La #mort à l’heure des réseaux
►http://www.internetactu.net/2012/03/26/la-mort-a-lheure-des-reseaux
Mais survivre comme un objet de devoir moral, ce n’est pas survivre en tant que soi. Si je vous disais “Voudriez-vous vive sous la forme d’un profil Facebook ?” Vous diriez certainement “Non, ce n’est pas cela la vie après la mort, je n’en veux pas”. Quel que soit le genre de survie que permet la présence en ligne, c’en est une forme infime ; mais c’est encore une survie, et cela suffit pour construire une sorte de communauté autour d’elle, et pour servir de centre à l’activité de deuil.