Dans le décor ténébreux de son dernier retranchement, tout de nuit et d’or, au cœur de sa somptueuse villa et au sommet de sa puissance, Tony Montana mesure la vanité pitoyable de ses ambitions et la radicalité de sa solitude. Par Ignacio Ramonet (mars 1984).
« Scarface » et le rêve américain
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