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  • « La tarantolata ne danse pas seule »

    Possession et dépossession dans l’ex-royaume de Naples

    Entretien avec Alèssi Dell’Umbria
    Propos recueillis par Damien Almar et Ferdinand Cazalis

    http://jefklak.org/?p=3152

    (Entretien publié dans le numéro 1 de la revue Jef Klak, « Marabout », 2014.)

    Chaque été pendant des siècles dans le sud de l’Italie, le rituel de la taranta faisait danser des communautés entières. Cinéaste, musicien, auteur d’une monumentale histoire de Marseille et d’un essai détonant sur les révoltes de banlieue, Alèssi Dell’Umbria a vécu en Italie, où il a beaucoup appris sur l’histoire de ce système magico-rituel.

    En ce mois d’octobre 2016, il vient de publier Tarantella ! aux éditions de L’Œil d’or, une somme qui retrace l’histoire d’une danse et d’une transe, prises entre la dépossession qu’ont subie les paysans avec l’arrivée du progrès technologique et les tentatives de récupération marchande venues des nouvelles politiques culturelles.

    • https://www.youtube.com/watch?v=wah8bIvVkIY

      La Gatta Cenerentola was a radical reinterpretation of the Cinderella tale, done in Neopolitan dialect in 1976 by De Simone, who, since the 1960’s, organized groups like Italy’s NCCP to reinterpret and reinvent enduring folk tales from his country’s (and Europe’s) culture and history. What De Simone uncovered in his deep anthropological studies was a Neopolitan equivalent to the Wicker Man of sorts; a pagan culture unaffected by the vast reaches of Catholicism that would consume Italy later; a matriarch-based shepherd/farming community with complex ritual-based relationships with pure and unqiue musical communication, brought to life in this stage performance excerpted here. By far “Secondo Coro Delle Lavandaie” made for one of the wildest moments of the mini-opera, almost taking on the skeleton of some downtown NYC No-Wave, or comparable to the Slits or Kleenex in some ways

      http://blog.wfmu.org/freeform/2005/10/mp3_download_di.html