SPIP

SPIP un jour, SPIP toujours ... Une part de manuel, une part de totomatique sur ce compte de short-blogging.

  • Merci à SPIP & à lautre.net - Souriez vous êtes filmé·es
    https://souriez.info/+Merci-a-SPIP-a-lautre-net+?var_mode=calcul

    Merci à SPIP & à lautre.net

    Le site de souriez.info tourne en SPIP depuis plus de vingt ans !

    Non pas que le site ait fait peau neuve, mais son système de gestion de contenu qui permet de publier en ligne les articles était en SPIP 2.1.30 depuis looongtemps et il était donc temps qu’il fasse sa nouvelle mise à jour.
    La nouvelle version de SPIP en 3.2.17 a donc été installée aujourd’hui en deux heures montre en main (rapatriement des données, test de mise à jour en local, test en dev, mise en production) tout cela sans aucun souci, au contraire, une petite révision de quelques pages bancales préexistantes à la MAJ et c’est reparti ! Merci #SPIP

    Adieu à l’ancienne version

  • Un joli #shameless_autopromo de septembre 2022 (notamment parce que c’est ma région) : on a livré des écrans pour la réouverture de la chapelle de l’hôpital de la Grave à Toulouse.

    La description du projet chez Mosquito :
    http://www.mosquito.fr/francais/projets/scenographie-numerique/article/parcours-de-visite-de-la-chapelle-de-la-grave

    (Évidemment c’est du SPIP inside.)

    Toulouse : voici ce que vous pouvez voir à l’intérieur du dôme de La Grave (et comment ça a changé) | Actu Toulouse
    https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-voici-ce-que-vous-pouvez-voir-a-l-interieur-du-dome-de-la-grave-et-com

    Les sols et les décors peints ont été entièrement restaurés. Pour éclairer les visiteurs, un parcours muséographique en douze étapes permettra de connaître et de comprendre l’histoire de cet édifice symbolique de Toulouse. Tables tactiles, films ou encore exposition d’objets religieux, attendent les Toulousains sous le dôme de la chapelle Saint-Joseph.

    • Haute-Garonne : à Toulouse, le dôme rénové de la chapelle Saint-Joseph-de-la-Grave est ouvert aux visites
      https://www.lemoniteur.fr/article/haute-garonne-a-toulouse-le-dome-renove-de-la-chapelle-saint-joseph-de-la

      Dans l’objectif d’offrir un meilleur accueil aux visiteurs, un parcours de découverte a été aménagé au sein de l’édifice. Des tables tactiles, une exposition d’objets religieux, des interviews d’historiens et des témoignages de Toulousains ont été ainsi parsemés dans les différentes parties de la chapelle. En outre, des films sur la vie au sein de la Grave au temps du Grand Renfermement (période du XVIIe siècle) sont laissés à la disposition des visiteurs.

    • Toulouse : le dôme de la Grave ouvre ses portes le 17 septembre
      https://lopinion.com/articles/actualite/14612_toulouse-dome-grave-ouvre-portes-17-septembre

      La chapelle Saint-Joseph a été désacralisée en 2015 et après toutes ces rénovations, elle trouve alors une nouvelle vocation : celle de faire découvrir son histoire aux visiteurs. Les plus curieux pourront alors y trouver un parcours de découverte dans lequel de nombreuses activités seront proposées :
      – tables tactiles installées devant l’autel et dans les rotondes ;
      – films sur la vie à la Grave au temps du Grand Renfermement (période du XVIIe siècle durant laquelle les pauvres étaient accueillis dans les hôpitaux) ;
      – exposition d’objets religieux au sein de l’ancienne sacristie ;
      interviews d’historiens ;
      – témoignages de Toulousains qui ont travaillé ou été soignés à l’hôpital.

      Une nouvelle utilité pour le monument afin d’y apprendre son histoire et son lien avec l’hôpital.

      (Note perso : la témoignages audio des toulousains sont très émouvants.)

  • Mon gros #shameless_autopromo du moment : on vient de livrer les nouveaux écrans iteractifs du musée Lalique de Wingen-sur-Moder. Il y a quatre jeux d’observation (c’est-à-dire des jeux qui demandent à comprendre ce qu’on est en train de voir en salle pour les résoudre), sept vidéos à déclencher et trois écrans présentant l’environnement social, économique, culturel, scientifique… de la Belle époque (Art nouveau) et des Année folles (Art déco).

    Comme toujours, l’ensemble est développé sous SPIP, avec des interfaces entièrement tactiles en glisser-déposer. L’ensemble est trilingue (français, allemand, anglais), avec passage instantané d’une langue à l’autre. La plupart des écrans sont gérés par des players Brightsign, mais les deux « carrefours » Belle époque et Années folles tournent finalement sur des PC Nuc : ces sont des interfaces avec des effets de perpsective et beaucoup d’images, on atteignait les limites des Brightsign.

    Mosquito a une page de présentation avec un petit film dans lequel on voit mes écrans (le grand mur d’écrans à la fin n’est pas de moi) :
    http://www.mosquito.fr/francais/projets/scenographie-numerique/article/parcours-multimedia
    https://vimeo.com/797994082

    • EN IMAGES. Bas-Rhin : quelles sont les nouveautés du Musée Lalique qui rouvre après sa trêve hivernale
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/alsace/en-images-bas-rhin-quelles-sont-les-nouveautes-du-musee

      Les visiteurs ont accès à six stations dotées de petits jeux. Anne-Céline Desaleux, la directrice adjointe du musée détaille : « il y a aura par exemple un jeu sur les bijoux où les joueurs devront faire la différence entre une broche, une épingle à chapeau ou à cravate. C’est moins facile qu’il n’y paraît ! » 

      Une autre borne interactive sera centrée sur les arts de la table : « plat à tarte, beurrier, etc... Il faudra retrouver l’usage de chaque objet. René Lalique a beaucoup travaillé sur la rationalisation. Au moulage d’une seule carafe, il pouvait associer plusieurs moulage de bouchons. Ce sera au visiteur de trouver le moulage qui correspond au bon bouchon ».

      Anne-Cécile Desaleux évoque une troisième thème ludique : celui des flacons de parfum. Le maître-verrier concevait des flacons qui correspondaient à leur contenant : « le public devra cogiter pour associer flacon et nom de parfum, comme par exemple les Yeux bleus, la Perle noire ou encore le Trésor de la mer ».

      René Lalique a beaucoup travaillé sur les flacons, notamment de parfum, soulignant ici la finesse du savoir-faire local. • © Nicolas Meyer / France télévisions
      A ces jeux s’ajoutent des séquences plus pédagogiques. La directrice-adjointe du musée dit avoir beaucoup écouté et entendu les visiteurs, leurs questions et leurs remarques. Elle s’est aperçue que beaucoup avaient tendance à confondre Art Nouveau et Art décoratif. La confusion ne sera plus possible grâce à ces écrans tactiles.

    • Moselle. A Wingen-sur-Moder, le musée Lalique rouvre dans une version plus ludique
      https://www.republicain-lorrain.fr/culture-loisirs/2023/02/10/a-wingen-sur-moder-le-musee-lalique-rouvre-dans-une-version-plus

      « On a remplacé tous les écrans tactiles de la collection permanente, le matériel avait douze ans de fonctionnement », indique la directrice. Le contenu est remplacé par des quiz ou des jeux afin d’aborder le verre de façon ludique. « On a voulu s’adresser au plus grand nombre », affirme la gérante du musée Lalique. Par exemple, un jeu afin de connaître le nom d’un objet de tables et son utilité, ou bien un autre afin de trouver le nom d’une bouteille de parfum.

  • Hier à nouveau mon algorisme a été pris en faute par un message en provenance d’un compte douteux, qui se fait le relais régulier sur seenthis de la propagande de Poutine (#vatnik).

    Puisque @seenthis laisse ce type de comptes proliférer, faut-il que j’établisse une « liste blanche » de comptes validés à la main, ou faut-il que mes messages soient systématiquement inspectés avant envoi ? À ce compte-là, n’est-il pas préférable tout simplement d’arrêter la newsletter ?…

  • Claude Guillon, auteur de « Suicide mode d’emploi », est mort
    https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2023/01/20/claude-guillon-auteur-de-suicide-mode-d-emploi-est-mort_6158691_3382.html

    Claude Guillon, auteur de « Suicide mode d’emploi », est mort

    Le coauteur de ce livre polémique avait été poursuivi en justice avec le journaliste Yves Le Bonniec pour homicide involontaire, après des plaintes de familles de suicidés.

    Le Monde avec AFP
    Publié hier à 17h37

    Il avait fait scandale dans les années 1980 avec son livre de conseils pour mettre fin à ses jours. Claude Guillon, écrivain libertaire auteur de Suicide mode d’emploi. Histoire, technique, actualité, est mort à l’âge de 70 ans, a-t-on appris, vendredi 20 janvier, auprès de son éditeur IMHO. Cet auteur engagé à l’extrême gauche a succombé jeudi à un cancer, dont il donnait encore des nouvelles sur son blog le 31 décembre.

    « Le cancer avance, au fur et à mesure qu’on lui oppose de nouveaux protocoles (…). Je ne tiens plus sur mes jambes », écrivait-il sur son blog fin décembre, à l’issue d’une vie où il avait combattu contre les tabous entourant la mort.

    Claude Guillon avait suscité un vaste débat en cosignant avec le journaliste Yves Le Bonniec Suicide mode d’emploi. Il revendiquait plus de 100 000 exemplaires vendus de cet ouvrage qui plaidait pour le droit à mettre fin à ses jours dignement, et fournissait des « recettes d’un suicide sans violence » par médicaments, destinées à faciliter le passage à l’acte.
    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Les auteurs et l’éditeur de " Suicide mode d’emploi " inculpés d’homicides involontaires
    Condamné puis relaxé

    Les deux écrivains avaient été poursuivis pour homicide involontaire en 1987 après plusieurs plaintes déposées par des familles de personnes ayant mis fin à leurs jours en suivant les conseils de l’ouvrage. Plusieurs proches de suicidés leur avaient reproché une incitation à passer à l’acte.

    Yves Le Bonniec avait par ailleurs été condamné en 1986 à six mois de prison avec sursis, non pas en raison de l’ouvrage, mais pour avoir répondu à la lettre d’un candidat au suicide qui lui demandait quelle quantité d’un médicament absorber pour se tuer. Claude Guillon avait lui été relaxé.

    En 1997, la cour d’appel de Paris avait relaxé Claude Guillon, accusé d’avoir frappé un policier à la fin d’une manifestation en faveur des sans-papiers l’année d’avant. L’auteur avait été condamné en première instance à quinze jours de prison avec sursis. Claude Guillon laisse par ailleurs une œuvre politique et polémique, portant entre autres sur la Révolution française ou sur la sodomie.

    Le Monde avec AFP

    https://lignesdeforce.wordpress.com

  • #PHP in 2023 - stitcher.io
    https://stitcher.io/blog/php-in-2023

    As a developer though, WordPress makes me sad. The inability to stay up to date with modern and safe PHP versions casts a shadow on the whole PHP community.

    Right now, WordPress only has beta support for PHP 8.0. Now, to be clear: PHP 8.0 was released in 2020, and is now end of life, three years later — and WordPress doesn’t yet support it…

    Of course, there are reasons for not properly supporting newer PHP versions. Up to you to decide whether they are good or not. My personal opinion is that the decision to hold on to backwards compatibility as much as WordPress does is mostly business driven: a big part of WordPress is the commercial part, and a big part of their customer base is running old PHP versions. It’s a vicious circle where both parties are holding each other back and, by extent, hold back the PHP community as a whole.

    On the other hand, we should recognise the fact that not many software projects are able to stay as popular and relevant as WordPress after almost 20 years, so maybe their strategy about backwards compatibility is the right one?

    Quelqu’un devrait parler de #SPIP à l’auteur de cet article :)

  • ChatGPT : Mächtige Waffe in Händen von Skriptkiddies
    https://www.heise.de/news/ChatGPT-Maechtige-Waffe-in-Haenden-von-Skriptkiddies-7452741.html

    Si je comprends bien #ChatGPT ajoute une solution au problème du temps limité qui se pose à pas mal de développeuses amateurs.

    9.1.2023 von Dirk Knop - Das künstliche-Intelligenz-Modell ChatGPT der Firma OpenAI kann nicht nur erstaunliche Texte hervorbringen, sondern programmiert auch ganz passabel. Im digitalen Untergrund haben die IT-Sicherheitsforscher von Check Point jetzt beobachtet, wie sogenannte Skriptkiddies, also Nutzerinnen und Nutzer ohne größere Programmierkenntnisse, das KI-Modell zum automatisierten Erstellen etwa von Malware missbrauchen.

    Die IT-Forscher haben mehrere Untergrund-Hacking-Foren untersucht und haben dabei erste Gehversuche von Cyberkriminellen aufgespürt, mit der OpenAI-KI bösartige Werkzeuge zu entwickeln. In einigen Fällen zeigte sich zudem, dass die Kriminellen keinerlei Entwickler-Knowhow besaßen. Die ersten Tools seien noch recht einfach, es sei jedoch lediglich eine Frage der Zeit, bis fortgeschrittenere bösartige Akteure die Nutzung von KI-basierten Werkzeugen für ihre Ziele ausweiten.
    ChatGPT: Infostealer und Verschlüsselungstools

    Die Check-Point-Mitarbeiter haben kurz vor Jahreswechsel einen Diskussionsfaden in einem populären Untergrundforum entdeckt, in dem der Themenstarter erklärte, dass er mit ChatGPT experimentiert, um Malware-Stämme nachzubauen, die in Forschungspublikationen und allgemeinen Schadsoftwarebeschreibungen auftauchten. Als Beispiel habe dieser einen Code-Schnippsel in Python geteilt, der bestimmte Dateitypen suche, sie in einen zufälligen Ordner im Temp-Verzeichnis kopiere, diesen in eine ZIP-Datei verfrachte und schließlich auf einen fest einprogrammierten FTP-Server hochlade.

    Der Code-Schnipsel hielt der Prüfung durch die IT-Forscher stand, er lieferte tatsächlich die versprochenen Funktionen ab. Ein weiteres Beispiel der Versuche dieses Cyberkriminellen mündete in einem Java-Schnipsel. Der lädt den SSH-Client PuTTY herunter und startet ihn versteckt im System mit Powershell. Das Skript ließe sich leicht anpassen, beliebige Programme herunterzuladen, einschließlich Malware.

    Zwar habe der Themenstarter weitergehende Programmierkenntnisse, seine Beispiele zeigten jedoch, wie auch weniger technisch begabte Individuen ChatGPT für bösartige Zwecke missbrauchen könnten – mit echten Beispielen, die sie umgehend nutzen können.

    Nur rund eine Woche davor hatte ein anderer Cyberkrimineller ein Python-Skript gepostet, von dem er angab, dass es das Erste sei, das er jemals erstellt hätte. Auf die Code-Ähnlichkeit mit ChatGPT-Code angesprochen, antwortete er, die OpenAI-KI habe ihm eine „nette [helfende] Hand gereicht, um das Skript mit einem schönen Funktionsumfang anzufertigen“. Die Check-Point-Forscher bestätigen, dass das Skript kryptografische Funktionen ausführt und dabei etwa das Signieren, Entschlüsseln und Verschlüsseln unterstützt.
    Werkzeug nicht per se bösartig

    Die IT-Sicherheitsforscher erläutern, dass sich diese Skripte auch für legitime Zwecke nutzen ließen. Sie ließen sich jedoch sehr leicht modifizieren, um etwa das System eines Benutzers vollständig ohne Nutzerinteraktion zu verschlüsseln. Nach dem Beheben einiger Skript- und Syntax-Probleme könnte daraus eine Ransomware entstehen.

    Eine weitere Möglichkeit, wie Cyberkriminelle ohne weiterreichende Entwicklerkenntnisse ChatGPT missbrauchen können, ist das Erstellen eines Darknet-Marktplatzes. Es handelt sich dabei um einen Umschlagplatz zum Handeln von illegalen oder gestohlenen Gütern wie erbeuteten Zugangsdaten, Kreditkarteninformationen, Malware oder sogar Drogen und Munition, die allesamt mit Kryptowährungen gezahlt werden. Ein Cyberkrimineller demonstrierte, wie mit ChatGPT erstellter Code eine Dritthersteller-API auf aktuelle Kryptowährungskurse von Bitcoin, Etherium und Monero als Teil des Dark-Web-Bezahlsystems abfragte.

    Weitere Diskussionen zum Jahresanfang 2023 drehten sich in den Untergrundforen darum, wie sich mit ChatGPT Betrugsmaschen umsetzen ließen. Viele betrafen etwa das Erstellen von zufälliger Kunst mit DALLE2 und der Verkauf davon auf der Plattform Etsy. Oder das Erstellen von E-Books oder kürzeren Kapiteln über spezielle Themen mit ChatGPT und den Online-Verkauf dieser Inhalte, führen die Check-Point-Forscher weiter aus. Es sei noch zu früh, um einzuschätzen, ob ChatGPT das neue bevorzugte Werkzeug im digitalen Untergrund wird. Es zeige sich jedoch deutliches Interesse der Untergrund-Community daran, auf den KI-Trend aufzuspringen und damit etwa Schadcode zu erzeugen.

    #SPIP

    • Amateurs alors. Très amateurs. Il y a eu de tests de réalisés par pas mal de Youtubeurs spécialisés dans plusieurs domaines.
      Derrière son aplomb, ChatGPT produit de très nombreuses erreurs, des approximations facheuses et surtout, laisse penser à une réponse construite et argumentée, alors que les prémisses sont déjà faux.
      Programmation, Chimie, Bricolage, Histoire... voila des sujets déjà débunkés.
      Alors oui, parfois la réponse est parfaite. Pour certains sujets, l’approximation se voit à peine. Et d’autres fois, il suffit de revenir poser la même question le lendemain pour avoir enfin la bonne réponse.
      Mais dans l’ensemble, c’est fait pour les gens qui savent déjà. Un peu comme l’était Google translation en 2003.
      Revenez dans 20 ans !

  • GitHub - libvips/libvips : A fast image processing library with low memory needs.
    https://github.com/libvips/libvips

    Une lib pour retailler les images (JPEG, PNG, WebP) ultra-rapide sur les gros fichiers.
    Open-source, disponible pour Linux / MacOS / Windows.

    Voir aussi :
    – implémentation en Node.js : https://sharp.pixelplumbing.com + repo Git : https://github.com/lovell/sharp
    – implémentation en PHP : https://github.com/libvips/php-vips

    #libvips #vignette #Node.js #PHP #ImageMagick #SPIP

  • Soirée difficile hier, puisque j’ai voulu expliquer aux petits (en sixième) pourquoi leur prof de techno mettait 1024 octets dans un kilooctet, au lieu de 1000 comme dans les kilogrammes et les kilomètres.

    Et évidemment, la seule chose qu’ils ont retenu c’est que « ah ah, papa il a dit “bit” ».

  • DMS to Decimal
    https://www.apsalin.com/dms-to-decimal

    Convertisseur de coordonnées géographiques DMS vers décimale

    DMS and Decimal are geographic coordinate (Latidude, Longitude). Decimal uses a signle decimal number. For example: (35.745547, -120.725044). DMS stands for Degrees, Minutes and Seconds and uses single natutal numbers for the degrees and the minutes, and a natural or decimal number for the seconds. For example: (35 44 43.97 N, 120 43 30.16 W) or (35° 44’ 43.97" N, 120° 43’ 30.16" W).

    #coordonnées #DMS #décimal #géolocalisation #convertisseur

  • Ça fait une petite semaine que je joue avec Stable Diffusion (avec DiffusionBee sur Mac). Quelques idées :

    – il faut vraiment se rendre compte à quel point ça commence déjà à être exploitable dans un cadre professionnel ; je ne suis pas certain que ça puisse déjà remplacer un·e illustrateur·ice dans les situations où, réellement, on paie un·e illustrateur·ice (réaliser la production finale) ; mais pour tous ces moments du boulot où de toute façon on « bidouillait » pour faire des scénarios, des proof of concept, sans passer par un·e pro du dessin (perso je faisais parfois moi-même des petits croquis aquarellés, juste pour donner une idée au client ; cette semaine j’ai monté quelques images réalisées avec Stable Diffusion, ça m’a pris dix fois moins de temps et ça rend vachement mieux)… ;

    – les progrès sont juste fulgurants ; ça faisait très longtemps que je n’avais pas été confronté à une évolution technologique tellement rapide qu’elle semble « magique » (je parle de ces moments, très rares, où je vois réellement quelque chose se produire sur mon ordinateur, que je n’imaginais même pas techniquement possible avant).

    – ce que je veux dire ici, c’est que les productions AI sont déjà souvent exploitables dans les situations où, de toute façon, il n’y avait pas réellement un marché professionnel pour ces productions. Mais qu’à la vitesse où ça va, très bientôt ce sera largement exploitable pour un produit final, en concurrence directe avec la production qui, normalement, demande un travail spécifiquement rémunéré.

    – les illustrateur·ices vont prendre très cher, et très vite : il faut vraiment envisager tout de suite la reconversion, parce que c’est pas en dessinant des personnages et des scénettes qu’il va encore y avoir moyen de vivre : même les gens avec une identité graphique identifiée, je pense que ça va être difficile. Pour les autres (pour qui c’est déjà pas facile), je crains que là c’est mort. Après quelques heures avec Stable Diffusion, j’ai déjà produit en quelques minutes une dizaine de personnages illustrés totalement crédibles et parfaitement utilisables pour un jeu en ligne, par exemple : alors certes de mon côté je n’en ai pas l’utilité (pour l’instant), mais ça veut dire que ça c’est quasiment plus un marché pour les vrais gens qui font des vrais dessins. À quel moment l’édition jeunesse va basculer ? Ben à mon avis ça va arriver très très vite, sans doute en commençant par l’entrée de gamme (mais la disparition du « tout venant » finit par assécher la possibilité de survie du qualitatif).

    – je lis que non, c’est pas la disparition du métier, c’est juste une évolution : il faudra travailler autrement, car maîtriser ces outils avec goût et savoir-faire restera un métier. Certainement, mais ce métier existe déjà, il est déjà largement saturé, c’est le métier de graphiste (les graphistes ne sont pas des illustrateur·ices, il·elles ne dessinent pas), qui désormais pourra se passer des illustrateur·ices et largement réaliser le poduit final en dictant ses ordres à une AI plutôt qu’en payant quelqu’un.

    – c’est pas la peine d’en faire une question morale (« ah oui mais il suffit de refuser ») : c’est un marché déjà difficile, les gens y sont largement des prestataires indépendants, ça va être terrible, on a une technologie qui progresse à une vitesse sidérante, et qui va percuter de plein fouet un milieu de travailleurs indépendants déjà souvent en limite de paupérisation ;

    – ne pas compter sur le droit pour protéger le métier traditionnel. Je vois bien qu’il y a des histoires de propriété intellectuelle en ce moment, ça joue sur les illustrateur·ices déjà établis dont on utilise la production pour entraîner les modèles, mais c’est temporaire, à mon avis ça va se résoudre rapidement, et il n’y aura aucun moyen de poursuivre des productions par AI sur la base du plagiat (il est très difficile de poursuivre quelqu’un qui produit dans « le même style que » s’il n’y a pas plagiat direct). Et comme c’est un milieu de petits producteurs indépendants, il n’y aura même pas d’outils de financements « socialisés » façon racket des ayants-droits de la musique.

    • Oui, c’est pour ça que je parle d’abord de l’« entrée de gamme », le « tout venant ». Mais ces « boulots alimentaires » sont ceux qui font (sur)vivre l’immense majorité des professionnels dans l’illustration.

      Et même les gens reconnus, je ne suis pas certain qu’ils y seraient parvenus sans passer par ces boulots alimentaires avant de devenir des noms, ni même s’ils n’ont pas encore besoin des boulots alimentaires en plus de la création plus créative… Si tu assèches le « tout venant », l’alimentaire, je crains même que ça devienne compliqué de faire émerger des noms reconnus, parce qu’il n’y aura plus vraiment moyen d’« entrer » dans la profession.

      Et pour préciser : je ne vois pas le problème arriver « dans quelques années ». Je le vois arriver maintenant. D’ici un an, les « boulots alimentaires » des illustrateurs, je pense que ça va déjà être compliqué. (En plus je suis déjà pessimiste en jouant avec Stable Diffusion : les progrès d’une version à l’autre de Midjourney sont encore plus invraisemblables.)

    • Alors pour qu’on se comprenne bien, « tout venant » et « entrée de gamme », je parle tout de même pas de « persos à la con » non plus : je parle d’un type de maison d’édition, qui ne tiendrait pas particulièrement à continuer à travailler avec des êtres humains (par conviction, pour son modèle économique, pour son image…) ; mais la qualité des images produites est déjà difficilement qualifiable de « tout venant ». Quelques images Midjourney trouvées sur Prompthero par exemple :
      https://prompthero.com/midjourney-prompts

      Je veux dire : si ta pratique professionnelle reposes sur le fait que tu parviens à produire quelque chose de ce niveau en peinture numérique, voilà : il y a déjà une IA qui produit ça en quelques secondes.

    • Oui mais pour moi ça c’est des « persos à la con », je veux dire par là que une personne qui saurait faire ça à la main, bah oui ya une qualité de réalisation, mais il n’y a à peu près aucune originalité, aucune création, c’est le type de choses qu’on voit depuis 40 ans dans les jeux de rôles etc puis dans des millions de posts de deviantart ya 15 ans. Donc bah oui ya clairement des éditeurs, des domaines qui n’utilisent que ce genre d’illustrations (les jeux de société aussi tiens) et qui peuvent/vont se « contenter » de ça.

    • Parce que ces modèles sont largement entraînés sur les bibliothèques en ligne à la DeviantArt (je suspecte que les « problèmes légaux » évoqués avec la version 2.0 de Stable Diffusion viennent de là), et parce que les gens qui postent sur ces sites d’AI pensent que c’est ça qui plaît (puisque c’est ce qui leur plaît).

      Mais franchement, faire le pari de l’originalité et de l’intention, alors que cela reste des outils eux-mêmes manipulés par des humains, je n’y crois pas. On aura des êtres humains qui vont se mettre à produire des images originales avec ces outils. Mais ce n’est plus des « illustrateurs », ça me semble plus proche du métier de graphiste (avoir des idées, du goût, une culture visuelle, justement une originalité, mais sans forcément savoir dessiner/illustrer).

      Et encore une fois, si tu retires le tout-venant, les boulots alimentaires et les illustrations pas-super-originales, ça devient très difficile d’en vivre pour la plupart des gens dont c’est actuellement le métier. Si tu regardes les images qui t’entourent, dans les journaux, dans le journal de la mairie, les bouquins scolaires, la « communication visuelle » (d’entreprise, publique, humanitaire…), etc., c’est pas super-glorieux (ni honteux, hein), mais surtout c’est énormément de travail en permanence qui fait vivre énormément de monde, dans chaque coin du pays, et franchement, l’essentiel est faisable avec une AI en quelques lignes de texte. Je pense que ça va devenir très difficile pour tous ces types de boulots.

    • Les traducteurs et traductrices ont-elles souffert avec DeepL ? Question honnête car je n’ai pas idée de la réponse.

    • @fil un client m’a dit qu’à priori il prévoyait de traduire en anglais ses articles (qui peuvent être longs) avec deepl à recoller dans des vrais articles SPIP ensuite, car c’était largement exploitable, donc sans traduire lui-même ou par des gens payés pour ça… du coup je suppose que oui une partie des traductions passent par là maintenant… (mais un peu comme pour les illustrations on parle là de trucs « rapidos »)

    • Il y a une caractéristique différente avec les illustrations par AI : il n’est pas nécessaire de savoir faire le job (illustrer) pour juger de la qualité. Je peux sortir 10 illustrations en quelques poignées de secondes, choisir celle qui va bien, celle qui n’a pas trois bras, etc., et je peux juger que c’est exploitable. Je suis en situation de juger de la qualité du résultat.

      Avec une traduction automatique, je suis à poil : je lance la traduction et je n’ai pas de moyen de vérifier que c’est correct. Donc le seul moyen de garantir la qualité du résultat, c’est de passer par une traduction humaine. Ce sont deux situations automatisées totalement différentes : dans un cas je suis parfaitement capable de juger que le résultat est satisfaisant, dans l’autre je n’en ai aucun. Et dans un cadre professionnel, c’est un critère particulièrement important.

      Après, je pense que ça joue tout de même, parce qu’il y a des situations où certes je ne peux pas garantir la qualité fine de la traduction (est-ce que c’est élégant, est-ce que c’est le meilleur choix…), mais où, si je ne peux traduire moi-même, je peux quand même juger que ce n’est pas en train de raconter strictement n’importe quoi. Ça doit être le cas de l’anglais pour pas mal de gens (en gros ce que dit Rasta). (Et sinon, est-ce que j’ai déjà vu des institutions culturelles ajouter un bouton « Google Translate » sur leur site Web au lieu de proposer de véritables versions multilingues de leur site ? Hum je voudrais pas cafter…)

      Mais cette histoire d’enjeu est important à considérer, parce que ça rend la comparaison avec d’autres automatisations très injuste. Je peux beaucoup m’amuser à produire des dizaines d’images avec des gens à trois bras, les yeux qui déconnent, les mains qui ne ressemblent à rien, les épaules au niveau du nombril… Mais je m’en fous des erreurs, parce que dans le lot je vais choisir l’image qui n’a pas de problème, et les image ratées n’ont aucun impact sur ce que je vais sortir au final. Alors qu’une erreur dans une traduction, elle restera dans la version finale publiée. Mais surtout : une voiture qui se conduit toute seul va tuer des gens. Un algorithme qui envoie les gens en prison est très problématique, et les « erreurs » sont (devraient être) des injustices insupportables. Et une AI qui devrait détecter des maladies graves qui se tromperait, ben c’est un peu chiant aussi… Alors que les erreurs et les fautes de goût d’une AI de dessin n’ont aucun impact dans le résultat final, même dans un cadre professionnel.

    • Tant qu’à faire, l’interview de David Holz chez Forbes:

      Midjourney Founder David Holz On The Impact Of AI On Art, Imagination And The Creative Economy

      Did you seek consent from living artists or work still under copyright?

      No. There isn’t really a way to get a hundred million images and know where they’re coming from. It would be cool if images had metadata embedded in them about the copyright owner or something. But that’s not a thing; there’s not a registry. There’s no way to find a picture on the Internet, and then automatically trace it to an owner and then have any way of doing anything to authenticate it.

      Can artists opt out of being including in your data training model?

      We’re looking at that. The challenge now is finding out what the rules are, and how to figure out if a person is really the artist of a particular work or just putting their name on it. We haven’t encountered anyone who wants their name taken out of the data set that we could actually find in the data set.

      Can artists opt out of being named in prompts?

      Not right now. We’re looking at that. Again, we’d have to find a way to authenticate those requests, which can get complicated.

      What do you say to commercial artists concerned this will destroy their livelihood? At a certain point, why would an art director hire an illustrator to produce work like concept art, production design, backgrounds – those sorts of things – when they can just enter prompts and get useful output much more quickly and at much lower cost?

      It’s a lot of work still. It’s not just like “make me a background.” It might be ten times less work, but it is way more work than than a manager is going to do.

      I think there’s kind of two ways this could go. One way is to try to provide the same level of content that people consume at a lower price, right? And the other way to go about it is to build wildly better content at the prices that we’re already willing to spend. I find that most people, if they’re already spending money, and you have the choice between wildly better content or cheaper content, actually choose wildly better content. The market has already established a price that people are willing to pay.

      I think that some people will try to cut artists out. They will try to make something similar at a lower cost, and I think they will fail in the market. I think the market will go towards higher quality, more creativity, and vastly more sophisticated, diverse and deep content. And the people who actually are able to use like the artists and use the tools to do that are the ones who are going to win.

      These technologies actually create a much deeper appreciation and literacy in the visual medium. You might actually have the demand, outstrip the ability to produce at that level, and then maybe you’ll actually be raising the salaries of artists. It could be weird, but that’s what’s going to happen. The pace of that demand increase for both quality and diversity will lead to some wonderful and unexpected projects getting made.

      A generation of students graduated art schools, many of them heavily in debt, counting on relatively well-paid jobs in entertainment production, videogame production, commercial art and so on. How does the emergence of AI text-to-image platforms impact their future?

      I think some people will try to cut costs, and some people will try to expand ambitions. I think the people who expand ambitions will still be paying all those same salaries, and the people who try to cut costs, I think will fail.

      Ai is typically used at scale for stuff like call centers or checking bags at airports and the sort of the jobs that people don’t really care to do. And the value proposition is that it frees people up to do more rewarding, more interesting kinds of jobs. But art jobs are rewarding and interesting. People work their entire lives and develop their skills to get these kind of jobs. Why would you point this technology at that at that level of the economy as a as kind of a business focus and priority for the stuff that you’re doing?

      Personally, I’m not. My stuff is not made for professional artists. If they like to use it, then that is great. My stuff is made for like people who, like, there’s this woman in Hong Kong, and she came to me, and she goes, “The one thing in Hong Kong that your parents never want you to be is an artist, and I’m a banker now. I’m living a good banker life. But with Midjourney now I’m actually starting to get a taste of this experience of being the person I actually wanted to be.” Or a guy at the truck stop who’s making his own baseball cards with wild Japanese styles, just for fun. It’s made for those people, because, like most people, they don’t ever get to do these things.

      It’s important to emphasize that this is not about art. This is about imagination. Imagination is sometimes used for art but it’s often not. Most of the images created on Midjourney aren’t being used professionally. They aren’t even being shared. They’re just being used for these other purposes, these very human needs.

      Nevertheless, the output of your product is imagery, which has commercial value in professional context in addition to all of those other properties. And this is very disruptive of that economy.

      I think it’s like we’re making a boat, and somebody can race with the boat, but it doesn’t mean that the boat’s about racing. If you use the boat to race then maybe like, yeah, sure. In that moment it is. But the human side really matters, and I think that we’re not… We want to make pictures look pretty. Like how flowers try to be beautiful for the bees. It’s the beauty of nature, not the beauty of art. There’s no intention in the machine. And our intention has nothing to do with art. We want the world to be more imaginative and we would rather make beautiful things than ugly things.

      Do you believe that any government body has jurisdiction or authority to regulate this technology? And if so, do you think they should?

      I don’t know. Regulation is interesting. You have to balance the freedom to do something with the freedom to be protected. The technology itself isn’t the problem. It’s like water. Water can be dangerous, you can drown in it. But it’s also essential. We don’t want to ban water just to avoid the dangerous parts.

      Well, we do want to be sure our water is clean.

      Yes, that’s true.

  • GitHub - ovh/venom : 🐍 Manage and run your integration tests with efficiency - Venom run executors (script, HTTP Request, web, imap, etc... ) and assertions
    https://github.com/ovh/venom

    Un outil CLI qui permet de faire des « tests utilisateurs » pour une application web avec gestion des retours selon différents protocoles (http, imap, readfile...), de les enchaîner en récupérant les résultats d’une étape pour les utiliser comme input de l’étape suivante...
    Les tests sont écrits sous forme de fichiers yaml, peuvent être lancés en parallèles.
    Open source (langage principal : GO) : binaire fourni pour Linux / Windows / Mac + Docker

    Qui n’a pas eu le besoin d’exécuter un VRAI test d’intégration ?
    1 - Inscription sur une application
    2 - Vérifier le mail envoyé par l’application
    3 - Le mail contient une URL, ouvrir cette URL pour valider l’inscription
    4 - S’authentifier avec le nouveau compte créé
    5 - Naviguer sur l’application Web
    6 - Vérifier en DB, ou sur votre API que les données sont cohérentes

    Venom répond à 5 problématiques :
    – lisibilité des scénarios de tests
    – multi-protocoles
    – résultats xUnit compréhensibles
    – « as-code », les tests sont sur vos dépôts git
    – extensibilité via les exécuteurs (mail, rest, web, kafka, redis, ...)

    Voir la présentation (simple mais bluffante !) sur https://www.youtube.com/watch?v=RGy-xbTs8_s

    #venom #test_utilisateur #unit_test #SPIP #yaml

  • Performance #web : l’intégrateur, ce héros

    J’ai envie de pousser un concept absolument nouveau : l’amélioration progressive (ah pardon on me dit que ça date de 2003). Au minimum c’est la clé d’un premier affichage éclair car on peut se passer de #JavaScript quelques secondes.
    Puis abordons le gros sujet des images : comment les charger rapidement, sans toucher aux fichiers eux-même ? Il y a eu quelques nouveautés ces deux dernières années, mais on va voir que même sur des choses que l’on peut croire acquises comme le lazy loading, il y a quelques pièges qui peuvent être contre-productifs.
    Enfin terminons avec un petit résumé sur les polices : elles tapent dans l’œil mais il faut en garder le contrôle si l’on veut un bon CLS (une des métriques Google dont on va reparler).

    Article intéressant sur les optimisations au moment de l’#intégration web. Ça parle (un peu) performance mais surtout #UX, #ergonomie, #HTML, #CSS, #javascript...

    https://www.24joursdeweb.fr/2021/performance-web-lintegrateur-ce-heros

    • Ya des gens qui trouvent ça enthousiasmant, comme plein de techniciens qui sont à fond dans leur petite spécialité technique, mais moi ça me terrifie, ça devrait pas exister du temps à passer sur ça :D

      Et surtout encore moins devoir s’en préoccuper à chaque intégration (plutôt que ce soit les gens qui font le CMS, langage de template, plugins de lazy, etc, et qu’ensuite pour un site précis à intégrer on n’y pense presque plus).

    • Oui, l’article est intéressant en tant que ressources, pour choisir les plugins qu’on utilise (par ex Adaptive images qui gère le WebP et le lazy loading nativement), faire ses boilerplates persos (préchargement des polices et font-display: swap;), les optimisations côté CMS (chargement JS en asynchrone)... etc, évidemment dans l’idée d’automatiser au maximum.

      Et aussi, se rendre compte que #SPIP gère une bonne partie de tout ça <3

  • voilà plus d’un an que je n’ai pas écrit sur @seenthis
    Alors que plein de gens migrent de twitter à Mastodon, je me demande quelle a été la dynamique de cet autre site de microblogging, pionnier, qui a un moment donné jouait pour moi un rôle de source d’information très utile. Et que d’une certaine manière on peut bien comparer à Mastodon, sf que c’est moins gros.
    Mais beaucoup moins maintenant, puisque je ne reçois plus de notification à part de @gonzo signe que les comptes que je suivais doivent être tombés en léthargie. Le fait est que twitter est devenu pour moi un espace plus riche, beaucoup plus que FB d’ailleurs.
    Quant au stockage/partage de mes signets ou articles repérés, ce que Seenthis faisait très bien, en fait aujourd’hui je le gère directement dans zotero.
    Donc, d’un côté, des flux moins importants et moins riches, de l’autre une fonction de partage que je gère ailleurs.
    Je me demande si d’autres usagers ont le même sentiment que moi ? Est-ce que @Seenthis a des stats sur l’évolution des usages ?

    • Sur les sujets qui t’intéressent plus particulièrement, je te suggère de suivre :
      @loutre, qui est particulièrement active sur la Palestine,
      @kassem, plus « multisujets », mais avec une expertise naturelle sur la Palestine et le Liban notamment,
      @simplicissimus sur tous les sujets, et qui s’intéresse et documente avec précision les questions internationales…

      Avec ces trois-là, via leurs messages propres et leurs re-partages, tu retrouveras une activité riche, et toujours qualitative, sur Seenthis.

    • Sur la question de pourquoi Seenthis plutôt qu’un autre réseau :

      – d’abord la qualité des participants, et la (quasi) absence de tarés racistes, masculinistes, etc. Sur Mastodon je ne sais pas, par contre sur Twitter, l’omniprésence des tarés sur absolument tous les sujets, leur façon de balancer des shitposts sur absolument tous les threads progressistes, c’est insupportable.

      – la qualité/possibilité de construire des savoirs collectivement. Pour moi c’est le cœur de Seenthis, et ça reste une caractéristique qui existe. Sur Twitter c’est proprement impossible, parce que les « threads » ne sont intéressants que sur les messages du posteur d’origine, dès qu’on passe aux « réponses » c’est totalement mort. Sur Seenthis, les réponses des autres participant·es enrichissent toujours le message initial, avec plus d’infos, une contribution à la thématisation…

      – dans la logique du premier : encore une certaine capacité à la contradiction et à la discussion. C’est forcément imparfait, on a perdu pas mal de monde qui ont mal pris la contradiction, mais en général on arrive à échanger assez longuement avant de se foutre sur la gueule (sur le Covid, on a commencé à sérieusement bloquer, mais je pense que ça n’a pas été immédiat, on a tenu un assez long moment à échanger de manière constructive).

      – la possibilité de poster des messages sans limite de longueur. Sur Mastodon je ne sais pas comment ça se passe, mais sur Twitter on est obligés de passer par un service externe à chaque fois qu’on veut lire un truc intéressant, c’est un non-sens total.

      – la modération qui est chez nous. Et comme on a un nombre d’actifs limité, c’est assez cosy comme ambiance. Sur Twitter c’était déjà totalement merdique bien avant l’arrivée de Musk. Sur Mastodon, j’ai lu ce matin le fait que le système décentralisé posait de grosses difficultés, rendant la question de la modération problématique et peu lisible pour les auteur·ices.

    • Je n’y ai pas pensé parce qu’initialement ce n’est pas directement ton sujet de prédilection, mais puisque tu t’intéresses à une question concernant la vie sociale des réseaux, tu peux aussi suivre @hlc, dont c’est ici l’activité centrale.

      Sur les questions migratoires et les réfugiés, @cdb_77 fait une veille invraisembable (attention : avec elle tu vas avoir énormément à lire…).

      Si tu veux avoir une sorte de « best of » chaque matin des posts qui ont bien été partagés, il faut suivre le compte de notre automate @7h36.

    • Retour à ce jour, de mon côté aussi, à SeenThis, avec les mêmes interrogations, mais l’envie de revenir sur ce microblogging que j’ai trouvé très riche dans sa forme, mais pour lequel les partages de ressources pédagogiques m’avaient semblé moins prendre.

      Pour l’heure, la migration de Twitter à Mastodon ne réussit pas à me convaincre totalement, si ce n’est la différence entre « accueil », « fil public local » et « fil public global », qui peut apporter un réel plus, à condition d’être sur une instance qui regroupe réellement des gens au même centre d’intérêt que celui qu’on suit. La crainte que si réellement migration il y a, le bruit reste très important. Ce qui me semble être le « plus » de SeenThis, car les posts à créer étant plus chronophages, le bruit est très réduit.

    • Je vois que ça discute beaucoup sur moi et mes posts :-)
      Eh oui, désolée si c’est beaucoup pour certain·es, mais je continue à utiliser (et c’est peut-être un peu la réponse à la question de @rumor à laquelle je réponds ici) :
      – twitter plutôt pour prendre et ce qui m’intéresse et je veux archiver, je balance sur seenthis —> mais bientôt Mastodon, je n’ai pas encore fait le pas...
      – seenthis = mon archive personnel, mais public d’articles de presse ou autres sources disons non forcément académiques. J’utilise pour partager des fois des fils de discussion avec des personnes qui me demandent des infos, pour moi même et notamment pour préparer mes cours et/ou conférences. Je sais, souvent indirectement, que des personnes savent qu’il y a des ressources (notamment sur migrations/frontières, en effet @arno) qui peuvent consulter
      – zotero surtout pour des articles et autres documents plutôt académiques (pour la petite histoire, ma base de données « migrations/frontières » sur zotero a 4355 entrées (à bon entendeur...)

      Et super le retour de @ville_en sur seenthis !! Tu m’avais manqué :-)

    • J’ai crée mon compte sur Seenthis en 2021 après avoir testé différents réseaux. C’est celui qui me correspond le mieux par sa facilité d’utilisation, la possibilité de partager très aisément ses lectures est très agréable.
      C’est un outil qui m’est devenu indispensable pour la veille documentaire, le flux rss me permet de proposer à mes collègues de me suivre sans pour autant avoir un compte eux-mêmes et c’est un atout considérable.

      Je reconnais que je néglige un peu l’aspect « social » en ne commentant que très peu les publications que je lis mais j’apprécie la richesse et la qualité des échanges.

      En tant que professeur documentaliste, le système de recherche par mots-clés est très naturel, c’est assez formidable de pouvoir suivre des thèmes et des sites aussi facilement.

      C’est aussi un moyen d’éviter la surcharge informationnelle que peuvent générer d’autres types de réseaux.

      C’est l’occasion pour moi de remercier tous ceux et celles qui gèrent cette plateforme qui mérite d’être davantage connue et reconnue !

    • (voilà plusieurs jours que je me pose la question de créer une instance mastodon, mais Swami m’a rappelé opportunément la seconde raison pour laquelle je n’avais pas sauté le pas il y a quelques années ; de plus, je me dis qu’il serait sans doute préférable d’améliorer SeenThis... mais j’avoue avoir pris goût à la lecture de Twitter... alors pourquoi ne pas essayer Mastodon... mais... bref... à suivre... dans l’immédiat je continue sur la piste de « comment mieux publier nos images d’accompagnement sur SeenThis »...)

    • Il y a quelques comptes problématiques sur seenthis aussi, comme en atteste la mésaventure qu’a récemment connue @7h36, cf. https://seenthis.net/messages/977427. Certes, il y en a peu, mais c’est uniquement parce que seenthis est petit. Pas parce qu’il faut écrire long et argumenter ; ça, ils savent faire.

      En tout cas, ne faisons pas comme si seenthis avait une solution.

      (Pas plus que mastodon… pour l’anecdote, j’ai supprimé mon petit compte mastodon perso il y a quelques années, quand une instance sur laquelle je me trouvais a décidé de bloquer une autre instance sur laquelle j’avais des contacts, pour une raison tout à fait étrangère à la fois à mon activité et à celle de mes contacts.)

    • Un aspect qui me semble important : je vois beaucoup de gens qui prétendent que « ce que veulent les gens » sur Twitter et Mastodon, c’est de l’horizontalité. Et que ce que ferait Musk, justement, c’est de ne pas comprendre cette demande d’horizontalité.

      Or je pense que c’est faux : les gens vont sur Twitter parce que c’est là que tout le monde est. Ils n’iront sur Mastodon que s’il s’y trouve suffisamment de monde. Or à partir du moment où l’on a un réseau hyper-fréquenté, on a forcément les tarés qui débarquent en nombre suffisant pour pouvoir poster un shitpost dans chaque message, et interdire ainsi toute possibilité de discussion. De ce fait, Twitter n’est pas du tout un réseau horizontal, au sens où il n’y a pas de discussions : il y a des gens qui postent des threads tout à fait passionnants, et c’est suivi de « forums » insupportables à lire. La seule chance d’avoir une visibilité en répondant à un thread, c’est que l’auteur initial décide de repartager cette réponse à son propre thread.

      C’est comme les forums sur les sites Web : j’ai toujours été partisan de ces forums sous les articles, dès qu’on a conçu SPIP pour uZine, la présence de forums publics sous tous les articles était une des fonctionnalités « de base ». Et on a eu de très beaux échanges dans ces forums. Par contre, dès que les forums passent sur des sites qui atteignent un public conséquent, c’est mort : c’est shitpost sur shitpost, des macronards et des fachos qui viennent pourrir absolument tout, partout et tout le temps, ou des braves abrutis qui ont appris que « discuter » en public, c’était reproduire la merdasse à la Hanouna. Je suis toujours admiratif de voir Plenel défendre non seulement les blogs adhérents, mais aussi les forums sous les articles, avec les mêmes arguments que nous avions à l’époque pour uZine et pour SPIP, tout en reconnaissant que c’est très problématique.

      J’ai lu récemment un thread de quelqu’un qui faisait remarquer que les fachos étaient sur Twitter non pas pour la « liberté d’expression », mais parce que c’est le principal endroit où ils peuvent aller pourrir les gens de gauche. Des réseaux de fachos fréquentés par les fachos, il y en a déjà, c’est pas un problème. Ce qui les attire sur Twitter, c’est pas d’y être lu par d’autres fachos, c’est avant tout qu’ils vont pouvoir aller poster des shitpost pour faire chier les progressistes (« to own the libs »).

      De fait, je sais bien que Seenthis est avant tout protégé par sa faible participation (même s’il a, aussi quelques caractéristiques intéressantes, comme le fait que les réponses sont présentées au même niveau que le message d’origine, ou encore que le système de « petits triangles » avant les URL favorise l’agrégation des discussions, et tente de décourager l’auto-promo qui pique les référencements des autres…). La faible participation, l’audience limitée (mais pas nulle), font qu’on n’est pas une cible intéressante pour les fafs et les macronards, puisque ce n’est pas le bon endroit pour aller « faire chier du gaucho ».

      Et à l’inverse : les gens qui veulent aller sur un réseau avec pour critère qu’il y ait un maximum de monde, se condamnent à renoncer à toute forme d’horizontalité dans les échanges, parce que la seule façon de rendre la lecture de ces trucs supportables, c’est de cacher les forums sous le tapis (ce que fait Twitter) en rendant les « réponses » extrêmement moins visibles que le post d’origine (c’est-à-dire en réduisant les possibilités de construction d’intelligence collective).

      C’est contre-intuitif, mais : plus la fréquentation sera importante, et moins un réseau social sera « horizontal ». Plus il sera nécessaire de planquer les shitposts en planquant les forums. Et plus il sera nécessaire d’avoir des algorithmes pour hiérarchiser les messages.

      (Une autre façon de dire la même chose, c’est de constater que les gens vont sur des gros réseaux pour prétendre échapper aux bulles de filtre, dénoncent ces bulles de filtres, alors que justement plus un réseau est gros et plus il y a besoin de créer des bulles de filtre. Les gens qui dénoncent les bulles de filtre, si réellement ils étaient sur Twitter et Youtube sans ces bulles de filtres, ils seraient horrifiés et n’y retourneraient pas.)

    • @cdb_77 du coup j’ai une question « méthodologiqie » puisque tu utilises twitter comme outil de repérage de ressources avant de les signaler ici pour mémoire. Tu travailles sur téléphone pour twitter ou tu es sur ordi dès tes repérages ? Perso, qd j’identifie des ressources intéressantes je me les partage vers mon email avant de les intégrer dans zotero (où je mets tout, académiques et autres ressources doc). Mais s’il y avait un moyen de faire ces signalements directement dans @seenthis Seenthis via le téléphone, comme le permet la petite extension qui existe pour les navigateurs, ce serait génial.
      Parce que le matin je lis twitter comme l’autre lisait le journal, c’est ma prière du petit déjeuner qui ne peut s’encombrer d’un ordinateur...

    • Vous devez aussi l’avoir lu/vu :

      Le Mastodon(te) et l’oiseau bleu. – affordance.info
      https://affordance.framasoft.org/2022/11/le-mastodonte-et-loiseau-bleu

      Je crois qu’aujourd’hui la valeur d’un réseau social est non seulement définie par celles et ceux qui sont dedans, par celles et ceux qui en sont exclus … mais aussi et par toutes celles et ceux qui refusent d’y être et disposent des ressources pour s’efforcer de socialiser ailleurs et ce faisant, d’espérer amorcer quelque chose de neuf avec la responsabilité leur incombant d’au moins montrer que cela est … possible.

    • @rumor : j’utilise twitter sur ordi et tél et je fais comme toi : je me partage les ressources que j’identifie vers mon email et je mets sur seenthis et/ou zotero (mais la majorité du temps sur seenthis ce que je trouve sur twitter quand même)

    • Salut Salut,

      je me permets de ramener ma fraise sur la base d’observations que j’ai fait sur plusieurs réseaux.

      De mon expérience :
      Facebook/linkedin (et je crois insta, tik tok...mais pas sur j’ai pas vraiment essayé, c’est juste une opinion vu de loin) : la majorité des posts c’est matte mon style de vie comme il est ouf. Il n’y a pas vraiment de débat d’idées, un post, même pas forcément sérieux fait très vite (sur facebook, moins sur linkedin) l’objet de commentaires haineux, sexistes, fascistes...bref les gens se lâchent à coup de « bon sens » façon cnews...c’est délicieux (bon ok linkedin c’est différent c’est moins du bon sens que des posts de motivation à 2 balles...mais basé sur ton style de vie de ouf...et les commentaires sont généralement plus softs).

      Twitter : Beaucoup de débats. L’énorme majorité sont finalement peu documentés et/ou fouillés. En plus les règles sont bafouées (enfin je trouve). Sur l’autel du débat d’idées tu te dois d’accepter la pure liberté d’expression de l’autre...et effectivement les promoteurs d’extrême droite (mais pas que) en profite un max pour tirer la fenêtre d’overtom hyper à droite pour mieux imposer leurs idées dans la sphère journalistique et politique (qui adorent ce réseau).
      Les experts sont malheureusement noyés dans la masse...quand ils ne sont pas harcelés de commentaires dégueulassent également.

      Mastodon : Je pense aussi que tu peux vite te retrouver comme dans twitter si les utilisateurs augmentent. Cela dit la fenetre d’overtom actuelle est très anar, anticapitaliste, antinuke, et féministe (en tout cas si tu es sur une instance comme mamot et que tu te limites à quelques comptes bien choisis comme https://mamot.fr/web/@Khrys). L’avantage c’est que t’as pas de suggestions...donc tu peux rester dans ta bulle...mais j’ai déjà eu quelques interactions qui m’ont rappelé twitter mais c’est très rare...et tu peux les bloquer facilement (et j’espère que ça va pas augmenter avec l’arrivée massive de fugueurs d’Elon).

      Seenthis : Pendant longtemps je n’ai suivi que @rezo et @7h36 et rien qu’avec ces 2 comptes...tu prends cher en infos de qualité. Je me suis mis à suivre d’autres comptes au fil des échanges mais j’atteins mes limites de temps disponible pour tout consulter. L’énorme différence avec Masto c’est la qualité des échanges de débats...qui sont effectivement sans concessions et beaucoup plus fournis. Sans parler de l’archivage des dossiers etc...

      Je crains beaucoup l’arrivée de flopées de vénères trop à droite qui viendraient dégueuler des commentaires inintéressants pour tirer les fenêtres d’overtom de ces 2 derniers réseaux.

    • A vrai dire aucun 😉

      Mais si ta question est un tant soit peu sérieuse...😁 (suspense...)
      La pépite du net français pour les films de Kung Fu (mais pas que), se trouve ici :
      http://hkcinemagic.com/fr/main.asp ?
      et un forum
      http://forum.hkcinemagic.com/index.php ?
       !!!
      (que j’ai découvert que trop tard pour participer) (d’ailleurs ça compte comme réseau social un forum ?)

      Ce qui est un peu nul c’est que les gars ont plus vraiment le temps ni l’envie d’animer...

      Une grande perte pour cette passion 😔

  • Concepts de base des propriétés et valeurs logiques - CSS : Feuilles de style en cascade | MDN
    https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/CSS_Logical_Properties/Basic_concepts

    CSS Logical Properties (les propriétés logiques CSS) est un module CSS qui définit une correspondance logique vers les propriétés physiques de contrôle de la mise en page selon le sens de lecture et l’orientation du texte.

    Historiquement, CSS permettait de dimensionner des objets selon les dimensions physiques de l’écran. On pouvait alors décrire des boîtes avec une certaine largeur (width) et une certaine hauteur (height), positionner les éléments à partir du haut (top) et de la gauche (left), faire flotter les objets, créer des bordures, des marges, du remplissage (padding) en haut, à droite, en bas et à gauche (resp. top, right, bottom, left, etc.). La spécification sur les propriétés et valeurs logiques définit des correspondances entres ces valeurs physiques et des valeurs logiques, relatives au flux : start et end plutôt que left et right ou top et bottom.

    Voir aussi :
    – la page de la propriété writing-mode qui définit si les lignes d’un texte sont écrites horizontalement ou verticalement et la direction selon laquelle le bloc grandit
    – la page de référence des propriétés et valeurs : https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/CSS/CSS_Logical_Properties

    #CSS #logical_properties #rtl #sens_ecriture #propriétés_logiques_CSS #SPIP #multilinguisme

  • Ça va “brancher” chez Leaflet...

    Leaflet 1.9 released - Leaflet - a JavaScript library for interactive maps

    The v1.9 release is setting the stage for the first major version bump of Leaflet since 2016! A lot has changed since then, and it’s time for Leaflet to grow together with the web platform.

    After this release, we are branching off the 1.x code and putting it in maintenance mode — reserving potential 1.x releases only for critical bugfixes. Although version 2.0 is still far away and will take some time to take shape, we plan to make the following changes:

    – Dropping support for Internet Explorer.
    – Embracing modern JavaScript.
    – Standardized modules
    – Removing the Leaflet global

    https://leafletjs.com/2022/09/21/leaflet-1.9.0.html

    #leaflet #map

  • Commits Conventionnels
    https://www.conventionalcommits.org

    « Normer » le contenu des commits pour faciliter la relecture de l’historique d’un dev

    Le commit contient les éléments structurels suivants, permettant de communiquer à l’intention des utilisateurs de votre bibliothèque :
    fix: un commit de type fix corrige un bogue dans le code (cela est en corrélation avec PATCH en versioning sémantique).
    feat: un commit de type feat introduit une nouvelle fonctionnalité dans le code (cela est en corrélation avec MINOR en versioning sémantique).
    BREAKING CHANGE: un commit qui a dans le pied de page le mot clef BREAKING CHANGE :, ou ajoute un ! après le type/scope, introduit un changement cassant l’API (cela est en corrélation avec MAJOR en versioning sémantique). Un BREAKING CHANGE peut faire partie des commits de n’importe quel type.
    – Les types autre que fix: et feat: sont autorisés, par exemple @commitlint/config-conventional recommande build:, chore:, ci:, docs:, style:, refactor:, perf:, test:

    #git #commit #semver #feat #fix