Les différentes formes de cyberviolence

Ah ah «des experts».

Ce type de contenu vise à publier une photo ou vidéo sur le réseau social sans l’aval du concerné afin de l’humilier publiquement.

Je me demande combien d’hommes sont effectivement concernés versus combien de femmes.

Les hommes sont concernés quasi uniquement par le « sextorsion », branlette face à la webcam et chantage.

Et j’imagine que les femmes aussi du coup non ?

Quel monde merveilleux !

Non les femmes sont plutot victimes de « revenge porn », harcelement
un site qui semble dédié au sujet et que j’ai pas eu le temps d’exploré ; ▻https://eviolence.hypotheses.org/author/eviolence
et ici un article sur les différentes formes de violences en ligne ;
►https://eviolence.hypotheses.org/187

Concernant la violence entre jeunes, 40 % des élèves interrogés par Catherine Blaya (2013 : 98) entre 2011 et 2012 affirment avoir au moins subi une fois une attaque en ligne : flaming ou dénigrement (20 %), usurpation d’identité (12 %), exclusion d’un groupe en ligne (11 %), humiliation par image (5 %), happy slapping (4 %). L’étude récemment menée auprès de 1 500 élèves franciliens par l’Observatoire universitaire international éducation et prévention (2016) révèle, quant à elle, que 13 % des filles et 6 % des garçons ont été victimes de rumeurs au sein des médias sociaux et que 20 % des filles et 13 % des garçons ont fait l’objet de moqueries et d’insultes liées à leur apparence physique. Elle met également en exergue que 7 % des élèves ont déjà réalisé des selfies intimes et que parmi eux 4 % de filles et 1 % de garçons ont vu ces photos publiées sans leur accord suite à une rupture amicale ou sentimentale.

Bah non les femmes sont absentes de la pratique pour ce que j’ai pu voir. Les hommes se font spammer commencent une relation érotique par messagerie, invitation à passer par skype.
Après la séance mail de rancon plus un portrait en situation sur le fil fb de monsieur, cadré aux épaules. Second coup de semonce avec un cadre qui descend et peut descendre jusqu’au sexe en cas de non paiement.
Par « les femmes sont dans le coup », elles font partie de réseaux mafieux et servent à hammeconner le pigeon.

Modération à postériori, à la condition que le contenu ait été signalé. Ce qui est plutôt rapide dans les cas de sextorsion.