« 1984 » de George Orwell est en tête des ventes aux Etats-Unis
▻http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/01/26/1984-de-george-orwell-est-en-tete-des-ventes-aux-etats-unis_5069648_4832693.
#1984
« 1984 » de George Orwell est en tête des ventes aux Etats-Unis
▻http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/01/26/1984-de-george-orwell-est-en-tete-des-ventes-aux-etats-unis_5069648_4832693.
#1984
Pas encore en tête des ventes en France, mais nous on a « Planète Verte » ! A découvrir...
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« Lost in Trumpslation », ou de la difficulté de traduire Donald Trump
Faut-il traduire l’homme comme il parle ou lisser sa syntaxe hachée et risquer de laisser penser qu’il s’exprime normalement ?
▻http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/01/19/lost-in-trumpslation-ou-de-la-difficulte-de-traduire-donald-trump_5065609_48
La pauvreté du vocabulaire de Trump oblige celui qui veut le faire comprendre dans une autre langue à trouver des stratagèmes pour donner du relief à son discours.
Bérengère Viennot décrit un vocabulaire monopolisé par quelques adjectifs hyperboliques. « Great » revient 45 fois dans l’interview au New York Times, avec aussi « tremendous », « incredible », « strong » et « tough ». Or il y a diverses manières de traduire ces adjectifs en français, qui renvoient à des niveaux de langue et à des degrés de correction différents. Elle donne l’exemple de cette déclaration :
« I mentioned them at the Republican National Convention ! And everybody said : “That was so great.” »
Elle choisit de la traduire dans un registre familier par « c’était trop bien ».
« Il me fallait traduire l’expression d’un enthousiasme puéril et autosatisfait, donc si j’avais choisi d’écrire à la place, par exemple : “Et mon discours a fait l’unanimité.” La signification aurait été la même mais cela aurait donné une idée fausse de l’intention et du mode d’expression du locuteur. »