Washington agit pour faire taire Wikileaks

/pers-o20.shtml

  • The strange tale of a dating site’s attacks on WikiLeaks founder Assange
    http://www.mcclatchydc.com/news/politics-government/election/article110904727.html

    For an online dating site, toddandclare.com seems really good at cloak-and-dagger stuff. Disconnected phones. Mystery websites. Actions that ricochet around the globe.

    But the attention grabber is the Houston-based company’s target: Julian Assange, the founder of WikiLeaks, whose steady dumps of leaked emails from Hillary Clinton’s presidential campaign have given supporters of Donald Trump the only cheering news of the last few weeks.

    Washington agit pour faire taire #Wikileaks
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/oct2016/pers-o20.shtml

    Au milieu de la tentative actuelle pour faire taire #Assange, un coup monté encore plus bizarre et dégoutant a été concocté, en essayant de salir le fondateur de WikiLeaks avec des accusations de pédophilie et d’avoir reçu de l’argent russe.

    Au centre de ces allégations se trouve un service peu connu de rencontres en ligne, #Toddandclare.com, qui a tenté d’abord d’attirer Assange dans un traquenard pour créer une soi-disant publicité visuelle pour le site, pour laquelle il allait être payé 1million de dollars, ladite somme étant fournie par le gouvernement russe. Lorsque WikiLeaks a rejeté cette provocation absurde, le même site a affirmé qu’Assange avait été accusé de contacts inappropriés à travers le site avec un enfant canadien de huit ans en visite aux Bahamas. Cette accusation a ensuite été invoquée dans une tentative de faire pression sur l’ONU pour qu’elle cesse sa demande de mettre fin à la persécution d’Assange.

    Même un examen sommaire révèle que ces allégations constituent une #fabrication grotesque. La police des Bahamas a déclaré qu’il n’y a pas de charges ou de quelconque dossier contre Assange. L’agence de rencontres n’a pas de siège, numéro de téléphone ou d’activité commerciale nulle part aux #États-Unis, ayant toutes les caractéristiques d’une société fictive créée par le renseignement américain dans le but de traquer Assange.

    L’utilisation de telles tactiques montre à quel point la classe dirigeante américaine est terrifiée face à l’hostilité croissante des masses envers les deux principaux partis politiques et leurs deux candidats odieux. L’élite dirigeante craint que les révélations continuelles sur le fonctionnement interne d’un gouvernement des riches, par les riches et pour les riches finissent par enlever le peu qui lui reste de légitimité politique au sein de la population, et créer ainsi les conditions d’une radicalisation politique.