Voici pourquoi je (re)mange de la viande

Très juste !

Déjà épinglé par toi-même il y a un an, mais avec les WWW (et commentaire de @nicolasm) :
▻https://seenthis.net/messages/422286

Très importants, mes commentaires :)

Oui mais hélas, " le refus catégorique d’un élevage industriel, fondé sur la technologie tous azimuts, avec insémination artificielle, puçage et « nutrition de
précision ». " passe par leur étranglement financier, donc ne plus acheter de viande du tout, hélas.

>> " Et elle passe par la dégustation (à fréquence modérée) d’un bon gigot d’agneau acheté en vente directe au berger du canton "
" Le berger du canton " ah ah (rire jaune) Il faudra m’y emmener :) Il a crevé depuis longtemps.

@silentkey je te présente quand tu veux notre bergère sans terres qui fait paître son troupeau un peu partout. Très bonnes merguez de mouton.

▻http://pca.nursit.com/therese-kohler

▻https://maisondespaysansdordogne.wordpress.com/2012/01/25/un-jour-sans-ferme-therese-bergere-sans-terre

Dans mon précédent village on avait aussi un cantonnier, qui élevait des races menacées de moutons. Du coup on n’avait pas droit d’en manger.

Merci, @RastaPopoulos, ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas fait le coup de l’argumentation par le contre-exemple.

Il a crevé depuis longtemps.

Réponse : non.

Il n’y aurait pas pour tout le monde : dans la mesure de deux gros repas carnés par jour et alors que le gros des ressources de production sont industrielles (eau, sols, pollution).
Si on était honnêtement carnivore : petites doses régulières pour les enfants en croissance, consommation modéré pour les adultes (plus petites quantités, moins souvent), ça devrait aller pour tout le monde.

@Aude V, désolé je ne poursuis pas les conversations soutenues par une rhétorique « fermée » du genre «  je ne sais pas si tu as dit ça en toute ignorance ou de
mauvaise foi ». Bonne journée.

Merci pour le partage de cet article que je n’avais pas vu. Je trouve la question de l’animal objet intéressante au même titre que l’homme et la femme objet. Il y a clairement dans l’élevage, même traditionnel, une objectivation de l’animal puisqu’il est destiné à la consommation à terme. Pour autant, il n’est pas seulement un objet puisque les éleveurs, je parle des petits éleveurs, entretiennent une relation d’attention, d’affection, avec les animaux qui durent pendant tout leur développement. N’en reste pas moins que cette notion d’objet existe et qu’elle semble faire partie d’une dimension de l’humain. Aurions-nous tendance à transformer partiellement en objet tout ce qui nous entoure y compris nos proches ?