• Joe Biden
      War Criminal in Chief
      #GENOCIDEJOE
      ******************
      «Israel is a case of Nazi-scale savagery enabled and supported by a superpower./Israel es un caso de salvajismo a escala nazi permitido y amparado por una superpotencia.»

      Asad Abukhalil

      **************
      #SIONISMOASESINO
      Saber duele. Ignorar mata.
      #TODOSSOMOSPALESTINA
      Las víctimas de Gaza no son sólo víctimas del ejército israelí, sino también del criminal silencio cómplice de la mayoría de los gobiernos occidentales.
      ·ISRAEL IS-REAL KILLER!
      ·ISRAEL IS US-RAEL!
      ·ISRAEL IS ISRA-HELL!

    • Un an après le 7 octobre, alors que la guerre s’étend à toute la région, qu’Israël est frappé par les missiles iraniens, nos équipes ont recueilli des témoignages et réalisé des reportages côté israélien et côté palestinien.
      Israël : commémorer le 7 octobre
      Les massacres du 7 octobre ont ébranlé le monde. En Israël, ils ont immédiatement été comparés à la Shoah. Certes, l’ampleur et la durée de la tragédie sont incomparables, mais depuis le génocide nazi, les juifs n’avaient pas vécu une telle catastrophe. Tout comme pour la Shoah, l’enjeu mémoriel est crucial. Comment documenter les faits et recueillir les témoignages pour neutraliser les négationnistes ? Que faire des lieux de massacre ? Quels enseignements tirer de ce funeste événement ? Partout dans le pays, de simples citoyens prennent à bras le corps de travail de mémoire. Tourné pendant les mois précédant la commémoration du premier anniversaire, ce reportage décrit l’élaboration du narratif du 7 octobre. Il montre comment les Israéliens retracent avec précision le déroulement des faits, archivent la parole des survivants, distinguent les héros, s’interrogent sur la signification de l’événement. Il ausculte aussi la conscience collective israélienne et questionne la relative indifférence de l’opinion face aux conséquences de la guerre à Gaza.

      Cisjordanie : la bataille des camps
      L’opération « Camps d’été » (Summer Camps), menée fin août, est la plus longue opération militaire israélienne en Cisjordanie depuis la bataille de Jénine lors de la deuxième Intifada. À Jénine, à Tubas, à Tulkarem : l’armée israélienne a encerclé les camps de réfugiés et mené des raids plusieurs jours durant. La Cisjordanie compte 19 camps : ce sont les plaques tournantes de la résistance armée palestinienne. Ce sont ainsi les derniers kilomètres carrés en Cisjordanie occupée qu’Israël ne contrôle pas. Camps et hôpitaux encerclés, appels à évacuation des habitants, eau et électricité coupées, actions commandos et même frappes aériennes : les techniques de l’opération « Camps d’été » ont été éprouvées par l’armée israélienne à Gaza depuis bientôt un an. Notre reporter Sophie Nivelle-Cardinale a assisté au raid militaire israélien sur le camp de Noor Shams à Tulkarem, un reportage-document aux côtés des secouristes et des civils palestiniens.

    • C’est extrait du message de Ahmed Fouad Alkhatib qu’il cite :
      https://x.com/afalkhatib/status/1829955798107373917

      One of the most disastrous and destructive Israeli policies during the Gaza war has been the plan to arm and work with powerful clans inside the coastal enclave to create an alternative to Hamas’s rule and administrative control. These clans have long been a source of instability, with significant elements within them being involved in crimes, weapons trading, shadowy economic activities, and overt thuggery and violence towards the Palestinian Authority and the general public. The first thing that Hamas did successfully and got immense support for, including from its ideological opponents, was breaking these clans’ thuggery, militarily confronting them, and bringing them under the rule of law. This ended peoples’ ability to walk around Gaza with AK-47s and M-16s on their shoulders/waists, stopped acts of “arbada / baltaja” or (عربدة وبلطجة), and made powerful families like Doghmosh, Hilles, Abu Amra, Sweirki, and others accountable to the police and security forces.

      Right now, the problem of organized crime, looting, and thuggery is out of control throughout Gaza. Right by the Kerem Shalom crossing, where humanitarian aid trucks come in, hundreds of criminals and looters, including those with guns, are regularly camped out, awaiting new convoys to steal, attack, and loot. What’s puzzling is that Israeli drones, surveillance, and intelligence assets all know about these criminals and see them very clearly, including those with AKs, but choose to leave them alone. This has spread concern among many in Gaza, including within the humanitarian community, that Israel’s policy of arming and supporting clans in Gaza has backfired horribly – or worse, that Israel is allowing crime to grow as part of its war strategy. Additionally, when many of these clans fled northern Gaza, they brought most of their arsenals of weaponry with them, again, under the direct watchful eyes of Israeli ISR (Intelligence/Surveillance/Reconnaissance) and have been able to use these guns in their destructive and harmful activities.

      One of the first tasks in a post-war period for any new authority, including an interim international or Arab-led peacekeeping/policing force, would be to confront those criminal gangs and looters head-on, eliminating their ability to destabilize Gaza and removing guns and weaponry from their hands. Whether they are small cells or part of more prominent clans, organized criminals risk preventing the emergence of a safe and prosperous Gaza far more than remnants of Hamas or the Islamic Jihad. Islamist groups are well-known for enforcing law and order and a monopoly on violence in any region that they take over, and that was part of Hamas’s promises during the 2006 elections. Allowing crime and the breakdown of law and order to fester risks the emergence of a Hamas 2.0 or another Islamist-Jihadi type group that would capitalize on Gazans’ desperation for safety and security.

      Israel must quickly reverse course and stop its disastrous policies, which, like the decision to allow Hamas’s rule to grow and prosper with suitcases full of cash, will backfire horribly.

      Après c’est écrit dans le verbiage habituel du Atlantic Council, où un « proud american anti-Hamas » espère donner des conseils sur la politique qu’Israël devrait mener, et croire que s’il y a un backslash désespéré des palestiniens de Gaza, ce ne sera pas à cause du génocide qui dure depuis un an dans l’indifférence générale, mais parce qu’il y a trop de criminalité.

      Dans sa dernière phrase, le gars ne suggère pas qu’Israël devrait arrêter de génocider les Palestiniens, il suggère qu’il faudrait arrêter de donner le pouvoir aux clans. C’est ambitieux.

    • Il me semble que ça fait partie des méthodes de déstabilisation assez classiques des sociétés levantines, qu’on a utilisées au Liban, en Irak, en Syrie… Inonder les clans d’armes en prétendant que c’est pour résister à un pouvoir autoritaire qui ne respecte pas la structure sociale très « orientale » de sa propre société (on va trouver des études sociologiques d’excellente qualité avec plein de mots arabes pour décrire ces société si… différentes), puis constater que c’est un merdier sans nom et qu’on n’a plus de pays, plus de société, mais un grand chaos milicien et mafieux ultra-réactionnaire, alors hop on va réimposer un pouvoir autoritaire, en espérant que cette fois il sera à notre botte.

  • Dominique Vidal - C’ÉTAIT IL Y A 40 ANs | Facebook
    https://www.facebook.com/dominique.vidal.9/posts/c%C3%A9tait-il-y-a-40-ans/7739130916198552

    On m’a envoyé ça...

    Il y a 40 ans déjà, Gilles Deleuze dénonçait, dans son recueil de textes intitulé « Deux régimes de fous », la politique génocidaire des Israéliens à l’égard des Palestiniens :
    "D’un bout à l’autre, il s’agira de faire comme si le peuple palestinien, non seulement ne devait plus être, mais n’avait jamais été. Les conquérants étaient de ceux qui avaient subi eux-mêmes le plus grand génocide de l’histoire. De ce génocide, les sionistes avaient fait un mal absolu. Mais transformer le plus grand génocide de l’histoire en mal absolu, c’est une vision religieuse et mystique, ce n’est pas une vision historique. Elle n’arrête pas le mal ; au contraire, elle le propage, elle le fait retomber sur d’autres innocents, elle exige une réparation qui fait subir à ces autres une partie de ce que les juifs ont subi (l’expulsion, la mise en ghetto, la disparition comme peuple). Avec des moyens plus « froids » que le génocide, on veut aboutir au même résultat.
    Les USA et l’Europe devaient réparation aux juifs. Et cette réparation, ils la firent payer par un peuple dont le moins qu’on puisse dire est qu’il n’y était pour rien, singulièrement innocent de tout holocauste et n’en ayant même pas entendu parler. C’est là que le grotesque commence, aussi bien que la violence. Le sionisme, puis l’Etat d’Israël exigeront que les Palestiniens les reconnaissent en droit. Mais lui, l’Etat d’Israël, il ne cessera de nier le fait même d’un peuple palestinien. On ne parlera jamais de Palestiniens, mais d’Arabes de Palestine, comme s’ils s’étaient trouvés là par hasard ou par erreur. Et plus tard, on fera comme si les Palestiniens expulsés venaient du dehors, on ne parlera pas de la première guerre de résistance qu’ils ont menée tout seuls. On en fera les descendants d’Hitler, puisqu’ils ne reconnaissaient pas le droit d’Israël. Mais Israël se réserve le droit de nier leur existence de fait. C’est là que commence une fiction qui devait s’étendre de plus en plus, et peser sur tous ceux qui défendaient la cause palestinienne. Cette fiction, ce pari d’Israël, c’était de faire passer pour antisémites tous ceux qui contesteraient les conditions de fait et les actions de l’Etat sioniste. Cette opération trouve sa source dans la froide politique d’Israël à l’égard des Palestiniens.
    Israël n’a jamais caché son but, dès le début : faire le vide dans le territoire palestinien. Et bien mieux, faire comme si le territoire palestinien était vide, destiné depuis toujours aux sionistes. Il s’agissait bien de colonisation, mais pas au sens européen du XIX° siècle : on n’exploiterait pas les habitants du pays, on les ferait partir. Ceux qui resteraient, on n’en ferait pas une main-d’oeuvre dépendant du territoire, mais plutôt une main-d’oeuvre volante et détachée, comme si c’étaient des immigrés mis en ghetto. Dès le début, c’est l’achat des terres sous la condition qu’elles soient vides d’occupants, ou vidables. C’est un génocide, mais où l’extermination physique reste subordonnée à l’évacuation géographique : n’étant que des Arabes en général, les Palestiniens survivants doivent aller se fondre avec les autres Arabes. L’extermination physique, qu’elle soit ou non confiée à des mercenaires, est parfaitement présente. Mais ce n’est pas un génocide, dit-on, puisqu’elle n’est pas le « but final » : en effet, c’est un moyen parmi d’autres.
    La complicité des Etats-Unis avec Israël ne vient pas seulement de la puissance d’un lobby sioniste. Elias Sanbar a bien montré comment les Etats-Unis retrouvaient dans Israël un aspect de leur histoire : l’extermination des Indiens, qui, là aussi, ne fut qu’en partie directement physique. il s’agissait de faire le vide, et comme s’il n’y avait jamais eu d’Indiens, sauf dans des ghettos qui en feraient autant d’immigrés du dedans. A beaucoup d’égards, les Palestiniens sont les nouveaux Indiens, les Indiens d’Israël. L’analyse marxiste indique les deux mouvements complémentaires du capitalisme : s’imposer constamment des limites, à l’intérieur desquelles il aménage et exploite son propre système ; repousser toujours plus loin ces limites, les dépasser pour recommencer en plus grand ou en plus intense sa propre fondation. Repousser les limites, c’était l’acte du capitalisme américain, du rêve américain, repris par Israël et le rêve du Grand Israël sur territoire arabe, sur le dos des Arabes."

  • He Called The Dog Habibi - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=Nep56kNkouI

    He called the dog “habibi”
     - my darling - 
    as it mauled him to death
    while his family listened nearby.

    They had never heard him speak before.
    He had the mind of an infant.

    “Enough, my darling,” Muhammed said to the dog,
    because it was killing him,
    and because he was in pain,
    and because his family had spoken to him
    so lovingly all his life.

    Those were the words he knew.
    That’s how he was spoken to.
    That’s what you say to someone
    when you need them to stop.
    When you need them to listen.
    When their behavior is challenging,
    but you have deep love in your heart.

    Enough, my darling.
    Enough, my darling.
    As Gaza burns: enough, my darling.
    Enough.

    As attack dogs on two legs
    send attack dogs on four legs
    to bite and maul and kill:
    Enough, my darling.
    Enough.

    A murder of crows
    follows a murder of IDF soldiers,
    cawing, “Enough, my darling.
    Enough.”

    The bombed out hospitals.
    The children without limbs.
    The sniper drones playing recorded babies’ cries
    to try and lure out civilians.
    The attack dog maulings.
    The hunger.
    The fear.
    Enough, my darling.
    Enough.

    As we kill our planet
    and kill each other
    because we cannot act kindly,
    cannot let love guide us,
    cannot call off the dogs,
    cannot rescue their victims,
    cannot stop the attack,
    cannot awaken from our confusion,
    the stars call down to us from above:
    Enough, habibi.
    Enough, my darling.

    Enough.

    Enough.

    Enough.

    Reading by Tim Foley.

  • Sus au #paywall !

    Le saviez-tu ? Un simple abonnement à la BNF permet d’accéder à quasi toute la presse (mainstream) régionale, nationale et internationale

    Ce Pass BnF lecture/culture est gratuit pour les précaires, notamment demandeur·euses d’emploi, bénéficiaires RSA ou autres aides sociales (ASF, CMU, ASS, ASPA, etc), demandeur·euses d’asile et réfugié·es, personnes handicapées ou invalides et accompagnant·es, etc. Pour les autres 15 ou 24$ par an.

    https://www.bnf.fr/fr/pass-bnf-lecture-culture

    Outre l’accès illimité aux bibliothèque/musée/expos de la BNF, permet de consulter à distance une somme astronomique de contenus, dans plus de 200 bases de données de ressources diverses.

    Parmi celles-ci deux gros agrégateurs de presse :
    Europresse = 8000 titres de journaux et magazines nationaux et internationaux
    PressReader = 7000 titres dans plus de 60 langues

    + accès à d’autres titres et sites dont Mediapart, Arrêt sur images, Alternatives Economiques, le NYT, etc

    https://www.bnf.fr/fr/ressources-electroniques-de-presse

    #bnf #service_public

  • Chinese Number Slang : The Essential Guide to Mandarin Numerical Speak
    https://www.fluentu.com/blog/chinese/chinese-number-slang

    L’éthymologie du 250 est une histoire charmante qui témoigne de l’humour populare chinois. L’argot berlinois connaît sa fausse pièce de monnaie de cinquante centimes « falscher Fuffziger » qui est une expression pour désigner un menteur, un traitre, un personnage douteux ou louche. Le code numérique pour « idiot » est typiquement chinois et bien plus abstrait qu’une métaphore. D’abord on remarque que sa prononciation omet le dix (shi), alors sa signification exacte serait « 205 », mais tout le monde entend et comprend « 250 ».

    Le numéro le plus dangereux et agressif est le 4 四 . Sa prononciation « sì » ent fait un homonyme de 死 sǐ qui signifie mourir ou la mort. . Alors si vous trouvez dans votre boîte de réception SMS le message 444 vous savez que vous devez courir vite pour échapper à ce qu’on vous a destiné.

    Le chinois est concis et a tendence omettre tout élément linguistique inutile. Les homophonies omniprésentes permettent de « numériser » phonétiquement n’importe quel mot ou expression à la manière des LOL, RTFM, AFK etc.
    C’est aussi drôle et difficile à mémoriser pour les débutants que les 成语 chéngyǔ , les expressions idiomatiques qui sont la clé d’une véritable maîtrise de la langue chinoise.

    Aujourd’hui les listes de codes sont des documents historiques. Dans les années 1980 la vie à Hongkong, Taiwan et Singapour s’organisait autour des pagers prédécesseurs des SMS aux capacités encore plus limitées. Tout le monde portait avec soi son petit bipbip. La limitation radicale du nombre de signes transmis et la difficulté de les entrer sur un minuscule clavier qui n’avait parfois que deux ou trois touches encourageait l’utilisation de code numériques á la place de mots.

    5.10.2023 ny Nathan Thomas Facebook may be blocked in China, but that doesn’t stop young people from wasting away their lives online just like we do in the West!

    Inside this online universe, an interesting phenomenon occurs: Chinese internet slang, and specifically number slang.

    It allows people to form sentences, exchange insults and even declare their undying love, simply by typing out a few carefully chosen digits.

    Read on for a look at the concept of number slang in more detail and some popular examples.
    Contents

    250 / 二百五 (èr bǎi wǔ) — Idiot
    886 / 爸爸六 (bā bā liù) — Goodbye
    520 / 五二零 (wǔ èr líng) — I love you
    1314 / 一三一四 (yī sān yī sì) — Forever
    2013 / 二零一三 (èr líng yī sān) — I’ll love you forever
    555 / 五五五 (wǔ wǔ wǔ) — Crying noise
    514 / 五一四 (wǔ yī sì) — I want to die
    7465 / 七四五六 (qī sì wǔ liù) — You’re making me angry
    How Chinese Number Slang Works
    Resources for Exploring More of Chinese Number Slang
    And One More Thing...

    250 / 二百五 (èr bǎi wǔ) — Idiot

    We begin with a special case. While you’ve probably noticed that China is pretty big on homophones, similar sounds aren’t the only tools used to create Chinese number slang.

    Occasionally, half-forgotten myths from Chinese history have lent significance to certain numbers, and that’s the case with the pretty common insult “250.”

    Basically, in ancient China, coins were strung together in stacks of 1000. It was considered modest and politely self-deprecating for scholars to refer to themselves as “half a stack”—in other words, “500.” Half of 500, of course, is 250, so 二百五 came to refer to someone who’s so dumb they aren’t even half a stack!

    Most people who use this term probably aren’t aware of the origin story, so don’t worry if it’s a bit confusing or difficult to remember.
    886 / 爸爸六 (bā bā liù) — Goodbye

    An example of Hong Kong Cantonese internet slang, this one actually seems to make make more sense in Mandarin. While most Chinese number slang terms sound like other Chinese words, this one is used because it sounds like English words… sorta.

    “Bā bā liù” sounds close enough to “bye-bye le.” The le refers to the Chinese grammar particle 了, which is used at the end of verbs to indicate past tense or a change in status. A (very) rough approximation of the English meaning would be “Bye-bye then!”
    520 / 五二零 (wǔ èr líng) — I love you

    Now we get into more examples using Chinese words that sound similar to numbers. Let’s break this one down:

    五 (wǔ) — 5 = 我 (wǒ) — I

    二 (èr) — 2 = 爱 (ài) — love

    零 (líng) — 0 = 你 (nǐ) — you

    Put it all together, and you get 我爱你 (wǒ ài nǐ) — “I love you!”
    1314 / 一三一四 (yī sān yī sì) — Forever

    When read in Chinese, 1314 sounds similar to 一生一世 (yī shēng yī shì) — “one life, one world,” meaning “for the rest of my life” or “forever.”

    And, if you put the last two examples together, we get what has to be the quickest way to declare undying love in any language: 520 1314, or 我爱你一生一世 (wǒ ài nǐ yī shēng yī shì) — I love you forever!
    2013 / 二零一三 (èr líng yī sān) — I’ll love you forever

    OK, so I guess I was wrong. If typing the numbers “520 1314” takes too much time, there is in fact an even quicker way to tell someone that you’ll love them forever: 2013.

    When read in Chinese, these numbers sound reasonably close to 爱你一生 (ài nǐ yī shēng) — “love you one life!”
    555 / 五五五 (wǔ wǔ wǔ) — Crying noise

    If your numeric declaration of undying love was met with deafening silence and you were feeling a bit upset about it, you could express your emotions by writing 555.

    Read in Chinese as “wǔwǔwǔ,” this is an onomatopoeia for crying. Not exactly high literature, but hey, it makes sense!
    514 / 五一四 (wǔ yī sì) — I want to die

    You may have noticed by now that Chinese number slang tends towards hyperbole.

    In a world where lifelong dedication to someone can be expressed with a small string of numbers, even the mildest disappointment can call for something that would otherwise be considered extreme.

    When the number “1” is read as “yao” (more on this below), then 514 sounds like 我要死 (wǒ yào sǐ) — “I want to die.”
    7465 / 七四五六 (qī sì wǔ liù) — You’re making me angry

    So you’re going through the stages of grief and have passed from tears to fury. Got to be a quick number slang way of expressing this, right?

    7456 sounds close enough to 气死我了 (qì sǐ wǒ le) — “you’re angering me to death!”
    How Chinese Number Slang Works

    Here are the digits 0-9, and some of their possible word equivalents:

    零 (líng) — zero. This can be used to mean 你 (nǐ) — you. Now, to me, they really don’t sound that similar, but in some Chinese dialects the n and l sounds are pretty interchangeable.
    一 (yī) — one. Another one that’s a bit tricky. The number one is generally pronounced yī in Chinese, but in some contexts, such as in addresses or phone numbers, it’s pronounced yao to make it more distinct from other similar-sounding numbers. Yao sounds the same as 要 (yào) — to want.
    二 (èr) — two. This one’s a bit easier! It sounds similar to 饿 (è) — hungry, and similar enough to 爱 (ài) — love.
    三 (sān) — three. “Three” is used in particularly sappy examples of internet slang, often as a stand-in for 生 (shēng) — life.
    四 (sì) — four. The most unlucky number in Chinese, 四 sounds like 死 (sǐ) — death.
    五 (wǔ) — five. This one sounds similar to 我 (wǒ) — I. It’s also an onomatopoeia for crying.
    六 (liù) — six. “Six” is used in an example that borrows from Cantonese, and also as the grammar particle 了(le).
    七 (qī) — seven. This sounds the same as 气 (qì) — air, and is used in words such as 生气 (shēng qì) — to be angry.
    八 (bā) — eight. It sounds like 爸爸 (bà ba) — dad, or a transliteration of the English “bye-bye.”
    九 (jiǔ) — nine. This is the only digit without a use in the examples above. Congratulations, number nine!

    Resources for Exploring More of Chinese Number Slang

    For more ammunition for your ever-growing arsenal of Chinese slang, check out this great video from YouTube channel Off The Great Wall:

    Here are a few other resources to check out:

    Wikipedia. This Chinese Internet Slang Wikipedia page dives into even more number slang—if you’re ready for it! Also worth checking out are the Latin and Chinese character abbreviations, if you don’t want to just stop at numbers.

    You may be realizing that Chinese internet slang is a wild and crazy world! There are practically unlimited possibilities out there for combining numbers to make words and sentences like the examples above.

    Some are more commonly used than others, of course, and because pop culture is ever changing, I’d strongly recommend you check with a Chinese friend or teacher before you actually use any of these examples.

    Now, 886 from me!

    Chat Codes
    https://www.yellowbridge.com/chinese/pagercodes.php

    Chat Codes, YellowBridge Chinese Language & Culture
    https://www.yellowbridge.com/chinese/pagercodes.php

    Liste très longue de codes.

    The proliferation of pager, chat rooms, instant messaging, and phone text messaging has created a whole new set of acronyms and codes designed to minimize the amount of typing. First it was fairly simple acronyms like IMHO (“in my humble opinion“) or AFAIK (“as far as I know’). Telephone and pagers, lacking a full keyboard required more inventive approaches such as using 07734 for “hello“ (read upside down) or “10“ for “you are perfect“ (as in a perfect 10). Modern communications technologies, especially the cell phones, are if anything, more popular in Asia than in the West. So what do the Chinese use for codes? The Chinese language, not being alphabetic, does not lend itself to the use of acronyms. However, a few acronyms based on pinyin spellings do exist. Examples include GG for older brother (哥哥, gege) or MM for younger sister (妹妹, meimei).

    Fortunately, long before the invention of the telephone, the Chinese already had a tradition of associating certain words with numbers or things based on the similarities of sound. For example, the number eight (八) is considered a lucky number because it is pronounced “ba“, which sounds like the Chinese word for prosperity (發, fa). Similarly, the number four (四) is associated with bad luck because it is pronounced “si“, which sounds like the Chinese word for death (死,si). Given this tradition, it should be no surprise that there is in fact a large number of numeric codes in existence. Most of the words are represented with numbers having a similar sound or a least a similar leading consonant. One notable exception is the number used to represent the word “you“, the number 0. Although the Chinese word for zero does not sound much like like the word for “you“, the choice may have resulted from the fact that there is no close-sounding candidate while the same number is used in English codes to represent the same meaning.

    Code 繁體 ↔ 简体 English
    026 你来啦 You are here
    028 你来吧 Come here
    0358 你想我吧 You miss me
    04551 你是我唯一 You are the one and only for me
    04592 你是我最爱 You are my beloved
    0564335 你无聊时想想我 You think of me when you are bored
    0594184 你我就是一辈子 You and me for a lifetime
    0654335 你若无事想想我 If you have nothing to do, think of me
    08056 你不理我啦 You ignore me now?
    08358 你不想我吧 Don’t think of me
    08376 你别生气了 Don’t be angry
    086 你发了 You made a fortune
    0896 你不走了 You are not leaving
    095 你找我 You’re looking for me
    096 你走了 You are leaving
    1299 一来就走 Leave as soon as you arrive
    12937 一来就想吃 Thinking of eating as soon as you got here
    12945 要爱就是我 I’m the one who wants love
    130926 一想你就来啦 Just one thought of you and you arrived
    1314921 一生一世就爱你 Love you for a lifetime
    1372 一厢情愿 One-sided willingness
    1392010 一生就爱你一人 You are the person I’ll love for a lifetime
    1573 一往情深 Long-lasting, focused love (Chinese idiom)
    1698 一路走吧 Let’s go together
    1799 一起走走 Let’s stroll around
    20863 爱你到来生 Love you till the next life
    234 爱相随 Follow you with love
    246 饿死了 Starving to death
    246437 爱是如此神奇 Love is so magical
    25184 爱我一辈子 Love me for a lifetime
    258 爱我吧 Love me
    25873 爱我到今生 Love me till death
    259695 爱我就了解我 To love me is to know me
    3207778 想和你去吹吹风 Want to go out with you
    3344 生生世世 For generations
    338 想想吧 Let’s think about it a bit
    3399 长长久久 For a long time
    35925 想我就爱我 To think of me is to love me
    360 想念你 Miss you
    3726 想起来啦 Thinking of getting up
    38726 想不起来啦 I can’t think of it
    409 罚你走 Punish you by your leaving
    456 是我啦 It’s me
    476 死机了 Dead phone
    510 我已来 I’m already here
    51020 我依然爱你 I still love you
    511314 20 我要一生一世 爱你 Love you for a lifetime
    51396 我要睡觉了 I want to go to sleep now
    51476 我也死机了 My phone is dead too
    516 我要溜 I have to go
    517 我要吃 I want to eat
    5179 我要吃酒 I want to drink wine
    5196 我要走喽 I must leave now
    520 我爱你 I love you
    5201314 我爱你一生一世 I want you for a lifetime
    52033 44587 我爱你生生 世世不变心 I love for a lifetime with an unchanging heart
    521 我愿意 I’m willing
    5240 我爱是你 You are my love
    526 我饿啰 I’m hungry
    530 我想你 I’m thinking of you
    5366 我想聊聊 I want to chat for awhile
    53719 我深情依旧 I still have deep love for you
    5376 我生气了 I’m upset
    53770 我想亲亲你 I’m thinking of kissing you
    53880 我想抱抱你 I’m thinking of hugging you
    546 我输了 I lost
    548 无事吧 Are you OK?
    555 呜呜呜 Wu wu wu (sobbing sound)
    558 午午安 Good afternoon
    564335 无聊时想想我 Think of me when you are bored
    5689 我溜不走 I can’t sneak out
    57520 吾妻我爱你 My wife, I love you
    5776 我出去了 I’m going out now
    58 晚安 Good night
    5810 我不依你 I won’t listen to you
    584520 我发誓我爱你 I swear I love you
    586 我不来 I’m not coming
    587 我抱歉 I am sorry
    5871 我不介意 I don’t mind
    52667 我俩遛遛去 Let’s leave slowly
    594230 我就是爱想你 I’m thinking of you
    596 我走了 I’m leaving
    667 遛遛去 Let’s stroll around
    6785753 老地方不见不散 Meet at the same old place and don’t leave until we meet
    6868 溜吧!溜吧! Sneak out! Sneak out!
    70345 请你相信我 Please believe me
    71817 请你干要气 Please don’t get upset
    721 亲爱的 Dear
    7456 气死我啦 Angers me to death
    745839 其实我不想走 Actually, I don’t want to leave
    748 去死吧 Go to hell
    74839 其实不想走 Actually, not thinking of leaving
    765 去跳舞 Go dancing
    768 吃了吧 Let’s eat
    770 亲亲你 Kiss you
    770880 亲亲你抱抱你 Kiss you, hug you
    775 亲亲我 Kiss me
    775885 亲亲我抱抱我 Kiss me, hug me
    786 吃饱了 Done eating already
    7998 去走走吧 Go for a walk
    8006 不理你了 Not paying attention to you anymore
    801314 伴你一生一世 Your companion forever
    8074 把你气死 Upset you to death
    809 保龄球 Bowling
    810 不要脸 Shameless
    812 不要来 Don’t want to come
    8170 不要瞎动 Don’t move recklessly
    8172 不要瞎来 Don’t act recklessly
    82475 被爱是幸福 Being loved is happiness
    825 别爱我 Don’t love me
    837 别生气 Don’t be angry
    865 别惹我 Don’t annoy me
    885 抱抱我 Hug me
    886 拜拜了 Bye Bye
    898 分手吧 Let’s split
    910 就要你 Just want you
    918 加油吧 Cheer up
    940 就是你 It’s you
    9482 就是不来 Just don’t come
    98 早安 Good morning
    987 对不起 Excuse me
    99013 148875 求求你一生 一世别抛弃我 Beg you for a lifetime not to leave me
    9958 救救我吧 Save me

    Chengyu
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Chengyu

    #Chine #langue #SMS #cryptographie #acronymes #homophonie

  • Apparemment à Lille...

    les clubs de tricot et de crochet ont vu un renouveau impressionnant pendant la crise Covid. Surtout lors des occupations de facs et des manifs des retraites.
    Ça en est surprenant pour nous, les vieux chiffonniers... alors que nous étions au tison, la jeunesse bâtait le pavé, j’en ai presque la larme à l’œil presque.

    Les techniques de points et de changement de fils semblent même évoluer.
    Créations à huis clos, point de veilles ressources, ça produit des nouveaux motifs, peut être moins théoriques, mais carrément plus viscéraux.

    Le bonheur c’est de voir que malgré des parcours intellectuels indépendants, on veut jeter les même guenilles. Nous avec la retenue qui incombe à notre age, ell.eux, sans filtre. Et qu´il suffit de quelques retrouvailles pour reformer un réseau inter-couturier.e.s.
    Ça brode sur fond noir, et ça pourrait bien surprendre.

    Le pire, c’est que l’écosystème, lui, s’est gentrifié de fou en 4 ans, masquant d’autant plus cette activité.

    Je ne sais pas si les inspecteurs de la couture se rendent compte de l’amplitude que ça prend. Mais c’est du jamais vu ; on n’est plus dans le plan-plan des années 2010. Je ne sais pas pour les autres villes, mais ici, c’est prêt. Ding !

    https://www.youtube.com/watch?v=Z7eV2M1JPx4

  • Face au silence des intellectuels et des pseudos-artistes, et aussi à la propagande unilatérale présente en continu dans la plupart des médias en France, Marc-Édouard Nabe a décidé de brosser une centaine de tableaux sur la situation tragique à Gaza. Il expose ses 90 œuvres, exécutées en 2 mois, dans une galerie parisienne du 7e arrondissement « Planète Rouge », 25 rue Duvivier, du 5 mars au 4 avril 2024, ouverte tous les jours de 10h00 à 20h00.
    10 % des ventes seront versés à des associations pro-palestiniennes.
    Une peinture qui hurle aux oreilles de ceux qui se taisent. Qu’on se le dise !

    https://www.marcedouardnabe.com

  • Traffic Wouldn’t Jam If Drivers Behaved Like Ants - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/-traffic-wouldnt-jam-if-drivers-behaved-like-ants

    Ant colony optimization has itself migrated with impressive speed and range, and has been taken up residence in all kinds of research pursuits, from estimating electricity consumption in Turkey to designing supply chains to the design of tall bridge piers to robot learning.Photograph by Bernardinus Nugraha / FlickrAs someone so flummoxed by traffic I wrote a book about it, I have a near-clinical aversion to vehicular congestion. My global default strategy is to simply drive as little as possible, but there are times when I simply must put foot to gas pedal. Like many, I have become increasingly dependent on the Waze app, which, via each drivers’ smartphone, turns an inchoate, undifferentiated mass of drivers into something resembling a collective form of networked intelligence. Waze, (...)