Bon il disait quoi Dupont aignan sur la le pen déjà ?
Bon il disait quoi Dupont aignan sur la le pen déjà ?
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/dupont-aignan-le-programme-de-marine-le-pen-n-est-pas-assez-serieux-17-02-20
Dupont-Aignan : « Le programme de Marine Le Pen n’est pas assez sérieux »
Le positionnement politique de Marine Le Pen est-il proche du vôtre ?
Il y a eu des propos qui ont évolué, c’est bien, mais l’arrière-boutique ne correspond pas à la vitrine et son programme n’est pas sérieux. Mon programme n’est pas une restauration, mais une vraie reconstruction.
Donc vous ne la rejoindrez pas, comme elle vous le demande ?
Ses appels me laissent indifférent. Je ne répondrai à aucune sollicitation. Je suis un gaulliste. Je me bats pour un patriotisme humaniste.
Donc pour sourcer la blague :
Nicolas Dupont-Aignan rallie Marine Le Pen
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/nicolas-dupont-aignan-rallie-marine-le-pen-29-04-2017-2123579_3121.php
« J’aurais pu faire comme beaucoup de personnalités politiques, me laver les mains au second tour, l’intérêt personnel, c’est de faire ça, l’intérêt de mon parti aussi, qui n’a jamais donné de consigne de vote. Mais je pense que la France est à la croisée des chemins », a-t-il poursuivi.
Les gudards, « dernier verrou de la dédiabolisation du FN » - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/les-gudards-dernier-verrou-de-la-dediabolisation-du-fn-14-04-2017-2119785_31
Qui sont les gens que vous regroupez sous l’appellation « GUD connection » ?
Mathias Destal : C’est un groupe d’amis proches de Marine Le Pen qui ont fait leurs classes militantes au GUD, au début des années 1990. Aux côtés de Frédéric Chatillon, qui a pris la tête du mouvement de 1992 à 1995, on retrouve Axel Loustau, qui est aujourd’hui le trésorier de Jeanne, le microparti de Marine Le Pen, et élu au conseil régional d’Île-de-France ; Jildaz Mahé O’Chinal, moins visible, mais dont la femme, Florence Lagarde, est présidente de Jeanne ; et Olivier Duguet, une pièce rapportée, dont on parle très peu. Comptable de formation, il est un ancien ultra du PSG qui a été videur de boîtes de nuit, et qui s’est retrouvé catapulté au poste de trésorier de Jeanne lors de la création de l’association, avant d’en être éloigné à cause d’ennuis judiciaires (il a été condamné dans un dossier d’escroquerie à Pôle emploi). Il est aussi connu comme le comptable attitré de la « GUD connection ».
L’appel au vote utile contre Mélenchon qui ne va pas plaire à Fillon - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/l-appel-au-vote-utile-contre-melenchon-qui-ne-va-pas-plaire-a-fillon-11-04-2
Le sénateur Jean-Baptiste Lemoyne vient de mettre les pieds dans le plat. Devant la poussée de Jean-Luc Mélenchon dans les sondages, le seul parlementaire Les Républicains à avoir rallié ouvertement Emmanuel Macron a appelé mardi les électeurs de droite à voter pour le candidat d’En marche !, « seul vote utile » pour faire barrage au candidat de La France insoumise. « La candidature de François Fillon est en voie d’être rattrapée voire dépassée par Jean-Luc Mélenchon », a souligné l’élu de l’Yonne sur RTL.
Les Versaillais avec Macron !!! :-D
Marine Le Pen part en croisade contre la « mauvaise mondialisation » - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/marine-le-pen-part-en-croisade-contre-la-mauvaise-mondialisation-11-03-2017-
« Partout sur notre territoire, dans nos villes moyennes, dans nos provinces, la mondialisation, celle que le système nous vend depuis des décennies comme heureuse, celle à laquelle Macron et Fillon croient encore et dont ils parlent même avec émotion, cette mondialisation étend ses ailes pour désertifier nos campagnes et nos villes », a dit Le Pen devant environ 1 500 personnes, soit la moitié de la capacité de la salle. « Nos dirigeants, non contents d’avoir dévitalisé les centres-villes, n’ont rien fait contre la disparition des services publics », a-t-elle affirmé, évoquant le « lourd tribut » payé par la préfecture de l’Indre à la « globalisation ».
L’eurodéputée a cité à l’appui les « trains qui s’arrêtent moins souvent dans vos gares, quand elles existent encore », ou les « rendez-vous chez les spécialistes qu’il faut prendre dans deux mois, à 50 kilomètres... ». Le public lui faisant remarquer que ces délais et ces distances étaient plus grands, elle a corrigé ses propos, ajoutant « À 100 kilomètres et dans six mois ». En 2012, Mme Le Pen, tout en vantant la « proximité » des services, avait demandé en matière de soins la « fermeture des petites structures n’assurant pas une qualité de soin suffisante », leur préférant celles de « taille moyenne ».
« Quand Macron envisageait de réduire de 100 milliards les dépenses publiques »
En août 2015, Emmanuel Macron proposait de les ramener à 50 % du PIB à l’horizon 2022. Soit ce que propose aujourd’hui François Fillon...
Par Pierre-Antoine Delhommais
Si Emmanuel Macron s’ingénie aujourd’hui, avec habileté et méthode, à brouiller les pistes idéologiques pour mieux afficher son indépendance vis-à-vis des partis traditionnels de gauche et de droite, les positions qu’il a prises dans le passé sur la nécessité de réduire fortement les dépenses publiques l’opposent radicalement aux candidats de la Belle Alliance populaire qui, lors des débats télévisés, ont tous proposé de les augmenter et sont aussi tombés d’accord pour dénoncer la purge « ultralibérale » de 100 milliards d’euros d’économies annoncée par François Fillon.
À l’été 2015, lors de l’université du Medef, M. Macron, alors ministre de l’Économie, s’était assez longuement exprimé sur le sujet : « Nous devons progressivement habituer notre économie à se déshabituer de la réponse facile que les gouvernements, je dois dire de toutes couleurs, ont, historiquement, jusqu’ici utilisée, c’est-à-dire la dépense publique. Quand on a une difficulté, on y répond par de la dépense publique en corrigeant les inégalités que l’économie aurait créées sans vouloir chercher à les prévenir. Quand quelque chose ne repart pas assez vite, on met de la dépense publique pour permettre de faire un choc conjoncturel. Lorsqu’on a 57 % de dépenses publiques rapportées au PIB, ce n’est plus possible. Ce n’est plus possible parce que c’est reporter le problème sur les générations à venir, c’est créer une iniquité intergénérationnelle nouvelle, c’est considérer que le traitement de nos difficultés d’aujourd’hui, les jeunes le paieront demain et que ça n’est pas notre problème. C’est avoir une forme de discours irresponsable quand on croit à l’Europe, ce qui est mon cas, et lorsqu’on constate que la moyenne des pays de la zone euro est de huit points inférieure à la nôtre. Notre ambition, notre perspective, c’est d’ici 2022 de revenir à 50 % de dépenses publiques rapportées au PIB. Ce n’est pas aberrant, certains diront ce n’est pas assez, parfois ceux qui l’ont largement augmenté, d’autres diront c’est trop. Revenir à 50 % de dépenses publiques rapportées au PIB, c’est crédible à horizon 2022. »
Discret pour n’effrayer personne !
Cet objectif de ramener le niveau de dépenses publiques à 50 % du PIB en 2022, contre 56,5 % en 2016, est aujourd’hui rappelé par le site Vision Macron, qui compile les idées et les déclarations d’Emmanuel Macron. Il se trouve comme par hasard que ce ratio de dépenses de 50 % du PIB est également celui que propose d’atteindre à la fin de son quinquennat François Fillon, qui, de son côté, a pris la peine de calculer que, pour y parvenir, il convenait de réduire les dépenses publiques de cent milliards d’euros. Autrement dit, M. Macron, s’il était élu président de la République, pourrait baisser les dépenses publiques dans les mêmes proportions que M. Fillon, c’est-à-dire de l’ordre de cent milliards d’euros en cinq ans. À la différence du candidat de la droite, qui en a fait un argument de campagne pour démontrer la radicalité et le courage de son programme, M. Macron a fait montre jusqu’à présent d’une extraordinaire discrétion sur ses objectifs de baisse massive des dépenses publiques, de crainte sans doute d’effrayer « le peuple de gauche » et de subir les accusations d’ultralibéralisme de la part de ses adversaires socialistes.
Post-scriptum : Emmanuel Macron nous fait savoir qu’il n’a pas proposé cela et que ses choix budgétaires seront annoncés d’ici à la fin du mois de février.
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/macron-et-sa-discrete-baisse-de-100-milliards-d-euros-des-depenses-18-01-201
Primaire de la gauche : Hamon dévoile son programme économique - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/primaire-de-la-gauche-hamon-devoile-son-programme-economique-19-12-2016-2091
Benoît Hamon, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, a détaillé lundi un large pan de son programme économique, plaidant pour « un grand impôt sur le revenu fusionné avec la CSG » et « détaillant le calendrier de son revenu universel ». « Je milite pour un grand impôt sur le revenu qui fusionne impôt sur le revenu et CSG avec 10 tranches », a expliqué le député des Yvelines dans une interview parue dans Les Échos. « Il faut un impôt unique sur le patrimoine qui fusionne tout ce qui existe (ISF, taxe foncière, droits de mutation) », a-t-il ajouté. « Le but est d’améliorer le rendement de l’impôt et de faire en sorte que les prélèvements sur les derniers déciles soient plus importants », a précisé l’ancien ministre de l’Éducation.
Moi je dis, y-a des candidats « de gauche » qui ont du mérite. Ils ont le droit à de vrais articles dans la Presse sur leur programme, et en plus, ils y ont droit aussi dans la Presse dite « de droite ».
C’est pas du favoritisme, c’est juste du « talent ». Et Hamon est talentueux, CQFD.
LES TRUMPERIES DE SARKOZY et consorts - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
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LES TRUMPERIES DE SARKOZY et consorts
10 Novembre 2016, 23:46pm | Publié par S. Sellami
Nicolas Sarkozy s’apprêtant à retourner sa veste.
De façon assez cocasse, l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis commence à provoquer la remise en cause, voire la désintégration, de tout le discours des politicards français.
D’ores et déjà, en matière de virage à 180° , Sarkozy apparaît comme le champion des bonimenteurs, ce qui n’étonnera que ceux qui n’ont toujours pas compris que cet homme est un escroc.
Ce que Sarkozy disait sur Trump AVANT l’élection américaine
« Qu’est-ce que j’ai à voir avec Monsieur Trump ? »
▻http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/09/22/25002-20160922ARTFIG00338-sarkozy-qu-est-ce-que-j-ai-a-voir-avec-monsieur-t
« Ce monsieur ne mérite pas tant d’intérêt que cela. Ce qui est assez effrayant c’est l’impact qu’il a. Je trouve terrifiant qu’il y ait 30% d’Américains qui peuvent se reconnaître là-dedans. » (…) « Ça fait frémir. Ça me fait frémir aussi sur l’état d’une partie de l’Amérique profonde », a ajouté Nicolas Sarkozy, dénonçant le « populisme » et la « vulgarité » du candidat républicain à la Maison Blanche.
▻http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/03/23/97001-20160323FILWWW00392-l-effrayant-trump-fait-fremir-sarkozy.php
« Je souhaite la victoire d’Hillary Clinton »
▻http://www.europe1.fr/politique/entre-trump-et-clinton-sarkozy-a-choisi-2856514
Ce que Sarkozy dit sur Trump APRÈS l’élection américaine
Élection de Donald Trump : Nicolas Sarkozy « a honte » de la réaction de Jean-Marc Ayrault
▻http://www.europe1.fr/politique/election-de-donald-trump-nicolas-sarkozy-a-honte-de-la-reaction-de-jean-marc
« Le message du peuple américain doit être entendu comme le choix du Brexit par les Britanniques. Il exprime une volonté de changement. Il exprime le refus d’une pensée unique qui interdit tout débat sur les dangers qui menacent notre nation »
▻http://www.lepoint.fr/presidentielle/nicolas-sarkozy-se-voit-bien-dans-les-pas-de-donald-trump-09-11-2016-2081999
Conclusion
Sitôt les résultats connus, les grands médias asservis au système ont immédiatement associé la victoire de Trump à la supposée dynamique du FN et de Mme Le Pen. Ils ont ainsi tenté de faire mousser comme d’habitude le leurre FN puisque le parti de la Famille Le Pen est la « roue de secours » du système qui ne remet en cause réellement ni l’UE, ni l’euro, ni l’Otan -.
De leur côté, les politicards LR/PS essayent maintenant de récupérer le résultat de l’élection américaine.
Même Emmmanul Micron s’y est mis !
▻http://www.lci.fr/elections-americaines/elections-americaines-comment-les-politiques-francais-tentent-de-recuperer-la-vi
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/election-presidentielle-2017/20161109.OBS0974/le-pen-sarkozy-macron-ces-candidats-qui-revent-de-l-effet-trump
Tout cela est pitoyable.
François XAVIER
Adhérent UPR des Hauts-de-Seine
10 novembre 2016