En fait, je décris une tendance dans les fictions d’un retour des années 50, particulièrement dans des fictions SF.
Donc oui, ça va être du néo-futurisme uchronique, car situé dans cette époque ; on s’y permet quand même des avancées technologiques basées sur le look des années 50.
Mais ce n’est pas qqchose comme Mad Men, qui décrit simplement son époque (pas de machine à créer des trous noirs ni de fusils lasers).
C’est souvent pour utiliser la coolitude dystopique de ces années là.
En y réfléchissant, le terme le plus proche de mon idée c’est
ManhattanIl peut y avoir des ordinateurs, mais clairement sans transistor (ou alors, c’est le tout début, rare).
En guise de comparaison, les années 20-30 sont souvent utilisées dans les récits Lovecraftiens, occulte + mitrailleuses camembert.
La beauté, c’est lorsqu’on ne dévie pas trop de l’époque non plus. Un méli-mélo 40-60 est moins tripant qu’un vrai fil conducteur se situant en 1955.
Je ne pense pas qu’on puisse dire Punk . Les 50’s c’est tout le contraire : rangé, conventionnel. Donc loin d’un anarchisme de la fin du 19ème.
Marrant Boulet.
Dans les délires rétro-futuro, ce qu’il y a d’intéressant c’est quand tu détectes les anomalies et que tu en joues.
Par exemple dans Ghost in the Shell (1995), ils se connectent cérébralement avec des fils dans la nuque.
Bouhahaha, mais Allo !!! Des fils, en 2029. En plus, 4 fils, pas un. C’est une unité mobile, ils ne sont jamais au même endroit et il faut qu’ils se trouvent des points de connexion. Bug scénaristique. En jouer, c’est marrant.