• Facebook’s Mark Zuckerberg Suing Native Hawaiians for Ancestral Lands
    https://indiancountrymedianetwork.com/news/native-news/facebooks-mark-zuckerberg-suing-hawaiians-ancestral-lands

    Using ‘quiet title and partition’ billionaire attempts to complete his beachfront property In an effort to make the 700 acres of beachfront property he purchased in 2014 on the North Shore of Kauai as secluded as possible, three companies controlled by Facebook CEO Mark Zuckerberg are suing more than 300 people—living and passed on—with ancestral links to the land. The Honolulu Star Advertiser reports there are close to a dozen small parcels within the estate purchased by Zuckerberg that are (...)

    #domination #discrimination

    • Le patron de Facebook est accusé de «néocolonialisme» à Hawaï RTS - tmun - 26 Janvier 2017
      http://www.rts.ch/info/monde/8340547-le-patron-de-facebook-est-accuse-de-neocolonialisme-a-hawai.html

      Mark Zuckerberg se retrouve au coeur d’une polémique autour de sa propriété de plus de 100 millions de dollars à Hawaï. Le PDG de Facebook est accusé de comportement « néocolonialiste » par les locaux.

      Le cofondateur de Facebook a lancé fin décembre plusieurs actions en justice contre des centaines d’autochtones. Objectif : s’assurer qu’aucun Hawaïen ne puisse réclamer un droit de propriété sur son terrain de bord de mer, a révélé la semaine dernière un journal local.

      L’affaire a provoqué un tollé dans l’archipel, rappelant aux Hawaïens leur passé de conquête par l’Occident et d’expropriation. « C’est le visage du néocolonialisme », a réagi Kapua Sproat, professeur de droit à Hawaï, interrogé par le Guardian. « Pour nous natifs, la terre est notre ancêtre ! »

      Marche arrière
      Dernier rebondissement en date : Mark Zuckerberg souhaite désormais faire marche arrière, a-t-il annoncé jeudi. « Nous voulons être sûrs de suivre un processus qui protège les intérêts des propriétaires », a-t-il indiqué.
      Le milliardaire américain avait déjà expliqué la semaine passée que ces actions en justice avaient été lancées « afin de retrouver tous les propriétaires partiels et leur payer leur juste dû ».