heise online - IT-News, Nachrichten und Hintergründe

/meldung

  • Datenleck verschwiegen: 600.000 Euro Strafe in den Niederlanden gegen Uber | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Datenleck-verschwiegen-600-000-Euro-Strafe-in-den-Niederlanden-gegen-Uber-4233

    Die niederländische Datenschutzbehörde hat eine Strafe von 600.000 Euro gegen den Fahrdienstvermittler Uber verhängt. Das US-Unternehmen habe den immensen Diebstahl von 57 Millionen Nutzerdaten nicht innerhalb der vorgegebenen Frist von 72 Stunden nach der Entdeckung gemeldet, begründet die Behörde die Entscheidung. Betroffen waren demnach auch 174.000 Niederländer. Abgegriffen worden waren Namen, E-Mail-Adressen und Telefonnummern von Uber-Nutzern.

    Fragwürdiger Umgang mit Datenleck
    Das massive Datenleck war im Dezember 2017 bekannt geworden, der Diebstahl hatte sich aber bereits 2016 ereignet und bei Uber war er damals auch bereits entdeckt worden. Der damals noch neue Uber-Chef Dara Khosrowshahi hatte das lange Schweigen nicht entschuldigen wollen und erklärt, „nichts davon hätte passieren dürfen“.

    Der Konzern war dann noch einmal in die Kritik geraten, als bekannt wurde, dass der verantwortliche Hacker 100.000 US-Dollar aus dem hauseigenen Bug-Bounty-Programm bekommen hatte, damit er im Gegenzug die Daten löscht. Das Programm ist eigentlich als Anreiz gedacht, damit Sicherheitsforscher von ihnen entdeckte Software-Lücken direkt an Uber melden, statt anderswo Kapital daraus zu schlagen.

    #Uber #Niederlande #DSGVO

  • Zahlen, bitte ! 500 Millionen Mark pro Monat : der Zusammenbruch der DDR | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Zahlen-bitte-500-Millionen-Mark-pro-Monat-der-Zusammenbruch-der-DDR-4179952.ht


    Vous vous demandez toujours comment le premier état socialiste sur le seuil allemand a pu disparaître quasiment sans faire de bruit ? Cet article donne une réponse toute simple et plausible : Les dirigeants intelligents à Berlin-Est comprenaient que la banqueroute de la RDA était imminente, les autres étaient trop occupés par leurs rituels et routines pour s’en rendre compte. On se débarrassa d’eux d’un coup de main. Les élections suivantes éliminaient le parti SED au profit des nouvelles branches des partis politiques de l’Ouest.

    par Detlef Borchers
    A l’occasion de la « Journée de l’unité allemande » : un rappel de quelques chiffres clé qui accompagnaient le chant du cygne du socialisme vraiment existant.

    En fin de compte, la République démocratique allemande était un État complètement surendetté, qui dépendait du soutien financier de la République fédérale d’Allemagne. Mois après mois, 500 millions de DM ont dû être levés pour assurer le service de la dette des « emprunts existants ». Finalement, les supérieurs de la RDA ont tenté de réorganiser l’économie planifiée avec une « loi sur les voyages ». Avec l’ouverture du Mur et l’afflux incontrôlable de voyageurs dans la République fédérale, cette tentative a échoué.

    Depuis 1973, l’économie de la RDA vit à crédit. Jusque-là, elle avait une dette extérieure constante de deux milliards de DM (= DM de la République fédérale d’Allemagne), mais avec la crise pétrolière, elle a commencé à vivre sur un grand pied. L’Union soviétique fournissait entre 20 et 35 millions de tonnes de pétrole par an à des prix bien inférieurs à ceux du marché mondial. Affinés en RDA, les produits pétroliers pourraient être vendus à l’Occident, c’est-à-dire que des dettes pourraient être contractées et réglées. La RDA s’est appuyée sur de nouvelles hausses des prix du pétrole. En 1989, elle avait accumulé 49 milliards de DM de dettes en devises, dont un prêt immédiat de 1 milliard de DM, que le politicien de la CSU Franz-Josef Strauß avait contracté en 1983 lors d’une grave crise en RDA. A l’époque, la RDA avait déjà 23 milliards de dettes envers la Deutsche Bundesbank, qui voulait fermer le robinet. En échange du prêt immédiat, la RDA a dû démanteler les installations d’autodéfense à la frontière ouest en 1984 et déminer les mines jusqu’en 1985.

    Le 16 mai 1989, Gerhard Schürer, président de la commission de planification de l’Etat, prête le serment de révélation devant le Politburo de la RDA : « La dette occidentale » augmente de 500 millions de DM par mois ; si cette politique continue, la RDA sera insolvable en 1991 au plus tard. Selon M. Schürer, 65 pour cent des recettes d’exportation de la RDA ont été immédiatement restituées à l’Allemagne pour le service des prêts. La situation ne peut être maîtrisée que si la consommation intérieure de la population est réduite de 30 pour cent et que ces biens de consommation peuvent être exportés.

    La raison immédiate de cette sortie de fonds dramatique était l’annonce par l’URSS de réduire ses exportations de pétrole vers la RDA de 13 millions de tonnes au cours de la perestroïka. L’offre de gaz naturel bon marché devrait également être considérablement réduite : Sous Gorbatchev, une politique a été initiée pour se soucier moins des Etats du bloc et pour améliorer la situation de la population avec les recettes du marché mondial. La perestroïka (reconstruction) introduite par Gorbatschow et surtout la glasnost (ouverture) furent rejetées par le régime de la RDA. Le 18 novembre 1988, Erich Honecker interdit le journal russe de langue allemande Spoutnik, dans lequel les idées de Gorbatchev étaient discutées.

    Lorsque Gerhard Schürer a choqué le Politburo avec son chèque en liquide, il était en train de fermenter en RDA. En mars 1989, des élections locales y ont eu lieu, qui ont été radicalement falsifiées par le « Parti du Peuple Dirigeant ». En conséquence, la protestation politique des groupes pacifistes et des militants écologistes est descendue dans la rue et a reçu l’approbation de la population ; ils voulaient voir un changement. Dans ce contexte, une réduction de 30 % de la consommation aurait été un appel à la révolution. Le 19 août 1989, l’idéologue en chef Otto Reinhold tonnerre devant les caméras : « La RDA sera socialiste ou pas du tout ». C’est ce que les citoyens ont reconnu avec la fuite massive vers la Hongrie et la Tchécoslovaquie. Gorbatchev avait laissé entendre à ces pays qu’ils étaient libres de disposer de leurs frontières.

    Surtout le départ via la Hongrie a fait mal. Le Politburo a enregistré avec déplaisir que la RFA ait accordé un prêt immédiat de 500 millions de DM le 10 septembre 1989 pour maintenir la frontière ouverte. Il y avait l’argent dont on avait désespérément besoin. Un groupe de travail a été créé pour élaborer une « loi sur les voyages » qui, si la frontière germano-allemande était ouverte, fournirait les devises nécessaires pour rembourser la dette. Dès mai 1988, l’augmentation du forfait de transit de 525 millions de DM à 860 millions de DM pour la période de 1990 à 1999 a généré des recettes supplémentaires. Le groupe de travail est arrivé à la conclusion que 300 DM pourraient être facturés pour chaque citoyen de la RDA qui se rend en RFA (et y retourne). Avec 12,5 millions de voyageurs par an, cela aurait généré 3,8 milliards de DM et la RDA aurait pu assurer le service et réduire sa dette. Gerhard Schürer a salué cette solution.

    Mais l’inattendu s’est produit jusqu’à l’adoption et l’introduction de la loi sur les voyages en novembre. Lors d’une réunion du Politburo du SED le 17 octobre, Erich Honecker a été démis de ses fonctions sur proposition de Willi Stoph, président du Conseil d’Etat de la RDA. À la surprise de tous les participants, la décision a été unanime, comme Schürer l’a noté dans ses notes. Avec Egon Krenz, le successeur approprié a été rapidement trouvé. Le Comité Central du SED s’est réuni le 18 octobre : Honecker a demandé à 47 membres du CC et 159 présidents de district de démissionner pour raisons de santé. Krenz proposa immédiatement au gouvernement fédéral de Bonn une « coopération approfondie », mais insista sur le « respect » de la citoyenneté de la RDA, qu’il qualifia de non-négociable.

    Le 6 novembre, Alexander Schalck-Golodkowski, représentant de la RDA, s’est rendu chez Wolfgang Schäuble, président du groupe parlementaire de la CDU, et chez Rudolf Seiters, ministre de la Chancellerie. Il était censé faire participer le gouvernement fédéral à la loi sur les voyages prévue à court terme avec un prêt de 12 à 13 milliards de DM. En garantie, les 3,8 milliards de DM par an seraient suffisants pour réduire le prêt. La République fédérale d’Allemagne était prête à parler, mais a fixé des exigences bien différentes de celles de la loi sur les voyages : Le SED devrait abandonner le monopole du pouvoir et permettre des élections générales libres. Ces demandes ont également été annoncées à la télévision ouest-allemande, tandis que les négociations sur la loi sur les voyages et le prêt souhaité ont été dissimulées. L’Union soviétique encore puissante ne devait pas voir à quel point la RDA liait sa survie à la bonne volonté de la RFA.

    Le 8 novembre 1989, la conférence fatidique de la ZK commença, au cours de laquelle devait être décidée « Die Wende » (Egon Krenz). La première journée a été consacrée aux questions de personnel, la seconde à la « politique culturelle ». Cette question cachait un débat féroce sur la manière de faire face aux manifestations de masse qui ont secoué la RDA. Le 9 novembre à 15h50, c’est finalement au tour de la nouvelle loi sur les voyages de remplacer l’ancienne réglementation sur les voyages. « Les voyages privés à l’étranger peuvent être demandés sans aucune condition préalable. Les autorisations sont délivrées à bref délai... /... / Les départs définitifs peuvent être effectués via tous les points de passage frontaliers de la RDA vers la RFA ou vers Berlin (Ouest). ».

    Un communiqué de presse sur le nouveau règlement devait être publié le 10 novembre, mais les attachés de presse Günter Schabowski, Manfred Banaschak, Gerhard Beil et Helga Labs devaient se présenter devant la presse internationale dans la soirée et expliquer la nouvelle procédure de voyage sans, bien sûr, expliquer la procédure concrète et la « prise en charge des frais de voyage » par la RFA. Et puis il y a eu un incident historique. Les frontières entre l’Est et l’Ouest ont été « inondées » à Berlin après la diffusion du Tagesschau.

    Les membres du Comité central n’ont rien remarqué de tout cela. Ils ne regardaient pas la télévision, la télévision ouest-allemande, certainement pas. A 20 heures, ils ont débattu de la dette occidentale et le rapport de Günter Ehrensperger, chef du département financier de la ZK, a choqué les participants. Il a expliqué que « nous avons vécu au-dessus de nos moyens année après année au moins depuis 1973 et nous nous sommes trompés nous-mêmes. Et si nous voulons sortir de cette situation, nous devons travailler dur pendant au moins 15 ans et consommer moins que ce que nous produisons. » "Les gens s’enfuient ", c’était une interjection quand les gens s’enfuyaient il y a longtemps - détruisant tous les plans pour de beaux prêts de voyage.

    Le 10 novembre, Gerhard Schürer a finalement fait comprendre au plénum de la ZK à quel point la situation économique en RDA était désolante. Il a dénoncé la décadence de l’industrie, les subventions et l’endettement. Son représentant, Werner Jarowinsky, a notamment porté la microélectronique devant les tribunaux et a comparé les énormes coûts de production des puces, dont la puce mégabit, aux prix du marché mondial. 12 milliards à 14 milliards de marks ont été victimes d’une économie pure et simple, résume Jarowinsky avec amertume.

    Après l’ouverture du mur, la question des recettes provenant des frais de voyage n’était plus à l’ordre du jour. Lorsque le Premier ministre désigné de la RDA, Hans Modrow, a demandé un prêt de 15 milliards lors de la première rencontre avec le chancelier Helmut Kohl le 19 décembre, il l’a rejeté. Le pays ne pouvait pas vivre comme ça.

    traduit avec https://www.deepl.com/translator

    Allemagne #RDA #politique #histoire

  • Telekom : T-Systems startet Abbau Tausender Jobs | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Telekom-T-Systems-startet-Abbau-Tausender-Jobs-4158509.html

    T-Systems licencie des milliers de dévoppeurs.

    Die Telekom-Tochter T-Systems kann mit dem geplanten Abbau von Tausenden Jobs starten. Mit dem Betriebsrat hat Spartenchef Adel Al-Saleh eine Einigung über den Fahrplan dafür gefunden. „Wir haben uns geeinigt, dass bis Ende 2020 insgesamt 3765 Stellen abgebaut werden“, sagte Gesamtbetriebsratschef Thomas Schneegans dem Handelsblatt.
    Weiterer Stellenabbau möglich

    Gehe es dem seit Jahren schwächelnden IT-Anbieter dann nicht besser, könne der Abbau weiterer 1200 Stellen anstehen. Zudem hätten schon einige Hundert Mitarbeiter die Firma verlassen. Insgesamt spreche das Unternehmen vom Abbau von 5600 Stellen, hieß es in dem Bericht.

    Al-Saleh war von Telekom-Chef Tim Höttges geholt worden, um die chronisch renditeschwache Geschäftskunden-Sparte wieder auf Trab zu bringen. Im Juni hatte der US-Amerikaner angekündigt, weltweit rund 10.000 Stellen streichen zu wollen, davon allein in Deutschland 6000. So sollen die jährlichen Kosten um 600 Millionen Euro sinken. T-Systems kämpft wie einige Rivalen auch mit Überkapazitäten und hat Mühe, im harten Wettbewerb am Markt auskömmliche Preise zu erzielen. T-Systems hat weltweit derzeit rund 37 000 Mitarbeiter.

    Quand j’entend parler quelqu’un du manque de personnel qualifié, je sors mon flingue ...

    #Allemagne #travail #licenciements

  • Hemmungslose Optimisten : 30 Jahre DDR-Chip U61000 | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Hemmungslose-Optimisten-30-Jahre-DDR-Chip-U61000-4161968.html


    Aujourd’hui est le trentième anniversaire du circuit intégré 1 MBit développé en RDA.

    Es sollte ein Meilenstein auf dem Weg der technischen Aufholjagd des Ostblocks werden: Der erste 1-Megabit-Speicherchip, der in der DDR entwickelt und gebaut wurde. Am 12. September 1988 präsentierten Projektleiter Bernd Junghans, Chefkonstrukteur Jens Knobloch und weitere Kollegen den “U61000” im Sitzungszimmer des Politbüros in Berlin. Auf einer sechseinhalb Meter langen Papierbahn stellten die Forscher von Carl Zeiss Jena den Schaltkreis des DDR-DRAM-Chips vor.

    #DDR #histoire #informatique

  • Google entfernt Nahverkehrs-App „Öffi“ aus dem Play Store
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Google-entfernt-Nahverkehrs-App-Oeffi-aus-dem-Play-Store-4104626.html

    Die deutsche Nahverkehrs-App „Öffi“ ist aus dem Play Store verschwunden. Nach Angaben des Entwicklers lieferte Google dafür keine plausible Erklärung.

    Öffi: Die populäre ÖPNV-App bleibt auch weiterhin im Play Store gesperrt & ist jetzt Open-Source, Veröffentlicht am 21. Juli 2018 von Jens
    https://www.googlewatchblog.de/2018/07/oeffi-die-oepnv-app

    Öffi ist im Play Store seit gestern nicht verfügbar, weil Google die App einf...
    https://plus.google.com/+AndreasSchildbach/posts/WQrh3thfuQq

    Andreas Schildbach
    Moderator, Öffi, 07.07.2018

    Öffi ist im Play Store seit gestern nicht verfügbar, weil Google die App einfach rausgeworfen hat mit der Begründung „Payments“. Sehr witzig, es gibt in der App keine Payments (oder Purchases). Öffi ist kostenlos und es gibt keine Pläne, das zu ändern.

    Update 9.Juli: 3 Tage später hat Google konkretisiert, dass es tatsächlich um Spenden aus der App heraus geht und zum Beweis Screenshots einer scheinbar von F-Droid installierten (oder sidegeloadeten) Version angehängt. Das in dem Screenshot sichtbare Spenden-Menü gibt es jedoch in der Version nicht, die man aus Google Play heraus installiert!

    Außerdem kommt Google mit einer neuen Beschuldigung, nämlich dem „direkt herunterladen“-Knopf in meiner Infomeldung, die ich anlässlich des Play-Store-Rauswurfs an alle User verteile. Ich habe den Knopf vorerst entfernt, aber wie denkt sich das Google? Natürlich brauchen die User eine Alternative, wenn’s via Google Play nicht mehr klappt.

    Update 14. Juli: Der Google Play Developer Support hat nicht mehr geantwortet. Allerdings hat sich Google Deutschland bei mir gemeldet und klargestelllt, daß die Payments-Richtlinie nicht per Konditional im Programmcode erfüllt werden kann. Es reicht nicht, wenn der Nutzer die Spendeninformationen nicht zu Gesicht bekommt, sondern sie dürfen auch nicht im APK enthalten sein. Eine neue Version ist unterwegs.

    Update 15. Juli: Google hat die aktualisierte Version abgelehnt. Begründung: Payments. Jetzt bin ich wieder so schlau wie vor einer Woche.

    Bis zur vollständigen Klärung installiert am besten direkt von meiner Homepage oder vom F-Droid-Repository. Siehe https://oeffi.schildbach.de/download_de.html.

    #censure #monopole #Google

    • Nahverkehrs-App: Öffi ist zurück im Play Store | heise online
      https://www.heise.de/newsticker/meldung/Nahverkehrs-App-Oeffi-ist-zurueck-im-Play-Store-4153880.html

      Die Nahverkehrs-App Öffi ist jetzt wieder im Google Play Store verfügbar. Die Anwendung wurde inklusive der früheren Statistiken und Bewertungen wiederhergestellt. Öffi war wegen eines im Code versteckten Spenden-Buttons aus dem offiziellen Android-App-Store geflogen.
      Öffi auch bei F-Droid

      Im Code von Öffi befand sich ein Button, über den Nutzer an den Entwickler spenden konnten – das verstößt gegen die Play-Store-Regeln. Laut Schildbach taucht dieser Button allerdings nur dann auf, wenn Öffi aus einer alternativen Quelle installiert wurde. Google reichte das trotzdem, um die Anwendung aus dem Store zu schmeißen.

      Entwickler Andreas Schildbach hatte dann mehrere neue Versionen eingereicht, die bislang allerdings auch abgelehnt worden waren. In einer Mail an heise online schreibt Schildbach, er gehe davon aus, dass Google vorher immer die alte anstatt der überarbeiteten APKs geprüft hat. Demnach hat sich an der nun freigegebenen Version im Vergleich mit den zuvor eingereichten eigentlich gar nichts mehr geändert.

      Öffi ist im Play Store für Android-Geräte kostenlos verfügbar. Die App sammelt Verbindungsinformationen verschiedener Nahverkehrsverbünde. Nach dem Rausschmiss aus dem Google Play Store hatte Schildbach die Anwendung beim alternativen App-Store F-Droid eingestellt.

  • Linux-Aus: Niedersachsen will knapp 13.000 Rechner auf Windows umstellen | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Linux-Aus-Niedersachsen-will-knapp-13-000-Rechner-auf-Windows-umstellen-411938

    Ganz überraschend kommt das Vorhaben der Migration trotzdem nicht. So haben SPD und CDU in ihrem Koalitionsvertrag von 2017 bereits für die Steuerverwaltung festgehalten: „Wir werden den in Niedersachsen bislang Linux-basierten Verfahrensbetrieb aufgeben.“ Mit diesem Ansatz solle die länderübergreifende Zusammenarbeit erleichtert und der „Aufwand in Programmierung und Verfahrensbetreuung“ reduziert werden. Begriffe wie „Open Source“ oder „freie Software“ tauchen in dem rot-schwarzen Fahrplan dagegen nicht auf.

    #Allemagne #politique #linux #microsoft

  • Missing Link: Der Angriff auf das offene Internet und die Ethik des Netzes
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Missing-Link-Der-Angriff-auf-das-offene-Internet-und-die-Ethik-des-Netzes-4129

    Anstatt ein einzelnes Gesetz herauszugreifen, lassen Sie uns lieber über die grassierende Idee reden, dass verschlüsselte Netze knackbar sein müssen, um eine legitime Strafverfolgung zu erlauben. Die Strafverfolger haben hier ein echtes Problem. Ich bin selbst sehr dafür, dass Gesetze auch durchgesetzt werden können. Die meisten Gesetze sind sinnvoll und übrigens wollen die allermeisten Leute nicht, dass Dinge in die Luft gesprengt werden oder ähnliche schlimme Dinge passieren.

    Das Problem dabei ist, es geht nicht, und wir weisen immer wieder auf die technischen Gründe dafür hin. Wenn man die Möglichkeit sabotiert, sich im Netz über einen verschlüsselten Kanal zu verbinden, sodass ich sicher bin, dass ich auch mit der gewünschten Person kommuniziere, untergräbt man den Grundsatz eines sicheren, vertrauenswürdigen Netzes. Ohne diese Vertrauenswürdigkeit können wir die Vorteile, die das Netz zu bieten hat, nicht nutzen. Natürlich kann man sagen, ich nutze diese Vorteile immer dann, wenn ich sie nutzen will. Genau das funktioniert aber eben nicht. Weil man nicht weiß, ob man dann diese Vorteile dann noch kriegen kann. Das ist etwas, was wir sehr klar machen müssen.

    Traduction DeepL

    Au lieu de choisir une seule loi, parlons de l’idée répandue selon laquelle les réseaux cryptés doivent pouvoir être piratés pour permettre des poursuites légitimes. Les procureurs ont un vrai problème ici. Je suis moi-même très favorable à l’application des lois. La plupart des lois ont du sens, et la plupart des gens ne veulent pas que les choses explosent ou qu’il se passe quelque chose de mal.

    Le problème, c’est que ce n’est pas possible, et nous ne cessons d’en souligner les raisons techniques. Si vous sabotez la capacité de se connecter au réseau par un canal crypté pour que je sois sûr de pouvoir communiquer avec la personne que vous voulez, vous ébranlez le principe d’un réseau sécurisé et fiable. Sans cette confiance, nous ne pouvons pas profiter des avantages qu’offre le réseau. Bien sûr, vous pouvez dire que j’utilise toujours ces avantages quand je veux les utiliser. Mais c’est exactement ce qui ne fonctionne pas. Parce que vous ne savez pas si vous pouvez encore obtenir ces prestations à ce moment-là. C’est un point sur lequel nous devons être très clairs.
    #internet #politique #censure

  • c’t entwickelt datenschutzfreundliche Social-Media-Buttons weiter | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/c-t-entwickelt-datenschutzfreundliche-Social-Media-Buttons-weiter-2466687.html

    Die c’t hat ihre Methode, wie Webseitenbetreiber diese Buttons datenschutzrechtlich unbedenklich einbinden können, jetzt noch einmal verbessert. Der „Shariff“ benötigt nur einen Klick.

    Embetty: Social-Media-Inhalte datenschutzgerecht einbinden | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Embetty-Social-Media-Inhalte-datenschutzgerecht-einbinden-4060362.html

    heise online hat das Open-Source-Projekt „Embetty“ entwickelt, um Webseiten-Besucher vor dem Datenhunger von Social-Media-Sites zu schützen.

    Share- und Like-Buttons, Tweets, YouTube-Videos oder Facebook-Inhalte bereichern Websites, aber externe Inhalte verraten deren Anbietern normalerweise ungefragt Informationen über die Nutzer. Datenschutz ist heise online wichtig, deshalb haben wir uns Gedanken gemacht, wie sich dieser unkontrollierte Datenabfluss verhindern lässt. Daraus ist das Open-Source-Projekt „Embetty“ entstanden, das unser Web-Team entwickelt hat. Embetty arbeitet als Vermittler, damit die Informationen erst beim Anklicken Socia-Media-Elemente übertragen werden können. So können Website-Betreiber ihre Besucher noch besser vor dem Datenhunger der Social-Media-Plug-ins schützen.

    https://github.com/heiseonline/embetty
    https://www.heise.de/ct/ausgabe/2018-12-Social-Media-Inhalte-datenschutzfreundlich-in-die-Website-einbinden-40

    #sécurité #protection_des_données #protection_de_la_vie_privée

  • Fahrdienstvermittler Uber plant neuen Anlauf in Deutschland | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Fahrdienstvermittler-Uber-plant-neuen-Anlauf-in-Deutschland-4051644.html

    Inzwischen sehen wir, was mit neuem Anlauf gemeint war. Von Uber subventionierte illegal in Berlin aktive Mietwagen nehmen den Kollegen die Aufträge weg. Vor allem nachts, wenn niemand so genau hinsieht und viel Feiervolk unterwegs ist, greifen sich die Fahrer ohne jede Ausbildung und Stadtkenntnis ahnnungslose Touristen, die nicht so richtig wissen, worauf sie sich einlassen.

    8.05.2018 - In Deutschland konnte Uber seinen Fahrdienst mit Privatleuten als Fahrer aus rechtlichen Gründen nicht umsetzen. Nun sucht die Firma das Gespräch mit Bundesländern und deutschen Städten, um mit neuen Transportangeboten den deutschen Markt zu erobern.

    Der umstrittene Fahrdienstvermittler Uber will im Sommer einen neuen Anlauf unternehmen, auf dem deutschen Markt Fuß zu fassen. Für Juli seien Gespräche mit Vertretern von einzelnen Städten und Bundesländern geplant, kündigte Uber-Geschäftsführer Barney Harford in einem Gespräch mit der Deutschen Presse-Agentur an. Uber ist derzeit nur als Vermittler von Taxis und Mietwagen mit Chauffeur in Berlin und München aktiv. Der bekannteste Uber-Dienst, bei dem Privatleute im eigenen Auto Fahrgäste befördern, wurde dagegen in Europa nach rechtlichen Niederlagen aufgegeben.

    Deutschland sei ein „riesiger Markt“, sagte Harford. Uber könne den Städten dabei helfen, die Transport-Optionen wirklich zu erweitern und die Entwicklung umweltfreundlicher Kommunen voranzutreiben. „Uber gilt vielerorts als eine Art Leuchtturm der Innovation. Die positiven wirtschaftlichen Auswirkungen, die wir auf Städte und Länder haben, sind stark spürbar.“

    Neue Transportangebote

    Uber wolle mit den Städten in Deutschland eine echte Partnerschaft eingehen. Dabei gehe es nicht nur um den Mietwagen-Kerndienst UberX und den Limo-Service UberBlack, sondern auch um andere Transportangebote: Künftig will Uber auch E-Bikes und Nahverkehrsdienste bis hin zum Flugtaxi vermitteln. „Für das senkrecht startende Flugtaxi Uber Elevate hoffen wir auf einen kommerziellen Erstflug bis zum Jahr 2022.“ Dabei betont das Uber, man habe auch kein Problem habe, wenn Nutzer der App nur andere Fortbewegungsmittel und keine Fahrten mit Uber-Wagen nähmen.

    Uber setzt unter anderem im Heimatmarkt USA auch stark auf den Mitfahrdienst UberPool, bei dem mehrere Fahrgäste, die in etwa in eine Richtung wollen, unterwegs in ein Auto zusteigen. In Deutschland wird dieser Service bisher nicht angeboten.

    Unfall wirft Entwicklung autonomer Uber-Fahrzeuge zurück
    Harford betonte, Uber werde noch viele Jahre auf menschliche Fahrer angewiesen sein. Autonome Fahrzeuge seien vermutlich erst in zehn bis 15 Jahren soweit, in einem größeren Umfang Fahrgäste zu transportieren. Uber habe zwar erheblich in die Technologie für selbstfahrende Autos investiert. „Aber das ist keine Entwicklung, die in kurzer Zeit passieren wird. Unsere Bemühungen sind wichtig, aber nicht etwas, was diese Branche in den nächsten zwei bis fünf Jahren maßgeblich verändern wird.“ Die Roboterwagen von Uber stehen derzeit still, nachdem eines der Autos bei einer nächtlichen Fahrt eine Fußgängerin im US-Staat Arizona tötete. Ihr Betrieb könnte in einigen Monaten nach dem Untersuchungsbericht der Behörden wieder aufgenommen werden.

    Uber hatte unter der Führung des Mitgründers und Ex-Chef Travis Kalanick jahrelang auf eine aggressive globale Expansion oft unter Missachtung geltender Regeln gesetzt. Das brachte dem Start-up in Finanzierungsrunden eine Bewertung von bis zu 70 Milliarden US-Dollar ein – aber auch erbitterte Konflikte mit Taxiunternehmen und Behörden. Unzufriedene Investoren verdrängten Kalanick nach Kritik an Arbeitsbedingungen und Unternehmenskultur bei Uber von der Firmenspitze. Der neue Chef Dara Khosrowshahi versucht einen Neuanfang, propagiert dafür verantwortungsvolles Wachstum und setzt auf besonnenes Auftreten.

    #Berlin #Uber #Disruption

  • Frankreich zerschlägt Darknet-Plattform | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Frankreich-zerschlaegt-Darknet-Plattform-4080035.html

    C’est une histoire du genre Mr. Bean contre la Main Noire quand une petite bande de jeunes fait travailler les forces spécialisées de la police nationale pendant des mois. Le ministre évoque une première, il parle d’un grand succés et patati et patata. Vous n’avez rien de plus marrant à proposer ? Allez regarder French Connection , là au moins c’est la mafia corse qui tient en haleine le FBI et Gene Hackman .

    Bei Einsätzen in mehreren Städten wurden die Hauptadministratorin der Seite und mehrere weitere Personen festgenommen. Die Ermittler hätten auf den Server des Forums zugreifen und zahlreiche Daten sicherstellen können. Das Ministerium bezeichnete „Black Hand“ als eine der wichtigsten illegalen Plattformen, die in Frankreich im Darknet aktiv seien. Erste Untersuchungen hätten gezeigt, dass mehr als 3.000 Personen dort registriert gewesen seien.

    https://www.youtube.com/watch?v=T76K3RxJY0A

    Gérald DARMANIN félicite la douane pour le démantèlement du forum « Black Hand » (ou La main noire), l’une des plus importantes places de marché illégales du darkweb français
    https://minefi.hosting.augure.com/Augure_Minefi/r/ContenuEnLigne/Download?id=D134C754-EDAC-4F18-B26E-295147EEE2FE&filename=304

    Un forum qui vendait drogues et armes sur le « Darknet » français démantelé - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-forum-qui-vendait-drogues-et-armes-sur-le-darknet-francais-demantele-1

    Plus d’une quarantaine de douaniers de la DNRED, des maîtres-chiens de la douane et plusieurs experts techniques ont été mobilisés, simultanément, mardi à Lille, Marseille (Bouche du Rhône) et Montpellier (Hérault) pour interpeller les quatre principaux suspects. « Ce sont des chômeurs et de très jeunes gens, explique une source proche de l’affaire. Aucun ne semble mener grand train grâce cette activité. L’administratrice du site qui vivait dans la région de Lille n’avait pas vraiment de compétence en informatique et n’avait pas d’emploi fixe. Certains dans l’équipe ne s’étaient jamais rencontrés physiquement, comme c’est souvent le cas dans ce genre d’affaire ».

    France - Monde | "Dark web" : une importante plateforme démantelée en France
    https://www.estrepublicain.fr/actualite/2018/06/16/dark-web-une-importante-plateforme-demantelee-en-france

    Ils ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation de crime (mise en circulation de monnaie contrefaite ou falsifiée ayant cours légal en France), de délits punis de 10 ans d’emprisonnement (trafic de stupéfiants) et de délits punis de cinq ans d’emprisonnement (faux documents administratifs, escroqueries) ».

    Dark web : la plateforme illégale "Black Hand" démantelée | Derniéres La presse nouvelles
    http://lapresse.1s.fr/nouvelles/dark-web-la-plateforme-illegale-black-hand-demantelee

    Un forum du dark Web démantelé en France
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/06/16/un-forum-du-dark-web-demantele-en-france_5316099_4408996.html

    Le forum Black Hand (la main noire) proposait à la vente depuis plus de deux ans de nombreux produits et services illicites.

    LE MONDE | 16.06.2018

    L’une des plus importantes plates-formes illégales actives en France sur le dark Web a été démantelée à l’issue d’une vaste opération menée par les douanes, la première du genre, a annoncé, samedi 16 juin, le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin.
    Le forum Black Hand (la main noire) proposait à la vente depuis plus de deux ans de nombreux produits et services illicites (stupéfiants, armes, faux papiers, données bancaires volées…), selon le communiqué du ministre. Quatre suspects ont été déférés, vendredi, devant des magistrats du parquet de Lille, à l’issue du démantèlement survenu mardi.

    La principale administratrice du site et « plusieurs autres personnes ont été interpellées » tandis que du matériel informatique et plusieurs documents d’identité falsifiés ont été découverts lors de cette opération menée mardi par la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), dédiée à la lutte contre la fraude sur Internet.

    Opération « exceptionnelle »

    Près de 4 000 euros en liquide et environ 25 000 euros dans diverses monnaies virtuelles ont également été saisis. Les enquêteurs ont aussi pu accéder au contenu du serveur de Black Hand et procéder à la saisie massive des données. Selon les premiers éléments de l’enquête, plus de 3 000 personnes étaient inscrites sur ce forum.

    Qualifiée d’« exceptionnelle » par le ministre, cette opération, « première du genre en France » a mobilisé plus d’une quarantaine d’agents de la DNRED, des maîtres-chiens de la douane et plusieurs experts techniques. Elle s’est déroulée simultanément dans plusieurs villes de France.

    L’enquête, qui se poursuit, a été confiée à l’Office central de la lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication

    Dark web : la plateforme illégale "Black Hand" démantelée - Capital.fr
    https://www.capital.fr/economie-politique/demantelement-dun-forum-du-dark-web-une-des-plus-importantes-plateformes-ill

    Une importante plateforme illégale, active sur le "dark web", a été démantelée
    https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/une-importante-plateforme-illegale-active-sur-le-dark-web-a-ete-demante

    « Dark web » : Démantèlement d’un des plus importants forums illégaux en France
    https://www.20minutes.fr/societe/2290903-20180616-dark-web-demantelement-plus-importants-forums-illegaux-fr

    Le parquet de Lille a indiqué par communiqué qu’elles avaient été mises en examen ce samedi pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation de crime (mise en circulation de monnaie contrefaite ou falsifiée ayant cours légal en France), de délits punis de 10 ans d’emprisonnement (trafic de stupéfiants) et de délits punis de cinq ans d’emprisonnement (faux documents administratifs, escroqueries) », notamment.

    Deux d’entre elles ont été placées en détention provisoire, une troisième sous contrôle judiciaire et la dernière a sollicité un délai pour sa défense et a été incarcérée dans l’attente d’un débat la semaine prochaine. Selon les premiers éléments de l’enquête, plus de 3.000 personnes étaient inscrites sur ce forum, « confirmant ainsi le caractère très actif de ce forum français ».

    France : démantèlement d’un important forum illégal du dark web - Le Point
    http://www.lepoint.fr/societe/france-demantelement-d-un-important-forum-illegal-du-dark-web-16-06-2018-222
    http://www.lepoint.fr/images/2018/06/16/15309470lpw-15309472-article-

    Démantèlement d’un des plus importants forum du « dark web » en France
    http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2018/06/16/32001-20180616ARTFIG00081-demantelement-d-un-des-plus-importants-forum-du-d

    Dark Web : les autorités françaises mettent un coup de pied dans la fourmilière - France - RFI
    http://www.rfi.fr/france/20180616-dark-web-black-hand-autorites-france-coup-pied-fourmillere

    La Main noire, première plateforme du darknet démantelée en France
    https://www.franceinter.fr/justice/la-main-noire-premiere-plateforme-du-darknet-demantelee-en-france

    Comment le forum du "dark web" vient d’être démantelé en France
    http://www.rtl.fr/actu/futur/comment-le-forum-du-dark-web-vient-d-etre-demantele-en-france-7793777376


    Mais non, ils ne disent pas comment ils ont fait. Tu parles ...

    "Dark web" : démantèlement de l’une des plus importantes plateformes illégales en France
    http://www.europe1.fr/societe/dark-web-demantelement-de-lune-des-plus-importantes-plateformes-illegales-en

    Les animateurs de La main noire, qui a vu le jour en 2015, jouaient en fait le rôle d’intermédiaires entre les vendeurs et les acheteurs de produits illégaux.❞

    Dark web : la belle prise des douanes françaises - Les Echos
    https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301833120492-dark-web-la-belle-prise-des-douanes-francaises-2184604.php

    L’une des plus grandes plateformes illégales du « dark web » français démantelée.
    https://actu17.fr/lune-des-plus-grandes-plateformes-illegales-du-dark-web-francais-demantelee

    À l’issue de 48 heures de garde à vue, quatre suspects ont été présentés aux magistrats du parquet de Lille. La suite des investigations a été confiée aux enquêteurs spécialisés en cybercriminalité de la Police Judiciaire, rapporte La Provence.

    France-Monde | "Dark web" : une importante plateforme démantelée en France
    https://www.lalsace.fr/actualite/2018/06/16/dark-web-une-importante-plateforme-demantelee-en-france

    A la Une | "Dark web" : une importante plateforme démantelée en France
    https://www.dna.fr/actualite/2018/06/16/dark-web-une-importante-plateforme-demantelee-en-france

    Une des plus importantes plateformes du "dark web" en France démantelée
    https://www.nouvelobs.com/societe/20180616.OBS8259/une-des-plus-importantes-plateformes-du-dark-web-en-france-demantelee.htm

    Un forum illégal du "dark web" démantelé annonce Darmanin - L’Express
    https://www.lexpress.fr/actualite/societe/un-forum-illegal-du-dark-web-demantele-annonce-darmanin_2017765.html

    La douane démantèle une importante plateforme du "dark web" - Sciencesetavenir.fr
    https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/la-douane-demantele-une-importante-plateforme-du-dark-web_125042

    Les enquêteurs ont pu accéder au contenu du serveur du forum « Black Hand », qui comptait plus de 3.000 inscrits, et procéder à la saisie massive des données.
    ...
    Le ministre des Comptes publics a félicité la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) pour cette opération « hors norme », la première du genre en France.

    France-Monde | "Dark web" : une importante plateforme démantelée en France
    https://www.vosgesmatin.fr/actualite/2018/06/16/dark-web-une-importante-plateforme-demantelee-en-france

    Démantèlement d’un des principaux forums du « dark web » - 17/06/2018 - PetitBleu.fr
    https://www.petitbleu.fr/article/2018/06/17/89855-demantelement-d-un-des-principaux-forums-du-dark-web.html

    France/Monde | "Dark web" : une importante plateforme démantelée en France
    https://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2018/06/16/dark-web-une-importante-plateforme-demantelee-en-france

    Dark Web : démantèlement de Black Hand, une des plus importantes plateformes illégales en France | KultureGeek
    http://kulturegeek.fr/news-141960/dark-web-demantelement-black-hand-plus-importantes-plateformes-illegales

    French police shut down giant ’Dark Web’ site - The Local
    https://www.thelocal.fr/20180616/french-police-shut-down-giant-dark-web-site

    Voici une histoire beaucoup plus intéressante :

    Occult Secret Societies : Black Hand (unification or death)
    http://occult-secret-societies.blogspot.com/2010/03/black-hand-unification-or-death.html

    The Black Hand (officially unification or death) is a serbian secret and conspiratorial terrorist organization whose aim is unification of all parts where Serbs live in one country (Serbia).

    Kingdom of Serbia continues to strengthen the organization and unification of death, known as the Black Hand, especially popular in the (high) military circles and people who have directly led to power Petar Karađorđević. Unification or death occurs 1911th in the circle of people who have led the government of Yugoslavia, and they felt called to continue to make decisions in critical situations in the country. The leader of the organization was most likely Dragutin Dimitrijević - Apis

    Initiation of the members was maximum possible secret and mystic, and the organization received the people of other nationalities as well.

    Also, Gavrilo Princip, a member of another organization called “Young Bosnia”, supported by the “Black Hand”, killed on 28 June 1914th in Sarajevo, Austrian Crown Prince Franz Ferdinand and gave the reason for the World War I.

    Terrorist organization Black Hand exists to this day.

    #internet #dark_web #drogues

  • Wie Microsoft Europa kolonialisiert – netzpolitik.org
    https://netzpolitik.org/2018/wie-microsoft-europa-kolonialisiert

    Die Forderung nach Windows bricht Europarecht

    Während die großen Internetunternehmen wie Facebook, Amazon und Google verstärkt auf Open-Source-Software setzten, liefern sich die Staaten Europas immer wieder dem Microsoft-Monopol aus. Anfragen nach Informationsfreiheitsgesetz zu den Konditionen der Verträge zwischen Bund und Microsoft werden „wegen Konzerngeheimnissen“ nur geschwärzt herausgegeben. Microsoft ist also in der Lage, den Staat daran zu hindern, seine Bürger zu informieren, beispielsweise über die genauen Kosten der Software. Das US-Unternehmen diktiert den Ländern Europas die Vertragsbedingungen.

    Public Money? Public Code! - FSFE
    https://fsfe.org/campaigns/publiccode/publiccode.en.html

    Why is software created using taxpayers’ money not released as Free Software? We want legislation requiring that publicly financed software developed for the public sector be made publicly available under a Free and Open Source Software licence. If it is public money, it should be public code as well. Code paid by the people should be available to the people!

    The Public Money? Public Code! campaign aims to set Free Software as the standard for publicly financed software. Public administrations following this principle can benefit from collaboration with other public bodies, independence from single vendors, potential tax savings, increased innovation, and a better basis for IT security.

    The Free Software Foundation Europe together with over 100 civil society organisations and more than 15.000 individuals signed the Open Letter. We will use the signatures to contact decision makers and political representatives all over Europe and convince them to make public code the standard. You are invited to add your signature to make a bigger impact!

    Freie Software: Wenn der Staat finanziert, dann Open Source - ComputerBase
    https://www.computerbase.de/2017-09/freie-software-staat-open-source

    Wenn Behörden die Entwicklung von Software in Auftrag geben, soll der Quellcode immer unter einer Freie-Software- und Open-Source-Lizenz veröffentlicht werden. Das fordern 31 Verbände und Vereine in einem offenen Brief.

    Die Aktion läuft unter dem Motto „Public Money? Public Code!“. Politisch ist das mit der Forderung verbunden, künftig gesetzlich zu regeln, dass von öffentlichen Einrichtungen in Auftrag gegebene Software unter einer Freie-Software-oder Open-Source-Lizenz laufen muss. Denn bis dato würden Verwaltungen jedes Jahr Millionen Euro für steuerfinanzierte Software ausgeben, entwickelt wird die aber von privaten Firmen, die in der Regel eine proprietären Lizenz verwenden. Somit ist der Quellcode nicht einsehbar.

    Public Money Public Code: 31 Organisationen fordern freie Software in der Verwaltung - Golem.de
    https://www.golem.de/news/public-money-public-code-31-organisationen-fordern-freie-software-in-der-verwa

    Mehr freie Software in der Verwaltung: Das wollen 31 Organisationen und fordern Nutzer auf, bei den Kommunen, Städten oder Landkreisen anzufragen. Durch das Begehren sollen Sicherheitslücken vermieden, die Zusammenarbeit verbessert und Steuergelder gespart werden.

    Public Code: Aktivisten fordern Freie Software vom Staat - SPIEGEL ONLINE
    http://www.spiegel.de/netzwelt/netzpolitik/public-code-aktivisten-fordern-freie-software-vom-staat-a-1167416.html

    Kampagne Public Code: Software für die Verwaltung soll frei sein | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Kampagne-Public-Code-Software-fuer-die-Verwaltung-soll-frei-sein-3830705.html

    Der NSA-Whistleblower Edward Snowden hat sich als Präsident der Freedom of the Press Foundation bereits zusammen mit mehreren hundert Einzelpersonen hinter die Aktion gestellt. „Weil der Quellcode von unfreier Software oft ein Geschäftsgeheimnis ist, erschwert dies das Finden sowohl versehentlich als auch absichtlich eingebauter Sicherheitslücken enorm“, begründet er seinen Schritt. „Reverse Engineering“ sei in vielen Ländern illegal, was Angriffen wie per WannaCry zugute komme und kritische Infrastrukturen wie Kliniken oder Autofabriken gefährde. Sicherheitslücken lägen dabei oft in proprietärer Software verborgen.

    Snowden hält „nicht auditierbaren Code“ daher für ein Risiko, „das Staaten nicht länger durch spezielle Sonderrechte subventionieren können, ohne dass dadurch Kosten in Form von Menschenleben entstehen“.

    Das Microsoft-Dilemma - Reportage & Dokumentation - ARD | Das Erste
    http://www.daserste.de/information/reportage-dokumentation/dokus/sendung/das-microsoft-dilemma-100.html

    „Wanna Cry“ war ein Weckruf: Die Cyber-Attacke mit dem Erpressungstrojaner traf im Mai 2017 hunderttausende Rechner in mehr als 100 Ländern. Aber wie kann nur ein Schadprogramm gleichzeitig Unternehmen, Krankenhäuser und sogar Geheimdienste in der ganzen Welt lahmlegen? Die Antwort hat einen Namen: Microsoft.

    Auch staatliche und öffentliche Verwaltungen von Helsinki bis Lissabon operieren mit der Software des US-Konzerns. Sie macht angreifbar für Hacker und Spione, verstößt gegen das europäische Vergaberecht, blockiert den technischen Fortschritt und kommt Europa teuer zu stehen. Darüber hat der Journalist Harald Schumann mit seinem Recherche-Team InvestigateEurope mit Insidern und Verantwortlichen in ganz Europa gesprochen.

    Eine gefährliche Abhängigkeit

    Martin Schallbruch, der frühere IT-Chef der Bundesregierung, berichtet, wie die Staaten immer tiefer in die Abhängigkeit von Microsoft geraten. Ein Top-Jurist aus den Niederlanden beschreibt, wie die EU-Kommission und die Regierungen dafür das europäische Ausschreibungsrecht brechen. In Frankreich hat das Verteidigungsministerium beim Abschluss von geheimen Verträgen mit Microsoft das Parlament umgangen, darum will die Senatorin Joelie Garriaud-Maylam nun einen Untersuchungsausschuss einsetzen. Der Hamburger Datenschutzbeauftragte Johannes Caspar warnt, die Microsoft-Systeme setzen die privaten Daten der Bürger der Ausforschung durch die US-Geheimdienste aus. Interne Dokumente belegen, dass das Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik dieses Misstrauen teilt.

    Gibt es Alternativen?

    Sowohl das Europaparlament als auch der Bundestag haben darum mehrfach gefordert, dass die staatlichen IT-Systeme auf quelloffene „Open Source“- Software umgestellt wird, die von Europas eigenen Sicherheitsbehörden geprüft werden können. Italiens Armee hat mit diesem Umstieg auch begonnen, erzählt der italienische General Camillo Sileo. Genauso halten es Polizeibehörden in Frankreich und Litauen oder die Städte Rom und Barcelona. Warum aber stemmen sich die meisten Regierungen gegen die Alternativen, oder kehren wie im Fall München sogar zurück in die Arme von Microsoft? Andrup Ansip, EU-Kommissar für den digitalen Binnenmarkt und weitere Akteure stellen sich den Fragen.

    Ein Film von Harald Schumann und Árpád Bondy

    http://tv-download.dw.com/dwtv_video/flv/imf/imf20180510_HDmicrosoft9897_sd_sor.mp4

    #sécruté #FLOSS #open_source #Microsoft #politique #lock-in #monopoles

  • Elektromobilität: Auf deutschen Straßen rollen kaum E-Taxis | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Elektromobilitaet-Auf-deutschen-Strassen-rollen-kaum-E-Taxis-4052839.html

    Dem Deutschen Taxi- und Mietwagenverband in Frankfurt/Main zufolge waren in Rheinland-Pfalz Ende 2016 knapp 1.700 Taxis und solche Fahrzeuge unterwegs, die sowohl als Taxi und als Mietwagen genutzt werden dürfen. Die (alle vier Jahre erhobene) bundesweite Gesamtzahl beläuft sich auf rund 56.300 Fahrzeuge. Dem gegenüber stehe ein Anteil von bundesweit wahrscheinlich nicht mehr als 100 reinen Elektro-Taxis, sagte der Geschäftsführer des Verbandes, Thomas Grätz.

    Den rechtlichen Rahmen hatte die Bundesregierung 2017 dahingehend geändert, dass auch Elektroautos als E-Taxi fungieren dürfen, die vom Hersteller nicht als Taxi vorgesehen sind. Dennoch ist eine Zurückhaltung beim E-Auto auch (aber nicht nur) in der Taxibranche spürbar.

    #Taxi #Elektromobilität

  • Tödlicher Unfall mit autonomem Auto: „Öffentlicher Betatest mit unwissentlichen Crashtest-Dummies“ | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Toedlicher-Unfall-mit-autonomem-Auto-Oeffentlicher-Betatest-mit-unwissentliche
    https://www.youtube.com/watch?v=51HQ5JXIvWw

    Kritiker bezeichnen nach dem tödlichen Unfall mit einem autonomen Auto den US-Bundesstaat Arizona als „Wilden Westen der Autotester“.

    Nach dem Tod einer Fußgängerin nach einem Zusammenprall mit einem autonomen Auto in Arizona am Sonntagabend ist die Diskussion über die Technik in den USA in vollem Gange. Seitdem die Polizei von Tempe, wo sich der Unfall ereignete, ein Video des Vorfalls veröffentlichte, wurden Zweifel an der Zuverlässigkeit der Technik selbstfahrender Autos laut.

    Betatests mit Unwissentlichen
    Kurz nach dem Unfall hatten sich diverse Organisationen, die sich unter anderem für mehr Verkehrssicherheit einsetzen, an den republikanischen Senator John Thune sowie an den Verkehrsausschuss des US-Senats gewandt. Thune ist für ein Gesetzesvorhaben verantwortlich, das die Erprobung von autonomen Autos in der Öffentlichkeit vereinfachen soll. In dem öffentlichen Brief fordern die Organisationen, das Gesetz auf Eis zu legen. Es zeichne sich ab, dass mit diesen Autos auf öffentlichen Straßen Betatest veranstaltet werden, mit Familien als unwissentliche Crashtest-Dummies.

    Die Verbraucherschutz-Organisation Consumer Watchdog sieht Arizona als den „Wilden Westen der Autotests“. Es gebe „keine Regulierung und es gibt keinen Sheriff in der Stadt“. In Arizona sind neben Uber, Intel, Waymo und General Motors mit autonomen Testwagen unterwegs, ohne dafür eine besondere Erlaubnis zu benötigen. Doug Ducey, Gouverneur der Bundesstaates, warnte nach dem tödlichen Unfall vor voreiligen Schlüssen. Die Lobbyvereinigung Coalition of Future Mobility meint, gerade jetzt sei ein einheitliches Gesetz nötig, um ein Patchwork aus 50 Flecken zu vermeiden.

    Sensoren hätten Frau bemerken müssen
    Raj Rajkumar, der an der Carnegie Mellon University verantwortlich ist für ein Forschungsprojekt zum autonomen Fahren, sagte laut Washington Post, das von der Polizei veröffentlichte Unfallvideo sei aufschlussreich. Das spätere Unfallopfer sei einige Sekunden vor dem autonomen Uber-Testwagen unterwegs gewesen, es hätte von dessen Sensoren wahrgenommen werden müssen. Auch hätte ein Bremsvorgang ausgelöst werden müssen. Das Video legte nahe, dass das Auto ungebremst gegen die Frau fuhr.

    Unterdessen hat die Tochter der Getöteten eine Anwaltskanzlei beauftragt, sie in dieser Angelegenheit zu vertreten. Für die Kanzlei Bellah Perez steht besonders die Frage der Unfallhaftung im Vordergrund, die sich nach ihrer Meinung in Arizona zu Gunsten der testenden Unternehmen verschoben habe. Auch gehe es darum, durch Aufklärung „der Tragödie einen Sinn zu geben“, wie einer Mitteilung zu entnehmen ist.

    #Uber #Disruption #Unfall

  • Teilerfolg von Uber in Italien | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Teilerfolg-von-Uber-in-Italien-3726932.html

    28.05.2017
    Das Verbot aller Uber-Dienste in Italien hat das Berufungsgericht in Rom jetzt eingeschränkt, es lässt Uber Black in ganz Italien zu.

    Nachdem im April von einem Turiner Gericht alle angebotenen Uber-Dienste in Italien verboten wurden, hat das Berufungsgericht in Rom jetzt zumindest das Verbot für den unter „Uber Black“ angebotenen Service zurückgezogen. Diese Dienstleistung „Mietwagen mit Fahrer“, allgemein auch Luxus- oder Limousinenservice genannt, darf weiterhin in ganz Italien sehr zum Unwillen der italienischen Taxifahrer angeboten werden.

    Allerdings bleiben die für Taxifahrer weit problematischeren Dienste Uber Pop und Uber X verboten. Uber Pop vermittelt Fahrten an Privatpersonen ohne Personenbeförderungsschein und Uber X an professionelle Fahrer mit entsprechenden Papieren. In Deutschland ist Uber Pop ebenfalls verboten, über Uber X , wie es derzeit in Berlin angeboten wird, wird noch gestritten. Das hiesige Verfahren zu Uber Black hatte der Bundesgerichtshof an den Europäischen Gerichtshof weitergeleitet, wo auch bereits eine Klage von einem spanischen Taxiverband anhängig ist. EuGH-Gutachter hatten die Dienste als Taxi-Service eingestuft, ein Urteil wird für Ende des Jahres erwartet.

    #Uber #Taxi #Italien

  • Münchner Taxifahrer protestieren gegen „Uberisierung“ | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Muenchner-Taxifahrer-protestieren-gegen-Uberisierung-3874391.html

    26.10.2017
    Der Fahrdienstanbieter Uber lockt Fahrgäste mit günstigen Preisen – zu Recht? Münchner Taxifahrer empören sich über unfairen Wettbewerb. Jetzt haben sie ihrem Ärger Luft gemacht. Uber kontert, die Fahrgäste seien zufrieden mit dem Service.

    Mehrere hundert Münchner Taxifahrer haben mit einer Protestfahrt zum bayerischen Verkehrsministerium gegen den umstrittenen Fahrdienstleister Uber demonstriert. Neue, teilweise illegal vorgehende Wettbewerber hätten der Taxibranche während des Oktoberfests 20 Prozent des Geschäfts weggenommen, sagte der Verbandsvorsitzende Florian Bachmann. Das Personenbeförderungs-Gesetz „wird in einer Art und Weise unterlaufen, die nicht mehr tragbar ist“.

    Uber sprach von „unbegründeten Vorbehalten“. Beim Oktoberfest habe es viele positive Rückmeldungen zur Preistransparenz gegeben, sagte Sprecher Ali Yeganeh Azimi in Berlin.

    Viele Regeln für Taxifahrer

    Taxis müssen jeden Fahrgast zu behördlich festgelegten Fahrpreisen fahren, die Fahrer müssen Ortskunde nachweisen, und die Branche muss ein Angebot rund um die Uhr sicherstellen. Sie gelten als Teil des öffentlichen Nahverkehrs, wie das Kreisverwaltungsreferat erklärte. Uber und einige andere neue Konkurrenten bieten dagegen über Apps Mietwagen samt Fahrer an, ohne Beförderungspflicht und zu „dynamischen Preisen“ je nach Nachfrage.

    Der Taxiverband warf neuen Konkurrenten vor, Vorschriften zu umgehen und sich etwa vor Hotels die lukrativsten Kunden herauszupicken. Gesetzlich müssten sie eigentlich nach einer Fahrt an den Betriebssitz zurückkehren und dort auf den nächsten Auftrag warten. Stattdessen kurvten sie in München umher oder warteten auf öffentlichen Parkplätzen auf Kunden. In München seien inzwischen viele solcher Mietwagen mit Fahrer unterwegs, die ihren Betriebssitz in Ebersberg, Landsberg oder anderen Landkreisen hätten.

    Flexible Uber-Fahrer
    In München gibt es laut Kreisverwaltungsreferat rund 3400 Taxis. Damit habe die Landeshauptstadt die zweithöchste Taxidichte in Deutschland nach Frankfurt am Main. Wie viele Autos Uber in München einsetzt, wollte das Unternehmen nicht mitteilen.

    Uber-Sprecher Azimi sagte, anders als im Taxi zeige Uber den endgültigen Preis bereits vor Bestellung der Fahrt an. „Wir verpflichten alle unsere Fahrer-Partner darauf, Regeln wie die Rückkehrpflicht einzuhalten. Allerdings muss auch gesagt werden, dass es Chauffeuren explizit gestattet ist, unmittelbare Anschlussfahrten anzunehmen, ohne ganz bis zu ihrem Betriebssitz zurückzufahren.“

    #Uber #Taxi

  • Uber: EuGH muss sich mit Limousinen-Service Uber Black beschäftigen | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Uber-EuGH-muss-sich-mit-Limousinen-Service-Uber-Black-beschaeftigen-3717728.ht

    18.05.2017
    Der umstrittene Mobilitätsanbieter Uber landet vor dem europäischen Gerichtshof (EuGH). Der Bundesgerichtshof hat das Verfahren ausgesetzt und dem EuGH Fragen zur Vorabentscheidung vorgelegt.

    Der umstrittene Mobilitätsanbieter Uber muss seine Interessen demnächst vor dem Europäischen Gerichtshof vertreten. In einem Verfahren, in dem es die Vermittlung von Limousinen mit Chauffeuren unter der Bezeichnung „Uber Black“ geht, hat der Bundesgerichtshof (BGH) den EuGH eingeschaltet. Das oberste deutsche Gericht möchte wissen, ob ein Verbot von Uber Black mit EU-Recht kollidiert.

    App oder Unternehmenssitz

    In Deutschland hat Uber neben dem inzwischen ebenfalls verbotenen Uber Pop mit Privatfahrzeugen auch Uber Black angeboten. Die Fahrten wurden hierzulande von Mietwagenunternehmen mit Fahrern durchgeführt, die einen Personenbeförderungsschein haben. Anders als bei Uber Pop waren Fahrzeuge und Fahrer ausreichend versichert und besaßen behördliche Genehmigungen.

    Auf Klage eines Berliner Taxiunternehmens hatten sowohl das Landgericht Berlin als auch das Kammergericht Berlin einen Verstoß gegen Paragraph 49 Abs. 4 des Personenbeförderungsgesetzes festgestellt. Danach dürfen Mietwagen nur für Fahraufträge gestellt werden, die zuvor am Unternehmenssitz eingegangen sind. Bei Uber gehen die Aufträge aber nicht am Sitz des Unternehmens ein, sondern über Uber-Server auf der App.

    Problem Rückkehrpflicht

    Damit werde auch die im Unterschied zum Taxi für Mietwagen geltende Rückkehrpflicht zum Unternehmen unterwandert, befand das Landgericht Berlin. Die Fahrer würden veranlasst, sich im Stadtgebiet außerhalb ihres Betriebssitzes bereitzuhalten, auch wenn keine neuen Fahraufträge vorliegen, und verstießen damit gegen die Rückkehrpflicht.

    Der BGH hat sich den Meinungen der Vorinstanzen angeschlossen, stellt jedoch die Frage, ob ein Verbot von Uber Black möglicherweise gegen unionsrechtliche Vorschriften der Dienstleistungsfreiheit verstoßen könnte. Diese Bestimmungen werden jedoch nicht auf Verkehrsdienstleistungen angewendet. Deshalb hat der BGH dem EuGH die Frage vorgelegt, ob es sich bei dem Dienst Uber Black um eine Verkehrsdienstleistung handelt.

    Wenn der EuGH die Frage beantwortet hat, landet der Fall anschließend wieder beim BGH. Kommt der EuGH dabei zu dem Ergebnis, dass Uber keine Verkehrsdienstleistungen erbringt, so muss der BGH die europäische Dienstleistungsfreiheit mit berücksichtigen und die Wahrscheinlichkeit steigt, dass Uber Black auch in Deutschland wieder fahren darf.

    Uber Pop verboten

    Der Dienst Uber Pop wurde bereits im Jahr 2016 durch das OLG Frankfurt verboten. Das Gericht vertrat die Auffassung, dass eine entgeltliche Personenbeförderung ohne die erforderliche Genehmigung gegen das Personenbeförderungsgesetz verstößt und somit wettbewerbswidrig sei. Im Gegensatz zu Uber Pop gibt es bei Uber Black höherwertige Fahrzeugklassen mit überwiegender schwarzer Lackierung. (Brian Scheuch) / (anw)

    #Uber #Taxi #EuGH

  • Proteste in London gegen Rausschmiss von Uber | heise online
    https://www.heise.de/newsticker/meldung/Proteste-in-London-gegen-Rausschmiss-von-Uber-3839300.html

    London regt sich massiver Protest gegen die Schließung des Fahrdienstes. Mehrere Hunderttausend haben bereits eine Pro-Uber-Petition unterzeichnet.

    In London wächst der Protest gegen den Rausschmiss des Fahrdienst-Vermittlers Uber. Mehrere Hunderttausend Menschen hatten bis Samstag bereits eine Petition des Unternehmens für den Verbleib des Fahrdienstes in der britischen Hauptstadt unterzeichnet.

    Dort buchen nach Firmenangaben rund 3,5 Millionen Menschen Fahrten über die App. Mehr als 40 000 Fahrer böten in London ihre Dienste auf der Plattform an, die nun um ihren Job fürchten müssten.

    Mehrheit will Uber behalten

    In einer repräsentativen Umfrage des Nachrichtensenders Sky News waren 60 Prozent der befragten Londoner für den Verbleib von Uber. 29 Prozent waren dagegen, der Rest unentschieden.

    #London #Uber