Chronique des jours courts | Agnès Maillard
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Chronique des jours courts | Agnès Maillard
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Le résistant | Agnès Maillard
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Chronique des jours courts | Le Monolecte
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Pour passer le temps entre deux aller-retour chez le grossiste du bricolage, j’ai décidé de nettoyer mon immense collection de flux RSS. Entre 800 et 1000 sources, je ne sais plus, certaines suivies depuis plus de 15 ans. Il y en a un gros paquet qui est aux abonnés absents depuis très longtemps. Mais là, beaucoup de plateformes d’hébergement ont fait le ménage et ça me crée des alertes un peu chiantes dans mon agrégateur. Du coup, j’ai retrouvé là des URL de gens que j’avais adoré lire, qui m’avaient fait rire ou pleurer, avec lesquels j’avais parfois eu de véritables échanges… pendant un temps, tout au moins.
#chroniques #Internet #moment #mort
Mais qu’est-ce que vous avez tou.te.s ?!
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Le résistant | Le Monolecte
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Ni réconfort ni consolation… finalement, je regrette moins d’être réfractaire à la religion. La vie éternelle ne semble pas moins foutre les jetons que le néant des matérialistes athées, mais en plus, elle réclame sans cesse des preuves de soumission de son vivant et justifie régulièrement la résignation à l’indigne et à la politique du pire.
Le résistant | Le Monolecte
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C’est un homme qui s’accroche au bord de la falaise, les deux pieds pendants vers l’abime dont il sait qu’il est insondable et froid. Il ne tient plus que par la pulpe de ses doigts, il sait qu’il finira par lâcher, inéluctablement, il pleure, il gémit, il crie, parfois, mais il tient, encore et encore.
#chroniques #humanité #moment #mort #vieux
Dans Le Mythe de Sisyphe, Albert Camus déclare qu’il n’y a qu’un problème philosophique sérieux : le suicide et que la plus pressante des questions à laquelle il faut répondre est de savoir « si la vie vaut ou non la peine d’être vécue ». C’est en effet parce qu’on a soudain l’impression que la vie ne vaut plus la peine d’être vécue qu’on se suicide, de manière brutale, en se jetant sous un train ou dans le vide, en avalant des barbituriques, ou de manière lente, par la drogue, le cancer ou d’autres maladies (euh là, il pousse un peu loin, l’auteur) . Que la question du suicide soit la plus pressante, c’est l’évidence, quand on constate l’effrayant développement, dans le monde moderne, de la drogue, des cancers et des suicides brutaux, notamment des adolescents auxquels on n’a pas pu démontrer que la vie valait la peine d’être vécue.
lecture intégrale ici même :
▻http://www.pansemiotique.com/albert-camus-et-la-question-du-suicide
Si vous arrivez à lire l’article jusqu’à la fin, vous aurez joué un bon tour à la camarde. Allez, j’rigole ! ...
Dire que le cancer est une forme de suicide ... Quand même ...
On en revient toujours à la même foutue question