Société. La fin de la #honte des règles
Grâce à des artistes, des activistes et des entrepreneurs, nous changeons progressivement notre façon de concevoir et de parler des règles. The Fader revient sur ce ce qui a rendu ce changement possible.
As I ran, I thought to myself about how women and men have both been effectively socialized to pretend periods don’t exist. By establishing a norm of period-shaming, [male-preferring] societies effectively prevent the ability to bond over an experience that 50% of us in the human population share monthly. By making it difficult to speak about, we don’t have language to express pain in the workplace, and we don’t acknowledge differences between women and men that must be recognized and established as acceptable norms. Because it is all kept quiet, women are socialized not to complain or talk about their own bodily functions, since no one can see it happening. And if you can’t see it, it’s probably “not a big deal.” Why is this an important issue? Because THIS is happening, right now.
►https://medium.com/endless/going-with-the-flow-blood-sisterhood-at-the-london-marathon-f719b98713e7
Cela dit, elle a quand même enlevé les #poils sous les bras ?
Editorial. Règles indiscrètes
Aux Etats-Unis comme en Inde, les menstruations deviennent un sujet comme les autres. Ou presque. Un dossier à lire dans notre numéro en kiosque le jeudi 1er septembre.
#Chronologie. Et les règles devinrent publiques
Depuis le début de l’année 2015, le #sang_menstruel s’invite sur la place publique, devant les caméras, sur YouTube ou dans les débats sur la TVA. L’an dernier, la culture populaire a semblé tellement inspirée par le sujet que la radio américaine NPR a qualifié 2015 d’“année des règles”. Et 2016 sera peut-être l’année où l’on ne fera pas qu’en parler.
Vu du #Botswana. Les règles, c’est la honte
En Afrique comme ailleurs, la #stigmatisation des règles contribue à véhiculer une image négative des femmes et de leur corps. Témoignage de la cofondatrice de la Fondation Goddess, au Botswana.
