Ah, tiens... ça me rappelle ce reportage photo d’@albertocampiphoto pour La Cité :
BELGIQUE, LE MIROIR AFGHAN
En novembre 2013, un collectif de réfugiés afghans a érigé un camp dans une église au centre de Bruxelles. En multipliant les protestations contre le renvoi de certains des leurs vers Kaboul, capitale meurtrie en proie à des violences quotidiennes, ils font éclater les contradictions de la politique d’asile belge, tiraillée entre deux camps opposés, déstabilisant la coalition au pouvoir à l’approche des élections générales du 25 mai 2014.
▻https://www.lacite.info/reportages/2014/04/13/belgique-le-miroit-afghan
Quelques photos :
En #Bosnie-Herzégovine, les médias indépendants sous assistance respiratoire
Les médias indépendants se font rares en Bosnie-Herzégovine. Leur avenir dépend en partie des financements étrangers. De Sarajevo à Mostar, le paysage médiatique reste réduit à une presse sous contrôle des pouvoirs politique et économique.
La #jeunesse bosnienne veut faire tomber les murs
Vingt-deux ans après les guerres d’ex-Yougoslavie, la Bosnie-Herzégovine reste partagée en trois ethnies : les Serbes en Republika Srpska, les Bosniaques et les Croates en Fédération de Bosnie-Herzégovine. À #Mostar, #Sarajevo et #Tuzla, les jeunes ont grandi avec ces clivages mais la plupart d’entre eux n’aspirent maintenant qu’à une chose : les dépasser.
D’où naît ce reportage ?
Le projet « #A_longs_thermes » est né d’une collaboration entre le Pôle universitaire de Vichy et le collectif international de journalistes indépendants @wereport , autour de la liberté de la presse en France et dans les Balkans.
En août 2017, huit étudiants de Vichy, issus des licences professionnelles de journalisme et TAIS (Techniques et activités de l’image et du son), sont partis en Bosnie-Herzégovine, encadrés par trois journalistes du collectif We Report, l’anthropologue Aline Cateux et l’association Sur les pas d’Albert Londres.
Pendant quinze jours, ils ont réalisé des articles multimédia sur la liberté de la presse et la jeunesse dans les Balkans. Leurs reportages ont été croqués par le carnettiste Emdé, dont les dessins sont exposés au Rendez-vous du carnet de voyage de Clermont-Ferrand à l’automne 2017.
L’étrange ambition de l’#Albanie de devenir la « #décharge de l’Europe »
Lors de son périple estival dans les Balkans, Alberto Campi, photographe de La Cité et de WeReport, a fait un détour par les décharges de Tirana et #Durrës (images). Réélu en juin dernier à la tête du gouvernement albanais, Edi Rama entend légaliser à nouveau l’importation de déchets, notamment des pays européens, pour « stimuler l’économie nationale ». Comment l’Albanie, qui ne parvient pas à assurer les standards minimaux de gestion de ses propres déchets, peut-elle prétendre en importer d’autres pays ?, se demande notre photojournaliste.
Un reportage d’@albertocampiphoto pour @lacite
cc @reka @fil @philippe_de_jonckheere @wereport
La start-up "Albanie" dans les starting-blocks ...
Comment ce pays, qui ne parvient pas à assurer les standards minimaux de gestion de ses propres déchets, peut-il prétendre en importer d’ailleurs ?
L’étrange ambition de l’Albanie de devenir la « décharge de l’Europe » — La Cité
►https://www.lacite.info/reportages/durres-albanie-decharge-europe
texte et photos de Alberto Campi (@albertocampiphoto)
Mony Hong, habité par la forêt
►https://visionscarto.net/mony-hong-habite-par-la-foret
Dans le village de Leng Ness, dans la forêt tropicale cambodgienne, une rencontre inopinée avec un passionné cartographe, en lutte contre la déforestation et pour les droits des peuples autochtones. Mony Hong nous fera découvrir la région, ses cartes et son projet. par Cristina Del Biaggio (texte), Alberto Campi (photos) et Mony Hong (cartes) S’il y a de l’espoir dans le monde, il ne se rencontre pas dans les salles de conférences sur le changement climatique ou dans les villes pleines de (...)
#photographie (s) de @albertocampiphoto et #cartes de #Mony_Hong. Le texte, par contre, est le mien...
Les cartes :
Quelques photos :
#déforestation #forêt #Cambodge #éléphants #peuples_autochtones #terres
v. aussi la photographie commentée de @albertocampiphoto parue dans @lacite
L’espoir dans une forêt cambodgienne
En fait, non, pas vraiment... le but était d’aller quelque part (et par hasard on a choisi le Cambodge) pour ramener quelque chose, des histoires... La rencontre avec Mony a été vraiment un #hasard... les beaux hasards de la vie...
Mony d’ailleurs a aussi accompagné Alberto dans les #mines de #zircons. Le reportage a été publié dans @lacite :
Au Cambodge, avec les #mineurs qui creusent à mains nues
Ils se disent « mineurs freelance ». Ils gagnent de quoi survivre en fouillant et ravinant sans relâche la terre rouge et ferreuse du Cambodge à la recherche de zircons bleus, #pierres_précieuses prisées pour leur valeur ornementale. Le photojournaliste Alberto Campi est allé à leur rencontre.
Cet été, @albertocampiphoto et moi-même allons retourner chez Mony... et on va essayer de voir comment l’aider et aider la commuanuté à réaliser le projet d’écoutourisme qu’ils et elles (la cheffe de la communauté est une femme, donc...) veulent implementer...
Je suis donc à la recherche d’informations sur la région, sur le processus de déforestation, d’accaparement des terres, etc.
Des informations que je vais collecter sur ce fil de discussions que je viens d’entamer sur seenthis :
Et voilà le #reportage d’@albertocampiphoto paru dans @lacite sur les « mineurs freelance » au Cambodge :
Au Cambodge, avec les mineurs qui creusent à mains nues
Ils se disent « mineurs freelance ». Ils gagnent de quoi survivre en fouillant et ravinant sans rêlache la terre rouge et ferreuse du Cambodge à la recherche de zircons bleus, pierres précieuses prisées pour leur valeur ornementale. Le photojournaliste Alberto Campi est allé à leur rencontre.
Avec une vidéo sur vimeo :
▻https://vimeo.com/215801352
#cambodge #mines #zircones #photographie
cc @reka @fil @agn
@philippe_de_jonckheere
@cdb_77 Merci de penser à moi ! et Bravo @albertocampiphoto pour ce très beau travail que je vais aller explorer plus outre.
Au #Cambodge, le #business de la #mémoire
Le jour suivant, lors de la visite des « killing fields » (les camps d’extermination le plus secret du régime des #Khmers_Rouges), à quelques kilomètres de Phnom Penh, l’hypothèse du business de la mémoire a pris le dessus dans mes réflexions. En effectuant des recherches sur le mémorial, je tombe sur la référence à un article publié en 2005 dans l’édition du Pacifique Sud du Time International. Il rapporte un plan secret pour privatiser les « killing fields ». Un accord à hauteur de 15000 dollars par an sur 30 ans a été passé entre la municipalité de Phnom Penh et une entreprise japonaise, la #JC_Royal Co.
Quelques #cartes vues au #musée et #mémoriel du #génocide cambodgien (1975-1979)
L’expulsion de la population de la ville de Phnom Pehn a eu lieu en 3 jours. En 3 jours seulement pratiquement aucune personne ne vivait plus à Phnom Pehn, les #Khmer_Rouges avaient organisé l’expulsion dans les campagnes. L’#homme_nouveau devait renaître de là, des campagnes. Il ne faut pas oublier qu’après des années de bombardements sur le Camodge de la part de l’armée des Etats-Unis, un nombre important de réfugiés s’étaient réfugiés dans la capitale. La ville étaient donc peuplée de personnes nées à Phnom Pehn plus un nombre important de déplacés internes. Tout ce monde a été évacué en 3 jours.
#Phnom_Pehn #S-21 #camp_d'extermination #prison #migrations_forcées #expulsions #cartographie #visualisation #flèches #génocide_cambodgien
#Cambodge
#Tuol_sleng genocide museum
2 #survivants (sur 7 au total) de S-21 étaient présents à la fin de la visite (très bonne audio guide, by the way). Les deux assis devant une table où étaient présentés leurs livres.
Vraiment étrange impression de pouvoir voir ces deux personnes qui portent par leur récit et témoignage, également l’histoire du génocide cambodgien.
Les deux survivants présents :
Mais voilà, si ils étaient là aujourd’hui, ils doivent probablement être là tous les jours. Tous les jours en train de vendre leur livre, tout les jours dans ce lieu où ils ont vécu l’enfer.
Au nom de quoi ? De la mémoire ? Du devoir de la garder vivante ? Ou au nom de l’argent qui peut être encaissé à travers la vente des livres ?
Bizarre sensation, de passer devant ces deux vieux messieurs, avec qui en plus je ne peux échanger aucun mot.
Aujourd’hui, visite du camp d’extermination « #killing_fields » :
site internet officiel :
▻http://www.cekillingfield.org
L’histoire est malheureusement connue, mais encore une fois, j’écris quelques lignes sur les questions que je me pose après avoir observé les comportement de certains visitateurs... et notamment ces trois jeunes filles qui n’arrêtaient pas de se mettre en pose pour faire des #selfies alors qu’elles piétinaient sur des fosses communes...
Je suis également étonnée de voir qu’on laisse trainer des poules sur les fosses communes... Je pense qu’on ne les laisserais pas chez nous. Mais je me dis que c’est le signe que la vie continue, que tout lieu se transforme et que, malgré le fait que c’est un devoir de garder la mémoire, il est tout aussi de notre devoir de laisser la vie prendre le-dessus. La question qui se pose est la suivante : où mettre la limite ?
Je découvre aussi sur wikipedia (▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Choeung_Ek) que « Le site est géré par une société privée japonaise, qui a versé 15 000 $ à la ville de Phnom Penh en 2005 », avec un lien qui amène vers cet article, que je ne peux malheureusement pas consulter en entier :
The Revenue Fields
▻http://content.time.com/time/magazine/article/0,9171,1047552,00.html
#privatisation
Et voilà, mon premier texte publié sur le site de @lacite :
►https://www.lacite.info/reportages/cambodge-business-memoire
Cambodge. Tuol Sleng ou l’histoire du génocide en chantier / Tuol Sleng, a history of the Cambodian Genocide under construction
Le musée du génocide de Tuol Sleng à Phnom Penh commémorera bientôt le quarantième anniversaire de sa fondation. Ouvert en 1979, aussitôt après la chute du régime de Pol Pot, dans les bâtiments de la prison khmère rouge S. 21, il est devenu à travers les années le principal site mémoriel du génocide cambodgien. Il en est question dans des livres, documentaires, expositions, oeuvres d’art et médias sociaux. Ce dossier revisite l’histoire de Tuol Sleng avec l’intention de jeter sur ce lieu un nouvel éclairage. Il rassemble des entretiens et des analyses de spécialistes et d’artistes réfléchissant sur l’histoire de cette prison aussi bien que sur sa transformation comme musée dans un contexte à la fois mémoriel et de transition sociopolitique au Cambodge. Il s’agit de s’interroger sur l’usage des artefacts, des images et des cadres conceptuels par lesquels la mémorialisation et le savoir historique des crimes du régime khmer rouge se sont constitués aujourd’hui.
▻http://www.memoires-en-jeu.com/dossier/cambodge-tuol-sleng-ou-lhistoire-du-genocide-en-chantier-tuol-sleng