• Chômage : les foncedés privés d’allocation ? | Bakchich
    http://www.bakchich.info/international/2012/02/27/chomage-les-foncedes-prives-dallocation-61182

    Les chômeurs ont la belle vie. Sarko veut soumettre leur sort à un référendum, le Congrès US a décidé de les contraindre à un dépistage de drogues. Yes we can !

    Malmené par les sondages, notre Président a une fois de plus, réussi à botter en touche et à renvoyer à plus tard l’examen forcément embarrassant de son bilan.

    Comment ? En inscrivant à son programme un référendum consacré à ces feignants de chômeurs, afin de les contraindre à prendre le deuxième emploi qui se présente ou à être radié ; redonner la parole au peuple tout en faisant baisser le chômage, et fondre le nombre des allocataires : respect.

    C’est vrai qu’au début, ça surprendra un peu. A l’image de Danièle Casamont, éducatrice spécialisée de 53 ans qui a toujours une pêche d’enfer malgré des mois de chômage et à reçu de Pole Emploi une offre de strip-teaseuse à Poussan en CDD de 3 mois à 12,99 euros de l’heure + prime, mais bon…quand on a faim, on travaille. Et le préz’ ne compte pas en rester là, puisqu’il a annoncé que les bénéficiaires du RSA devraient eux aussi bosser 7 jours par mois minimum à des travaux d’intérêt général.

    http://www.bakchich.info/sites/bakchich.info/files/u151/freaks.jpg

  • Crise grecque, remède islandais | Bakchich
    http://www.bakchich.info/international/2012/02/22/crise-grecque-remede-islandais-61172

    Pendant que la Grèce agonise sous la poigne de la communauté financière internationale qui se fout ouvertement de sa gueule (il est de plus en plus évident que, mis sous séquestre, les milliards d’euros de la nième tranche du prétendu plan de sauvetage sont en réalité moins destinés au pays dont on se soucie comme d’une guigne qu’à ses créanciers privés et publics) les indignés islandais, méchamment saignés en 2008 par leurs banquiers véreux et leur perte de 85 milliards de dollars, refont surface.

    Il faut dire que la recette employée par les descendants de vikings, d’ailleurs qualifiée la semaine dernière de « non orthodoxe » par l’agence de notation Fitch Ratings qui vient d’augmenter la note du pays avec perspectives stables, est assez éloignée de celle pratiquée dans l’Union Européenne.

    Absoudre par principe, les banquiers de toute responsabilité en leur tenant la tête hors de l’eau quoi qu’il en coûte n’est pas franchement dans la mentalité des islandais qui, sous des dehors débonnaires, restent assez vindicatifs.

  • Hongrie : sur la route des roms, milice et extrême droite (Bakchich)
    http://www.bakchich.info/international/2012/02/14/hongrie-sur-la-route-des-roms-milice-et-extreme-droite-61147

    Dans le village de Gyongyospata, dirigé par un maire du parti d’extrême droite Jobbik, la minorité rom vit dans la peur. Au printemps 2011, les milices d’extrême droite rôdaient dans le village. Elles apparaissent toujours, mais plus discrètement.Reportage. (...) Source : Bakchich

  • Hongrie : sur la route des roms, milice et extrême droite (Bakchich)
    http://www.bakchich.info/international/2012/02/14/hongrie-sur-la-route-des-roms-milice-et-extreme-droite-61147

    Dans le village de Gyongyospata, dirigé par un maire du parti d’extrême droite Jobbik, la minorité rom vit dans la peur. Au printemps 2011, les milices d’extrême droite rôdaient dans le village. Elles apparaissent toujours, mais plus discrètement.Reportage. (...) Source : Bakchich

  • Hongrie : sur la route des Rroms, milice et extrême droite http://www.bakchich.info/international/2012/02/14/hongrie-sur-la-route-des-roms-milice-et-extreme-droite-61147

    Depuis mars 2011, le Jobbik et des milices d’extrême droite (dont Vedero, une milice proche du Jobbik, défilant en uniformes militaires), font pression sur la minorité rom, « pour que les familles s’en aillent ». En avril 2011, 277 roms, fuyant les milices, ont quitté le village. « Depuis, huit familles sont parties à Toronto », raconte Farkas. Après un arrêté gouvernemental interdisant les patrouilles de milices en Hongrie, elles ont fini par quitter le village. Enfin pas tout à fait, selon le vadja de Gyöngyöspata : « Des milices reviennent de temps en temps dans le quartier, mais plus discrètement, sans leurs uniformes militaires ».

    Les roms qui sont restés, faute de moyens, se défendent comme ils le peuvent. « Mon boulot, explique Farkas, consiste à régler les problèmes de la communauté, gratuitement, avec le soutien d’ONG. On fournit aussi aux citoyens les moyens de se défendre seuls, en leur donnant une éducation juridique élémentaire. Ils en ont besoin, les roms sont sans cesse accusés pour rien. Ici, on a une version dure, mais c’est le même problème dans tout le pays. L’avenir ne sera pas meilleur, on en a peur ». Pas avec ce maire, élu en juillet 2011, issu des rangs du Jobbik, le parti d’extrême droite hongrois, qui a obtenu 16,4 % des suffrages, lors des élections législatives de 2010.

    #Rroms #Hongrie #extrêmedroite #milices #fachos