• Gustave Courbet : « Il y a un tas d’imbéciles qui se figurent que ça se fait comme ça un paysage. Ils vous prennent une boite et ils s’en vont se poser, tantôt dans un pays, tantôt dans un autre. Ils rapportent leur toile et vous disent : ça c’est Venise, ça c’est les Alpes, ça c’est les Pyrénées. Tout ça c’est de la blague. Pour peindre un pays, il faut le connaître. »
    http://www.franceculture.fr/l-irrealisme-de-courbet

    • Jean-Luc Marion : « Courbet est celui qui a voulu détruire le point de vue », en phase avec Jean-Christophe Bailly dans le chapitre Résurgences de la Loue, Le Dépaysement : « aucun cadrage cherchant à composer le paysage comme un ensemble, au contraire, une approche à la limite de la saturation ».

    • Un temps, je collectionnais les récits sur les peintres, je vais tenter de retranscrire un qui me plaisait particulièrement.
      Un matin, un peintre chinois proposa à ses élèves de prendre comme objet d’étude des oignons. Il se retire de l’atelier et revient 4 heures plus tard pour constater que tous se sont appliqués à reproduire par le dessin et dans les bonnes proportions les légumes posés sur la table. Il hoche la tête, prend dans ses mains les oignons, les épluche, les cuisine, et partage le repas avec ses disciples. Lorsqu’ils ont fini de manger les oignons il leur dit : « maintenant, vous pouvez les peindre ».

  • Des barbelés pour lutter contre l’immigration clandestine sur la frontière gréco-turque.http://www.rfi.fr/europe/20120207-barbeles-lutter-contre-immigration-clandestine-frontiere-greco-turque
    « Le fil de fer barbelé, appelé aussi ronce artificielle ou barbelé, est une forme de fil de fer fabriqué de sorte à être piquant avec des pointes ou des angles parfois coupants disposés à intervalle régulier. Une personne ou un animal essayant de franchir ou de passer à travers du fil de fer barbelé aura de forts risques de se blesser.
    Il est notamment utilisé dans les clôtures pour le bétail. »