathan D. Grubaugh, Wade L. Schulz, Aaron M. Ring, Albert I. Ko, Saad B. Omer & Akiko Iwasaki
Nature 588:315–320 (2020)
▻https://www.nature.com/articles/s41586-020-2700-3
No game days. No bars. The pandemic is forcing some men to realize they need deeper friendships.
Samantha Schmidt, The Washington Post, le 30 novembre 2020
▻https://www.washingtonpost.com/road-to-recovery/2020/11/30/male-bonding-covid
Le texte de l’article du Washington Post :
It took a global pandemic and a badly timed breakup for Manny Argueta to realize just how far he had grown apart from his guy friends.
In the spring, after the 35-year-old had left the home he shared with his former girlfriend and moved into a studio in Falls Church, Va., on his own, he would go an entire week without saying a word. There were no more game days with the guys, no more Friday nights in D.C. bars, and Argueta was starved for social interaction. He returned to his PlayStation 4, jumping on the microphone with a stranger while playing “Overwatch” just to hear someone’s voice. He discovered the messaging app Discord and started chatting with his old gamer friends and watching them play “Mortal Kombat 11” — even when he didn’t have the game set up himself.
He started recognizing how dependent his friendships had become on those Sunday football games and nights at 14th Street lounges, on venting about Republicans or why the Caps fell short in the playoffs. They hardly ever talked about relationships or family, or just generally how they were doing. He had never met many of their family members.
On a rare night he spent catching up with an old friend in October, a mixture of vulnerability and intoxication led him to pour out his frustrations. “I bet you still have no idea why her and I broke up,” he said to his friend. “I bet you have no idea.” The friend paused, apologized and let him talk for a while about what had happened.
For more than a decade, psychologists have written about the “friendship crisis” facing many men. One 2006 analysis published in the American Sociological Review found that while Americans in general have fewer friends outside the family than they used to, young, White, educated men have lost more friends than other groups.
Male friendships are often rooted in “shoulder-to-shoulder” interactions, such as watching a football game or playing video games, while women’s interactions are more face-to-face, such as grabbing a coffee or getting together for a glass of wine, said Geoffrey Greif, a professor at the University of Maryland School of Social Work who wrote a book about male friendship. When Greif surveyed hundreds of men about how they most often socialized with friends, 80 percent of men said “sports” — either watching or participating in them together.
Because of this, many men have probably had a harder time than women figuring out how to adapt their friendships in a pandemic that is keeping them apart.
“The rules for guys pursuing other guys for friendships are not clear,” Greif said. “Guys don’t want to seem too needy.”
But the pandemic might be forcing this dynamic to change.
As the pandemic continues into the holiday season, rates of anxiety, depression, and suicidal ideation are rising. (The Washington Post)
Fatherhood is more visible than ever. But will dads working from home actually step up more?
In emails and interviews with The Washington Post, dozens of men shared stories about Zoom poker games, backyard cigar nights, neighborhood-dad WhatsApp chains, Dungeons & Dragons groups and Fantasy Football leagues where casual chats about sports and politics have suddenly led to deep conversations — about the struggles of virtual schooling, family illness, breakups, births, wedding postponements and job losses.
The moment feels heavier and so do the conversations. Some men said their friendships have begun to look more like those of their wives and girlfriends. For the first time in their lives, they’re going on walks with male friends just to catch up. They’re FaceTiming old college friends and checking in on neighbors — not only to talk about the NBA draft picks or their children’s soccer schedule — but to ask how they’re doing.
Argueta, who works as a loan delivery specialist, was used to avoiding talking about personal details in his conversations with male friends. But after struggling with his mental health and going through therapy this year, he said he wants to start finding ways to tell his friends what’s actually going on.
“We are so used to finding a distraction to help us when we should be addressing what’s in front of us,” he said. “The world needed to slow down … we should slow down, too.”
Unprecedented isolation
Men weren’t always like this.
As young boys, male friends tend to share their deepest secrets and most intimate feelings with each other, said Niobe Way, a professor of developmental psychology who interviewed hundreds of boys for her 2013 book, “Deep Secrets: Boys’ Friendships and the Crisis of Connection.”
But as boys begin to enter adolescence at age 15 or 16, “you start to hear them shut down and not care anymore,” Way said. They start to act defensive about their friendships, saying they’re “not gay” and that they’re not as close anymore. “You hear those expectations of manhood get imposed on them.”
Way argues the lack of vulnerability in male friendships is rooted in a misogynistic, homophobic culture that discourages emotional intimacy between men. But it’s also part of a culture that does not value adult friendship in general.
“The goal of adulthood is to find a partner, not to find a best friend,” Way said. “There’s nothing in our definition of success or maturity … that includes friendships.”
But research shows that close friendships and social networks are essential to getting by. A Brigham Young University study found that social connections — with friends, family, neighbors or colleagues — improve a person’s odds of survival by 50 percent.
In 2018, the suicide rate among men was 3.7 times higher than among women, according to statistics from the National Institute of Mental Health. But some surveys show men are less likely than women to admit they are lonely, while other research suggests men derive more of their emotional intimacy from the women in their lives. In one study, married men were more likely than married women to list their spouse as their best friend.
For months, he helped his son keep suicidal thoughts at bay. Then came the pandemic.
In this time of unprecedented isolation, Way said, many men may be forced to change the way they think about their friendships and to connect in new, deeper ways. “I think they’re being forced to for survival.”
John Bramlette, a 42-year-old father of two young children in Chevy Chase, Md., has seen these shifts in his own relationships. Before the pandemic, his closest male friends were from the softball team he has played with for 14 years, every Thursday evening. The group would often get together for a beer after a game or to watch baseball on TV after the kids were asleep.
But in normal times, it never dawned on him to ask one of his friends to go for a walk, just to chat, something his wife has been doing with her female friends for her entire adult life. In the past month, he has gone on three walks with male friends, and he plans on continuing to make it a regular thing, at lunchtime in Rock Creek Park.
“It’s totally logical,” said Bramlette, who is chief operating officer of Washington Nationals Philanthropies. “Why wouldn’t we do this?”
Dave Wakeman, a 46-year-old marketing consultant who lives in D.C.’s Forest Hills neighborhood, said many of his social interactions before the pandemic revolved around his kids’ sports or family gatherings with neighbors. But eight weeks into the pandemic, he ran into a neighbor two doors down and realized he had lost touch with him and other neighborhood dads.
If you could describe 2020 in one word or phrase, what would it be? Tell The Post.
The group of six men decided to start having happy hours with social distancing on their lawn chairs in their shared cul-de-sac. They created a WhatsApp group they call “The Battalion,” where they constantly share everything from Tucker Carlson jokes and political memes to frustrations with parenting and working from home.
“It’s become easier for people to say, ‘Hey look, I really am struggling right now,’" Wakeman said.
A few years ago, Stephen Davis, a 33-year-old tax manager in Alexandria, Va., joined a group text with one of his best friends and some other guys he vaguely knew from college. The conversation was, at first, solely focused on the world of professional wrestling. They called it “Five MB,” short for Five Man Band.
But recently, the group has evolved into a space to vent about so much more. It’s gotten them through multiple job changes, home moves and the births of four of their children — including two during the pandemic. When Davis was struggling with ideas for how to keep his son occupied when playgrounds were closed, one of the other dads in the group suggested an obstacle course of pillows for his son to run through. When Davis’s wife’s water broke, he texted the Five Man Band before anyone else — even before his parents.
The group has become closer than ever during the pandemic. They now send nearly 100 text messages a day, a constant stream of consciousness about what’s going on in their lives. The conversations feel more vulnerable, more honest than others Davis has ever had with friends in the past. They’re the kind of conversations he would have never been able to have while sitting at a bar and watching a game.
“There’s always too much noise to get to that next level,” he said.
‘I’m going to be real’
Jonathan Gordon sometimes wishes his college buddies would talk about more serious topics. The group of four men, who met on their freshman floor at the University of Virginia and are now in their 30s, have all been groomsmen in one another’s weddings. They have gone on international trips together. They all consider the other men in the group their closest friends.
So why don’t they ever actually talk about their feelings?
“I’ve always thought it’s funny that we talk about things that are completely inconsequential 80 to 90 percent of the time,” said his friend Alex Hyde, 32, over a joint Zoom call last week.
When the friends get together in person, for a beer or dinner, the deeper details “sneak in by accident,” Hyde said. Now that they can’t, the more serious topics don’t come as naturally over text. It feels more raw, Hyde said. “In general with other guys, there’s a certain amount of harassment that goes with anything you say … you got to be ready for that.”
It feels impossible not to revert to making fun of each other, Gordon said. “We have no self-restraint. … I can’t not crack up. We set each other off,” he said. “In an ideal world, we wouldn’t do that.”
The coronavirus pandemic is pushing America into a mental health crisis
These are the kinds of conversations Argueta, the 35-year-old in Falls Church, had come to expect from his friendships with other men.
On Saturday, when a couple of friends came over to help him set up his PC, Argueta expected them to roast him for looking like a “broke college student” in his new studio, where he has barely put anything on the walls and he has cords all over his desk.
But instead, the two friends asked him to talk about what led up to his breakup, and how he was handling the past few months. Argueta opened up to them — about his past relationship, the move, the pandemic, everything. He was more personal with them than he had ever been before.
One of his friends reminded him he could call the group on Discord anytime. “Just talk, just say anything,” the friend said. “Somebody’s going to answer.”
Argueta planned to send them a group text message soon, thanking his friends for coming over and for "bailing me out in more ways than you think.” He wanted to keep being honest about what he was going through.
“I’m going to be real,” he said.
He wondered if they would do the same.
Ca ne va pas être facile de voir The United States vs. #Billie_Holiday , qui va sortir sur la plateforme « Hulu », mais en attendant une éventuelle sortie en salles (en quoi ?) on peut voir , qui interprète Lady Day, chanter Strange Fruit / Tigress and Tweed :
▻https://www.youtube.com/watch?v=HqGiPYkMmjI
Mort de #Naomi_Shelton, la chanteuse du label soul Daptone :
What Have You Done (2009) :
▻https://www.youtube.com/watch?v=LhWGfhKRA8M
Sinner (2014) :
▻https://www.youtube.com/watch?v=CsCEx9qKeDg
Mort aussi cette semaine de #U-Roy et de #Tonton_David :
►https://seenthis.net/messages/902484
Naomi Shelton & The Gospels queens - Cold World
▻https://naomisheltonandthegospelqueens.bandcamp.com/album/cold-world
#Peter_Gabriel reprend son Biko pour , avec #Angélique_Kidjo, #Yo-Yo_Ma, #Meshell_Ndegeocello...
▻https://www.youtube.com/watch?v=jWNEr4eHL18
Qui plus est, il explique avoir accepté de le faire parce que :
Bien que le gouvernement de la minorité blanche soit parti en Afrique du Sud, le racisme dans le monde que l’apartheid représentait n’est pas parti. Le racisme et le nationalisme sont malheureusement en hausse. En Inde, au Myanmar et en Turquie, en Israël et en Chine, le racisme est délibérément exploité à des fins politiques.
Watch Peter Gabriel Re-Record ‘Biko’ With Artists From Around the World
Andy Greene, Rolling Stones, le 12 février 2021
▻https://www.rollingstone.com/music/music-news/peter-gabriel-biko-performance-1126360
et merci pour la découverte de #cristina_pato ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Cristina_Pato
En français :
Regardez le ré-enregistrement de « Biko » de Peter Gabriel avec des artistes du monde entier
Andy Greene, Rolling Stones, le 12 février 2021
▻https://agencemediapalestine.fr/blog/2021/02/16/regardez-le-re-enregistrement-de-biko-de-peter-gabriel-avec-des
Peter Gabriel a ajouté son catalogue à Bandcamp en novembre 2019
►https://daily.bandcamp.com/features/peter-gabriel-bandcamp-catalog
ses trois premiers album
▻http://hipgnosiscovers.com/petergabriel.html
▻https://petergabriel.bandcamp.com/track/biko
September ’77
Port Elizabeth weather fine
It was business as usual
In police room 619
Oh Biko, Biko, because Biko
Oh Biko, Biko, because Biko
Yihla Moja, Yihla Moja
The man is dead
The man is dead
When I try to sleep at night
I can only dream in red
The outside world is black and white
With only one colour dead
Oh Biko, Biko, because Biko
Oh Biko, Biko, because Biko
Yihla Moja, Yihla Moja
The man is dead
The man is dead
You can blow out a candle
But you can’t blow out a fire
Once the flames begin to catch
The wind will blow it higher
Oh Biko, Biko, because Biko
Yihla Moja, Yihla Moja
The man is dead
The man is dead
And the eyes of the world are watching now, watching now
The Death of Steve Biko, Revisited
https://daily.jstor.org/the-death-of-steve-biko-revisited
Like the death of George Floyd, the South African activist Steve Biko’s death galvanized a global movement against racism.
L’ #Histgeobox a invité #Coline_Houssais, spécialiste des cultures du monde arabe et auteure d’une très précieuse Anthologie des musiques du monde arabe (Le mot et le reste, 2020), à nous faire découvrir la richesse des musiques de cet espace.
"Il y a tellement de genres musicaux dans le monde arabe" - Entretien avec Coline Houssais
L’histgeobox, le 11 novembre 2020
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2020/11/il-y-tellement-de-genres-musicaux-dans.html
Avec cette playlist de 23 morceaux :
▻https://www.youtube.com/watch?list=PLC4aXCnIeE1tT5R-s-9NCBfDUyXbWwxn2&v=vEQcgPWAciU
Dont je retiendrai deux titres :
#Abdel_Halim_Hafez - Gana El Hawa (1969) tirée de la comédie musicale égyptienne à succès Abi fawq al-chagara, dernier film avec Abdel Halim Hafez, connu à l’époque pour son grand nombre de baisers entre lui et ... La séquence de cette chanson se déroule lors d’un voyage du couple à #Beyrouth...
▻https://www.youtube.com/watch?v=Dy8d_bg88ZY
Le film en question, mais sans sous-titres :
▻https://www.youtube.com/watch?v=W6XW_plS_dk
Et #Vigon - Sidi H’bibi (2019)
Contrairement à ce que dit l’article, la version funk de ce classique de la musique arabo-andalouse ne date pas des années 1960, où le marocain Vigon chantait effectivement déjà de la soul, mais de son retour sur le devant de la scène en 2019, avec le groupe de Didier Marty... Vous en connaissiez peut-être aussi la reprise punk de La Mano Negra en 1989 ? Par Renaud en 1990 ?
Deuxième article de Coline Houssais, complémentaire :
#Fayrouz - Al Qouds Al Atiqa (La vieille ville de Jérusalem) (1967)
L’histgeobox, le 11 novembre 2020
▻https://lhistgeobox.blogspot.com/2020/11/fayrouz-al-qouds-al-atiqa-la-vieille.html
▻https://www.youtube.com/watch?v=zeotb4UrmAo
#Musique #Musique_et_politique #Musique_Arabe #Egypte #Maroc #Liban #Palestine #Jérusalem
Je ne sais pas pourquoi @bricabraque ne l’a pas annoncé ici, du coup je le découvre en retard...
Salut @sinehebdo
Merci du relais. J’ai tout simplement oublié de diffuser sur seen this. A bientôt.
Je découvre #The_Freedom_Affair, un nouveau groupe de soul de Kansas City, avec de très beaux titres :
Give A Little Love (chanson « feel good », qui appelle à voter Biden, mais où l’on trouve aussi à 1’30", le livre d’ #Palestine !)
▻https://www.youtube.com/watch?v=JOpPPcU9spQ
Don’t Shoot (sur les #violences_policières bien sûr, en acoustique)
je ne sais pas si c’est la fatigue, ou je suis trop sensible en ce moment, mais le premier clip moi ça m’a fait pleurer l’ambiance, les gens qui sont bien ensemble, la vie qui pourrait être belle, etc, en regard de toutes les merdes qui s’annoncent et après avoir lu le début de L’Onde hier soir… ▻https://seenthis.net/messages/901815
mais merci pour la découverte :)
#Carol_Fran - Tou’ les jours c’est pas la même (Every Day Is Not the Same) (2005)
#Sahara_occidental, entre vieux et nouveau colonialismes
Bilaterals, le 12 février 2021
▻https://www.bilaterals.org/?sahara-occidental-entre-vieux-et&lang=fr
Nous préparons actuellement une campagne internationale comme celle du #Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) pour la Palestine. Nous espérons que cette campagne aura assez de soutien pour avoir l’impact nécessaire. Notre cas n’est pas un cas isolé. Le monde regorge de personnes opprimées qui ont réussi à atteindre leurs objectifs, et d’autres qui continuent à se battre. Nos principaux partisans sont issus de ce milieu. Le Sahara occidental est l’un des derniers cas de vieux colonialisme, et notre lutte interagit avec de nouvelles pratiques du colonialisme, où les intérêts économiques fusionnent avec les luttes politiques pour l’indépendance. Les nouveaux visages du colonialisme mettent en avant des sociétés multinationales qui traversent les frontières, contrôlent les gouvernements, changent les politiques, nuisent à notre environnement, etc. Nous ne sommes qu’un élément dans cette confrontation. Nous ne gagnerons peut-être pas notre indépendance bientôt, mais nous continuons à nous battre.
Un concert sans public, ça n’a même pas le même son, mais en ces temps de disette c’est tellement mieux que rien...
Qu’est-ce que je donnerais pas pour voir #Omar au Ronnie Scott’s de Londres (il y était la semaine dernière) :