Merck veut relancer son #vaccin contre le #cancer du col de l’utérus en France
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« Il faut créer une culture de la prévention en France et cela nécessite que la communauté scientifique reprenne la main en termes de communication sur la vaccination », relève-t-il.
Le groupe américain prévoit par ailleurs de commercialiser en France, en fin d’année ou début 2018, un nouveau vaccin pédiatrique hexavalent.
Cette offensive commerciale de Merck fait suite à la dissolution à la fin décembre de sa coentreprise avec le numéro trois mondial, le français Sanofi Pasteur. Pendant 22 ans, les deux groupes avaient en effet réuni leurs activités européennes dans les vaccins dans cette entreprise commune basée à Lyon.
La fin de la « joint-venture », aux ventes déclinantes, était d’autant plus logique pour Merck que les vaccins ont été érigés parmi les quatre priorités du groupe américain, avec l’oncologie, le diabète et les anti-infectieux.
Donc Merck peut se permettre de reraconter des conneries, comme le fait que le cancer du col serait le second plus meurtrier (en fait au Soudan !).
Désormais libre de ses mouvements sur le marché français , le numéro deux mondial du vaccin Merck compte bien utiliser ses nouvelles marges de manœuvre pour lutter contre une spécificité bien hexagonale : le très faible taux de vaccination contre le cancer du col de l’utérus.
« En France, 14% des adolescentes sont protégées, alors que ce taux atteint 70% en Grande-Bretagne », souligne Cyril Schiever, le président de MSD France, la filiale française de l’américain Merck.
« La France est à ce titre un des plus mauvais élèves européens », note M. Schiever dans un entretien accordé à l’AFP à l’occasion de l’inauguration du siège de MSD Vaccins à Lyon.
Le cancer du col de l’utérus est la deuxième cause de mortalité par cancer chez les femmes alors qu’il est largement évitable par la vaccination.
C’est totalement faux !
#gardasil