Women’s power : les nouveaux #féminismes
« Et qui va faire la vaisselle, on fait des manifestations »
Travailler pour être libre était l’une des revendications majeure du mouvement féministe, en 1970. Avoir un emploi devait permettre aux femmes d’être matériellement indépendantes et de renforcer leurs moyens de #lutte contre la #domination des hommes, en particulier au sein du mariage. Aujourd’hui, les #femmes ont investi massivement le marché de l’emploi et occupent des postes autrefois réservés aux hommes.
Pourtant, elles sont toujours moins payées, atteignent plus difficilement les postes à responsabilité et sont les premières à subir les temps partiels et le chômage. Elles continuent aussi à assumer, en plus, la très grande partie du #travail_domestique et éducatif. Vivant ainsi une double journée.
Dans tous les milieux socio-professionnels les femmes tentent de concilier travail et vie de famille, et luttent encore contre des discriminations quotidiennes, des comportements sexistes et un manque de représentativité. Tandis que les chercheuses féministes analysent depuis plus de quarante ans les rapports de sexes au sein du travail, et l’articulation entre travail salarié et travail domestique.