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  •  » Un militant écolo asperge d’eau le maire d’Agen : 2 mois de prison ferme
    http://www.les-crises.fr/un-militant-ecolo-asperge-deau-le-maire-dagen-2-mois-de-prison-ferme


    Donc, nous avons aussi des #prisonniers_politiques, en plus de l’#État_d'urgence, mais on continue à donner des leçons de #démocratie aux autres !

    Le militant écologiste Eric Petetin a été condamné vendredi à deux mois de prison ferme pour avoir aspergé d’eau le maire UDI d’Agen, Jean Dionis du Séjour, en signe de protestation contre un projet controversé de Technopôle près de la ville, a appris l’AFP de source judiciaire. L’activiste de 63 ans a également été condamné à un euro symbolique de dommages et intérêts. Quatre mois de prison ferme avaient été requis.

  • Arabie Saoudite, notre « irremplaçable allié » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/arabie-saoudite-notre-irremplacable-allie.html
    http://i1.wp.com/arretsurinfo.ch/wp-content/uploads/2016/01/arabie-saoudite-.jpg?resize=600%2C337

    Ryad, janvier 2015. DR.
    Slobodan Despot
    Publié le 27 janvier 2015
    « L’Arabie saoudite est pour nous, monde occidental, un allié irremplaçable » affirme en ouverture l’éditorial du journal suisse Le Temps au lendemain de la mort du roi Abdallah. Il atténue cet axiome d’une série de mais, mais des mais aussi délicats que les doigts d’un démineur sur le nez d’une bombe.
    Cette phrase, venant d’un quotidien suisse aussi correct et aussi bien noué que le nœud de cravate d’un banquier, mérite un peu de méditation. Décortiquons-la en commençant par la fin.
    1) Si l’Arabie saoudite est un allié irremplaçable, c’est que les droits de l’homme et la démocratie sont, eux, remplaçables. Or c’est toujours au nom des droits de l’homme et de la démocratie que les médias du mainstream moralisateur occidental — au sein desquels Le Temps de Genève pourrait faire figure de mètre étalon — approuvent voire encouragent les interventions des États-Unis et de l’OTAN aux quatre coins du monde. Les républiques corrompues mais plus ou moins laïques du Moyen-Orient sont remplaçables — et du reste remplacées. La théocratie iranienne est hautement remplaçable. L’anarchie afghane est remplaçable (par une anarchie d’importation, soit). Mais le royaume des coupeurs de têtes, des fouetteurs et lapideurs de femmes, ce pays de Cocagne rétrograde où l’on risque gros à affirmer que la terre n’est pas plate, lui, il est… irremplaçable !
    Si, donc, l’Arabie féodale, fondamentaliste, misogyne, inégalitaire et violente des Saoud, cette Arabie mère d’Al-Qaïda et de Daech qui finance le terrorisme mondial dans une mesure bien plus massive que n’importe quel autre pays connu, est réellement un allié irremplaçable de l’Occident, c’est que toutes les valeurs dont ce même Occident s’enorgueillit et dont il se sert de brevet pour policer la planète ne sont que du pipeau. De la verroterie pour indigènes. Des effets de prestidigitation. Une recréation de Tartuffe à l’échelle planétaire.
    Certes, le constat n’est pas nouveau. Le grand dissident Chomsky le clame dans le désert depuis bientôt un demi-siècle. Alexandre Zinoviev l’avait constaté sitôt qu’il eut posé le pied à l’ouest du rideau de fer et en avait conclu, logiquement, à l’identité de nature des deux régimes qu’il séparait. La propagande russe, iranienne, chinoise ne cesse de le ressasser, c’est même son argument le plus facile contre l’impérialisme occidental. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… Cela allait sans dire, mais cela va mieux en le disant. Sauf qu’une fois que c’est dit, le voile commode de l’hypocrisie tombe et l’on est obligé de s’avancer à visage découvert.
    2) …pour nous, monde occidental… — Que fait-il là, ce nous ? Cette marque d’intégration au système ambiant est lourde de sens lorsqu’on la voit surgir chez des journalistes qui se font d’ordinaire un point d’honneur de rester au-dessus de la mêlée. Ils l’utilisaient surtout dans les moments d’indignation collective : « Nous ne pouvons rester les bras croisés face au massacre en XXX, à l’épuration ethnique chez ZZZ ». Dans les cas où l’intégrité morale du « système » apparaît douteuse — comme elle l’est, nettement, dans le cas du mariage cynique avec l’Arabie —, on préfère prudemment garder ses distances. Ici, on y va cash ! Nous sommes associés à des coupeurs de têtes fanatiques ! Et alors ? Ils nous sont irremplaçables…
    Ce nous, monde occidental utilisé dans le contexte de la plus profonde compromission morale, politique et même sécuritaire de la classe dirigeante occidentale donne à réfléchir. Il dénote une Gleichschaltung avancée du système politico-médiatique. L’une des plus puissantes anti-utopies qu’ait produites la littérature, la vision que Zamiatine eut dès 1920 de l’essence du totalitarisme, était sobrement intitulée Мы (Nous, en russe, traduit chez Gallimard par Nous autres). Lorsqu’un même « nous » unit la salle de rédaction du Temps à Genève au Bureau Ovale et au Pentagone, c’est qu’on est en train de construire, en face, un eux tout aussi compact et menaçant et que la pensée différenciée laisse la place à une logique de masse. Us and Them (Pink Floyd) sont les pronoms de la guerre. Mais laissons au rédacteur du Temps le bénéfice du doute : peut-être faisait-il de l’ironie ?
    3) L’Arabie saoudite, qu’est-ce au fond ? C’est à la fois un irremplaçable bailleur de fonds pour l’Empire occidental, et un véritable phare de l’obscurantisme dans le monde musulman — si j’ose me permettre cet oxymoron. Les mouvements, les idées et les conflits financés par l’Arabie saoudite imprègnent de plus en plus la civilisation de l’islam et contribuent à la dresser contre le reste du monde. Le rédacteur du Temps a raison : « C’est bien l’islamisme qui pose problème, c’est-à-dire une interprétation étriquée de l’islam mise au service de visées politiques. Or, l’alliance conclue entre le salafisme religieux et les wahhabites en est la source première. » Et c’est avec ça que nous demeurons alliés contre vents et marées ? C’est autour de ça que les dirigeants du monde occidental s’agglutinent lorsque l’obscurantiste en chef décède, comme des vassaux sur le catafalque de leur suzerain ?
    Dans quel chaudron de sorcière a-t-on bien pu décanter un tel amalgame, sceller une alliance aussi corrosive, où les pays qui ont inventé les droits de l’homme ont englouti leur honneur, leurs valeurs et leur raison d’être ?
    L’origine du pacte est connue : le deal pétrole-contre-protection signé en 1945 entre Roosevelt et le roi Abdelaziz Ibn Saoud, fondateur du royaume et père de feu Abdallah. Les motivations américaines sont claires comme de l’eau de roche. Mais s’est-on jamais demandé ce que les Arabes avaient alors en tête et ce qu’ils pensaient de leurs nouveaux alliés ?

    L’historien des civilisations, diplomate et conférencier Amaury de Riencourt fut, en février 1947, l’un des premiers Occidentaux admis à Riyad en tant qu’émissaire britannique. La cité archaïque qu’il découvre avec émerveillement semble encore sortir des Mille et Une nuits. Dans ses mémoires, il a laissé un portrait empreint de respect et même d’admiration du premier roi séoudien, qui fut en premier lieu un grand homme de guerre. L’hospitalité d’Ibn Saoud est simple et généreuse, comme ses manières. Sa parole est sacrée. La puissance pétrolière naissante est encore profondément ancrée dans l’existence austère des bédouins. Mais Amaury nous relate en détail un incident cocasse et éloquent. Un soir, il est invité à un banquet donné par le roi pour un groupe d’hommes d’affaires et d’ingénieurs pétroliers américains. En arrivant dans la cour du palais, il découvre un spectacle ahurissant :
    « Des hommes s’agitaient comme des Amérindiens se préparant à la guerre : bien qu’ils fussent habillés en Arabes, je reconnus sans peine les patrons américains d’Aramco qui se comportaient comme si on les avait amenés dans le Far West, au campement de Taureau Assis ou de Nuage Rouge (…) Je me souviens que l’un des deux Américains disait à l’autre : « Je crois savoir que nous allons être placés auprès du roi. De quoi va-t-on bien pouvoir parler ? Il n’aime ni l’alcool, ni le tabac, ni la musique. L’autre répondit : « Mais il aime les dames. Parlons donc des femmes ». »
    Avec un humour rentré, mais aussi une horreur perceptible, l’agent franco-britannique relate la suite du dîner, une fois les invités d’honneur installés auprès du roi :
    « S’étant raclé la gorge, l’un des Américains demanda : « Majesté, j’ai entendu dire que vous aimiez les femmes. » Je risquai un bref regard du côté de l’interprète, qui semblait profondément embarrassé et qui bredouilla n’importe quoi en arabe. L’autre Américain, sentant que le message n’avait pas passé, reformula la question. Face à tant de détermination, l’interprète se résolut, au moins, à résumer la teneur des questions. Le visage du roi se pétrifia. Il n’eut plus aucun échange avec les Américains jusqu’à la fin du dîner. »1
    En 1945, l’une des sociétés les plus archaïques au monde a conclu un mariage de raison avec la modernité dans sa version la plus impudente et la plus cuistre. Depuis, le ménage a vécu dans un mépris mutuel complet, chaque partie s’efforçant cyniquement de tirer le plus grand avantage possible de l’autre. Soudain bénéficiaires d’un flot d’argent incommensurable, les Saoudiens ont adopté les attributs les plus voyants de la civilisation moderne — technologie et consommation effrénée — tout en conservant sous verre leurs croyances et coutumes, de plus en plus décalées et déracinées au fil du temps. La manne pétrolière a cristallisé cette société dans sa structure féodale et ses croyances et, comme un signe de faveur céleste, sanctifié la dynastie régnante. Tel est donc le tandem initié depuis 1945 : deux ambitions de domination planétaire sous-tendues par la conviction d’une mission divine et opposées par une haine mutuelle irréconciliable.
    Les pays d’Europe occidentale auraient pu, auraient dû s’écarter de ce couple satanique à la première occasion et se construire une géopolitique et une stratégie énergétique indépendantes. Avec l’UE, au lieu de réaliser leur souveraineté, ils ont choisi la voie contraire. Ils seront les premiers à faire les frais du divorce sanglant, ou à faire soumission si les maîtres s’entendent à prolonger leur irremplaçable alliance sur le dos de leurs valets.
    Slobodan Despot
    Première publication le 27 janvier 2015 par Le CAUSEUR
     1Amaury de Riencourt, A Child of the Century, Honeyglen, 1996, pp. 137-138.

  • Palestine : L’ONU décrit l’enracinement d’un régime d’apartheid particulièrement brutal - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/palestine-l-onu-decrit-l-enracinement-d-un-regime-d-apartheid-part
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    La belle ville d’Ebron en Cisjordanie est occupée par de nombreux colons juifs 
    Un expert en droits humains des Nations Unies a dénoncé “l’enracinement d’un régime de style colonial dans les territoires palestiniens occupés” par Israël, à savoir “deux systèmes séparés et inégaux” pour ce qui concerne les lois, le réseau routier, le système judiciaire, l’accès à l’eau, la liberté de mouvement, les droits civils et d’autres matières.
    Le Canadien Michaël Lynk est rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, et il a formulé ces remarques dans un nouveau rapport, présenté à l’Assemblée Générale de l’ONU vendredi dernier.
    L’accès inégal à l’eau était déjà une composante de l’apartheid en Afrique du Sud. Israël lui donne des dimensions inégalées.
    Lynk a qualifié la situation de l’économie palestinienne de “sans parallèle dans le monde moderne”. “Aucune autre société dans le monde ne doit affronter une telle série cumulative de défis, qui comprend une occupation agressive, une discontinuité du territoire, une divergence politique et administrative, un confinement géographique et la déconnexion de son économie”, a-t-il déclaré.
    Le rapporteur a mis en évidence une série de violations des droits humains par Israël, parmi lesquelles la “détention administrative” [1] : “Les chiffres sont stupéfiants”, écrit Lynk, “et ils suggèrent l’existence d’une politique visant à intimider et à significativement réduire les libertés des Palestiniens”.
    Lynk fait également référence à l’utilisation par le gouvernement israélien des démolitions de maison à des fins punitives, dont il relève que s’il y en avait eu 11 en 2015, touchant 85 personnes, alors qu’entre janvier et juillet 2016 on en dénombre déjà 16, qui ont privé 92 personnes de logement. “Les démolitions punitives, dont l’objectif est de nuire aux membres de la familles de personnes suspectées [par l’occupant] de crime, constituent clairement une violation du droit international”. []
    Considérant la situation d’un point de vue général, Lynk décrit “un développement séparé et inégal en Cisjordanie, et particulièrement dans la zone C [2]”, ce qui conduit à “la création de deux univers juridiques, économiques et politiques cruellement différents à l’intérieur d’un même territoire”.
    Les colons israéliens bénéficient “d’un système largement plus favorable au plan légal, quant au réseau routier, au système judiciaire, à la mobilité personnelle, aux opportunités économiques, aux droits civils et politiques et au niveau de vie que les Palestiniens de Cisjordanie parmi lesquels ils vivent”.
    A l’approche du 50ème anniversaire [de l’occupation de la Cisjordanie, de Jérusalem-Est, de Gaza et du Golan], Lynk estime que “l’occupation a atteint une durée de loin supérieure toute durée raisonnable dans le chef d’une quelconque puissance occupante agissant de bonne foi”.
    “La réduction de l’aire géographique du territoire disponible pour les Palestiniens est directement liée au vaste projet de colonisation d’Israël, en expansion, qui comprend un réseau d’autoroutes, les territoires contigues et un dispositif militaire de sécurité étendu”. En effet, ajoute le rapporteur spécial, “sans le projet israélien de colonisation, la poursuite de l’occupation n’aurait aucune raison d’être”.
    Le rapporteur spécial n’a pas été en mesure de se rendre dans les territoires palestiniens occupés, Israël ayant refusé toute coopération avec lui. Il a donc rencontré les groupes représentatifs de la société civile palestinienne et d’autres organisations à Amman, en Jordanie. Le rapporteur souligne “que le devoir qui s’impose aux États membres [de l’ONU]de coopérer avec les mécanismes constitue une obligation fondamentale”. On peut lire son rapport dans son intégralité ICI [PDF en anglais]
    -------
    [1] détention administrative : emprisonnement de Palestiniens sans jugement ni mise en accusation (et par conséquent sans possibilité de se défendre contre des accusations dont ils ignorent la teneur), pratiquement sans limite de temps. – NDLR
    [2] la “zone C” de la Cisjordanie est celle que définissent les “accords d’Oslo” comme restant sous le contrôle total d’Israël. Elle couvre ±60% de la superficie du territoire. – NDLR
    [
    ]UN EXEMPLE
     
    Un tribunal militaire israélien a condamné le 2 novembre un jeune Palestinien de 15 ans à la prison à perpétuité et 750.000 shekels (environ 177.000 €) d’amende pour le meurtre d’une Israélienne, dans la colonie d’Otniel, en Cisjordanie occupée.
    Le meurtre avait eu lieu en janvier 2016. Le jeune homme avait été arrêté par l’armée peu après. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou s’était engagé au moment du meurtre à ce que la maison de l’attaquant présumé soit détruite à titre dissuasif. Israël a détruit la maison familiale de Murad à Yatta, en Cisjordanie en juin, soit 5 mois avant qu’il soit jugé et reconnu coupable par un tribunal militaire
    Il est vrai que l’issue du procès n’était pas douteuse : les tribunaux militaires qui jugent les Palestiniens (les Israéliens vivant dans les colonies sont, dans les rares cas où ils sont poursuivis, jugés par des tribunaux civils) prononcent des condamnations dans 92% des cas…
    A propos du traitement judiciaire totalement inégal des mineurs selon qu’ils sont palestiniens ou israéliens, voir ICI (et afficher le tableau comparatif dans l’encadré)
    Source de l’article : Middle East Monitor
    Traduction : Luc Delval Pour la palestine
    http://arretsurinfo.ch

  • « Les Clinton me font penser à "The Godfather" » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/les-clinton-me-font-penser-a-the-godfather.html

    Cette élection présidentielle américaine est un show inouï depuis des décennies, observe l’analyste américain Lew Rockwell, et certains de ses protagonistes ressemblent à s’y méprendre aux personnages du fameux film sur la mafia.

    Lew Rockwell est un économiste américain, fondateur et président de l’Institut Ludwig von Mises, rédacteur du site lewrockwell.com.

    RT : Beaucoup de personnes de l’entourage proche d’Hillary Clinton font l’objet d’enquêtes du FBI – de cinq enquêtes distinctes. Comment cela est-il possible que le favori à la course présidentielle soit ainsi examiné à la loupe ?

    Lew Rockwell (L. R.) : La famille Clinton a cette réputation d’être corrompue, d’avoir commis des escroqueries dès le début de leurs mandats au gouvernement. Il est excellent que ces personnes fassent maintenant l’objet d’examen attentif. Je suis certain qu’ils s’en inquiètent tous. Donald Trump a promis que, s’il était élu, il nommerait un procureur spécial pour enquêter sur les crimes d’Hillary. Je pense que ce procureur spécial va enquêter sur leurs fonctionnaires. Cette élection est tellement amusante, c’est l’élection la plus intéressante et la plus inoubliable que j’ai jamais vue. Il y en a probablement eu de meilleures au XIXe siècle, mais moi, je trouve que c’est énorme.

    Toutes ces personnes sont des criminels. Je pense qu’il est faux que le FBI n’ait pas réussi à le prouver
    RT : Jusqu’à présent, le FBI n’a rien prouvé concernant le cas de Clinton. Mais elle fait l’objet d’une enquête, ses assistants et ses amis également – tout cela ne fait-il pas penser en quelque sorte aux Sopranos ou bien au film Le Parrain ?
    L. R. : Les Clinton me font penser à The Godfather, à l’exception près qu’ils ne présentent pas autant d’intérêt que Marlon Brando. Toutes ces personnes sont des criminels. Je pense qu’il est faux que le FBI n’ait pas réussi à le prouver. Le FBI est juste sous la pression de Loretta Lynch et, probablement, de Barack Obama. Ils ont arrêté la procédure, soulignant qu’elle [Hillary Clinton] n’était pas coupable. Je pense qu’on commence maintenant à se rendre compte de l’importance des crimes des Clinton. Nous avons 650 000 mails, montrant qu’elle partageait son ordinateur avec son mari - elle prétend ne pas savoir comment c’est arrivé. Je m’attends à ce que les démocrates accusent le KGB [d’être à l’origine de la fuite], étant donné qu’on accuse la Russie de tout - et ce, même si la KGB n’existe plus.

    Lire aussi
    Le FBI rouvre l’enquête sur les courriels : « Un coup énorme contre Hillary »
    RT : Maintenant, une autre histoire : le FBI vient de publier 129 pages de son enquête de 2001 sur la fondation Clinton et l’amnistie de Mark Rich. Celui-ci avait été poursuivi à l’époque pour la plus grande évasion fiscale de l’histoire américaine. Bill Clinton l’a gracié au dernier jour de son mandat. Et on suspecte Rich d’avoir été un donateur de la famille Clinton. Le timing de la parution de cette affaire, que vous apprend-il ? 

    L. R. : Cela peut montrer que la FBI est fâché contre les Clinton. Toute l’affaire de Marc Rich est instructive. Ce n’est qu’un des crimes commis par Bill Clinton, mais Marc Rich était en fuite, et Bill Clinton l’a pardonné au dernier moment, le dernier jour où il était à son poste. Il a pris son temps pour voler ce qu’il voulait. Il y a eu également un scandale moins important sur le vol des meubles, à la fin du travail de l’administration de Clinton. Ils l’ont donc pardonné, et la Fondation Clinton a reçu énormément d’argent. C’était évidemment un pot-de-vin, du donnant-donnant. C’est comme ça que tout fonctionne à Washington.

    Bill Clinton a tué énormément de gens en Serbie et dans d’autres endroits, Hillary a aidé à tuer peut-être un million de personnes, elle voudrait en tuer bien plus
    Je ne soutiens pas les criminels parmi les Républicains, qu’il faut également démasquer, mais cela ne concerne pas que les Clinton. Les Clinton sont les pires, il faut leur faire subir une pression pour les forcer à cesser de faire ce qu’ils font, mettre un terme à leur belligérance. Bill Clinton a tué énormément de gens en Serbie et dans d’autres endroits, Hillary a aidé à tuer peut-être un million de personnes, elle voudrait en tuer bien plus. Il est très important d’arrêter ces criminels et que le FBI publie tout.

    RT : Si Bill l’a gracié en raison de ses dons : ce n’est pas la seule accusation du genre « payer pour jouer » ou quid pro quo contre Bill Clinton. Si Hillary est élue, sa présidence sera-t-elle différente ?

    L. R. : Je pense qu’elle est une plus grande criminelle que lui. C’est une grande criminelle, une trafiquante d’influence et bénéficiaire de pots-de-vin. Il n’y aura donc pas de grande différence [avec Bill], cela peut seulement devenir encore pire. Qui sait, elle pourra emmener Bill Clinton à la Maison Blanche, le laissant faire ce qu’il veut pour s’enrichir et enrichir sa famille de façon illégale.

    Hillary Clinton est dangereusement incompétente et qu’elle est entourée de nombre de personnes extrêmement stupides
    RT : Devin Nunes, chef du renseignement intérieur américain (House Intelligence Committee), a accusé lundi Hillary Clinton et ses assistants d’avoir laissé des documents sensibles en déplacement à l’étranger et à plusieurs reprises : en Russie, en Chine...
    Le porte-parole du département d’Etat a déclaré qu’il ne pouvait pas répondre à cette accusation, mais a suggéré que cela ne présentait aucune menace réelle. Cela vous surprend-il ? Pourquoi pensez-vous que l’évaluation des actions de Clinton n’est pas la même au renseignement intérieur et au département d’Etat ?

    L. R. : Une chose intéressante au sujet des mails de WikiLeaks nous montre qu’Hillary Clinton est dangereusement incompétente et qu’elle est entourée de nombre de personnes extrêmement stupides. Aucune stupidité, aucune erreur, ne me surprend. Elle a laissé derrière elle une flaque de sang et de désordre, tout comme son mari. Espérons seulement que ça ne va pas continuer.

    Il faut publier tout ce qui est non-classifié, sans édition. Les responsables du gouvernement estiment que tout ce qu’ils font doit être secret, alors que tout ce que fait la population doit être transparent et ouvert. Il faut que l’inverse soit valable, pour que la population puisse juger si le gouvernement fait bien son travail ou non. La publication, à mon avis, apporterait une révolution paisible, permettant de se libérer de l’oligarchie, c’est de cela dont le monde entier a besoin.

  • Les groupes radicaux en Syrie : un « cheval de Troie » introduit par l’Occident - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/les-groupes-radicaux-en-syrie-un-cheval-de-troie-introduit-par-l-o
    https://cdn.rt.com/french/images/2016.11/article/5818b79fc36188eb708b47e6.JPG

    Pendant six ans les pays occidentaux et du Golfe ont investi dans les groupes radicaux en Syrie, ils ne peuvent donc pas les abandonner maintenant, estime Said Sadiq, professeur de sociologie politique à Université américaine du Caire.

    RT : Staffan de Mistura a condamné les actions des rebelles à Alep. Les hommes politiques occidentaux et les médias vont-ils désormais focaliser leur attention sur les atrocités commises par les rebelles ?

    Said Sadiq (S. S.) : Même si Staffan de Mistura n’était pas le seul à condamner ce qui se passait, le secrétaire général de l’ONU l’a fait aussi, toute l’attention des médias occidentaux était focalisée sur la bataille de Mossoul en Irak, alors que la situation à Alep était contournée et minimisée...

    Pendant six ans les pays occidentaux et ceux du Golfe ont investi dans ces groupes radicaux modérés, ils ne peuvent donc pas les abandonner
    RT : Il y a eu récemment une attaque de gaz chimiques à l’ouest d’Alep. L’Occident, va-t-il reconsidérer son soutien à ses groupes soi-disant modérés, qu’ils ont à l’origine de cette attaque ?

    S.S. : Il faut comprendre que pendant six ans les pays occidentaux et ceux du Golfe ont investi dans ces groupes radicaux modérés, ils ne peuvent donc pas les abandonner. Ils sont comme un cheval de Troie qu’ils ont mis en Syrie. Maintenant ils ne peuvent pas le sortir en disant : « Bon, nous avons découvert que nous avions tort, partons donc et arrêtons tout cela. » Ils ont investi dans ces groupes et vont les utiliser dans les négociations sur l’avenir de la Syrie. S’il y a, à l’avenir, des négociations sur le sort de la Syrie, ces gens-là, ces radicaux et modérés seront utilisés autour de la table de négociations. Je ne pense pas qu’ils se débarrasseront d’eux bientôt.

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    Ensuite, comment ont-ils eu toutes ces armes chimiques ? Les pays du Golfe fournissent des armes, mais ils n’ont pas d’armes chimiques. Il est donc très probable que ces armes chimiques sont arrivées d’un pays de l’OTAN. Il n’y a que ces pays qui ont des armes de ce genre. Comment ces armes chimiques sont arrivées dans les mains des rebelles syriens ? Le suspect habituel sera la Turquie.

    Ils voulaient détruire la société syrienne, pas le régime, mais la société, l’armée, l’intégrité syrienne
    RT : Le Royaume-Uni envisage de lancer un nouveau programme pour former les rebelles et leur fournir des armes. L’an dernier un programme américain similaire a connu un échec retentissant et a poussé des rebelles à se battre aux côtés de Daesh et du Front Al-Nosra. La même chose se répétera-t-elle ?

    S.S. : Six ans de gaspillage de ressources et d’argent pour détruire la Syrie et au bout, une faillite. L’objectif qui a été déclaré : « Nous allons renverser le régime de Bachar el-Assad. » Six ans plus tard, rien ne s’est passé. Pensez-vous qu’une année supplémentaire et encore plus d’investissements permettront d’atteindre la pointe de l’iceberg et de faire basculer la situation actuelle ? J’en doute. Je pense que cet argent a été gaspillé alors qu’ils n’avaient qu’une ambition stratégique : éviter que le gaz quatari parvienne en Europe via la Syrie mais aussi détruire la société syrienne, pas le régime, mais la société, l’armée, l’intégrité syrienne.

  • Une ex-secrétaire d’État US met en garde l’Occident contre Sputnik et RT - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/une-ex-secretaire-d-etat-us-met-en-garde-l-occident-contre-sputnik

    Selon l’ancienne chef de la diplomatie américaine Madeleine Albright, l’Occident doit faire très attention à la « guerre de l’information » menée par Moscou à l’aide de ses instruments de propagande, dont Sputnik et RT sont à redouter tout particulièrement.

    L’agence Sputnik et la chaîne de télévision RT figurent parmi les principaux instruments de cette guerre de l’information que mène la Russie contre l’Occident qui doit en tenir compte, vu l’énergie particulière déployée par ces médias en Europe et dans les ex-républiques soviétiques d’Asie, met en garde l’ancienne secrétaire d’État américaine Madeleine Albright.

    © FLICKR/ YOLANDA.WHITE84
    Trump, Clinton et WikiLeaks : comment la Russie « intervient » dans la présidentielle US
     

    « Depuis des années, la Russie et d’autres régimes autoritaires mènent sournoisement une campagne de discréditation des institutions démocratiques à travers le monde, tout en concentrant l’essentiel de l’énergie sur l’Europe et les ex-républiques soviétiques en Asie », lit-on dans un article de Mme Albright publié par USA Today.

    © SPUTNIK. VLADIMIR TREFILOV
    Qu’est-ce qu’une guerre de l’information ?
     

    Selon l’ancienne chef de la diplomatie américaine, l’objectif n’en est pas obligatoirement de prouver la supériorité de leur système, mais plutôt de diminuer l’importance de l’idée même d’un gouvernement représentatif (démocratique) et de compromettre les leaders occidentaux, en les présentant en personnes corrompues et vicieuses.

    « Cette guerre est menée par des médias propagandistes, tels que RT et Sputnik, ainsi que par la diffusion d’informations fausses et de mensonges purs et simples sur Internet », affirme la diplomate.

     
    Guerre de l’information : un air de déjà-vu
     

    Et de se référer à divers médias américains prétendant que les autorités russes se tenaient derrière les hackers ayant piraté les emails du Comité national démocrate et du directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta.

    Dans le même temps, Mme Albright reconnaît que cela est parfaitement impossible.

    « Les experts sont unanimes affirmant qu’aucun pirate informatique ne pourra modifier les résultats du scrutin, mais si la Russie réussit, par le biais de déclarations mensongères de (Donald) Trump sur une élection falsifiée, à torpiller la confiance des électeurs, ce sera un beau cadeau pour les autocrates, despotes et politiciens antilibéraux partout dans le monde », prévient-elle.

    © AFP 2016 JOSEP LAGO
    Trump et Poutine face à la propagande occidentale
     

    Des représentants du Parti démocrate et Hillary Clinton elle-même ont ouvertement accusé la Russie d’implication dans des attaques informatiques visant à influer sur les résultats de l’élection présidentielle aux États-Unis. Néanmoins, Washington n’en a produit aucune preuve. De son côté, le président russe Vladimir Poutine a indiqué que les emails évoqués ne renfermaient rien qui puisse intéresser la Russie, et que l’hystérie n’était attisée que pour détourner l’attention du public de la teneur desdits courriels.

    Les sondages de plusieurs médias américains montrent qu’à quatre jours du scrutin de l’élection présidentielle, le républicain Donald Trump rattrape peu à peu sa rivale démocrate Hillary Clinton, bien que cette dernière garde encore un certain avantage. Ainsi, le suspense se maintient.

  • « Salut le facho ! » : le virulent texto de Rachida Dati à Brice Hortefeux révélé par Médiapart 4 nov. 2016, 12:09 - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/salut-le-facho-le-virulent-texto-de-rachida-dati-a-brice-hortefeux

    Le site vient de publier un long SMS dans lequel l’ex-ministre de la Justice et maire du VIIe arrondissement de Paris insulte le bras droit de Sarkozy en le menaçant explicitement de révéler des transactions d’argent liquide dont il aurait bénéficié.

    Le long SMS de Rachida Dati à Brice Hortefeux était censé rester privé. Mais l’ex-ministre de l’Intérieur ayant été placé sur écoute par les enquêteurs, il a été intercepté et révélé par le site de Médiapart, qui a publié des extraits du dossier d’instruction.

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    Nain Portekoi @Nain_Portekoi
    Et le prix Nobel du meilleur SMS est attribué à... Rachida Dati.
    09:55 - 4 Nov 2016
     
     
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    Le texto date du 9 septembre 2013. Alors qu’elle se trouve à l’époque dans une situation conflictuelle avec Brice Hortefeux, Rachida Dati n’hésite pas à qualifier ce dernier de « facho » et de voyou … avant de mentionner de manière tout à fait explicite « de l’argent liquide » prétendument perçu par le bras droit de Nicolas Sarkozy « pour organiser des RDV avec ce dernier lorsqu’il était président ».

    Les transactions en « cash », Rachida Dati en parle également lorsqu’elle évoque les relations de Brice Hortefeux avec l’homme d’affaire Ziad Takiedine, l’intermédiaire mis en examen dans l’affaire Karachi, qui porte sur des soupçons de rétrocommissions sur des contrats d’armement avec le Pakistan et l’Arabie saoudite, pour financer la campagne présidentielle d’Edouard Balladur en 1995 et dont Nicolas Sarkozy était alors le principal lieutenant.

    Le texto révélé par Médiapart est pour le moins explicite : 

    « Salut le facho, [...] Soit tu me lâches soit je vais déposer l’assignation qui date de deux ans dans laquelle tu figures avec d’autres pour atteinte à ma vie privée et écoutes illicites [...] »
    « De plus, je vais dénoncer l’argent liquide que tu as perçu pour organiser des rdv auprès de Sarko lorsqu’il était président, des relations tout aussi liquides que tu as eues avec Takieddine, l’emploi fictif de ton ex à la Caisse d’Epargne grâce à Gaubert [...], et je peux continuer avec les avantages que tu as eus et as encore à l’UMP à l’insu de ceux qui paient. »
    En copie de ce SMS virulent figure nul autre que Nicolas Sarkozy, dont le directeur de cabinet, Michel Gaudin, tente alors de joindre Rachida Dati. Mais lui aussi est sur écoute et la conversation tombe une nouvelle fois dans les oreilles des enquêteurs, comme l’explique Médiapart.

    « Il faut que tu fasses gaffe quand même… Envoyer des messages pareils… », lance Michel Gaudin à Rachida Dati. « Mais parce que c’est la vérité ! », répond la maire du 7e arrondissement de Paris avant de poursuivre :
    « Ce que j’ai mis dans le texto, je l’ai fait, je l’ai fait à dessein parce que c’est vrai. […] Il prenait des rendez-vous chez Sarko, et il faisait payer les gens. D’ailleurs, il m’a pas répondu parce qu’il sait que c’est vrai. Et sa bonne femme qui a été recrutée à la Caisse d’Epargne par Gaubert, c’est vrai aussi. »
    Contactés par Médiapart, les deux protagonistes restent évasifs sans pour autant nier en bloc
    Y voyant un scoop, les journalistes de Mediapart ont souhaité entrer en contact avec les deux anciens ministres. SSi la maire du VIIe ne nie pas l’existence des propos tenus dans le SMS qu’a publié Médiapart, elle relativise : « Des conneries à Hortefeux, j’en ai envoyées ». Brice Hortefeux affirme quant à lui, « se souvenir d’attaques [à son encontre de la part de Rachida dati], mais pas ce SMS ».

  • Incroyable mais vrai, un ancien bourreau bahreini va conseiller l’enquête saoudienne au Yémen - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/incroyable-mais-vrai-un-ancien-bourreau-bahreini-va-conseiller-l-e

    Incroyable mais vrai, un ancien bourreau bahreini va conseiller l’enquête saoudienne au Yémen
     4 novembre 2016 olivier 0 Commentaire anti-Houthis, Arabie saoudite, armes, Bahreïn,bourreau, chiites, civils, Coalition, colonel Mansour Al-Mansour, droits de l’Homme, enquête, Guerre, hôpital,Iran, JIAT, justice, manipulation, ONG, ONU, Politique, printemps arabes, rebelles, Riyad, sécurité, tortures,vidéo, viols, wahhabite, Yemen, yéménites
    Le colonel Mansour Al-Mansour a été nommé conseiller juridique de l’Equipe conjointe d’évaluation des incidents (JIAT) dirigée par l’Arabie saoudite. Celle-ci doit enquêter sur les dommages infligés aux civils yéménites par la coalition anti-Houthis.

    Le colonel Mansour al-Mansour n’est pas un inconnu et connaît son métier. Ce militaire est tristement célèbre à Bahreïn pour avoir joué un rôle crucial dans la répression et l’écrasement de la révolte bahreïnienne de 2011, dans le contexte des « Printemps arabes ».

    Le militaire, « spécialiste » en droit, a en effet dirigé un tribunal bahreïnien qui a jugé des centaines de manifestants non-violents, des universitaires, des écrivains et des journalistes, les condamnant souvent à des peines d’emprisonnement à perpétuité.

    Des dizaines de détenus auraient, sans jamais obtenir gain de cause, interpellé le colonel et dénoncé les tortures et les viols auxquels ils devaient faire face en prison. Le colonel est accusé par les organisations de défense des droits de l’homme d’avoir coordonné ces exactions répressives.

    L’ONU et des organisations de défense des droits de l’homme ont critiqué la manière de faire du colonel qui n’a pas hésité à exclure régulièrement du tribunal les observateurs internationaux des droits de l’homme.

    Mansour Al-Mansour a également conseillé au Bahreïn de ne pas signer la Convention internationale sur certaines armes classiques, qui inclut l’interdiction des armes à sous-munitions en raison du préjudice « indiscriminé » qu’elles peuvent causer. L’Arabie saoudite et ses neuf alliés au Moyen-Orient utilisent régulièrement de telles armes contre la rébellion houthie au Yémen.

    D’après le Middle East Monitor, c’est ce colonel qui prodigue maintenant ses précieux conseils au sein de l’Equipe conjointe d’évaluation des incidents (JIAT). Cette « équipe », dirigée par l’Arabie saoudite, doit mener un travail d’investigation sur les frappes aériennes perpétrées au Yémen. Ces bombardements ont tué des milliers de civils yéménites, y compris 140 civils et le maire de Sanaa, lors d’une frappe aérienne contreune célébration funéraire le mois dernier.

    Le royaume wahhabite, réélu récemment au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, a déjà été blanchi par le JIAT à propos de six incidents répertoriés, dont le bombardement en août dernier d’un hôpital de campagne de Médecins sans frontières (MSF).

    Human Rights Watch et plusieurs autres organisations de défense des droits de l’hommeréclament une enquête indépendante et non dirigée par l’Arabie saoudite. Les ONG soupçonnent Riyad et sa coalition de cibler délibérément les infrastructures civiles yéménites. Human Rights Watch a récemment insisté sur la nécessité pour les pays occidentaux d’arrêter de vendre des armes à l’Arabie saoudite et aux autre pays du Golfe.

    La guerre au Yémen oppose depuis 2014 les rebelles chiites houthis, proches de l’ancien président Ali Abdallah Saleh et soutenus par l’Iran, aux partisans du président Abd Rabbo Mansour Hadi, en exil en Arabie saoudite depuis 2015.

    Depuis mars 2015, la coalition dirigée par Riyad intervient régulièrement au Yémen, notamment par des frappes aériennes d’une grande violence, afin de remettre Abd Rabbo Mansour Hadi au pouvoir. Le conflit au Yémen a déjà fait jusqu’à 10 000 morts, dont 3 800 civils, selon les estimations de l’ONU.

  • La communication - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/la-communication.html

    La communication
    3 Novembre 2016, 23:51pm | Publié par S. Sellami

    Communiquer, dialoguer, ou participer à une discussion comme on le fait ici, ce n’est que le but d’agir sur autrui par le truchement de la parole ou de l’écriture comme c’est dans notre cas, il faut avoir l’art de la faire qui consiste non pas uniquement à trouver ce qui est propre ou pas pour convaincre mais d’avoir cette prouesse de faire jaillir la différence entre le vrai et le faux ce qui permet évidemment de faire triompher la vérité rien que la vérité. Donc il existe un bien et un mauvais dire et le bien dire suppose être en possession des facultés pour bien dire ; car les expressions utilisées doivent tenir compte des sentiments et des émotions de celui avec qui on engage une discussion minime soit elle et sur toutes les questions qui nous touchent enfin nous les humains d’une façon générale sans distinction de race ni de religion. Quand on lance un débat passionnant, sensible ou non il faut à mon avis avoir déjà une opinion fondée sur le sujet à traiter et d’accepter de débattre en tenant compte des valeurs éthiques, juridiques pour que la conclusion finale soit le plus juste possible afin de construire une opinion nouvelle. Les pistes de références pour peser le pour et le contre sont multiples pour donner l’occasion à se forger une opinion juste, chercher à emporter l’adhésion des autres à tout prix est une méthode utilisée dans des discours des politiciens, or ici à ce que je pense il n’est pas le cas. Si chacun de nous participe avec cette liberté de témoignages réels et non fictifs c’est pour se forger une idée ou une opinion sur ce que pensent les autres et même s’il nous arrive de se perdre dans les dédales d’une discussion rien n’est perdu puisque comme on dit pour se retrouver il faut se perdre, et surtout de garder cette liberté de s’opposer et si c’est nécessaire une fin de non recevoir. Dans un débat les propositions ne sont pas systématiquement définitives, quoique qu’on fasse pour lui vêtir une camisole la pensée se mue et ne se laisse pas tomber entre les mains pour l’achever, c’est ce qui lui donne ce pouvoir de remettre en cause ce qui a été dit, c’est en quelque sorte la théorie du philosophe qui transforme toujours la réponse trouvée en une autre question. Ce qu’on avance ici a pour valeur des actes et des expériences réels et non des suppositions élaborées à partir des oui-dire, la presse et la télé se partagent la responsabilité dans la diffusion des informations qui hélas dans la plus part des cas ne sont que des tentatives de détournement d’une partie de l’opinion publique vers des buts souvent inavoués. L’exemple de certains organes d’informations qui lors d’une table ronde sur un sujet qui touche le monde arabe et l’Algérie en particulier présentent des gens appelés des ’’experts’’ qui débitent des propos et avis sur telle ou telle question comme s’ils étaient des témoins et présents sur les lieux alors qu’en réalité ces ’’experts’’ n’ont jamais quitté le seuil de la porte de leur bureau et ce qu’ils disent n’est qu’une sauce préparée avec des ingrédients pris à gauche et à droite pour lui donner un gout personnel et la faire avaler à des crédules qui à leur tour viendront vanter le mérite du mélange.
    –50% de mon écrit n’est pas de moi, je me suis inspiré d’un livre qui parle de la rhétorique qui est l’art de bien dire.
    –si mon modeste écrit trouve preneur qu’il le secoue, le tourne dans tous les sens : il est vide de toute insinuation.
    Source : Ammar Hamadou, publié le 2 Novembre dans le journal des amis qui aiment Sétif.

  • BOOM ! Wikileaks confirme la vente d’armes à l’EI par Hillary Clinton - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/boom-wikileaks-confirme-la-vente-d-armes-a-l-ei-par-hillary-clinto

    Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, est un personnage controversé. Mais on ne peut pas nier que les courriels qu’il a collecté à l’intérieur du Parti démocrate sont réels, et il est prêt à exposer Hillary Clinton.

    Maintenant, il est heureux d’annoncer qu’Hillary Clinton et son Département d’État armaient activement les djihadistes islamiques, ce qui inclut l’État islamique (ISIS) en Syrie.

    Clinton a nié à plusieurs reprises ces revendications, y compris pendant plusieurs déclarations sous serment devant le Sénat américain.

    WikiLeaks est sur le point de prouver qu’Hillary Clinton mérite d’être arrêtée :

    Les responsables de l’administration Reagan espéraient obtenir la libération de plusieurs otages américains, et ensuite récupérer les bénéfices des ventes d’armes à l’Iran, pour financer les Contras au Nicaragua.
    Dans le second mandat d’Obama, la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton a autorisé l’envoi d’armes fabriquées en Amérique au Qatar, un pays redevable aux Frères musulmans, et sympathique aux rebelles libyens, dans un effort pour renverser le gouvernement / Kadhafi en Libye, puis expédier ces armes à la Syrie afin de financer Al-Qaïda, et renverser Assad en Syrie.
     
    Clinton a pris le rôle principal dans l’organisation des soi-disant « Amis de la Syrie » (alias Al-Qaïda / ISIS) pour soutenir l’insurrection menée par la CIA pour un changement de régime en Syrie.
    Sous serment, Hillary Clinton a nié qu’elle était au courant des livraisons d’armes au cours de témoignage public au début de 2013, après l’attaque terroriste de Benghazi.
     
    Dans une interview avec Democracy Now, Julian Assange de Wikileaks indique maintenant que 1.700 courriels contenus dans le cache de Clinton connectent directement Hillary à la Libye, à la Syrie, et directement à Al-Qaïda et ISIS.
    Via The Duran

    Voici la transcription incroyable :

    JUAN GONZALEZ : Julian, je veux parler de quelque chose d’autre. En mars, vous avez lancé une archive consultable avec plus de 30.000 e-mails et pièces jointes envoyées vers et depuis le serveur de messagerie privée d’Hillary Clinton alors qu’elle était secrétaire d’État. Les 50,547 pages de documents couvrent la période de juin 2010 à août 2014 ; 7500 des documents ont été envoyés par Hillary Clinton elle-même. Les e-mails ont été mis à disposition de tous sous la forme de milliers de fichiers PDF par le Département d’État des États-Unis à la suite d’une demande de la Loi pour la liberté d’information. Pourquoi avez-vous fait cela, et quelle est l’importance, de votre point de vue, d’être en mesure de créer une base consultable ?
     
     
    JULIAN ASSANGE : Eh bien, Wikileaks est devenu la bibliothèque rebelle d’Alexandrie. C’est la collection la plus importante d’informations qui n’existe nulle par ailleurs, accessible pour tous, sous forme consultable, sur la façon dont les institutions modernes se comportent en réalité. Et tout ça est en marche pour libérer les gens de prison, où les documents ont été utilisés dans leurs affaires judiciaires ; tenir la CIA responsable des programmes de’interprétations ; alimenter les cycles électoraux, qui ont abouti à la fin, dans certains cas, ou contribué à la cessation des gouvernements, dans certains cas, pris la tête des services de renseignement, les ministres de la défense et ainsi de suite. Donc, vous savez, nos civilisations peuvent seulement être aussi bonnes que notre connaissance de ce que notre civilisation est. Nous ne pouvons pas espérer réformer ce que nous ne comprenons pas.
     
    Donc, ces e-mails d’Hillary Clinton se connectent avec les câbles que nous avons publié sur Hillary Clinton, la création d’une image riche de la façon dont Hillary Clinton travail au bureau, mais plus largement, comment le Département d’État américain fonctionne. Ainsi, par exemple, la désastreuse intervention, absolument désastreuse en Libye, la destruction du gouvernement Kadhafi, qui a conduit à l’occupation d’ISIS dans de grandes parties de ce pays, les armes allant vers la Syrie, poussées par Hillary Clinton, les djihadistes en Syrie, y compris ISIS, tout est là dans ces e-mails. Il y a plus de 1700 emails dans la collection Hillary Clinton, que nous avons publié, seulement sur la Lybie.

    Il apparaît qu’Hillary Clinton a fait un faux témoignage, comme son mari quand il était Président.

  • Trump a déjà gagné ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/trump-a-deja-gagne.html

    On ne vous l’a pas encore annoncé ?

    Vous m’en voyez désolée alors, mais je ne peux pas m’empêcher de tenir votre secret pour un secret de polichinelle...

    J’annonce la couleur :

    Trump a déjà gagné en nous mettant nez à nez avec l’Amérique américaine, cynique et impudique... Adorée, argentée et bronzée.

    Grâce à Trump, on sait que les jeux sont toujours faits, que les gagnants ont du mal à perdre et que les perdants espèrent toujours gagner.

    Dans ce grand pays, on peut tout perdre, excepté la magie de la perte. Surtout pour celui qui croit pouvoir tout gagner, sous prétexte que l’espoir ne se perd jamais...

    C’est le rêve américain : avec rien, on peut arriver à quelque chose...

    Rêve qui pour la majorité des américains se transforme en cauchemar :

    Avec quelque chose, on n’arrive à rien ou à pas grand chose.

    L’assoiffé de savoir meurt avec sa soif.

    Le malade succombe à sa maladie

    Et l’affamé de justice crève de faim.

    Dans ce pays où tout est possible, les hommes meurent sans être ni heureux, ni lumineux.

    C’est une machine infernale qui torture avec de l’espérance.

    On y croit parce qu’on nous a vendu les raisons d’y croire.

    Et on continue de miser pour voir... et de se perdre sans s’en apercevoir !

    Sacré Trump, il a tout compris à cette forteresse vide de sens.

    Que pour être Président, il suffit d’avoir toutes ses dents et savoir faire de l’argent.

    Rien dans la tête, tout dans les poches...

    Ça coule de source, comme de l’eau de roche.

    La politique américaine, version républicaine :

    C’est du cinéma pour se faire de l’argent.

    Contrairement à la version démocrate qui cherche de l’argent pour faire du cinéma.

    C’est Trump qui l’a emporté en nous révélant que l’Amérique n’existe pas pour de vrai. Ce n’est qu’une projection...

    Pour nous autres, ce n’est que l’accomplissement hallucinatoire de notre désir.

    Désir d’être les esclaves d’une fiction, les victimes d’une hallucination

  • L’abdication calculée du dey ou comment les Turcs ont vendu l’Algérie à la France - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/l-abdication-calculee-du-dey-ou-comment-les-turcs-ont-vendu-l-alge

    L’armée française a dû affronter une résistance algérienne farouche. D. R.
    Le mauvais traitement subi par nos concitoyens à l’aéroport d’Istanbul, en Turquie, doit interpeller tous les Algériens sur la traitrise des Turcs qui ne date pas d’aujourd’hui. Parce que musulman, l’empire ottoman a toujours été présenté comme une « régence », euphémisme qui cache une occupation indue du sol algérien qui ne diffère en rien du colonialisme français. D’ailleurs, ce sont ces mêmes Turcs qui ont « vendu » l’Algérie à la France un certain 5 juillet 1830, alors que le général de Bourmont, conduisant son impressionnante flotte, peinait à vaincre les vaillants Algériens qui affrontaient l’armée française courageusement depuis le 14 juin, jusqu’à ce que la trahison du dey Hussein mette fin à cette résistance en signant un pacte honteux avec la France, en vertu duquel les Turcs cédaient leur « régence » au nouvel occupant, moyennant maintien de ses privilèges bassement matériels.

    Dans la convention signée par le général en chef de l’armée française et le représentant de la Sublime Porte à Alger – qualifié d’« altesse » par les Français et dont une rue porte pourtant son nom à ce jour au cœur de la capitale –, il est stipulé que « le fort de la Casbah et tous les autres forts qui dépendent d’Alger, seront remis aux troupes françaises ce matin, à dix heures (heure française) » (matin du 5 juillet, ndlr). En contrepartie de cette lâcheté, la France s’engage, lit-on dans le document historique, envers le dey d’Alger, « à lui laisser sa liberté et la possession de toutes ses richesses personnelles ». En outre, le dey « sera libre de se retirer avec sa famille et ses richesses particulières dans le lieu qu’il fixera. Et tant qu’il restera à Alger, il y sera, lui et sa famille, sous la protection du général en chef de l’armée française ». De Bourmont fit assurer la sécurité de l’abdiquant dey et celle de sa famille par une garde spéciale.

    Quant au reste du peuple, la France conquérante et arrogante, s’engagea, selon les clauses de cette même convention, à respecter l’exercice de sa religion (l’islam) et à ne pas porter atteinte aux biens et commerces des habitants. « Le général en chef en prend l’engagement sur l’honneur », est-il écrit dans la convention à l’issue de laquelle les troupes françaises entraient « dans la Casbah et successivement dans tous les forts de la ville et de la marine ».

    Le dey turc venait d’offrir l’Algérie à la France contre sa propre sécurité et la sauvegarde de sa fortune. La suite, tout le monde la connaît…

    Karim B.

  • UNESCO : le représentant du lobby sioniste à l’Assemblée interpelle le gouvernement - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/unesco-le-representant-du-lobby-sioniste-a-l-assemblee-interpelle-

    Lors de la séance de questions au gouvernement du mercredi 2 novembre 2016 à l’Assemblée nationale, Meyer Habib, député « franco »-israélien, s’est adressé à Manuel Valls pour lui demander des explications concernant l’abstention de la France au récent vote de l’UNESCO sur l’Esplanade des mosquées de Jérusalem. Le Premier ministre a délégué sa réponse à Harlem Désir, ce qui n’a évidemment pas plu à Meyer Habib. Au passage, ceux qui ne voient aucun rapport entre sionisme et judaïsme sont invités à méditer la citation de l’Ancien Testament proposée par le lobbyiste en ouverture de son intervention.

     

     

     

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • La propagande des tartuffes, crèche vs laicité, guerre en syrie, le règne du deux poids deux mesures - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/la-propagande-des-tartuffes-creche-vs-laicite-guerre-en-syrie-le-r

    Grâce au Conseil d’État, la “laïcité” ne sait plus dans quelle étable crécher !

    La loi laïque de 1905 séparant l’Etat des Eglises dispose que « la République ne reconnaît ni ne salarie aucun culte ». En conséquence, elle stipule noir sur blanc qu’aucun signe religieux ne doit être apposé dans les établissements publics. Ajoutons que cette loi n’est pas une de ces innombrables lois que l’exécutif, la police et la justice s’accordent tacitement pour ne même plus feindre d’appliquer, comme l’est par ex. la loi Toubon de 1994 qui dispose toujours que « le français est la langue des services publics, du travail, des échanges et de l’enseignement » (Yes ! OK ! Of course ! rayez la mention inutile). La loi de 1905 fait en effet partie du « bloc de constitutionnalité » et à ce titre, elle constitue l’Etat de droit que se flatte encore d’être la Ve République en capilotade.

    On pouvait donc penser, sans être exagérément qualifié en droit constitutionnel, que le Conseil d’Etat n’aurait pas à délibérer longtemps pour interdire l’exposition de crèches (comportant l’Enfant Jésus, la Vierge Marie, son époux Joseph, les Mages et l’Etoile mystérieuse, ces signes laïques bien connus !), à l’intérieur des Maisons pour tous que sont censées être les mairies françaises. Des bâtiments encore (provisoirement ?) publics au fronton desquels figure encore parfois, sans doute par antiphrase, l’inscription : « liberté, égalité, fraternité ».

    Eh bien non, il s’est trouvé des juges qui ne manquent pas d’R, pour estimer – ben voyons !– que la crèche étant un phénomène « culturel » et non « cultuel », elle serait à l’avenir autorisée dans les mairies.

    A quand de nouveau le crucifix – culturel et non cultuel puisqu’il figure sur tant de peintures – dans les écoles, les commissariats et les tribunaux ? Pour « justifier » son avis, le Conseil d’Etat avance sans rire l’idée qu’il faut interpréter la laïcité comme un dispositif de « paix civile » et non comme la base d’un interdit. Comme s’il n’arrivait pas que l’interdit, quand il repose sur l’égalité entre citoyens, soit le fondement de la « paix civile » !

    Belle « paix civile » demain dans nos villages si les athées réclament à leur tour (chiche ?) que dans les mairies on affiche désormais, au hasard, mais on peut peut-être trouver mieux ?, la phrase hautement culturelle du jeune Marx déclarant que « la religion est l’opium du peuple » ? On pourrait par exemple l’inscrire juste au-dessous de la devise républicaine. On pourrait aussi mettre le drapeau rouge à côté du tricolore le 1er Mai avec la phrase « prolétaires de tous les pays unissez-vous » (il se dit en effet que le Manifeste du PC est en effet, culturellement parlant, le livre le plus répandu au monde avec la Bible et le Coran). Concitoyens musulmans, que se passera-t-il si désormais, en vertu de l’égalité civique, vous demandez qu’à l’occasion de l’Aïd, les mairies soient décorées de croissants verts dont le caractère « culturel » est lui aussi avéré par des milliers d’œuvres d’art ? Oh le bel « apaisement » en perspective que voilà, alors que 30% des Français s’apprêtent à voter pour le FN et que Sarkozy ne sait plus quoi faire pour déborder l’extrême droite sur sa droite extrême...

    Bref l’avis du Conseil d’Etat se fonde-t-il sur la recherche de la « paix civile » ou tout au contraire, n’invite-t-il pas de manière irresponsable dans le climat actuel à franchir une étape supplémentaire vers cette guerre civile intercommunautaire qu’attisent symétriquement les frères ennemis du salafisme, de l’intégrisme catho résurgent (autour notamment, des « manifs pour tous ») et de l’ultra-droite FNLR, elle-même encouragée par la volonté liberticide de Napoléon Valls d’institutionnaliser et d’encadrer le culte musulman ?

    En avant, donc au nom de la pseudo-laïcité communautariste promue par l’UE, vers le démantèlement de la « République laïque, sociale, démocratique une et indivisible ». Et à quand le retour des guerres de religion qu’avait momentanément conjurées ou suspendues l’édifice progressiste, mais encore très contradictoire, de l’Edit de Nantes ?

    Bref, détruisons la laïcité aux cris de « vive la laïcité » et saccageons les bases mêmes de la « tolérance » en criant « vive la Tolérance et l’ouverture » !

    Conclusion : aux prochaines présidentielles, on peut faire l’économie des primaires et du vote lui-même : il suffit de porter d’emblée Tartuffe à l’Elysée !
    ALEP-MOSSOUL : A propos du Général Bellanger, des méchantes bombes russes et des gentils bombardements US...

    Doublure de l’arrogant Bernard Guetta dans le 7/9 de France-Inter, le « géo-policitien » Antony Bellanger a récemment commis un édito comparant les sièges simultanés de Mossoul (Irak) et d’Alep (syrie). Sans prendre le risque de citer à l’antenne les coupables et leurs arguments... – M. Bellanger tance les saligauds qui s’étonnent qu’on puisse à la fois flétrir les retombées tragiques de l’intervention russo-syrienne à Alep... et s’enthousiasmer pour l’offensive conduite à Mossoul par une série de milices et d’Etats rivaux que dirigent ouvertement Washington et Paris.

    A qui veut-on faire croire que, dans un cas, les bombes russes maniées par l’armée syrienne régulière iraient sadiquement frapper « la population civile » et « les enfants », et que les « assiégés » d’Alep seraient d’aimables « rebelles » (émargeant hélas un tout petit peu à Al Qaida), alors qu’à Mossoul, les obus pilonnés par d’obligeants « Peshmergas » pilotés par l’armée étasunienne font aimablement un détour pour éviter « les civils » et ne frapper que les « terroristes » ? L’énormité du parti-pris antirusse, pro-occidental et anti-syrien de France-Inter est telle que l’on ne peut éviter d’évoquer les vers de Victor Hugo :

    « C’est un Russe, égorge, assomme !
    C’est normal, pourquoi cet homme
    Avait-il un habit blanc ? »

    Que des éditorialistes triés sur le volet pour remettre l’auditeur bobo dans le droit chemin euro-atlantique, disposent d’un monopole d’Etat pour débiter ces sornettes, on peut le concevoir : car en régime capitaliste, la « liberté de la presse » consiste en ceci que le capital (dans les médias privés), ou que les gouvernements bourgeois (dans les médias « publics ») ont tout loisir pour embaucher, « cadrer » et éventuellement débaucher (s’ils franchissent la ligne politique fixée par l’éditeur) les « journalistes » qui ont le privilège (qui les choisit et sur quels critères ?) de monopoliser les éditoriaux politiques. Et si en plus, lesdits « journalistes » croient les billevesées qu’ils débitent, c’est tout bénèf, car une information n’est crédible que si est supposée parler librement la source dont elle émane...

    Mais que dire alors de tels auditeurs lettrés de France-Inter qui écoutent, avalent et relaient ensuite autour d’eux pareilles sornettes, sans jamais omettre de féliciter à l’antenne MM. Cohen, Guetta, Bellanger et Cie « pour la qualité de vos émissions » ?

    Floreal pour www.initiative-communiste.fr

    En complément (LGS) : Le sabre et le groupillon de Jean ferrat.
    http://www.dailymotion.com/video/xcnphf_jean-ferrat-le-sabre-et-le-gou

    ...

  • La Ville de Paris favorable à la création d’une zone naturiste dans la capitale - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/la-ville-de-paris-favorable-a-la-creation-d-une-zone-naturiste-dan

    La Ville de Paris favorable à la création d’une zone naturiste dans la capitale

    2 Novembre 2016, 13:52pm |

    Publié par S. Sellami
    © Fred Dufour, AFP | Des promeneurs dans camp de naturistes de la région lyonnaise, le 26 juillet 2005.

    Texte par FRANCE 24

    Dernière modification : 26/09/2016
    Le Conseil de Paris doit débattre lundi d’une proposition du groupe écologiste : la création d’une zone naturiste dans la capitale. Un adjoint de la mairie de Paris a d’ores et déjà annoncé qu’il soutiendrait le projet.

    Pourra-t-on bientôt se promener tout nu dans Paris ? Le projet de créer une zone naturiste en plein air dans la capitale française prend tournure. La proposition du groupe écologiste doit être examinée lundi 26 septembre par le Conseil de Paris. Juste avant le vote, un adjoint de la mairie de Paris a annoncé qu’il soutiendrait le projet. « C’est moi qui sera chargé de répondre aux écologistes au Conseil de Paris. Je suis pour, et je crois que la maire de Paris aussi. Donc on va le faire », a ainsi déclaré Bruno Julliard sur BFMTV. Anne Hidalgo, la maire de Paris, avait déjà déclaré juger l’idée « très sympa ».

    L’endroit reste en revanche à définir : Bruno Julliard a estimé que ce serait « probablement dans un parc ou un jardin » de la capitale. « Les écologistes proposaient le cœur de Paris, voire les voies sur berge, on ne va pas commencer par là », a précisé l’adjoint de la mairie de Paris. « Cela ne fait de mal à personne. On va le faire en respectant les sensibilités de tout le monde », a-t-il encore assuré.

    Comme à Berlin ou Barcelone

    « D’autres capitales européennes le font, Berlin tout récemment », a aussi fait valoir l’adjoint de la mairie de Paris. C’est également le cas dans d’autres villes européennes comme Munich et Barcelone.

    À Paris, jusqu’à présent, seule la piscine Roger Le Gall, dans le 12e arrondissement, ouvre son bassin plusieurs fois par semaine en nocturne aux naturistes. Pratiquer le naturisme dans un endroit non autorisé peut coûter cher : « L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende », indique l’article L222-32 du code pénal qui réglemente la nudité.

    Selon une enquête Ifop réalisée en 2014, un Français sur six est prêt à expérimenter les vacances naturistes. Avec plus d’une centaine de plages naturistes et quelque 20 000 emplacements de camping, la France est la première destination naturiste mondiale.

  • Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik) - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/alerte-info-un-contre-coup-anti-clinton-machine-en-cours-aux-etats

    Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik)

    2 Novembre 2016, 11:59am |

    Publié par S. Sellami
    Alerte Info : un contre-coup anti-Clinton Machine en cours aux Etats-Unis… (Steve Pieczenik)

    Époustouflant !…

    Cette information vient d’être révélée par un vétéran du renseignement et de la machine administrative yankee : le psychologue spécialiste en guerre psychologique Steve Pieczenik, bien connu des médias alternatifs. Nous avons publié au cours des années des articles s’appuyant sur ses analyses et commentaires.

    Il vient de diffuser une vidéo relayée aux Etats-Unis et dans le monde entier par InfoWars et son propre site internet. Nous mettons cette vidéo en section commentaire. Durant son allocution il explique ce qui a été une évidence depuis des années, à savoir la guerre interne de deux factions dans les services de renseignement américains et par ruissellement dans les services occidentaux inféodés. Il explique que le gang Clinton, via la Clinton Foundation a kidnappé de longue date les hautes sphères du pouvoir à Washington et que devant le niveau de corruption sans précédent, une faction puissante du renseignement américain a décidé de tirer la chasse d’eau sur la fange ambiante. Pieczenik n’est qu’un porte-parole d’un mouvement s’étendant bien au-delà de lui.

    Il explique également que cette faction à laquelle il appartient a utilisé Wikileaks et Julian Assange, avec le plein accord de celui-ci, pour diffuser le trop-plein de preuves accablantes pour le gang Clinton. Du coup, un autre masque semble aussi vouloir tomber : celui de Wikileaks, puisqu’annoncé de facto comme instrument d’une faction du renseignement américain, ceci validerait du même coup bien des hypothèse émises dans le temps au sujet de l’organisation et d’Assange lui-même.

    Nous n’en sommes qu’au tout début de cette affaire, mais si cela suit son cours normal, d’énormes répercussions à tous les niveaux doivent être attendues aux Etats-Unis et à l’étranger !…

    Est-ce une manœuvre d’intox ? C’est possible, mais le choix de Pieczenik comme porte-parole peut être interprêté comme un signe de confiance.

    A suivre quoi qu’il en soit dans les jours qui viennent. A une semaine de la farce des élections yankees, çà tape fort. Comment les merdias pressetituées vont-ils gérer l’affaire ? Il va être très très difficile de l’ignorer !…