• U.K. Sells Former Flagship HMS Ocean to Brazil for $117 Million - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2018-02-19/u-k-sells-former-flagship-hms-ocean-to-brazil-for-117-million

    The U.K. has sold Royal Navy flagship HMS Ocean to Brazil for about 84 million pounds ($117 million) as new aircraft carrier HMS Queen Elizabeth prepares to take over as leader of the fleet.

    HMS Ocean will be modified by BAE Systems Plc and Babcock International Group Plc, with the work funded by Brazil, before the 21,500 metric-ton ship is handed over to the South American nation in June, the Ministry of Defence said in a statement Monday.

    • Il viendra remplacer le précédent porte-avions brésilien, lui aussi acheté d’occasion qui a vu sa (deuxième) vie abrégée par des problèmes dont la résolution demandait des sommes déraisonnables vu le potentiel restant. Il fallait changer rien moins que l’ensemble du système propulsif et les catapultes commençaient à avoir du mou dans le genou…

      Le Brésil abandonne l’ancien porte-avions « Foch » - Le Point
      http://www.lepoint.fr/monde/le-bresil-abandonne-l-ancien-porte-avions-foch-22-02-2017-2106530_24.php

      « Hé, mais c’est le Foch ! » Quelle n’est pas la surprise des touristes français qui visitent la baie de Rio de Janeiro, lorsqu’ils tombent nez à nez avec cette silhouette familière ! À quelques encablures du Pain de sucre et du Christ rédempteur est amarré le porte-avions São Paulo, l’ex-Foch, rebaptisé après sa vente au Brésil en 2000 pour la somme quasi symbolique de 12 millions de dollars. La Marinha do Brasil (la marine brésilienne) l’a peu utilisé : en raison d’incidents à répétition, il est quasi immobilisé depuis 2004. Et cette modeste seconde vie s’achève pour le navire : afin d’éviter une énième et coûteuse rénovation, Brasília a annoncé le 14 février sa décision de jeter l’éponge, après avoir englouti 100 millions d’euros dans des réparations.

  • Un ex-conseiller de Marine Le Pen dénonce « un système de corruption généralisé » au FN - Le Point
    http://www.lepoint.fr/politique/un-ex-conseiller-de-marine-le-pen-denonce-un-systeme-de-corruption-generalis

    C’est un témoignage accablant. Gaël Nofri, conseiller de Marine Le Pen pendant l’élection présidentielle de 2012, a dénoncé ce dimanche « un système de corruption généralisé au FN » au sujet du financement des campagnes de 2012. « En 2012, j’ai eu une rupture nette avec Marine Le Pen sur deux questions : un système de corruption généralisé que cette affaire avait révélé, et l’alliance du FN avec les identitaires à Nice », a raconté ce conseiller municipal niçois désormais dans la majorité du président Les Républicains de région, Christian Estrosi. Il confirmait là un témoignage livré à Mediapart et Marianne au sujet de son emploi comme « conseiller aux services publics » pour la présidentielle de 2012, qui lui vaut, selon des sources judiciaires, d’être cité dans l’enquête qui a valu au FN son renvoi en correctionnelle.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • Quand Netanyahu refusa la paix
    Le Premier ministre israélien a rejeté en février 2016 un plan de paix ouvrant la voie à une normalisation des relations avec les États arabes de la région.
    Par Armin Arefi
    Modifié le 20/02/2017 à 18:58 -
    http://www.lepoint.fr/monde/quand-netanyahu-refusa-la-paix-20-02-2017-2106189_24.php

    On peut répéter à l’envi vouloir la paix au Proche-Orient, et être prêt à reprendre sans condition des négociations directes avec les Palestiniens, tout en rejetant le moment venu une occasion rare de mettre fin à un conflit vieux de soixante-neuf ans. Voici l’étonnant paradoxe révélé par le quotidien israélien Haaretz au sujet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Dans son édition de dimanche, le journal de centre gauche affirme que le chef du gouvernement israélien a rejeté un plan de paix selon lequel plusieurs pays arabes de la région étaient prêts à reconnaître Israël comme « État juif » et à pousser à une reprise des négociations directes entre les deux camps, deux demandes-clés maintes fois formulées par le Premier ministre israélien.

    À l’initiative de ce plan de paix israélo-arabe, l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry, qui a secrètement réuni le 21 février 2016 à Aqaba, dans le sud de la Jordanie, Benjamin Netanyahu ainsi que deux chefs d’État arabes en paix avec l’État hébreu : le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, et le roi de Jordanie Abdallah II. Son objectif : faire accepter par les trois dirigeants un plan de paix régional visant à encourager l’Autorité palestinienne à reprendre les négociations de paix avec le soutien des pays arabes de la région. Absent du sommet d’Aqaba, le président palestinien Mahmoud Abbas en a toutefois été informé, affirme Haaretz. Contacté par l’Agence France-Presse, un responsable américain a confirmé l’existence de cette réunion. Tout comme la présidence égyptienne.(...)

    https://seenthis.net/messages/571334

    • Israël, la Jordanie et l’Égypte ont tenu un sommet secret pour la paix il y a un an
      MEE et agences | 20 février 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/isra-l-la-jordanie-et-l-gypte-ont-tenu-un-sommet-secret-pour-la-paix-

      John Kerry aurait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens

      Un plan pour une initiative de paix régionale a été présenté au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou il y a un an lors d’un sommet secret du secrétaire d’État américain John Kerry, a rapporté Haaretz dimanche, citant des anciens responsables (restés anonymes) de l’administration Obama.

      Netanyahou n’a pas accepté ce projet, affirmant qu’il aurait du mal à obtenir l’approbation du plan par son gouvernement de coalition, a rapporté Haaretz. Toutefois, le sommet a peu après servi de base à des pourparlers entre Netanyahou et le chef de l’opposition israélienne Isaac Herzog sur l’établissement éventuel d’un gouvernement d’union, bien que cela ne se soit jamais concrétisé.

      Selon l’article, le sommet s’est déroulé dans la station balnéaire égyptienne d’Aqaba et comprenait le roi Abdallah II de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi.

      Le journal israélien a indiqué que Kerry avait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens, soutenues par les nations arabes.(...)