• La réunion de l’OMC finit dans la discorde
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/12/14/97002-20171214FILWWW00096-la-reunion-de-l-omc-finit-dans-la-discorde.php

    Les membres de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) ne sont parvenus à conclure aucun nouvel accord à l’issue, mercredi, d’une conférence ministérielle de trois jours qui aura exposé les divergences de vues au sein de cet organisme, critiqué par les Etats-Unis et bloqué par les vetos. Cette paralysie a empêché des avancées dans les domaines du commerce en ligne et des subventions à l’agriculture et à la pêche. Elle soulève surtout des questions sur la capacité de l’OMC à réguler un commerce mondial de plus en plus féroce. Certains participants, comme le représentant américain au Commerce Robert Lighthizer, ont émis l’idée qu’il serait préférable d’essayer de progresser au sein de groupes restreints de pays partageant un même état d’esprit.

    « Nous ne sommes parvenus à aucun résultat multilatéral », a dit Cecilia Malmström, commissaire européenne au Commerce, lors d’une conférence de presse. « La triste réalité est que nous ne nous sommes même pas entendus sur un arrêt des subventions à la pêche illégale. » Elle a jugé que cette réunion avait exposé crûment l’une des principales fragilités de l’OMC, la nécessité que tous les accords soient approuvés à l’unanimité des 164 pays membres. Elle a déclaré que les Etats-Unis étaient en partie responsables de cette paralysie mais qu’ils n’étaient pas les seuls. Roberto Azevedo, directeur général de l’organisation, a invité les pays membres à un « véritable examen de conscience » afin de réaliser qu’ils ne peuvent obtenir tout ce qu’ils désirent.

    « Des progrès nécessitaient un changement dans les positions des pays membres », a-t-il dit. « Nous ne l’avons pas observé. » L’absence d’accord signifie que les discussions sur les mêmes thèmes vont se poursuivre d’ici la prochaine conférence ministérielle en 2019. Cecilia Malmström a dit que des « accords plurilatéraux de court terme dans le cadre de l’OMC » étaient la meilleure façon d’aller de l’avant. Deux accords de ce type ont été conclus à la conférence de Buenos Aires. Environ 70 membres, dont les Etats-Unis, l’Union européenne et le Japon, se sont engagés à élaborer des règles de négociation en matière de commerce électronique après l’échec d’une initiative identique à l’échelle de l’ensemble de l’OMC. La Chine et l’Inde, entre autres, n’ont pas participé à cet accord. Mardi, les Etats-Unis, l’Union européenne et le Japon ont déclaré qu’ils entendaient coopérer davantage pour lutter contre les surcapacités industrielles et autres pratiques faussant les échanges commerciaux. Leur communiqué ne mentionne pas la Chine mais les pratiques qu’ils dénoncent, comme les subventions aux entreprises publiques, pointent en direction de ce pays.

    Chad Brown, expert des questions commerciales au sein du Peterson Institute for International Economics à Washington, pense que les pays engagés dans cette voie peuvent prendre pour exemple l’accord de 1996 sur les technologies de l’information, par lequel seulement 29 membres de l’OMC au départ ont décidé d’abaisser les barrières douanières sur ces produits. Ils ont depuis été rejoints par 82 pays représentant 97% des échanges commerciaux du secteur. La présidente de la conférence de Buenos Aires, l’ancienne ministre argentine des Affaires étrangères Susana Malcorra, a défendu le principe de l’unanimité au sein de l’OMC. « Travaillons plutôt à renforcer l’OMC parce que l’option alternative, c’est la jungle », a-t-elle dit. Dès le début de la conférence, Robert Lighthizer avait lancé une charge virulente contre l’OMC reflétant la primauté accordée par le président américain Donald Trump à des accords commerciaux bilatéraux et à la défense des intérêts des Etats-Unis. Le représentant américain au Commerce a déclaré lundi aux ministres présents qu’il était impossible de négocier de nouvelles règles quand tant d’autres ne sont pas appliquées. Il a aussi reproché à l’OMC de perdre de vue ses objectifs et de se transformer en instance d’arbitrage et non plus de négociation. La Chine a dit jeudi « ne pas soutenir les membres de l’Organisation mondiale du Commerce niant l’utilité de cette organisation lorsque leurs demandes ne sont pas satisfaites ».

  • Des salariés de Vélib’ bloquent les dépôts Le figaro - avec AFP 22/11/2017
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/11/22/97002-20171122FILWWW00142-des-salaries-de-velib-bloquent-les-depots.php

    Des salariés de Cyclocity, filiale de JCDecaux en charge des #Vélib' actuellement en #grève pour leur emploi, ont décidé de bloquer les dépôts mercredi, a-t-on appris de source syndicale. « On a bloqué tous les dépôts », a affirmé Bambo Cissokho, secrétaire du comité d’entreprise de #Cyclocity et « on est en train de déconnecter les stations », a-t-il ajouté.

    Des salariés parmi les 270 que comptait la filiale du dispositif de vélo en partage observent depuis mardi dernier un mouvement de grève, avec manifestations dans les bureaux de #Smovengo et #Indigo, repreneurs du service au 1er janvier 2018 ou devant la mairie de Paris. Ils demandent leur transfert du groupe #JCDecaux, ancien prestataire, au nouveau Smovengo aux mêmes conditions de salaires et d’avantages.

    Le Conseil de Paris, sur proposition Udi-Modem, a voté mardi le principe d’une indemnisation des abonnés - qui pourrait être un prolongement d’abonnement de quelques mois - en raison des perturbations actuelles. Selon le Syndicat Vélib citant JCDecaux, les stations étaient pour la plupart connectées en fin de matinée. Le Syndicat note néanmoins que le mouvement de grève « va toucher le calendrier » des installations et désinstallations entre les deux opérateurs, « on fait notre maximum ». Le passage de témoins doit se faire au 1er janvier, avec des stations étant déjà en cours de désinstallation quand l’installation des nouvelles prendra quelques mois en 2018.

  • Uber révèle que les données de 57 millions d’utilisateurs ont été piratées
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/11/21/97002-20171121FILWWW00394-uber-revele-que-les-donnees-de-57-millions-d-util

    Le PDG d’Uber a révélé mardi que les données de 57 millions d’utilisateurs à travers le monde ont été piratées à la fin 2016.

    Parmi les 57 millions d’utilisateurs figurent 600.000 chauffeurs dont les noms et numéros de permis de conduire ont été piratés. Les noms des utilisateurs ainsi que leurs adresses électroniques et numéros de téléphone mobile ont été subtilisés, a indiqué Dara Khosrowshahi, dans un communiqué. Sur le base d’expertises externes, le patron affirme que l’historique des trajets, les numéros de cartes et de comptes bancaires, les numéros de sécurité sociale et les dates de naissance des utilisateurs n’auraient en revanche pas été piratés.

    #uber #zuckerberk

  • Nucléaire : feu vert définitif à la cuve de l’EPR de Flamanville (ASN)
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/10/11/97002-20171011FILWWW00260-nucleaire-feu-vert-definitif-a-la-cuve-de-l-epr-d

    « L’anomalie de la composition en carbone de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de Flamanville n’est pas de nature à remettre en cause la mise en service de celle-ci », estime l’ASN

    ben voila, y’a pu qu’à croiser les doigts (pour les superstitieux) ou serrer les fesses (pour les autres) !
    Toutefois il faut bien se rappeler que dans les deux cas les rayonnements passent quand même...

    #nucléaire

  • Nucléaire : rapport alarmant sur la sécurité des centrales

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/10/10/97002-20171010FILWWW00016-nucleaire-rapport-alarmant-sur-la-securite-des-ce

    Les conclusions d’un rapport d’experts du nucléaire et du terrorisme, mandatés par Greenpeace, pour étudier la sécurité des centrales nucléaires françaises face au risque terroriste sont si inquiétantes que l’ONG ne rendra publique mardi qu’une version expurgée des informations les plus sensibles, révèle Le Parisien dans son édition de mardi.

    En mandatant ces sept experts (trois Français, une Allemande, deux Britanniques et un Américain), l’idée de l’ONG de défense de l’environnement était « d’identifier les failles de sécurité et d’alerter les pouvoirs publics et EDF », qui exploite les 19 centrales françaises, sur « le danger que cela représente » en cas d’attaque terroriste, rapporte le quotidien.

    Le renforcement des 62 piscines de refroidissement et des 58 réacteurs coûterait « entre 140 et 222 milliards d’euros », selon les experts, « soit entre trois et cinq fois ce qu’EDF a prévu de dépenser pour prolonger la durée de vie des centrales », a calculé le Parisien.

  • ASN : la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire sous « surveillance renforcée »
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/09/13/97002-20170913FILWWW00123-asn-la-centrale-nucleaire-de-belleville-sur-loire

    L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé mercredi avoir placé la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire (Cher) « sous surveillance renforcée » en raison de « la dégradation du niveau de sûreté » qu’elle a constatée sur le site depuis l’an dernier. Dans une note d’information, l’ASN explique avoir constaté « une hausse du nombre d’évènements significatifs » et « des carences » d’EDF dans la surveillance et l’entretien des installations.

    #nucléaire

  • Assurance chômage : l’Unedic s’interroge sur la future réforme Macron
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/08/08/97002-20170808FILWWW00116-assurance-chomage-l-unedic-s-interroge-sur-la-fut

    L’Unedic s’interroge, dans une série de documents consultés mardi par l’AFP, sur les contours et les potentiels effets pervers de la future réforme de l’assurance chômage, qu’Emmanuel Macron veut étendre aux indépendants et aux démissionnaires.

    L’extension aux indépendants se heurte, juridiquement, à « l’absence de définition unique de la notion d’indépendant » et de ses revenus, selon l’un des documents, remis aux partenaires sociaux le 12 juillet. Le gestionnaire de l’assurance chômage s’interroge notamment sur le sort réservé aux « indépendants économiquement dépendants » des plateformes collaboratives, aux « loueurs de locaux d’habitation meublés », au « conjoint collaborateur du chef d’entreprise » ou encore aux « micro-entrepreneurs déclarant un chiffre d’affaires nul ». Selon le champ choisi par le gouvernement, plusieurs millions de non-salariés pourraient être couverts : 3,33 millions de personnes cotisent aujourd’hui au régime social des indépendants (RSI) et à la sécurité sociale des agriculteurs (MSA).

    En Europe, des régimes obligatoires pour les non-salariés existent déjà en Finlande, au Luxembourg, au Portugal et en Suède. Concernant les démissionnaires, auxquels Emmanuel Macron veut accorder un droit à indemnisation une fois tous les cinq ans, l’Unedic s’inquiète de potentiels effets pervers pouvant faire « courir un risque financier à l’assurance chômage », dans un deuxième document, révélé par Les Echos. L’indemnisation pourrait par exemple entraîner une « augmentation » de la « durée entre la démission et la reprise d’un nouvel emploi » ou du « nombre de démissions », notamment « à l’approche du départ en retraite ».
    Aujourd’hui, les démissionnaires peuvent déjà bénéficier d’une indemnisation lorsque le motif de la démission est « légitime » (déménagement pour suivre son conjoint, non-paiement de salaires...) ou si Pôle emploi estime, au bout de quatre mois au chômage, que le demandeur d’emploi a accompli des efforts de reclassement. Selon l’Unedic, environ un million de démissions ont été enregistrées en 2016, parmi lesquelles 210.000 ont donné lieu à une inscription à Pôle emploi. Entre 45.000 et 55.000 démissionnaires ont obtenu une indemnisation.
    Dernier point : la réforme de la gouvernance et du financement du régime. L’assurance chômage, aujourd’hui gérée par les partenaires sociaux, basculerait dans une gestion tripartite avec un pilotage de l’Etat. Les cotisations patronales d’assurance chômage subsisteraient mais les cotisations salariales (2,4% du salaire brut) seraient remplacées par une hausse de 1,7 point de la CSG, dont la base est plus large. Cette hausse n’affecterait pas les chômeurs et les retraités modestes.
    Selon un troisième document de l’Unedic, l’Etat tirerait, selon le champ de la hausse de CSG, entre 20 et 22 milliards d’euros de recettes supplémentaires. La suppression des cotisations salariales coûterait, elle, 12,8 milliards. La hausse de CSG doit aussi compenser une suppression de cotisations maladie. Mais selon l’Unedic le basculement de la cotisation vers la CSG soulève une question de constitutionnalité. La Constitution permet-elle d’affecter des recettes de CSG à un régime qui ne couvrira pas toutes les personnes qui s’en acquittent ? « La doctrine du Conseil constitutionnel ne semble pas totalement établie sur ce point », estime l’Unedic, qui s’interroge aussi sur la latitude donnée aux partenaires sociaux dans la nouvelle gouvernance. Une concertation entre gouvernement et partenaires sociaux doit s’engager à l’automne en amont de la réforme.

  • En 2016, Airbnb a payé 92.944 euros d’impôts en France
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/08/07/97002-20170807FILWWW00006-en-2016-airbnb-a-paye-92944-euros-d-impots-en-fra

    Selon les informations du journal Le Parisien, la plateforme américaine n’a payé que 92.944 euros d’impôts en France, en 2016. Pour rappel, Airbnb avait payé un montant nettement inférieur l’année précédente, de 69.168 euros. « Un comble, quand la France, avec plus de 400 000 annonces de logements cette année, représente le deuxième marché, derrière les Etats-Unis, pour Airbnb », rappelle le quotidien.

    Toujours selon ce dernier, cette fiche d’impôt, au montant surprenant au premier abord, n’est pas illégale, et résulte d’une stratégie d’optimisation fiscale. Le siège social de l’entreprise est en effet situé en Irlande, où l’impôt sur les sociétés est fixé à 12,5%. Contacté par Le Parisien, un porte-parole de Airbnb assure que l’entreprise est conforme « aux règles ». « Notre bureau en France fournit des services marketing et paie toutes les taxes applicables », indique-t-il.

  • Pesticides / libre-service : enseignes en infraction Le Figaro - AFP - 11 Juillet 2017
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/07/11/97002-20170711FILWWW00008-vente-de-pesticides-en-libre-service-44-des-ensei

    Plus de quatre enseignes sur dix (44%) ne respectent pas la législation entrée en vigueur en janvier dernier interdisant la vente en libre-service de pesticides, selon une étude réalisée par la CLCV publiée mardi. L’association de consommateurs a réalisé une enquête du 31 mars au 31 mai, dans 158 magasins, dont 79% d’enseignes spécialisées (Mr Bricolage, Bricomarché, Jardiland, Truffaut...) et 21% de grandes surfaces disposant d’espaces jardinerie.


    Les relevés ont montré que 44% des enseignes visitées « sont en infraction avec la réglementation puisqu’elles proposent à la vente, dans leurs espaces libre-service, des produits dangereux qui ne devraient être vendus que par un vendeur spécifiquement formé », indique la CLCV dans un communiqué. En grande distribution, c’est même 49% des enseignes qui ne respectent pas la loi, contre 30% dans les enseignes spécialisées, est-il ajouté. Dans le cas où les points de vente ont mis en place un espace dédié à la vente des pesticides dangereux conformément à ce que qui est demandé dans la loi, dans 36% des cas, le conseil fourni par les vendeurs est soit inexistant, soit incomplet, relève la CLCV.

    « De plus, en consultant des sites sur internet, nous avons constaté que des plateformes de vente en ligne permettaient l’achat des pesticides chimiques les plus à risque sans délivrance de conseils », ajoute l’association. Face à ces résultats, la CLCV demande aux pouvoirs publics le renforcement des contrôles et la suppression des espaces libre-service avec au minimum une mise sous clé obligatoire de tous les pesticides. Elle réclame également aux distributeurs l’engagement de retirer les pesticides dangereux de leurs rayons avant l’interdiction de 2019, date à laquelle la vente de ces produits doit être totalement interdite aux particuliers, et une mise en place de formations pour les vendeurs « pour qu’un conseil complet soit fourni à chaque consommateur ».

    #Mr_Bricolage #Bricomarché #Jardiland #Truffaut #Pesticides
    #abeilles #pesticides #environnement #agriculture #biodiversité
    #écologie #néonicotinoïdes #insecticides #monsanto

  • Farsnews
    http://en.farsnews.com/newstext.aspx?nn=13960316001529

    According to Mujtahid, the Saudi intelligence ministry had estimated a huge loss for Qatar following a severance by Riyadh and its allies of ties with Doha but the developments showed that Qatar had prepared itself for these days.

    “Bin Salman and Bin Zayed had thought that (Qatari Emir) Tamim (bin Hamad Al Thani) will make concessions within 24 hours but the response that they received was challenge and continued release of the emails of the (UAE’s) ambassador (to the United States, Yousef al-Otaiba) and other cases,” he added.

    According to reports, Riyadh and its regional allies had overestimated the negative impacts of closing their airspaces to Qatari planes, underestimating Doha’s remaining option to use Iran’s airspace by rerouting its flights.

    Qatar Airways canceled flights to Bahrain, Egypt and the United Arab Emirates from Tuesday a day after it had suspended flights to Saudi Arabia.

    #nuit_torride bien entendu

    Ca ne colle pas avec la carte mentionnée par @nicolas (https://seenthis.net/messages/604696) puisque les avions devraient passer par l’espace aérien du Bahreïn, en principe interdit, mais je n’arrive pas à en trouver d’autre (en pus, ça rame dans mon bled ce soir)... En même temps, au niveau maritime, les frontières de l’Iran et du Qatar se touchent, il n’en irait pas de même pour l’espace aérien ? @simplicissimus, tu as une idée ?

  • Futur gazoduc sous-marin en Méditerranée
    Par Le Figaro.fr avec AFP | Mis à jour le 03/04/2017
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/04/03/97002-20170403FILWWW00142-futur-gazoduc-sous-marin-en-mediterranee.php

    L’Italie, Israël, la Grèce et Chypre se sont engagés lundi à faire avancer leur projet de gazoduc sous-marin, qui devrait être le plus long du monde, reliant la Méditerranée orientale au sud de l’Europe, avec le soutien de l’Union européenne. Il est prévu que le gazoduc d’un coût de 6,2 milliards de dollars (5,8 milliards d’euros) achemine le gaz récemment découvert aux larges des côtes chypriotes et israéliennes en Europe, réduisant ainsi la dépendance du continent à l’égard de l’énergie russe.(...)

    #pipelinistan

  • Le Parlement européen approuve l’accord de libre-échange UE-Canada
    https://www.crashdebug.fr/international/13231-le-parlement-europeen-approuve-l-accord-de-libre-echange-ue-canada

    Je pense qu’on a été assez clair la dessus, maintenant la balle est dans votre camp, nous on ne peut pas faire beaucoup plus, à part continuer à informer.

    Les eurodéputés se sont prononcés en faveur du Ceta, cet accord controversé de libre-échange, qui pourrait entrer en vigueur provisoirement dès le 1er mars.

    Fruit de laborieuses tractations, le CETA, traité visant à libéraliser les échanges entre le Canada et l’Union européenne, a été approuvé ce mercredi à midi, par le Parlement européen à Strasbourg. Cet accord de libre-échange a été adopté par 408 voix contre 254 et 33 abstentions. Il prévoit de faire disparaître les tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises entre les deux partenaires et prône également la coopération en matière sociale, sanitaire et environnementale. Une grande partie (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales