• Le Syndrome d’Aliénation Parentale (#SAP) ou l’instrumentalisation du système judiciaire | Sans Compromis
    https://sanscompromisfeministeprogressiste.wordpress.com/2016/10/15/le-syndrome-dalienation-parentale-sap-ou-linstrumentalisation-du-systeme-judiciaire

    Voilà bientôt deux ans que Julie ne voit Lili que 2 heures tous les 15 jours, de 10 h à midi, dans un centre de médiation familiale. Elle n’a fait l’objet d’aucune condamnation ni poursuite. Pourtant, elle est considérée par la justice comme une mère « hautement toxique » dont il faut protéger l’enfant. Son crime ? Avoir cru sa fille lorsque celle-ci lui a raconté le « secret de papa ». Une mécanique infernale s’est alors enclenchée malgré les signalements de professionnels de la santé alarmés par les jeux sexualisés de l’enfant aux autorités compétentes comme la loi les y oblige. La partie adverse a brandi le « Syndrome d’Aliénation Parentale » (SAP), et, par un incroyable retournement, c’est Julie qui a été immédiatement suspectée, car, de plus en plus, pour de nombreux intervenants judiciaires, les accusations de maltraitances sexuelles, mais aussi physiques, sont perçues comme des tactiques maternelles pour priver les pères de leurs enfants. Aussi, en décembre 2013, Lili a, dans un premier temps, été confiée à son « père », Julie obtenant des droits de visite classiques (deux week-ends par mois et la moitié des vacances). Mais les jeux sexualisés de Lili ont alerté Hélène Romano, Doctoresse en psychopathologie clinique, spécialisée dans le psychotraumatisme, qui a immédiatement fait un nouveau signalement à propos d’une « petite fille d’environ 2 ans présentant via un jeu traumatique, des manifestations très spécifiques d’enfant agressée sexuellement » (en italique). Une expertise, réalisée par un praticien aujourd’hui gravement remis en cause par ses pairs, concluant que « Julie trouvait sa satisfaction dans l’utilisation de l’enfant contre le père, ce qui entre dans le cadre des syndromes d’aliénation parentale » (en italique), a valu au signalement d’être classé sans suite. La pathologisation de la mère prenant soudain toute la place, les accusations de violences paternelles ont disparu du radar de la justice, et Julie est devenue en octobre 2014 la « visiteuse » de son enfant.

    #masculinisme

  • Lancement d’une consultation citoyenne sur la loi pour l’égalité hommes-femmes
    https://sanscompromisfeministeprogressiste.wordpress.com/2016/10/02/lancement-dune-consultation-citoyenne-sur-la-loi-pour-legalite-hommes-femmes

    Internautes, à vos souris. L’Assemblée nationale lance à partir de mardi une « consultation citoyenne » sur l’impact de la loi d’août 2014 pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes. Les internautes sont ainsi invités à se prononcer sur différentes thématiques comme « le partage des responsabilités parentales ».

    Démocratie participative

    Alors qu’un récent sondage Viavoice montre l’appétence des Français pour davantage de démocratie participative, avec par exemple 71 % des personnes interrogées pour un recours accru à des consultations notamment en ligne, l’objectif de l’Assemblée en l’occurrence est de solliciter l’avis des internautes sur « l’impact des dispositions de la loi du 4 août 2014 ».

    La consultation, qui s’achèvera le 17 octobre, s’articulera autour de cinq thématiques de la loi, via une trentaine de questions et des possibilités d’expression libre, selon un communiqué.

    Les internautes seront ainsi invités à plancher sur « la définition des objectifs de la politique en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes », « la place et l’image des femmes dans les médias audiovisuels et sur Internet », « le partage des responsabilités parentales », « la lutte contre les impayés de pensions alimentaires » et « la protection contre les violences conjugales ».

    http://data.assemblee-nationale.fr