Arg c’est archi-mauvais. Je ne sais pas ce que c’est que cette campagne que lance le Guardian contre Wikileaks, m’enfin c’est mauvais.
Le type nous ressort le poncif : y’a rien dedans qu’on ne savait déjà, et en plus y’a rien dedans qu’on ne savait déjà. (En précisant que, vraiment, ça ne nous apprend rien qu’on ne savait déjà, hein.)
Ah si, un argument (débilissime) supplémentaire :
Other scholars lament the effect WikiLeaks will have on future generations of historians. Most obviously, anything of a sensitive nature – such as the Saudis saying they will switch off their radars if Israel bombs Iran – will be passed on by word of mouth or on the telephone. Unless Julian Assange stations lip-readers in Washington’s Mall or St James’s Park, and hires people capable of intercepting encrypted satellite phone calls, historians will be bereft of that type of information for all time, for it will not be written down.
Donc y’a rien dans les cablegate, mais désormais, à cause d’eux, les diplomates vont cesser d’écrire des choses inintéressantes par écrit, de peur que ce qu’ils écrivent d’inintéressant et de non compromettant ne sorte dans la presse.
Mine de rien, c’est un historien qui décide aujourd’hui des documents qui seront utiles ou non les historiens de demain.