greek crisis : Sous presse

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    • Visiblement le cheminot s’en prend à la mauvaise personne et ferait mieux de se battre contre tous les Macron-Fillon-Le Pen-Valls et tous les libéraux de ce pays. Contrairement au PS qui a oublié le peuple, Mélenchon reste un des seul à le défendre. Le pire c’est Le Pen.

      http://melenchon.fr/2017/01/23/trump-prend-leurope-a-lenvers

      https://youtu.be/xU5OtxsbvNQ

      Depuis plusieurs mois, il règne dans les milieux institutionnels européens une ambiance guerrière anti -Russe dont on a peu idée depuis la France. Mais il est vrai qu’en France aussi l’opinion a été assommée et martelée sur tous les registres pour entrer dans le sentiment anti-Russe primaire et puéril sur lequel reposait la volonté d’un déploiement militaire sans précédent dont l’administration Démocrate des USA avait muri le plan. En Europe l’idée tombait bien. Après le Brexit, les dirigeants de l’Union européenne ont saisi l’occasion de proposer la peur des Russes et la militarisation comme un nouveau projet commun donnant à l’Union une raison d’être. L’Europe de la Défense était donc devenue le leitmotiv des récitations officielles des eurocrâtes. Ce discours, le projet et les moyens qui ont été affectés à cette orientation ont de claires conséquences politiques. En effet la logique des officiels européens les situe dans le camp des faucons atlantistes nord-américains. C’est-à-dire du côté de ceux, aux USA, dans les États-majors militaires et les agences de sécurité, qui sont totalement installés dans la stratégie de la confrontation avec la Russie. Ceux-là sont très puissants Outre-Atlantique. Leur travail de sape pour mettre en cause le rôle des Russes dans l’élection présidentielle américaine n’a pas d’autre origine que la volonté de tordre le bras du président élu. Sans doute ne s’arrêteront-ils pas là. Pendant ce temps les « réalistes », autour de Trump, tournent leur batterie contre leurs véritables rivaux : ceux qui menacent leur production et leur monnaie c’est-à-dire la Chine et l’Europe. Ce bouleversement laisse donc tout pantois les éternels alignés que sont les Européens. Ce n’était vraiment pas prévu...

    • @marielle : N’empêche que pour un politique qui prend le peuple à témoin à chacune de ses déclarations, Mélenchon perd vite patience vis à vis d’un simple quidam qui s’en prend à lui juste parce qu’il n’a que lui sous la main pour crier sa colère et son désespoir. J’attendais de lui un peu plus de self-contrôle (même si ses nerfs sont sûrement mis à rude épreuve par cette campagne et son ambiance délétère) et un peu plus de pédagogie. Mélenchon ne reste que ce qu’il est : un homme d’appareil qui parle au nom du peuple mais sans vraiment bien connaître les soucis quotidiens des gens dont ils se veut le porte-parole. Bref, pas terrible comme prestation.

    • Mélenchon ne reste que ce qu’il est : un homme d’appareil qui parle au nom du peuple mais sans vraiment bien connaître les soucis quotidiens des gens dont ils se veut le porte-parole.

      I fully agree tothe above statement.

    • Mais en réalité qui connait sincèrement les soucis du peuple ?
      Je pense qu’il les connait mais on ne peut pas le juger uniquement sur cette vidéo. Face aux électeurs du front national il est parfois difficile de garder son calme.
      Malgré tout, je préfère son tempérament à celui de la plus-part des hommes politiques hypocrites, arrivistes et opportunistes tel Le Pen, Macron et tutti quanti.
      Reste à voir sa position sur la sortie de cette europe libérale et il ne nous restera plus que l’abstention.@sombre
      http://www.alainlasverne.fr/abstention-ou-melenchon-a128068778

    • Concernant l’Union Européenne, la position de Mélenchon n’a jamais été très explicite. Ce qui est sûr, c’est qu’il refuse la construction européenne telle qu’elle a eu lieu jusqu’à maintenant, contre les peuples et par l’austérité budgétaire avec en toile de fond la casse des services publics. Il ne parle pas de sortir de l’Euro mais entend imposer ses conditions si jamais il est élu. Maintenant, je crains fort que son opposition de principe au libre-échange et au dumping social ne fasse long feu lorsqu’il sera confronté aux « réalités » qu’on lui imposera, un peu comme ce que la troïka a fait subir à la Grèce pour faire plier Tsipras en 2015.

    • Oui, je lis régulièrement les billets de Panagiotis Grigoriou et voici ce qu’il déclare :

      Avis donc aux futurs électeurs de France et d’ailleurs. Avant que le survivalisme et le cannibalisme ambiants ne deviennent les seules règles sous ce nouveau régime totalitaire, il n’y a aucune autre issue (à gauche comme à droite) que de dissoudre l’Union européenne.
      http://www.greekcrisis.fr/2017/01/Fr0576.html

      Voir aussi :
      http://blog.europa-museum.org/post/2016/12/12/30-bonnes-raisons-de-sortir-de-l-Europe

  • Sous presse
    http://www.greekcrisis.fr/2017/01/Fr0576.html

    Les medias occupent encore la scène de l’actualité en ce 18 janvier, et même si la dernière affaire en cours, celle du groupe de presse DOL (Lambrákis), pourrait ne pas susciter beaucoup d’intérêt chez les Grecs (entre leur état dépressif, Chypre, puis, le survivalisme et cannibalisme ambiants), elle mérite toutefois à être mentionnée. Source : greek crisis

    • Avis donc aux futurs électeurs de France et d’ailleurs. Avant que le survivalisme et le cannibalisme ambiants ne deviennent les seules règles sous ce nouveau régime totalitaire, il n’y a aucune autre issue (à gauche comme à droite) que de dissoudre l’Union européenne.

      D’ailleurs, la seule question de gauche comme autant de droite possible elle est exactement celle-ci. Avant de pouvoir affronter ses adversaires politiques sur le terrain... il va falloir tout simplement pouvoir récupérer son terrain confisqué.

      Et dire qu’un quelconque SYRIZA manœuvre pour ainsi prétendre contrôler une presse que personne ne lira. Décidément, nous ne vivons pas dans une Europe normale.