Facebook revient sur sa décision de censurer une célèbre photo de la guerre du Vietnam

cc @albertocampiphoto

Facebook is for the pleasure and benefit of the whole world, myself included, on a number of levels. I myself, for instance, keep in touch with my brothers via a closed group centered on our 89 year old father. Day by day we share joys and concerns.

Facebook has become a world-leading platform for spreading information, for debate and for social contact between persons. You have gained this position because you deserve it.

You are a nice channel for persons who wish to share music videos, family dinners and other experiences. On this level you are bringing people closer to each other.

non mais ce qu’il faut pas lire.

Ça devient fatiguant aussi de citer Orwell systématiquement, comme si c’était le seul auteur critique (j’aime beaucoup Orwell c’est pas la question).

La question à se poser, c’est pourquoi (pas comment, comment on le sait) on en est arrivés à laisser tout se concentrer dans un site privé, commercial, centralisé, situé à l’étranger pour la plupart des personnes, et qui ne répond pratiquement que de lui même.

C’est pas venir pleurer après parce qu’ils usent du pouvoir qu’on leur donne qui va changer les choses.

La résistance est quasiment inexistante, même chez les organisation et personnes militantes. C’est pas vraiment FB le problème, c’est que les gens l’utilisent.

P.-S. : c’est nouveau ce « traduire avec Google » ? :(

Non c’est là depuis le début ;-)
Au début ça passait par l’API de google, puis par celle de bing, et maintenant on utilise translate-shell (qui lui-même appelle l’un ou l’autre de ces services). Pas trouvé mieux.

En libre y’a Apertium (►https://www.apertium.org) mais les résultats sont bien moins bon.

arf envoyé trop tôt

dans le cas de seenthis c’est pas un drame parce que les billets sont publics de toute façon, mais utiliser Google comme plateforme de traduction par défaut pose un sérieux problème à mon sens.

En fait ce que je n’aime vraiment pas avec cette lettre, c’est que l’acte de résistance c’est « on n’enlèvera pas cette photo historique », mais qu’elle accepte implicitement la domination de FB.

Je sais bien que la situation des journaux est compliquée et que Google news et FB sont des moyens indispensables (parce qu’on a laissé faire) pour toucher un public large de nos jours, mais à un moment il faut savoir l’importance qu’on attache à la liberté de la presse et plus généralement à la liberté d’expression.

Et c’est certainement pas la première fois que ça arrive, j’avais déjà recensé quelques cas connus dans un billet de 2011 : ▻http://www.goffi.org/post/2011/09/30/De-l-urgence-d-agir

OK, donc ne pas utiliser FB c’est de la radicalité à 2 balles, intéressant :)

@aude_v ah ok pardon, je n’étais pas sûr si ça s’appliquait au texte ou à mon commentaire.

Des militant/e/s avec des slips sur la tête, c’est pas mal .... pourtant c’est maladroit ;-)

Que tout le monde en profite pour poster des photos de plages et de slips sur la tête, c’est une chose, mais des groupes militants qui en dépendent comme ça et forcent leur public à en dépendre, ça me met sur le cul.

Aujourd’hui la maîtrise de la technologie et la maîtrise de la réflexion intellectuelle sont identiques. Méfions-nous des incultes.

#Facebook revient sur sa décision de censurer une célèbre photo de la guerre du Vietnam

Le réseau social américain Facebook est revenu sur sa décision de censurer la célèbre photo d’une jeune Vietnamienne nue brûlée au napalm, qui provoquait vendredi une vive polémique en Norvège.

▻http://www.courrierinternational.com/depeche/facebook-revient-sur-sa-decision-de-censurer-une-celebre-phot

Norvège. “Cher Mark Zuckerberg, je vous accuse d’abus de pouvoir”

“Cher Mark Zuckerberg, je vous suis sur Facebook mais vous ne me connaissez pas.” Ainsi commence la lettre ouverte du rédacteur en chef d’Aftenposten au patron du réseau social.

http://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_original_1280/public/assets/images/aften.jpg?itok=JWR18DU_