• Harvard reste l’université la plus riche du monde
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/harvard-reste-l-universite-la-plus-riche-du-monde-27367502

    Le fonds de réserve de l’université américaine a dépassé les 53 milliards de dollars, soit l’équivalent des réserves de la Banque centrale d’Afrique du Sud ou des Pays-Bas.


    Durant l’année 2020/21, Harvard a, par ailleurs, reçu 465 millions de dollars (429 millions de francs) de dons versés au fonds de réserve. (photo : Getty Images via AFP)
    L’université américaine de Harvard a vu son fonds de réserve (endowment) augmenter de 27% en un an, selon son rapport financier annuel publié jeudi, ce qui en fait, plus que jamais, l’université la plus riche du monde. Très répandu dans l’enseignement supérieur américain, le fonds de réserve est constitué et alimenté pour l’essentiel par des dons privés. Beaucoup de ces dons (82%) sont soumis à des restrictions, fléchés vers des disciplines ou des projets précis.

    Seuls environ 5 à 5,5% des réserves du fonds sont utilisés chaque année pour financer le fonctionnement de l’université de Harvard, située à Cambridge (Massachusetts), soit deux milliards de dollars durant l’année 2020/21.

    Harvard devance Yale
    Déjà le plus élevé au monde, le fonds de réserve a augmenté de 27%, pour atteindre 53,2 milliards de dollars à fin juin, qui correspond à la fin de l’exercice comptable, soit l’équivalent des réserves de la Banque centrale d’Afrique du Sud (SARB) ou des Pays-Bas. Profitant de l’insolente santé des marchés financiers, Harvard a enregistré un rendement de 33,6% de ses actifs en un an.

    Durant l’année 2020/21, Harvard a, par ailleurs, reçu 465 millions de dollars de dons versés au fonds de réserve. Selon un classement établi par le magazine « US News », Harvard devançait déjà nettement Yale l’an dernier au classement des plus grands fonds de réserve, avec 41,9 milliards de dollars contre 31,1 (38,7 milliards de francs contre 28,7).

    • Ne pas s’étonner si la progéniture des généreux donateurs soient diplômés haut la main d’harvard.

      Des chiffres assez peu cohérents dans cet article, mais on ne va pas demander aux journalistes de vérifier ce qu’ils/elles transmettent.

  • La compagnie Southwest a annulé plus de 1 000 vols
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/la-compagnie-southwest-a-annule-plus-de-1000-vols-17229993

    La compagnie américaine Southwest a annulé plus de 1 000 vols, dimanche, prétextant des problèmes météorologiques et de contrôle aérien.


    Le transporteur a annulé plus de 1 085 vols dimanche, soit près de 29% de son trafic. (photo : AFP)

    Southwest Airlines a annulé plus de 1 000 vols, dimanche, lors d’un week-end marqué par les perturbations, que la compagnie explique par la météo et des problèmes de contrôle aérien.

    Le transporteur a annulé plus de 1 085 vols dimanche, soit près de 29% de son trafic, le plus haut taux pour une compagnie aérienne, et a accusé des retards sur plus de 900 autres liaisons, selon l’outil de suivi de vol FlightAware. Southwest a aussi annulé plus de 800 vols samedi, assure FlightAware.

    Dans un communiqué, Southwest explique que les ennuis météorologiques ont commencé dans les aéroports de Floride au début du week-end et ont été aggravés par des problèmes inattendus de contrôle aérien qui ont provoqué des retards et entraîné de nombreuses annulations.

    Protestation
    « Nous avons continué à travailler avec diligence tout au long du week-end pour reprendre nos opérations en nous concentrant sur le repositionnement des avions et des équipages pour prendre soin de nos clients », a assuré la compagnie aérienne.

    L’Association des pilotes de Southwest Airlines (SWAPA) a réfuté les rumeurs selon lesquelles certains pilotes ou salariés de la compagnie participaient à un ralentissement de l’activité pour protester contre la décision de l’entreprise d’obliger ses employés à se faire vacciner contre le Covid-19.

    « La SWAPA est au courant des difficultés opérationnelles affectant Southwest Airlines, aujourd’hui, à cause de plusieurs problèmes, mais nous pouvons dire avec certitude que nos pilotes ne participent à aucune mobilisation officielle ou officieuse », a souligné le groupe, samedi.

    #grève  #transport_aérien #travail #luttes_sociales #vaccination #crise_sanitaire #covid-19 #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique

  • Football : 41,1 milliards d’euros pour les transferts en 10 ans
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/41-1-milliards-d-euros-en-transferts-en-10-ans-26799887
    Le marché des transferts dans le football a provoqué 41,1 milliards d’euros de dépenses de 2011 à 2020, selon un rapport de la Fifa qui pointe la part croissante des agents.

    Selon les mégadonnées analysées sur la période 2011-2020, grâce au système mis au point par la Fifa, TMS (Fifa Transfer matching system), lancé en octobre 2010, le mercato a connu une croissance constante jusqu’à 2019, avant que la crise du Covid ne frappe aussi cette activité. De 2,85 milliards de dollars (2,41 milliards d’euros) la première année du monitoring de TMS (2011), la somme est montée jusqu’à à 7,35 milliards (6,22 milliards d’euros) en 2019, avant un recul de 23% en 2020 (5,63 milliards de dollars, 4,77 milliards d’euros) à cause de la pandémie de coronavirus.


    Le transfert de Neymar du Barça vers le PSG, à l’été 2017, reste le plus coûteux de l’histoire, à 222 millions d’euros. Mais sur la décennie, c’est City qui a dépensé le plus. (photo : AFP/Alain Jocard)

    Selon cette étude, les 30 clubs les plus dépensiers sont tous européens. Parmi eux, douze jouent en Premier League anglaise, cinq en Espagne et cinq Italie, trois en Allemagne, deux en France et deux au Portugal, un en Russie. Ces 30 clubs pèsent à eux seuls pour 47% du montant total mondial des dépenses de transferts sur la période.

    Augmentation « spectaculaire » de la part des agents
    Le club le plus dépensier de la décennie est Manchester City (le rapport ne donne pas de chiffres), devant Chelsea et le FC Barcelone. Le Paris Saint-Germain est 4e. Dans l’autre sens, les deux clubs qui ont reçu le plus d’argent pour des transferts sont portugais, le Benfica et le Sporting. Monaco, premier club français dans le classement des meilleurs vendeurs, est 8e, devant Lyon 14e, Lille 16e et le PSG 18e.

    Ce rapport permet aussi d’identifier l’explosion des commissions d’agents. Si la somme totale versée aux intermédiaires s’élevait à 131,1 millions de dollars (111,1 millions d’euros) en 2011, elle était de 640,5 millions de dollars (542,8 millions d’euros) en 2019, une augmentation « spectaculaire », selon la Fifa. TMS (Fifa Transfer matching system) est un registre informatique de tous les transferts de joueurs professionnels pour 200 fédérations dans le monde. Il prend désormais en charge tous types de transferts, y compris ceux des féminines, des joueurs amateurs et des jeunes
    #football #sport #foot #football_is_a_country #fifa #football_leaks #international #qatar #coupe_du_monde #presse #fric

  • McDonald’s vend plus qu’avant la pandémie
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/mcdonald-s-vend-plus-qu-avant-la-pandemie-20741336

    Les ventes du géant de la restauration rapide McDonald’s, tirées par une forte hausse des commandes aux États-Unis, ont dépassé le niveau d’avant la pandémie.

    Le groupe américain a vu ses ventes à nombre de magasins comparables, une mesure importante dans le commerce, progresser de 7,5%. Elles dépassent « le niveau du premier trimestre 2019 », a souligné le directeur général de la chaîne de restaurant, Chris Kempczinski, dans un communiqué.

    Aux États-Unis, elles ont bondi de 13,6%, dopées par la hausse du montant moyen des commandes ainsi que par la croissance continue des livraisons et des commandes passées en ligne. Le groupe a notamment proposé au cours du trimestre des nouveaux sandwichs au poulet, et remis au menu les nuggets de poulet épicés.
    . . . . . . .

    Au premier trimestre, son chiffre d’affaires a progressé de 9% à 5,12 milliards de dollars, au-dessus des prévisions des analystes (5,03 milliards). Son bénéfice net a bondi de 39% à 1,54 milliard de dollars.

     #économie #macdo #cdi_précaires #alimentation #mcdonald's #malbouffe #alimentation #santé #obésité #etats-unis #junk_food #beurk

  • Le CIO signe un nouveau contrat avec Coca- Cola L’essentiel/afp - 24 Juin 2019 - L’essentiel
    L’organisateur des Jeux olympiques a signé lundi un nouveau partenariat avec le producteur de boissons, ainsi qu’avec le géant chinois du lait Mengniu.
    Le Comité international olympique a annoncé lundi la signature d’un accord de partenariat conjoint avec Coca-Cola et le fabricant de produits laitiers chinois Mengniu. Ni le CIO ni les deux groupes n’ont donné de précision sur le montant de ce partenariat.


    L’accord de partenariat « mondial avec Coca-Cola et Mengniu, qui court de 2021 à 2032, est un partenariat unique », a déclaré devant la presse Thomas Bach, président du CIO. « Notre partenariat avec Coca-Cola sera le plus long de l’histoire de nos partenariats. Il a débuté en 1928 et fêtera donc son centenaire en 2028 aux Jeux olympiques de Los Angeles », a-t-il ajouté.

    Mengniu, qui avait été partenaire de la FIFA lors du Mondial 2018, rejoint ainsi le club des principaux partenaires du CIO réunis dans « The Olympic Program » (TOP). Cette annonce a été faite à Lausanne, avant l’ouverture de la 134e session du CIO durant laquelle la ville hôte des Jeux d’hiver 2026 doit être choisie entre Milan/Cortina et Stockholm/Are.

    Source : http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/le-cio-signe-un-nouveau-contrat-avec-coca-cola-29512077

     #jeux_olympiques ( #jo #paris_2024 #multinationales #beurk #alimentation #empoisonneurs #obésité #diabète #coca_cola #coca_cola #sport_fric #affairisme l’#obésité est #enmarche , sans distinction de race ou de sexe

  • Le gouvernement veut réconcilier la France avec l’industrie pharmaceutique
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/07/10/le-gouvernement-veut-reconcilier-la-france-avec-l-industrie-pharmaceutique_5


    Je pose ça là…

    Une France plus « business friendly » (favorable aux entreprises) avec l’industrie pharmaceutique. C’est ce que promet le gouvernement qui a annoncé mardi 10 juillet une série de mesures favorables aux industries de santé. Ce secteur qui englobe les médicaments, les dispositifs médicaux et les diagnostics réalise 90 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an. Il représente l’un de plus importants excédents commerciaux de la France avec l’automobile et l’aéronautique.

    Le premier ensemble de mesures a pour objectif de faciliter l’accès au marché des nouveaux médicaments et de réduire les délais administratifs. L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) devra traiter les demandes de mise en place d’un essai clinique dans un délai médian de 45 jours, contre plus de 60 jours en 2017. Le Comité économique des produits de santé (CEPS) devra de son côté fixer le prix des médicaments en six mois, comme le prévoit une directive européenne, alors que le délai moyen pour les nouveaux médicaments atteint aujourd’hui 275 jours (soit environ 9 mois).
    Valoriser les médicaments nouveaux

    Afin de donner davantage de lisibilité aux fabricants et de mieux valoriser les médicaments nouveaux, le gouvernement s’est par ailleurs engagé à augmenter ses dépenses de médicaments. Les industriels sont assurés de voir leur chiffre d’affaires progresser d’au moins 0,5 % par an au cours des trois prochaines années. Côté Assurance-maladie, cela correspond à une hausse de 1 % des dépenses remboursées et de 3 % pour les médicaments innovants.

    A plus long terme, le gouvernement compte renforcer l’attractivité de la France en créant un pôle d’excellence dans les biotechnologies afin de rattraper le retard pris dans ce domaine. Il entend aussi valoriser les bases de données de santé, qui comptent parmi les plus importantes dans le monde. Le futur « Health Data Hub » (base de données de santé) a vocation à rendre compatible les différentes sources d’information et faciliter l’accès aux différentes sources : données cliniques détenues par les établissements ou professionnels de santé, cohortes, registres, données issues des laboratoires de biologie, ou encore données médico-administratives.

    • L’Italie produit désormais le plus de médicaments L’essentiel/afp - 17 Juillet 2018 - L’essentiel
      L’Italie est devenue le premier producteur pharmaceutique dans l’Union européenne, devant l’Allemagne, avec une production de médicaments qui a bondi de 20% en cinq ans.
      La France, 1 er producteur en 2008 a descendu à la 6 ieme place.
      http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/L-Italie-produit-desormais-le-plus-de-medicaments-24937894

      L’Italie a dépassé l’Allemagne pour s’imposer comme le premier producteur pharmaceutique dans l’Union européenne, un secteur ultraconcurrentiel où la France est à la peine, même si elle entend bien revenir dans la course. La production italienne de médicaments a atteint 31,2 milliards d’euros l’an dernier, contre 30 milliards pour l’Allemagne, selon des estimations de la fédération italienne du secteur, Farmindustria.

      La Suisse reste toutefois le leader du secteur en Europe, et de loin (46,3 milliards d’euros en 2016 selon la fédération européenne Efpia), grâce notamment à ses géants mondiaux Novartis et Roche. Il n’empêche qu’en cinq ans, la production italienne a bondi de 20%. « Cette forte augmentation est due à 100% à l’export, nos produits partent dans le monde entier », explique à l’AFP le président de Farmindustria, Massimo Scaccabarozzi. Les exportations ont été multipliées par cinq en 20 ans, passant de 4,5 milliards d’euros en 1997 à 24,8 milliards. Rien que l’an passé, elles ont bondi de 16%, représentant 80% des ventes. La raison ? « Une production de grande qualité avec des coûts très compétitifs, y compris par rapport à des pays où le coût de la main-d’œuvre est plus bas », selon M. Scaccabarozzi.

      « Nous avons deux "plus" »

      « Nous y arrivons parce que nous avons une masse critique importante et une productivité par tête très élevée. Nous avons deux "plus" : la qualité des opérateurs, dont 90% sont diplômés de l’université, et des usines très modernes. Le 4.0, la transformation numérique est une réalité pour nous depuis plusieurs années », souligne-t-il. Les entreprises du secteur ont investi 2,8 milliards d’euros l’an passé : 1,3 milliard sur les sites de production et 1,5 milliard en recherche, des chiffres en hausse de plus de 20% en cinq ans. Dans la péninsule sont présents à la fois des groupes étrangers (qui représentent 60% de la production), comme le français Sanofi, l’allemand Merck KGaA, l’américain Pfizer ou le belge Janssen (groupe Johnson and Johnson), et italiens comme Menarini, Chiesi, Italfamarco ou Dompé, qui emploient au total quelque 65 000 personnes.

      Si l’Italie produit tous types de médicaments, elle est en pointe dans les vaccins, les produits dérivés du sang, les biotechnologies ou encore les thérapies avancées. « 45% de la hausse de la production vient de la production de nouveaux médicaments », note M. Scaccabarozzi. La belle santé de la production pharmaceutique transalpine contraste avec son déclin en France ces dernières années, alors que l’Hexagone était leader européen de 1995 à 2008. En 2016 (dernières données Efpia disponibles), la production française était descendue au 6e rang européen (19 milliards d’euros). « L’Italie est devenue un concurrent majeur » et a dépassé la production hexagonale en valeur depuis 2016, a reconnu la fédération française des industriels du médicament (Leem) dans son dernier bilan annuel, publié début juillet.

    • Conseil stratégique des industries de santé : l’industrie pharmaceutique se réjouit. Contribuables, personnes malades, sommes-nous gagnants ? (Juillet 2018)
      Paris, le 12 juillet 2018
      Communiqué de presse interassociatif
      AIDES • France Assos Santé • Ligue nationale contre le cancer • Médecins du Monde • Prescrire • Universités Alliées pour les medicaments Essentiels • UFC Que Choisir
      http://www.prescrire.org/Fr/1/194/48278/5717/5563/SubReportDetails.aspx

      Accélération de l’accès aux nouveaux médicaments, sacrifice de l’évaluation ?

      [...]

      Les demandes d’accélération, voire de précipitation, de la mise à disposition de médicaments touchent en effet des intérêts et réalités bien différentes : course à l’attractivité pour les industriels, recherche de médicaments apportant une véritable amélioration (« guérison », tolérance, qualité de vie) pour les personnes malades. Si les avancées thérapeutiques sont réelles dans certains domaines, les médicaments apportant une véritable amélioration sont beaucoup moins nombreux que les nouveaux médicaments.

  • Pénuries de batteries pour la Model 3 de Tesla 28 Juin 2018 - L’Essentiel
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/27098663

    L’accélération de la cadence de production de la Model 3 de Tesla, après plusieurs mois de retards, a entraîné une pénurie temporaire de batteries.


    Le PDG de Tesla Elon Musk a fait savoir début juin qu’il était confiant dans la capacité du groupe à produire 5 000 berlines Model 3 d’ici la fin du mois, ce qui a été accueilli avec scepticisme par certains analystes à Wall Street. Yoshio Ito, responsable la division automobile de Panasonic, a déclaré jeudi lors de l’assemblée générale du groupe japonais qu’il y avait eu une « forte amélioration de la production », entraînant des pénuries occasionnelles de batteries.

    Panasonic, qui dispose d’un site de production de batteries au Japon et qui exploite avec Tesla l’usine Gigafactory dans l’état du Nevada, est le fournisseur exclusif des cellules de batteries pour les modèles de voitures en cours de production. Le groupe japonais a également une usine en commun avec Tesla pour produire des cellules et des modules solaires à Buffalo, dans l’État de New York.

    Les batteries sont au cœur du plan de Panasonic visant à un quasi-doublement des revenus de son activité automobile à 2 500 milliards de yens (19,6ámilliards d’euros) d’ici mars 2022, contre 1 800 milliards attendus pour l’exercice en cours. Selon les analystes, le partenariat entre le groupe japonais et le constructeur américain n’est toutefois pas sans risque, comme en témoignent les retards de production de la Model 3 ou encore les accidents de route mettant en cause des Tesla.

    Batteries à l’état solide pas prêtes
    Tesla a en outre annoncé le 12 juin son intention de supprimer des milliers d’emplois à travers le groupe, soit environ 9% de ses effectifs, afin de réduire les coûts et d’améliorer sa rentabilité sans mettre en danger la montée en puissance de la production de sa berline Model 3.

    Les retards de la Model 3 ont conduit Panasonic à abaisser en février les perspectives de son pôle batteries. « Je ne dirais pas que le retard (dans la production de la Model 3 de Tesla) n’a eu aucun impact sur nos activités mais nous sommes en étroite communication avec Tesla et travaillons à améliorer constamment la production », a déclaré Yoshio Ito.

    Soucieux de réduire sa dépendance vis-à-vis de Tesla, Panasonic s’est récemment associé à Toyota Motor pour développer et fournir des batteries de véhicules électriques. Le directeur général de Panasonic, Kazuhiro Tsuga, a déclaré lors de l’AG que les batteries à l’état solide, considérées comme plus stables, ne devraient pas arriver sur le marché automobile avant un moment, même si le groupe reste engagé dans le développement de cette batterie de nouvelle génération.

    « Nous pensons que nous pouvons continuer à améliorer les performances des batteries lithium-ion actuelles au moins jusqu’en 2025 », a-t-il ajouté. « La commercialisation des batteries à l’état solide viendrait après ces progrès ». Le constructeur automobile japonais Toyota entend commercialiser des véhicules équipés de batteries à l’état solide d’ici le début des années 2020.

    #tesla #Panasonic #transport #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation #batteries #électricité #bricolos #elon_musk #pénuries

  • L’UE se divise sur les impôts des géants du web L’essentiel - nxp/afp - 28 Avril 2018
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/L-UE-se-divise-sur-les-impots-des-geants-du-web-30439268

    LUXEMBOURG - Augmenter les impôts des géants du web ne fait pas l’unanimité au sein de l’UE, notamment chez les petits pays à la fiscalité avantageuse comme le Luxembourg.

    La proposition visant à mieux taxer au niveau européen les géants du numérique, portée par la France, a rencontré samedi la résistance des petits pays comme #Malte ou le #Luxembourg, accusés de tirer profit de leur #fiscalité avantageuse vis-à-vis de ces entreprises.

    La taxation des géants du net, tels #Facebook ou #Amazon, « doit être discutée avec les Américains, car si l’#UE fait ça de son côté, cette taxe sera très inefficace et mauvaise pour la compétitivité européenne », a averti le ministre des Finances luxembourgeois Pierre Gramegna, à son arrivée à une réunion avec ses homologues de l’UE à Sofia consacrée à cette question.

    C’est la première fois que les #ministres_européens débattent du sujet depuis la proposition de la #Commission_européenne présentée fin mars. Cette discussion a lieu dans un contexte déjà tendu entre les États-Unis et l’UE au niveau commercial, bien que le #commissaire_européen à la #Fiscalité, #Pierre_Moscovici, ait insisté samedi sur le fait qu’il ne s’agissait pas d’une « taxe contre les Etats-Unis ».

    Le texte de la Commission prévoit dans un premier temps de taxer à 3% les revenus - et non les bénéfices comme le veut l’usage - générés par l’exploitation d’activités numériques.

    Chiffre d’affaires supérieur à 750 millions
    Cette taxe ne visera que les groupes dont le chiffre d’affaires annuel mondial s’élève à plus de 750 millions d’euros et dont les revenus dans l’UE excèdent 50 millions d’euros. Outre cette mesure « ciblée » de taxation du chiffre d’affaires des entreprises numériques, la Commission a proposé une réforme de fond des règles relatives à l’imposition des sociétés, qui prendrait le relais de la première proposition de « court terme ». Cette proposition permettrait aux pays de l’UE de taxer les bénéfices qui sont réalisés sur leur territoire, même si une entreprise n’y est pas présente physiquement.

    Le ministre slovaque des Finances, Peter Kazimir, s’est montré dubitatif samedi sur la mesure de court terme : « Au niveau européen, je doute qu’un accord soit pour bientôt, parce que sur la fiscalité, il n’est pas facile de trouver un consensus. » Dans l’Union en effet, toute réforme sur la fiscalité requiert l’unanimité. « Nous sommes plutôt prudents. Nous ne sommes pas contre, mais nous voulons écouter. C’est assez compliqué », a pour sa part commenté son homologue maltais Edward Scicluna.

    Le projet de taxation du numérique à l’échelle européenne, qui fait partie des priorités du président français Emmanuel Macron, a jusqu’à présent reçu le soutien des autres grands pays de l’UE : l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et le Royaume-Uni. Le ministre français des Finances Bruno Le Maire espère que la solution de court terme sera adoptée par tous les pays au plus tard début 2019.

    #gafa #facebook #internet #google #apple #fiscalité #paradis_fiscaux #évasion_fiscale #luxleaks #union_européenne #finance

  • Allemagne : Un petit Allemand sur 5 vit dans la pauvreté L’Essentiel - AFP - 20 Avril 2018
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Un-petit-Allemand-sur-5-vit-dans-la-pauvrete-13161433

    En Allemagne, pour un enfant sur cinq, le « pays où il fait bon vivre » vanté par la chancelière Angela Merkel, pendant sa campagne électorale, est une illusion.

    Il est 15 heures passées, les #enfants commencent à disposer sur la table des assiettes de tomates cerises et de concombres coupés avec soin. Comme presque tous les après-midis en semaine, ils vont partager un repas qu’ils ont cuisiné dans un centre social de Lichtenberg, dans l’est de #Berlin. « On le remarque surtout chez les adolescents, beaucoup nous disent : alors quand est-ce qu’on peut enfin manger ? Je n’ai rien mangé de la journée », raconte Patric Tavanti, responsable de l’établissement géré par la fondation catholique #Caritas.


    Leurs parents manquent de moyens financiers ou de temps pour leur assurer des repas réguliers, dit-il. Dans la première puissance européenne, l’économie tourne et les caisses publiques n’ont jamais été aussi pleines. Pourtant, environ 20% des moins de 18 ans grandissent dans une « pauvreté relative », selon le ministère de la Famille, un niveau similaire à la France, où la conjoncture économique est nettement moins favorable depuis bien longtemps. Leurs parents disposent de moins de 60% du revenu moyen des foyers allemands, c’est-à-dire moins de 1 192 euros nets mensuels pour un parent avec un enfant, et moins de 2 355 euros pour une famille avec quatre enfants.

    « Les enfants se sentent exclus »
    Préoccupant dans un pays si fier d’avoir réduit le chômage à son plus bas niveau depuis la réunification allemande : plus d’un tiers des 2,8 millions d’enfants pauvres ont des parents exerçant une activité professionnelle, pointe Heinz Hilgers, président de la Fédération de protection de l’enfance (Kinderschutzbund).

    Au-delà de l’aspect matériel, la prise de conscience par un enfant qu’il appartient à ce cinquième défavorisé est destructrice, relève Klaus Hurrelmann, professeur à la Hertie School of Governance de Berlin. « Toute une spirale se met alors en route : les enfants se sentent #exclus, commencent à avoir honte de ne pas pouvoir participer aux excursions avec l’école ou inviter des amis à fêter leur anniversaire. Ils finissent par perdre confiance en eux, à mal travailler à l’école, car la pauvreté matérielle est aussi une pauvreté d’éducation et de culture », poursuit l’expert.

    Un « risque économique énorme »
    L’école allemande peine à intégrer ces enfants issus le plus souvent de familles nombreuses d’origine étrangère ou de foyers monoparentaux. « Nous remarquons un besoin croissant en nourriture, mais aussi en aide aux devoirs et à la lecture », explique Lars Dittebrand, responsable du Manna, un centre familial et une garderie au cœur de la Gropiusstadt, une cité berlinoise de béton qui a servi de décor au film « Moi Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée... » dans les années 80. La sélection, qui intervient dès la fin du primaire, conduit souvent les plus défavorisés vers des filières menant à des emplois précaires.

    Dénonçant dans une étude « une #pauvreté qui s’hérite », la fondation Bertelsmann révélait que seule une petite minorité des foyers - entre 3 et 16% selon les catégories - parvenaient à s’extirper de leur condition. « Des générations d’enfants pauvres deviennent des adultes pauvres et des parents pauvres », déplore ainsi Heinz Hilgers. Un gâchis humain et un « risque économique énorme » dans une Allemagne vieillissante, prévient-il.

    Système fiscal injuste
    Le nouveau gouvernement de « grande coalition » réunissant les conservateurs d’ #Angela-Merkel et les sociaux-démocrates a promis un ensemble d’aides, dont une augmentation de l’allocation familiale, davantage de garderies et d’écoles offrant des cours sur toute la journée pour faciliter aux mères un accès à l’emploi. Mais pour Lisa Paus, députée écologiste de Berlin, rien ne s’améliorera tant que le système fiscal datant de l’immédiate après-guerre ne sera pas réformé. Il avantage les couples aux salaires divergents, le moins élevé étant en général celui de la femme dont le rôle était essentiellement de s’occuper des enfants. Les temps ont toutefois changé et « la pauvreté arrive souvent quand les couples se défont », explique la députée, pointant l’insuffisance du soutien aux familles #monoparentales. De fait, 45% des enfants élevés par un seul parent, généralement leur mère, vivent dans une pauvreté relative.

    Un vrai progrès serait l’institution d’un revenu de base pour tous les enfants, jugent certains des acteurs interrogés. Une idée onéreuse que le nouvel exécutif, attaché au sacro-saint équilibre du budget, est loin d’envisager.

    #économie #politique

  • Le « cartel de la saucisse » face à la justice allemande
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Le-cartel-de-la-saucisse-face-a-la-justice-allemande-29355598

    La justice allemande se penche mardi sur le feuilleton du « cartel de la saucisse ». Des producteurs se concertaient depuis des décennies pour saler leurs marges.

    En 2014, une amende colossale a été infligée à une vingtaine de producteurs. Quatre des 22 groupes épinglés contestent leur sanction devant le tribunal régional de Düsseldorf, dans l’ouest de l’Allemagne, qui examine leurs arguments à partir de 08h30 et « au moins pendant 40 jours jusqu’en mai ».

    Absentes de cette audience fleuve, d’autres entreprises condamnées ont à l’inverse exploité une faille juridique pour éviter de payer, donnant une dimension supplémentaire à ce scandale à rebondissements.


    Alerté par une dénonciation anonyme, l’Office anticartel allemand avait entrepris en juillet 2009 de perquisitionner 19 sites en quête de preuves d’entente sur les tarifs du cervelas, des saucisses à griller ou du jambon. Cinq ans plus tard et avec la collaboration de plusieurs suspects, le Bundeskartellamt bouclait son enquête par l’une des plus lourdes amendes de son histoire, 338 millions d’euros, répartie entre 22 entreprises et 33 responsables physiques. « Les producteurs désignés se réunissaient depuis plusieurs décennies dans le cadre du "cercle Atlantic" », baptisé ainsi en référence à leur première rencontre dans un grand hôtel de Hambourg, révélait l’Office en juillet 2014.

    « Faille de la saucisse »
    Outre ces rencontres, le gendarme de la concurrence estime que plusieurs producteurs ont mené dès 2003 des discussions, la plupart du temps par téléconférence, pour imposer des hausses de prix aux commerçants de détail. Faute de définir des prix fixes pour des produits aussi variés, les sociétés concernées « se sont mises d’accord sur la marge à réaliser » pour chaque catégorie, a détaillé l’Office. De cet énorme dossier, il ne reste pourtant que quatre entreprises contestant 22,6 millions d’euros d’amende, alors qu’onze autres ont accepté de régler 71 millions d’euros, récapitulait le Bundeskartellamt en septembre dernier.

    Les autres condamnés ont réussi la prouesse d’effacer 238 millions d’euros d’amende, soit 70% de la somme initiale, en exploitant une faille légale aussitôt baptisée « faille de la saucisse » par la presse comme par les juristes. Ces producteurs, dont le puissant groupe allemand Tönnies ou le suisse Bell, ont simplement radié du registre du commerce leurs filiales condamnées et redistribué leurs actifs vers d’autres entités, échappant ainsi aux sanctions.
    L’Allemagne a certes modifié sa législation en juin dernier - sans effet rétroactif -, mais cette lacune du droit promet d’être au cœur des débats devant les magistrats de Düsseldorf.

    #le_Gorafi_encore_plagié #Allemagne #prix #cervelas #saucisses #marge #faille-de-la-saucisse

  • Seul un paiement sur cinq est effectué par carte bancaire dans l’union_européenne L’essentiel - (jt/dpa/L’essentiel) - 25 Novembre 2017
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Combien-de-liquide-dans-vos-portefeuilles--19815094

    Combien de billets vous tombent entre les mains quand vous ouvrez votre portefeuille ? D’après les statistiques, ils devraient être relativement nombreux. Une étude menée par la Banque centrale européenne (BCE) auprès de 92 000 personnes révèle que les citoyens du Luxembourg auraient en moyenne 102 euros dans la poche. En 2016, seuls les Allemands dépassaient ce chiffre, avec 103 euros. À la troisième place figurait l’Autriche (89 euros). Les Portugais, les Français et les Lettons comptaient parmi les pays dont les habitants avaient le moins d’argent liquide sur eux, avec respectivement 29, 32 et 41 euros.

    En matière de paiements en liquide à la caisse dans la zone euro, les Allemands arrivent une nouvelle fois en tête. 80% des opérations effectuées dans le pays voisin sont réglées en espèces contre 92% à Malte, 88% à Chypre et 87% en Espagne. Au Luxembourg, les montants moyens versés en espèces sont les plus élevés, avec 18 euros.

    Le document de la BCE indique qu’il existe une disparité entre les pays « fidèles à l’argent liquide » du sud de la zone euro, avec l’Allemagne, l’Autriche et la Slovénie, d’une part, et les pays du nord, tels que la Finlande et l’Estonie, ainsi que les Pays-Bas, d’autre part. Seuls 45% des Hollandais sortent les billets et les pièces pour régler leur dû, tout comme en Estonie (48%) et en Finlande (54%). Au Luxembourg, ce chiffre s’élève à 64%.

    Malgré la généralisation des procédures de paiement électronique, l’argent liquide reste le moyen de paiement dominant, comme le constate la banque centrale. En moyenne dans la zone euro, 79% des transactions aux points de vente ont été effectuées en espèces, suivies de très loin par les paiements par carte avec 19%. « Cela semble remettre en question la perception selon laquelle l’argent liquide est rapidement remplacé par des méthodes de paiement électronique », déclare la BCE. Des études antérieures ont montré que les résidents étaient très nombreux à sortir la carte au restaurant.

    #carte_bancaire #cash #espèces #liquide #paiements #billets #France #Luxembourg #Allemagne #Autriche #Pays_bas #Portugal #Malte #Lettonie #Filande #Estonie #Chypre #Espagne

    • Quand les entreprises ne paient pas leur juste part d’impôt, les pays en développement sont privés de fonds cruciaux pour financer des services vitaux comme les services hospitaliers.

      On estime à 100 milliards de dollars la somme que perdent chaque année les pays les pauvres à cause de l’évasion fiscale.
      Et ce sont les personnes les plus pauvres qui en souffrent le plus.

      Partagez cette vidéo et exigez que votre gouvernement agisse contre l’évasion fiscal : https://www.oxfamsol.be/fr/exigez-une-fiscalite-plus-transparente

      Eradiquons la pauvreté tous ensemble ( Oxfam )

      Il n’y a pas que dans les pays pauvres.
      4 000 milliards d’euros gérés au Luxembourg L’Essentiel - 30 Octobre 2017
      http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/4-000-milliards-d-euros-geres-au-Luxembourg-31051256

      LUXEMBOURG – Les Fonds installés au Grand-Duché ont franchi la barre des quatre trillions d’euros. Ce qui place le pays en deuxième position au niveau mondial.

      https://seenthis.net/?debut_messages=25#message64109

      L’ÉVASION FISCALE PRIVE 8 MILLIONS DE PERSONNES DE SOINS DE SANTÉ, SELON OXFAM - En langage normal, L’ÉVASION FISCALE TUE 8 MILLIONS DE PERSONNES EN LES PRVANT DE SOINS DE SANTÉ.
      (Oxfam ne parle que des pays pauvres, pas des pays riches, les USA, l’europe, la France . . . où l’on détruit aussi les hopitaux)

      Un tiers des 100 milliards de dollars par an que les multinationales ne paient pas dans les pays les plus pauvres suffiraient à couvrir la facture des soins de santé dans ces pays, d’aprés Oxfam.

      Couvrir les frais médicaux des vaccinations, des sages-femmes ou du traitement de la diarrhée coûterait au niveau mondial. Environ 30 milliards d’euros, selon Oxfam. Si ces frais étaient couverts, 7,8 millions d’enfants et 210.000 femmes pourraient être sauvés chaque année.

      « Les grandes entreprises qui pratiquent l’évasion fiscale privent les pays en développement de ressources financières essentielles. En parallèle, les personnes les plus pauvres à travers le monde se retrouvent exclues de systèmes de santé qui pourraient pourtant leur sauver la vie. Il n’y a pas la moindre excuse à ne pas s’attaquer à l’évasion fiscale », affirme Maaike Vanmeerhaeghe, responsable du plaidoyer Justice fiscale d’Oxfam-Solidarité.

      Pour l’organisation, c’est avant tout la responsabilité des autorités politiques de mettre en place des mesures légales permettant de lutter efficacement contre l’évasion fiscale. Or celles-ci, laissent l’intérêt des multinationales primer sur l’intérêt général, selon Oxfam.

      La mondialisation néo libérale c’est ça.

      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_l-evasion-fiscale-prive-8-millions-de-personnes-de-soins-de-sante-selon-

    • Quand les entreprises ne paient pas leur juste part d’impôt, les pays en développement sont privés de fonds cruciaux pour financer des services vitaux comme les services hospitaliers.

      On estime à 100 milliards de dollars la somme que perdent chaque année les pays les pauvres à cause de l’évasion fiscale.
      Et ce sont les personnes les plus pauvres qui en souffrent le plus.

      Partagez cette vidéo et exigez que votre gouvernement agisse contre l’évasion fiscal : https://www.oxfamsol.be/fr/exigez-une-fiscalite-plus-transparente

      Eradiquons la pauvreté tous ensemble

    • Il n’y a pas que dans les pays pauvres.
      4 000 milliards d’euros gérés au Luxembourg L’Essentiel - 30 Octobre 2017
      http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/4-000-milliards-d-euros-geres-au-Luxembourg-31051256

      LUXEMBOURG – Les Fonds installés au Grand-Duché ont franchi la barre des quatre trillions d’euros. Ce qui place le pays en deuxième position au niveau mondial.

      https://seenthis.net/?debut_messages=25#message641099

    • L’ÉVASION FISCALE PRIVE 8 MILLIONS DE PERSONNES DE SOINS DE SANTÉ, SELON OXFAM - En langage normal, L’ÉVASION FISCALE TUE 8 MILLIONS DE PERSONNES EN LES PRVANT DE SOINS DE SANTÉ.
      (Oxfam ne parle que des pays pauvres, pas des pays riches, les USA, l’europe, la France . . . où l’on détruit aussi les hopitaux)

      Un tiers des 100 milliards de dollars par an que les multinationales ne paient pas dans les pays les plus pauvres suffiraient à couvrir la facture des soins de santé dans ces pays, d’aprés Oxfam.

      Couvrir les frais médicaux des vaccinations, des sages-femmes ou du traitement de la diarrhée coûterait au niveau mondial. Environ 30 milliards d’euros, selon Oxfam. Si ces frais étaient couverts, 7,8 millions d’enfants et 210.000 femmes pourraient être sauvés chaque année.

      « Les grandes entreprises qui pratiquent l’évasion fiscale privent les pays en développement de ressources financières essentielles. En parallèle, les personnes les plus pauvres à travers le monde se retrouvent exclues de systèmes de santé qui pourraient pourtant leur sauver la vie. Il n’y a pas la moindre excuse à ne pas s’attaquer à l’évasion fiscale », affirme Maaike Vanmeerhaeghe, responsable du plaidoyer Justice fiscale d’Oxfam-Solidarité.

      Pour l’organisation, c’est avant tout la responsabilité des autorités politiques de mettre en place des mesures légales permettant de lutter efficacement contre l’évasion fiscale. Or celles-ci, laissent l’intérêt des multinationales primer sur l’intérêt général, selon Oxfam.

      La mondialisation néo libérale c’est ça.

      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_l-evasion-fiscale-prive-8-millions-de-personnes-de-soins-de-sante-selon-

  • Pauvre Europe ?

    Près d’un Européen sur quatre vit sous le seuil de pauvreté ou est menacé de pauvreté... Enquête sur les différentes facettes de la pauvreté en Europe et les causes de ce phénomène endémique.

    Près d’un Européen sur quatre vit sous le seuil de pauvreté ou est menacé de pauvreté, une situation qui touche particulièrement les enfants issus de milieux défavorisés, les travailleurs précaires et les jeunes sans formation. Ce documentaire se penche sur les différentes stratégies mises en œuvre par l’Union européenne pour prémunir ses habitants contre ce danger. L’une d’entre elles, baptisée « Europe 2020 », a pour objectif de favoriser la croissance et l’emploi. Des milliards d’euros ont ainsi été investis pour réduire le chômage des jeunes. Malheureusement, ces aides ne parviennent qu’au compte-gouttes aux Européens dans le besoin. En cause, une bureaucratie étouffante et une utilisation négligente des fonds par les autorités nationales. Au Portugal, en Italie et en Irlande, la réalisatrice Mirella Pappalardo est partie à la rencontre de personnes isolées et de familles en grande difficulté, peinant à joindre les deux bouts. Pourtant, les exemples positifs de mesures et de programmes d’aides abondent. Ce documentaire édifiant met en lumière les dangers de la précarité pour le projet européen.

    https://www.arte.tv/fr/videos/069035-000-A/pauvre-europe
    Nouveau URL : https://info.arte.tv/fr/film-pauvre-europe ... car la vidéo n’est plus disponible je pense, mais est quand même dispo sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=vYdKUBiYGm8

    #documentaire #pauvreté #Europe #Italie #Portugal #Irlande #chômage #travail #émigration #austérité #working_poor

    Quelques notes :

    Un européen sur 4 est pauvre ou menacé de pauvreté.

    119 millions de personnes menacées de pauvreté ou d’exclusion sociale.

    L’Europe compte 25 millions d’enfants pauvres.

    1 jeune sur 6 est sans formation ni emploi.

    Définition de pauvreté par l’Union européenne : « Sont considérés comme pauvres ou menacés de pauvreté les perosnnes qui disposent de moins de 60% du revenu moyen constaté dans leur pays. »

    • Pauvre, pauvre, c’est vite dit. Et si on mettait la richesse européenne en face ?

      4 000 milliards d’euros gérés au Luxembourg L’Essentiel - 30 Octobre 2017
      http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/4-000-milliards-d-euros-geres-au-Luxembourg-31051256

      LUXEMBOURG – Les Fonds installés au Grand-Duché ont franchi la barre des quatre trillions d’euros. Ce qui place le pays en deuxième position au niveau mondial.

      https://seenthis.net/?debut_messages=25#message641099

    • Et pendant ce temps là, en France :

      Budget 2018 : les 100 contribuables les plus riches vont récupérer 1,5 million d’euros par an
      Ilan Caro, France Info, le 26 octobre 2017
      https://seenthis.net/messages/640590

      Et dans le reste du monde :

      World’s witnessing a new Gilded Age as billionaires’ wealth swells to $6tn
      Rupert Neate, The Guardian, le 26 octobre 2017
      https://seenthis.net/messages/640331

      #milliardaires #fortune #enrichissement des #riches #EnMarcheVersLeFN

    • Giovani e precarietà: under 30 disposti a rinunciare a diritti per il lavoro

      La precarietà per loro è talmente scontata che sarebbero disposti a rinunciare anche ad alcuni diritti pur di trovare e riuscire a tenersi un lavoro. Per i giovani italiani nati negli anni ’90 l’instabilità occupazionale è qualcosa alla quale bisogna rassegnarsi. Cercando di arrangiarsi e fare di necessità virtù. A evidenziare quanto i cambiamenti nel mondo del lavoro abbiano influenzato i Millennials è uno studio realizzato dall’Iref, ente di ricerca delle Acli. Dalle interviste realizzate da Iref è nato un volume curato da Gianfranco Zucca, Il ri(s)catto del presente, edito da Rubettino.
      “Obbedienza preventiva alla precarietà” per più di un terzo degli under 30

      Questo atteggiamento mentale nella ricerca è definito “#obbedienza_preventiva alla precarietà”. Una forma mentis condivisa dal 35 per cento degli intervistati. Che vedono inevitabilmente nel proprio orizzonte l’instabilità lavorativa.

      A dire il vero, se si scorporano i dati si scopre che sono soprattutto gli under 30 non laureati che vivono ancora in Italia a essere così rassegnati. Il tasso di coloro che si aspettano a priori di essere penalizzati rispetto alle generazioni che li hanno preceduti è del 38 per cento. Quelli che vivono all’estero, invece, hanno una visione altrettanto pessimistica solo nell’11,3 per cento dei casi. Un divario che racconta delle differenze esistenti tra il mercato del lavoro italiano e quello di altri paesi.
      Per mantenere il lavoro si lavorerebbe nei festivi e si rinuncerebbe a ferie, malattia o parte dello stipendio

      Tra i Millennials la precarietà è talmente uno spauracchio che quasi 1 su 2 sarebbe disposto a lavorare nei festivi pur di mantenere il posto di lavoro. Con il medesimo obiettivo il 16,7 per cento rinuncerebbe alle ferie, mentre il 12,4 per cento accetterebbe una decurtazione dello stipendio. E il 10,5 per cento farebbe a meno perfino dei giorni di malattia. Insomma, dovendo scegliere tra lavoro e diritti, gli under 30 preferirebbero tenersi il lavoro.

      La precarietà è accettata dai giovani anche come parte ineludibile del percorso professionale. Soprattutto se serve a raggiungere il “lavoro dei sogni”. Il problema è che non si tratta più della tradizionale gavetta: per chi rimane in Italia, infatti, questo periodo di sacrifici e rinunce rischia di non finire mai, a differenza di quanto accade per gli espatriati.

      Questo nonostante i compromessi ai quali i Millennials scenderebbero. Il 33,2 per cento per realizzare i propri desideri professionali lavorerebbe per un po’ anche senza stipendio. Il 34,6 per cento accetterebbe una retribuzione bassa. Il 38 per cento sarebbe disposto a lavorare nel tempo libero e il 41,9 per cento lo farebbe anche da casa, mentre il 43 per cento aumenterebbe le ore di lavoro. Come dire che, in un contesto nel quale trovare un’occupazione è quasi come vincere la lotteria, sull’altare del lavoro si è pronti a sacrificare (quasi) tutto.

      https://www.universita.it/studio-iref-giovani-precarieta-2018
      #précarité #droits #obéissance_préventive #salaire #dumping_salarial

  • 4 000 milliards d’euros gérés au Luxembourg L’Essentiel - 30 Octobre 2017
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/4-000-milliards-d-euros-geres-au-Luxembourg-31051256

    LUXEMBOURG – Les Fonds installés au Grand-Duché ont franchi la barre des quatre trillions d’euros. Ce qui place le pays en deuxième position au niveau mondial.

    Une très grande richesse est entreposée et gérée au Luxembourg. Les fonds d’investissements enregistrés au pays contiennent au total plus de quatre trillions d’euros (4 000 milliards d’euros), comme l’a indiqué lundi l’Alfi (« Association of the Luxembourg Fund Industry »). Le Grand-Duché « est le deuxième marché mondial pour les fonds après les États-Unis », explique Denise Voss, présidente de l’Alfi.


    « La croissance des sommes gérées au Luxembourg est assez impressionnante », poursuit la responsable. Le total des actifs est ainsi passé de trois à quatre milliards en seulement trois ans. Depuis le début de l’année, la hausse a atteint 8%. « Cette croissance est une bonne nouvelle non seulement pour le Luxembourg, mais aussi pour les gestionnaires de fonds de toute l’Europe », se réjouit Denise Voss.

    #union_européenne #paradis_fiscaux #fraude #évasion_fiscale , #économie , #optimisation_fiscale , #fiscalité #richesse #pauvreté

  • Juncker est « assez admiratif » de la France l’Essentiel / AFP - 16 Octobre 2017

    Le Premier ministre français a obtenu lundi le satisfecit du patron de la Commission européenne sur la trajectoire budgétaire de la France.
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Juncker-est-assez-admiratif-de-la-France-17934555

    Saluant « la nouvelle politique européenne de la France », M. Juncker a d’ailleurs jugé que ses propositions sur l’avenir de l’Europe et celles de M. Macron jouissaient d’une « large identité de vues » avec « quelques nuances facilement surmontables ». M. Juncker a par ailleurs salué « l’effort structurel » fait par Paris, citant « notamment la réforme du code du travail ». « Nous applaudissons des deux mains aux éléments majeurs de ces réformes", même s’"il ne faut pas s’attendre à des résultats immédiats ».

  • L’Allemagne améliore son excédent commercial

    Les autorités allemandes ont encore annoncé mardi un excédent commercial en hausse, pour le mois de juin. Les exportations ont moins baissé que les importations.

    L’excédent commercial allemand a encore progressé sur un mois, atteignant en juin 21,2 milliards d’euros, les exportations ayant moins reculé que les importations par rapport à mai, selon les données provisoires publiées mardi par Destatis.

    La balance commerciale de la première économie européenne avait enregistré un surplus de 20,3 milliards d’euros le mois précédent, selon ces chiffres, corrigés des variations saisonnières (CVS). En juin, les exportations allemandes ont baissé de 2,8% sur un mois à 104,9 milliards d’euros et les importations de 4,5% à 83,7 milliards d’euros.
    . . . . . . .
    Déficit en France

    Le déficit commercial de la France s’est creusé en juin, à 4,7 milliards d’euros, notamment à cause d’un contrecoup dans l’industrie navale. Il s’était fortement réduit en mai grâce à la livraison du paquebot de croisière Meraviglia.

    . . . . . . . .
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/L-Allemagne-ameliore-son-excedent-commercial-24484025

    #économie #euro #Allemagne #France

  • Luxembourg - Paradis Fiscal : Record absolu pour les fonds d investissement

    3 741 milliards d’euros. C’est le montant global des actifs gérés par les Organismes de placement collectif (OPC) au Grand-Duché. Une performance inédite.
    storybild

    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Record-absolu-pour-les-fonds-d-investissement-16448135

    La présidente de l’ALFI (Association of the Luxembourg fund industry), Denise Voss, s’est montrée très satisfaite, jeudi, au moment de dresser le bilan annuel des Organismes de placement financier (OPC). « Fin 2016, l’industrie des fonds (NDLR : 4 144 OPC) avait sous gestion quelque 3 741 milliards d’euros d’actifs. C’est un record absolu et une progression de 6,7%, soit 235 milliards d’euros, par rapport à 2015 », a-t-elle dévoilé d’emblée.

    Cette progression s’explique pour 42% par l’injection d’argent frais dans les fonds d’investissement mais, surtout, à 58% par les démarches financières entreprises par les gestionnaires. « C’est un résultat plutôt bon au vu des chamboulements internationaux que nous avons vécus comme le Brexit et l’élection présidentielle aux États-Unis », s’est félicitée Denise Voss.

    Un milliard d’euros de recettes fiscales

    Pour l’État luxembourgeois aussi, la bonne santé de l’industrie des fonds d’investissement est une bonne nouvelle. Rien que pour l’année dernière, il devrait toucher près d’un milliard d’euros de recettes fiscales dans le cadre de la taxe d’abonnement. Mais le monde des marchés de capitaux est impitoyable. Au Luxembourg, l’industrie des fonds cherche sans cesse à se diversifier « pour rester compétitive », comme l’a souligné le vice-président aux affaires nationales de l’ALFI, Freddy Brausch.

    C’est ainsi que sont nés les Fonds d’investissement alternatif réservés (FIAR) qui ne sont pas contrôlés par la CSSF. Fin janvier, le Grand-Duché comptait 59 structures juridiques spécialisées dans ce domaine. « Ce sont des produits qui ne sont pas destinés au grand public mais à des investisseurs avertis ou des institutionnels et dont la détention des actifs est plus longue », a détaillé Freddy Brausch.

    D’autres produits, dits d’investissement responsable, dans la micro-finance et l’environnement commencent également à plaire aux investisseurs du Grand-Duché. Toutefois, en 2014, ils ne représentaient que 10% des actifs sous gestion au Grand-Duché.

    #Luxembourg #paradis_fiscal #finance #banque #Luxleaks

  • Le bénéfice de Danone bondit de 34 % L’Essentiel - 15 Février 2017
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/Le-benefice-de-Danone-bondit-de-34-29294372

    Danone a vu son bénéfice net bondir de 34,1% à 1,7 milliard d’euros en 2016 en dépit d’un recul de 2,1% de ses ventes. Le groupe annonce également un programme de réduction de coûts d’un milliard d’euros d’ici 2020 afin d’améliorer sa marge opérationnelle courante. Ce « programme d’efficacité » baptisé « Protein » portera sur les frais de vente, dépenses administratives et autres frais généraux, selon le communiqué du groupe.
    . . . . .
    Les ventes ont atteint 21,9 milliards l’an dernier. Le groupe avait abaissé fin décembre sa prévision de croissance du chiffre d’affaires pour 2016, en raison d’un recul des ventes européennes des produits laitiers frais.

    #économie #marge #bénéfices #multinationale

  • Jean-Claude Juncker accusé d’avoir bloqué la lutte contre l’évasion fiscale RTS - Boi - 2 Janvier 2017
    http://www.rts.ch/info/economie/8279086-jean-claude-juncker-accuse-d-avoir-bloque-la-lutte-contre-l-evasion-fisc

    Selon le Guardian, qui dit avoir eu accès à des documents confidentiels, l’actuel président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker aurait freiné la lutte contre l’évasion fiscale quand il était Premier ministre luxembourgeois.

    Entre 1995 et 2013, quand il dirigeait le Luxembourg, Jean-Claude Juncker a secrètement bloqué les réformes destinées à lutter contre l’évasion fiscale des sociétés multinationales, assure le Guardian.

    Le journal britannique se base sur des documents diplomatiques allemands expliquant le fonctionnement d’un comité de l’UE veillant à l’engagement des Etats membres de ne pas se livrer à une concurrence déloyale en matière fiscale. Et ce serait au sein de ce comité que Jean-Claude Juncker a oeuvré pour freiner l’action de l’Union dans la lutte contre l’évasion fiscale.

    No comment au Luxembourg
    Contacté par le Guardian, un porte-parole du ministère luxembourgeois des Finances a refusé de commenter : « Nous n’avons pas connaissance de ces communications et ne savons pas si elles est sont authentiques, nous ne sommes pas en mesure de les commenter. »

    Et d’ajouter que le Luxembourg a été ces dernières années à la pointe d’une tendance globale en faveur d’une plus grande transparence.

    http://www.rts.ch/2016/11/30/22/44/8206168.image?w=900&h=506
    #Jean_Claude_Juncker #Fraude_fiscale #Luxleaks #Luxembourg #union_européenne #UE #UEF #UEF_France #evasion_fiscale #impôts @myeurop