L’article est très optimiste ...
De plus, ces entrepreneurs ne se concentrent plus dans le secteur des bas salaires, tels que les épiceries ouverte 24 heures sur 24. Pour preuve, en 2005, 38% des entrepreneurs ayant des origines étrangères travaillaient de le commerce de détail ou l’hôtellerie-gastronomie. Cette proportion est tombée à 28% en 2014, signe que les chefs d’entreprise se tournent vers les services à plus forte valeur ajoutée et vers le secteur industriel.
... mais la réalité dans les métropoles se présente autrement.
Dès les premiers pas dans le nouveau pays les immigrés pauvres risquent de se faires « aider » par par des compatriotes ayant réussi matériellement qui ne cherchent qu’à les exploiter. Ce sont souvent des gens avec des relations mafieuses dans les pays d’origine.
On acceuille les nouveaux arrivants peu qualifiés d’après les normes allemandes et les insère dans des circuits qui les enferment dans un cercle vicieux de pauvreté et frustration. Pour leur faire croire que tout va bien on les déclare comme Minijobber avec un salaire en dessous de € 440,00 par mois sans assurance de retraite et on leur apprend à remplir les formulaires Hartz IV.
Les immigrés ayant réussi à accéder aux positions de cadres et dans les professions libérales constituent une minorité de la deuxième et troisiéme génération ayant pris racine en Allemagne.
Bref, les immigrés sont exposés aux mêmes problèmes que les allemands « de souche » (on entend de plus en plus le terme rigolo mais douteux « Biodeutsche ») avec quelques handicaps en plus.
Conclusion : la solidarité et l’hospitalité des gens « ordinaires » est la réponse la plus importante pour la société allemande face aux questions liés à l’acceuil d’un nombre important d’immigrés.
#Allemagne #immigration #exploitation