• Le jeu vidéo au coeur de la campagne
    http://www.latribune.fr/economie/presidentielle-2017/avec-le-jeu-video-l-etat-c-est-moi-plongez-dans-la-peau-d-un-president-de-

    La campagne présidentielle est un moment propice aux jeux vidéos et aux expériences virtuelles. Le journaliste français David Dufresne, réalisateur entre autres du web-documentaire Prison Valley sur l’industrie de la prison aux Etats-Unis, a lancé ce lundi 10 avril le jeu de politique fiction L’infiltré. L’interface invite l’internaute à se mettre dans « la peau d’un officier de la Direction générale de la sécurité intérieure. Vous devez guider un de vos agents, au cœur de l’appareil politique du Front national. Votre aventure est mise à jour au gré de l’actualité réelle de la campagne présidentielle française ».

  • Hollande contraint de se retirer, c’est au tour de Valls
    http://www.latribune.fr/economie/presidentielle-2017/hollande-contraint-de-se-retirer-c-est-au-tour-de-valls-621711.html

    Dernier paragraphe de l’article

    A ce stade, quel que soit le cas de figure, il y aura au premier tour de la présidentielle Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche), Yannick Jadot (candidat écologiste), Sylvia Pinel (PRG) et le candidat PS. Et pour couronner le tout, Emmanuel Macron du mouvement « En Marche ! » postule aussi. Dans ces conditions, il faudrait un miracle pour qu’un candidat de la gauche se retrouve au second tour. Que ce soit François Hollande ou un autre, ce constat ne varie pas. Il est clair que l’après-présidentielle de 2017 va provoquer un tsunami à gauche et une recomposition complète des rapports de force. Et nul ne le sait mieux que François Hollande…

    • Cette recomposition, on en parle depuis 15 ans. Et à chaque fois, tous les petits candidats partent ensemble, et à chaque fois, la part du PS diminue, sans que celle des autres candidats n’augmente sensiblement.

      A noter qu’à chaque fois, la morgue et l’intransigeance du PS sont en cause, dans l’impossibilité pour les petits partis de se joindre à lui.

  • François Hollande, Narcisse inquiet de sa propre postérité
    http://www.latribune.fr/economie/presidentielle-2017/francois-hollande-narcisse-inquiet-de-sa-propre-posterite-607439.html

    Une pertinente analyse de la psychologie de François Hollande par le toujours excellent Romaric Godin sur le site de la « Tribune ».

    La conclusion de son article qui est titrée « Manque de consistance », élargit son propos :

    Cette impuissance à construire une véritable postérité, fruit de sa hâte narcissique, est aussi le reflet d’un état de la politique 25 ans après la chute du mur de Berlin. Au fond persuadés que l’histoire est bel et bien terminée, ces politiques ont renoncé à incarner des choix différents économiques et sociaux. La question n’est plus la nature des politiques menées, qui ne font plus guère l’objet de discussions, mais seulement leur intensité. Dès lors, comment un politique peut-il entrer l’histoire ? Nicolas Sarkozy a choisi l’hyperactivité et la surreprésentation médiatique. François Hollande l’autobiographie permanente. Mais le caractère dérisoire de ces efforts relève le peu de consistance des politiques contemporains. « Après moi, il n’y aura plus que des comptables », disait François Mitterrand, la référence de l’actuel président qui, en bon disciple, lui donne raison. Le cas Hollande a ce mérite : mettre en avant une des principales tares de la vie politique du moment.