• C’est quoi ton sexe ? – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/10/31/cest-quoi-ton-sexe

    C‘est loin d’être innocent, parce que ce n’est pas à vous mais à votre enfant que l’on pose la question du genre déclinée de sept façons pour le sensibiliser à je ne sais quel genre de sensation.

     

    Première façon : tu es un homme et tu te sens un homme

    Deuxième façon : tu es une femme et tu te sens une femme

    Troisième façon : tu es un homme et tu te sens une femme

    Quatrième façon : tu es une femme et tu te sens un homme

    Cinquième façon : tu te sens à la fois homme et femme

    Sixième façon : tu ne te sens ni homme, ni femme

    Septième façon : c’est toi qui te façonne indépendamment du sexe de ta personne.

     

    Loin d’enrichir le débat, ces nouvelles façons de se poser la question nous empoisonnent !

    On les soupçonne même d’être des contre façons pour dénaturer la nature et déculotter la culture.

    On s’arrache, ce qui veut dire qu’on arrache ses racines sous prétexte que c’est la liberté qui nous détermine…

    La sensualité prime et réprime la sexualité.

    C’est écrit dans les textes et par delà les sexes :

    L’homme est une femme comme une autre et la femme un homme comme un autre nous disent tous les nouveaux apôtres.

    C’est ainsi qu’on instruit les petits d’aujourd’hui…

    Nouvelle façon de les faire grandir en leur faisant sentir ce qu’ils n’auraient jamais senti, ni pressenti par eux-mêmes.

    À savoir qu’il n’y a pas de Nature mais de la haute couture avec des postures cousues de fil blanc…

    Autrement dit des impostures : tu n’es pas ce que tu es et tu es ce que tu n’es pas. Sartre, es-tu là ?

    Toute identité peut être assimilée à une contre façon… et la réalité à une contre vérité…

    Mon fils n’a pas intérêt à me poser la question…

    Beauvoir y répond : on ne nait pas homme, on le devient !

    Et moi je dis que c’est de moins en moins sûr comme devenir…

  • Quel horizon pour l’Islam en France ? - RipouxBliquedesCumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2018/09/quel-horizon-pour-l-islam-en-france.html

    Quel horizon pour l’islam en France ?

    On se posait la question. Ça y est. On ne se la pose plus. On a la réponse. En guise d’horizon, trois propositions sont désormais à l’étude.

     

    a- renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école

    b- taxer les produits Hallal

    c- Créer une association pour le financement du culte musulman...

     

    Cela s’adresse bien entendu à tous les incultes...

    Je voudrais attirer votre attention sur l’insulte sous-jacente à cette inestimable main tendue aux musulmans.

    Parce qu’au fond de quoi il s’agit ?

    Ni plus, ni moins que d’argent.

    Faire de l’argent, make money comme dirait notre président !

    Non plus seulement en faisant feu de tout bois mais autant que faire se peut, taxer Dieu... et ses lieutenants.

    De l’argent, de l’argent, de l’argent....

    C’est tout ce qui compte. Qu’importe la source, ce sont les ressources qui importent.

    Après tout, pourquoi pas la religion, si elle remplit les caisses de la nation et donne bonne conscience à ses dirigeants...

    L’argent est propre... rend propre... propriétaire.

    Ce sont les mains qui sont sales... celui qui ne l’a pas compris, ne comprend que dalle !

    Non au terrorisme sauf s’il rapporte de quoi nous permettre de faire comme si...

    C’est ce qu’on appelle l’hypocrisie... ou la nouvelle hérésie.

     

    Réexaminons les trois propositions hérétiques ou polémiques !

     

    a- renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école :

    Pourquoi ? Pour qu’ils se comprennent mieux entre eux ?

    Pour qu’ils réintègrent plus facilement leur pays d’origine ? Ou pour renforcer la tour de Babel décriée ou redoutée par les conservateurs de musée ?

    Et pourquoi ne pas commencer par renforcer les liens de citoyenneté avec ceux qui sont d’origine arabe ? Nos arabes peuvent vous exprimer leur chagrin même en Mandarin... ils ne se sentent pas si vides, mais avides de liberté, d’égalité et de fraternité.... vraie... parce que notre devise est faussée !

    Donnez à quelques arabes des postes de responsabilité et ils vous réapprendront le français !

     

    b- Pourquoi taxer le Hallal ? Parce que tout ce qui est pur et sain doit rester hors de portée ? Et pourquoi ne pas taxer plutôt le Haram, la merde que vous avez dans les yeux, comme la pensée haineuse et calomnieuse qui produit chaque année des best-sellers... Zemmour vient d’en sortir 1 pour vous rappeler votre déclin.

    Pourquoi ne pas taxer la prostitution légalisée des grands esprits qui crève vos écrans et vous fait rêver par-dessus le marché ?

     

    c- Créer une association pour financer le culte des barbares ?

    Mais c’est déjà fait... ici à Paris... avec le PSG et le jus de couleuvre avalé quasiment par tous les présidents de la 5ème République depuis que l’Arabie et les pays de l’or noir ont décidé de vous acheter...

     

    Conclusion

    Ne vous posez plus de questions métaphysiques. C’est sans effet. Cherchez juste d’où vient et où va l’argent et vous saurez pourquoi vous avez la nausée.

    Ils réclament du pain et on leur propose du vain

    https://www.lejournaldepersonne.com/2018/09/quel-horizon-pour-lislam-en-france

  • Je suis un animal domestique – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/09/10/je-suis-un-animal-domestique

    J‘ai appris à faire la vaisselle en me disant

    Que je dois pouvoir faire la vaisselle

    J’ai appris à faire la lessive en me disant

    Que je dois pouvoir faire la lessive

    J’ai appris à faire le ménage en me disant

    Que je dois pouvoir faire le ménage

    J’ai appris à faire la cuisine en me disant

    Que je dois pouvoir faire la cuisine

    J’ai appris à faire de la philosophie en me disant

    Que je dois pouvoir faire ce que personne n’a plus envie de faire.

    J’ai appris à me débrouiller toute seule en me disant

    Que je dois pouvoir me débrouiller toute seule

    Sans l’adjonction ou la bénédiction d’un tiers

    J’ai appris à rendre doux, même les jours les plus amers

    J’ai appris sur le tas un tas de choses

    En m’inventant moi-même ma propre cause

    Gouverner ma maison m’a semblé être la plus noble raison… d’être

    Être gouvernante : animal domestique et en même temps, animal politique

    Pour m’élever, j’élève mes enfants.

    Et ça me prend un peu plus que tout mon temps…

    25 heures et des poussières…

    À leur apprendre en substance qu’il n’y a qu’un seul substantif :

    La RÉSISTANCE !

    Résistance à l’ennui, résistance au mépris, résistance à l’oubli… de l’Autre.

    Le but est dans cette lutte permanente…

    Entre descendre et remonter la pente.

    Je leur apprends à apprendre par eux-mêmes ce que j’ai appris par moi-même.

    C’est une liberté qui glisse de mes mains pour se hisser dans les leurs.

    Passation de pouvoir, sans vice, ni caprice.

    C’est ce qui nous paraît être l’essence de toute existence :

    Se fixer une règle de vie et l’observer en toutes circonstances.

    Pour ma part, j’ai choisi d’écrire, de vous écrire

    Je sais, on le sait : ça ne fait pas vivre !

    Mais… ça explique pour quoi je vis

    Et ça m’empêche de mourir…

    Pour ceux qui s’interrogeaient sur ma vraie vie…

    J’espère qu’ils ne sont pas déçus…

    Parce que je viens de vous la décrire.

     https://www.lejournaldepersonne.com/2018/09/je-suis-un-animal-domestique

  • Footage de Gaule ! – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/09/09/footage-de-gaule

    C’est son garde du corps qui va nous révéler que notre président a déjà perdu son âme et qu’il ne lui restait plus que son corps à sauver pour persévérer dans son être ou régner en maître.

    Tout le monde le savait mais sans vraiment le savoir que l’heureux élu ne devait sa gloire qu’à des malheureux électeurs qui ont voulu croire qu’on pouvait faire de la politique autrement ou faire sans politique.

    Et c’est ce qui nous a valu quelques révélations tragi-comiques lors d’un été meurtri plutôt que meurtrier… ou l’on a vu fleurir et en même temps flétrir le meilleur et le pire.

    Dans le sillage de Macron, on a vu gagner l’équipe de France qui méritait de perdre mais la chance l’a emporté sur Pas-de-chance dans ce concours de circonstances. Seuls les plus bêtes sont parvenus à faire la fête… peut être pour ne pas briser le miroir aux alouettes de ceux qui ne se soucient que de la victoire même si elle n’a ni queue, ni tête… Tout a été fait à la sauvette : alouette, méchante alouette… que de la poudre de Perlinpinpette !

    Une réussite sans suite puisqu’elle va être éclipsée par la faillite de Macron et signer la fin de son mythe.

    Qu’est-ce qu’on apprend avec l’affaire Benalla ? Que l’histoire de notre premier magistrat est cousue de fil blanc. C’est un amateur, d’une insoutenable légèreté… qui pour sauver son corps, n’hésite pas un instant à sacrifier l’âme de sa nation, sa constitution, ses institutions et ses plus dignes enfants. Et lorsqu’il crie : « venez me chercher ». Il feint d’ignorer qu’on n’a surtout pas envie de le retrouver.

    Cet homme épris de lui-même est tout simplement méprisant. Il méprise tous ceux qui lui ont permis de remporter la mise. Parce que tout cynique qu’il est, il sait que ce n’est pas mérité. Il hait le peuple qu’il a roulé, comme nous ont roulé certains de nos joueurs de foot, qui ne peuvent s’empêcher de rire quand on les appelle : champions du monde ! Quels champions ? Et de quel monde ?

    Comme quoi le succès n’est pas un argument… on peut aller jusqu’à bâtir un empire sur du faux-semblant.

    Je n’irai pas jusqu’à dire que le faux est plus solide que le vrai pour ne pas être sordide… Mais je dirais juste en mauvais français : que le meilleur c’est désormais le plus mauvais.

  • Pourquoi j’ai tout raté ? – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/09/09/pourquoi-jai-tout-rate

    Quand je monte ou descend une pente… Il y a une raison apparente et une raison non apparente.

    Quand je cesse de jouer et que je commence à tricher… Il y a une raison affichée et une raison cachée.

    Les faits sont ainsi faits : ils ont une raison d’apparaître et une raison de disparaître…

    Une raison devant qui crève les yeux et une raison derrière qui crève les cieux à travers mes rêves… ou mes cauchemars… et dont je suis à peine consciente ou dont je suis complètement inconsciente.

    On dit alors que je suis dans l’ignorance de cette raison trop intérieure ou trop supérieure… qui se trouve au-dedans ou au-dessus.

    Et je ne peux m’empêcher de croire en mon for intérieur, que c’est plus fort que moi, comme une cause dont j’ignore la cause… effective.

     

    Le sage distingue à juste titre deux sortes de causes :

    La première est dite : cause efficiente : celle qui raconte comment j’ai raté ma vie, par exemple.

    Et la seconde est dite : cause finale : celle qui fait le plus de mal en me révélant pourquoi j’ai raté ma vie, par exemple.

     

    La première c’est l’histoire de toute la science. Le comment. Le commentaire. L’esprit qui rend compte de la matière en disant : c’est moi l’auteur qui sème le trouble, le fauteur de trouble… mea culpa… c’est de ma faute… je plaide coupable et j’admets être la responsable de tout ce gâchis ou de ce hachis Parmentier… pas la peine de me cuisiner plus longtemps, c’est moi le chef, le boss, le big boss… méga-giga-top !

     

    La seconde, c’est l’histoire de toute la religion qui me révèle le fin mot de l’histoire. Le pourquoi du comment le ciel m’est tombé dessus…

    Il en est ainsi et pas autrement.

    C’est le mot de la fin, celui qui ne transparaît pas en chemin, mais qui s’apparente à ce que l’on appelle : un destin… mon destin… comme si j’ai fait tout ce que j’ai fait pour tout rater in fine… rater ma croisière, ma carrière et ma mission sur terre. Cela fait partie du mystère, de cette raison cachée qui m’a fait faire ce que j’ai fait… qui m’a fait être ce que j’étais…

    Tu n’y crois pas ? Je n’y croyais pas non plus.

    Mais qu’est-ce que ça change à mon forfait ?

    Que le fond de l’air est hors de ma portée… ce n’est pas méga-giga-top, c’est un mini-mini-drop qui explique le pourquoi du comment je ne suis pas au top.

    https://www.lejournaldepersonne.com/2018/09/pourquoi-jai-tout-rate

  • LE MIGRANT – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/09/02/le-migrant

    La veille, je n’ai rien eu

    Et je suppose que le lendemain, je n’aurais rien, non plus

    C’est aujourd’hui, le jour J… J’y crois… je l’ai cru.

    C’est ce que je me disais, c’est ce que je me suis dit… lorsque j’entendis frapper à la porte, ce dimanche après-midi.

    Le souci, c’est que je n’ai ni proches, ni voisins, ni amis

    Et personne ne sait que je suis ici… Je m’y suis installée en pleine nuit.

    Qui c’est ? C’est qui ?

    Une voix m’a répondu : je suis

    Hé ! Pour qui il me prend ? Pour qui il m’a pris ?

    Pour qui vous me prenez, je ne suis pas Moïse !

    Et la voix répondit : -Je le sais, je ne suis pas plus bête que je ne suis

    –Oui, mais qui êtes-vous ? Parce que je n’ai rendez-vous avec personne.

    Il soupira, je l’ai entendu soupirer… y a pas pire qu’un soupir.

    –Je croyais qu’il me suffisait de frapper pour voir la porte s’ouvrir.

    – dites-moi qui vous êtes ? Un seigneur avec un E ou un saigneur avec un A ?

    – je n’ai jamais rien écrit, je m’appelle Jésus-Christ.

    Une chance sur deux pour que ce soit vrai : croix ou pile ?

    Le jeu de hasard m’a toujours semblé infantile… Je n’ai pas ouvert, je ne suis pas une imbécile. Et pour en avoir la preuve, j’ai voulu le mettre à l’épreuve.

    – qui vous suit ?

    Il m’a dit : -Jean… même le singe connaît la passion selon Saint Jean… passons !

    – qui vous envie ?

    –le soleil qui brille m’a-t-il dit

    Et c’est là que je me suis dit que nul n’est à l’abri d’un coup de soleil

    – qui vous renie ?

    –Pierre…

    Et dire que c’est sur lui que le Christ a bâti tout son édifice… ça tombe mal surtout pour quelqu’un comme moi qui ne s’est jamais convertie.

    – qui vous trahit ?

    –Judas

    – oui mais pourquoi ? Pour quelques euros de plus ?

    – non, me répondit l’inconnu… il a fait ça juste pour m’éprouver comme ce que tu fais en me mettant à l’épreuve des faits !

    Je ne sus quoi répondre, il en profita pour me retourner la question : « qui crois-tu que je suis ? « 

    Je ne sais pas moi, un migrant… qui cherche bon gré, mal gré à couvrir son intrusion avec un prétexte transcendant. » Non, simplement quelqu’un qui a entendu dire que Dieu est grand. »

    Je lui ai aussitôt ouvert, mais malheureusement il n’y avait personne derrière.

  • AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTÉ – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2018/04/06/au-service-secret-de-sa-majeste

    Je ne vais pas nommer les acteurs du drame que je m’en vais aborder mais juste les désigner avec trois lettres de l’alphabet : X.Y.Z. pour que votre imagination puisse les identifier.

    Question de droit : la Loi c’est la Loi… même si les faits sont réels, tant que je ne dispose pas de preuve matérielle, je ne peux prétendre qu’à un scénario imaginaire.

    Il n’est pas interdit que je sache de mener l’enquête dans ma tête pour ne pas mourir bête.

    Théoriquement, toutes les analyses sont permises… la raison se sent toute fière quand elle s’autorise une petite instruction policière.

    Peut être parce que je vous sens à la dérive que je joue à la détective.

    Je vous rassure : je ne vais pas m’inventer des indices, mais me contenter de détecter les vices cachés de toute mise en scène politico-judiciaire ou médiatico-financière.

    L’enjeu étant toujours le même : le pouvoir de l’argent quand ce n’est pas l’argent du pouvoir.

    C’est un véritable travail de réflexion et non un vulgaire jeu de pistes.

    Pour attiser votre curiosité, j’ai choisi « l’attentat terroriste-islamiste« , susceptible d’intéresser ou… d’intriguer un scénariste de métier.

    Et même si le modus operandi est toujours le même dans ce genre de coup d’éclat, on peut être surpris si on met toutes les choses à plat.

     

    L’acteur du drame, de l’attentat de celui qui va tirer dans le tas, comme ce fut le cas dans je ne sais quel supermarché, l’apprenti-djihadiste qui n’a rien de sorcier, on va le nommer X qui s’apprête à devenir le plus connu des inconnus, en donnant la mort avant de se donner la mort et finir en Martyre.

    Mais, parce qu’il y a toujours un « mais » pour bien comprendre ce genre de forfait… mais, ce n’est pas à son bras armé qu’on va intenter un procès mais à celui qui a armé son bras, non l’acteur mais le véritable auteur du drame qu’on va nommer Y, qui ne s’est pas sali les mains, il a opéré à sec, en amont, en donnant son aval.

    Comment on l’appelle déjà ? Le commanditaire de l’attentat, celui qui l’a financé ou influencé.

    Ça y est ! L’affaire est classée. Il nous suffit de reformuler un verset du Coran pour mettre Dieu et son prophète en examen… Y a pas plus facile que d’incriminer « l’absent de tous les bouquets ».

    Depuis Jésus, on le sait, il ne se défend jamais.

    La mauvaise nouvelle est toute brève : X est entré, il est entré… X a tiré, il a tiré… X a marqué, il a marqué… marqué les faibles d’esprit, eh oui ! Son forfait a été revendiqué…c’est Y qui l’a commandité… et le tour est joué.

    Mais derrière cet écran de fumée, désolée de l’affirmer, il y a souvent presque toujours un instigateur, un premier moteur, non pas le créateur mais un fauteur de troubles qui est à l’origine de ce chaos, le rédacteur du scénario, qu’on appelle Z.

    Z c’est le service secret qui a su et pu instrumentaliser X et Y pour parvenir à ses fins et réaliser ses ignobles desseins.

    Comment il a fait ?

    Il n’a rien fait pour nous éviter le drame.

    Il était au courant que X était candidat à la mort, avec l’intention de la donner. Il l’a laissé faire en sachant qu’il y a toujours un idiot utile pour le revendiquer, un Y qui cherche à récolter les lauriers… sans débourser le moindre centime et sans devoir la moindre prime.

    Z laisse faire X et laisse dire Y sous couvert de secret d’état ou sous le couvercle d’un État adroit… Parfois avec le recours ou l’aimable concours d’un autre état que l’on peut nommer Z’.

    On n’a pas besoin d’approfondir davantage notre investigation pour deviner le mobile de ce genre d’atrocités consenties par nos propres services.

    J’en vois même deux, deux mobiles concomitants :

    1- soumettre l’islam et les musulmans

    2- tout se permettre au Proche et au Moyen Orient

    En vertu du principe de précaution selon lequel : tous les coups sont permis contre les terroristes … CQFD

    C’est ce qu’il faut se dire, en tout cas, pour ne plus être surpris de découvrir toujours les mêmes pochettes surprises !

    Sinon, Messieurs dames, à quoi serviraient nos services secrets ?

    À nous servir ? Non ! Mais à se servir de nous, à l’insu de notre plein gré.

     .

    Le terrorisme bon marché !                                                                         https://www.lejournaldepersonne.com/2018/04/au-service-secret-de-sa-majeste

  • Le harcèlement sexuel des vieux le journal de personne - 15 novembre 2017

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=QSvFHL2ojNo

    Personne

    Le Journal de Personne pratique la scénarisation à fond, pour illustrer une question d’actualité. Son info est une info scénario, son drame : une dramatisation et sa réalité : une réalisation.Vous auriez mauvaise grâce d’assimiler Personne à ses personnages, et ses histoires à des dérapages. L’humour et la dérision y ont toujours fait bon ménage. Le Journal n’est l’otage d’aucun parti, prisonnier d’aucune opinion, dupe d’aucun soupçon. Ni à gauche, ni à droite, mais au cœur de l’événement, il aborde tous les sujets, pose tous les problèmes et relance tous les débats : https://www.lejournaldepersonne.com

    Source : Les 7 du Québec http://www.les7duquebec.com

    #balancetonvieux #Alain-Finkielkraut #balancetonporc #Caroline-Fourest #déchéance #harcèlement #Libido #obsédés #philosophie #tendresse #vieillesse

  • Les résidus - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/09/les-residus.html

    Dans le paysage comique français, nous avons toujours retenu deux images :

     

    celle des nuls et celle des inconnus.

    Il en est de même dans le paysage politique français...

    Nous avons vu deux visages se succéder :

    Celui des nuls et celui des inconnus.

    Les premiers ont cherché à rhabiller la France sous prétexte qu’elle est toute nue.

    Les seconds cherchent à la déshabiller parce qu’elle est, selon eux, un peu trop vêtue.

    Nos résidus ont compris que le vêtement constitue l’essence de tout gouvernement.

    On ment à ceux qui cherchent la vérité.

    Et on dément ceux qui prétendent l’avoir trouvée.

    Ce qui est comique dans la politique actuelle, c’est que les nuls ne sont pas inconnus, ce sont nos résidus.

    On joue au jeu de cache-cache où l’on met la contre vérité en marche pour que celui qui tombe dessus la tienne pour vraie.

    C’est Gattaz «  Le président du Medef  » qui met de l’eau dans le gaz pour que notre Jupiter se sente toujours en phase et pour rendre un peu moins apparentes nos métastases...

    On vient de nommer Roger-Petit pour son génie de l’emphase...

    Et pour rapprocher un peu plus le sommet de la base, on fait de notre petite intelligence, table rase !

    La connivence n’est plus du tout masquée mais révélée à tous les nazes.

     

    Le patronat et les médias font la Holà pour que le président puisse cocher ses cases ou régler n’importe laquelle de ses ardoises.

    Plus de leurre... l’heure c’est l’heure, le président l’a expressément dit à ses ambassadeurs, l’alternance est de rigueur entre les compresses à l’intérieur et les caresses à l’extérieur.

    Pour convaincre, il faut vaincre en même temps les soumis et les insoumis, le radicalisme politique et le radicalisme islamique.

    Parce que le nerf de la guerre est toujours au milieu des deux.

    Résolument résolu, Macron n’a pas besoin de la majorité absolue pour nous uriner dessus.

    Ses forces économiques associées à ses forces médiatiques le dispensent de faire de la politique.

    Le roi nu, ne craint plus, ni le chaud, ni le froid...

    Il peut désormais gouverner la France avec des inconnus qui n’y connaissent rien et ne se connaissent même pas entre eux.

    Ce n’est pas de lui, mais de nous que je ris !

  • Donald et Vladimir - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/03/donald-et-vladimir.html

    Trump n’a rien de Bush. Ce n’est pas une marionnette mais un marionnettiste. Ce n’est pas un politique mais un artiste jusqu’au-boutiste.
    Poutine n’a rien d’Eltsine. Ce n’est pas un héritier mais un fin limier. Il connaît tous les manèges. C’est un stratège.

    Les États-Unis pour l’un, les États réunis pour l’autre.
    Qu’ont-ils en commun ?
    Sinon la radicalité comme seul et unique bien.
    L’un pour dire ce qu’il y a de capital dans le capitalisme et l’autre ce qui est hors du commun dans le communisme.
    En l’occurrence : le radicalisme : on ne cède pas un iota de terrain. On ne concède rien. On procède autrement, radicalement, et si et seulement si c’est possible, amicalement.
    La mère-patrie et ses enfants passent avant toutes choses.
    Aucune charité bien ordonnée ne saurait les abandonner.
    C’est le mobile et le moteur de toute nation qui se respecte.

    Nos deux leaders rêvent de grandeur. Pour eux, le paradis n’est jamais perdu mais toujours à retrouver. C’est une question de volonté politique. De radicalité.
    Leur ennemi commun : c’est le déclin, voire le « déclinisme » planétaire, le mondialisme déficitaire, le globalisme lacunaire. Pour ne pas sombrer avec un monde qui sombre, on refait la lumière et on défait la pénombre : celle des doctes et des dogmes.

    Pour ceux qui doutent ou ont toujours douté du rêve américain, Donald est là, non pour le rappeler mais pour l’incarner.
    Et tout citoyen américain est appelé à en faire autant, à devenir un héros national, servi et au service de la nation.
    Parce qu’il n’y a pas d’autre capital que la nation. Pas d’évasion. Ni d’invasion. Mais une autre vision :
    Celle d’une Amérique fière d’être elle-même, centrée sur elle-même et concentrée sur ses propres intérêts.

    Réaliste et non plus impérialiste. Profitant de sa puissance au lieu d’en faire profiter d’autres.
    Parti de rien, il est persuadé qu’il ne peut accéder à tout qu’avec les siens... qu’il faut chérir avant d’enrichir les petites gens qui y ont cru et l’ont porté aux nues. Un prêté pour un rendu.

    Avec Vladimir, c’est tout un autre type de redressement. Militaire et militant, pour réhabiliter l’autorité, il n’a pas besoin d’être tyran. Au fond de lui, l’instinct commun est toujours vivant.
    Contrairement à ses vénérables prédécesseurs, il ne se bat pas contre le vent. Il l’utilise à bon-escient.
    Il a compris que c’est la victoire qui importe et non les moyens qui l’assurent. Il ne craint pas d’être craint. Il ne cherche pas à séduire mais à réussir. Pour lui comme pour le Prince de Machiavel « la fin justifie tous les moyens ».
    Pas la peine de faire de la politique autrement. Il sait que pour redonner à la Russie toutes ses lettres de noblesse, il faut d’abord lui restituer son esprit, sa langue, sa culture et sa littérature.
    Et pour lui épargner toute nouvelle décomposition, il fait tout pour lui redonner goût à la nation... glorifiée et magnifiée plus que de raison.

    Question :
    Parce qu’il y a une question qui se pose :
    Pourquoi ces deux spécimens provoquent déci, delà tant de haine ?
    Parfois même un très grand mépris ?
    À cause de l’imposture du premier et de la posture du second ?
    Ou à cause de l’excès d’amateurisme de l’un et l’excès d’autoritarisme de l’autre ?
    Ou à cause de leur lien avec un commun dictateur : Charlie Chaplin ?
    Ils effrayent. Ils sont effrayants.
    Et pourtant ils ne font rien d’autre qu’un bras d’honneur à l’histoire en disant : dirigeants de tous les pays, levez-vous, reprenez le pouvoir et cessez de plonger votre petit monde dans le noir !

    Votre nation, si petite soit-elle, a sa grandeur en elle et non derrière, devant ou en dehors d’elle.

  • Libérez-vous du libéralisme ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/02/liberez-vous-du-liberalisme.html

    Le communisme n’a pas réussi à appauvrir les riches
    Le capitalisme n’a pas réussi à enrichir les pauvres...
    Depuis, les deux envieux ennemis sont devenus amis.
    Ils se sont réconciliés avec eux-mêmes et avec la réalité des faits
    C’est ainsi qu’on a vu paraître le libéralisme
    Le logis des sans logis, l’idéologie des sans idéologie.
    La maison sans raison, la religion sans dieu
    Le libéralisme a réussi à appauvrir les pauvres
    À les vider de leur sang, de leur sens !
    En leur offrant juste un mensonge comme clé des songes
    Cette clé c’est ce qu’on appelle : La Liberté
    Celle de l’aliéné mental, enfermé dans son pré carré
    Qui se sent libre sous prétexte qu’il n’est pas surveillé
    Il a le droit de circuler et ne voit pas qu’il est encerclé.
    Sa liberté n’est qu’un cercle carré
    Autrement dit, une impossibilité
    Nous sommes libres :
    une posture qui équivaut à une imposture
    Libres de nous tuer, de nous prostituer
    Mais nous ne pouvons le faire
    sans nous entretuer,
    Sans tuer cette liberté.
    Vous l’avez sans doute remarqué
    Depuis que tout est redevenu possible, plus rien ne l’est.
    Boire, manger, respirer... Tout est empoisonné...
    Tout ce qui nous reste de libre représente un danger
    Nous sommes condamnés à la casse
    Condamnés à faire face à la menace
    Des dérèglements climatiques et politiques
    Nous sommes libres donc à la merci
    Des intempéries et de la folie des hommes
    Paradoxe économique :
    On ne peut pas s’enrichir sans s’appauvrir mutuellement.
    Le libéralisme n’est rien d’autre
    que l’appauvrissement des pauvres...
    Avec des idées qui n’ont aucune prise sur le temps,
    sur les matières grises.
    Avec une réalité arithmétique sans surprise :
    1 + 1 = rien
    Un bien qui ne rime à rien...
    Excepté dans les associations de malfaiteurs
    Il n’y a même plus de cerveau
    Pour dire où ça va et ce que ça vaut...
    Le soleil, la lune et tous nos rêves dans le même caniveau
    Combien ça coute de vivre ? La peau
    Ce n’est pas cher de mourir, c’est donné par le hasard ou les bâtards.
    Le libéralisme n’a pas d’idées,
    seulement des billets pour vous déshabiller,
    demander votre numéro de compte
    ou le nom de votre banque.

    Non... je n’ai pas de compte, pas de rente, pas de banque...
    Ni Kalachnikov, ni tank !
    Je ne veux pas de votre liberté, ni de vos pièces d’identité.
    Je ne crois pas à votre sécurité sociale... ni à vos liens de solidarité
    Votre aide, je n’en veux... pour rien au monde
    Ni sécu, ni pq, ni rsa
    Qui vous autorisent en toute mauvaise foi
    D’appauvrir encore plus pauvres que moi.
    Vous voulez que je vous dise ?
    Le libéralisme est le plus court chemin vers le terrorisme
    Je me dis que quitte à jouer à se faire peur
    Autant jouer avec le feu
    Et c’est ce qu’ils vous font
    Tête de nœuds !
    Vous qui êtes nombreux
    Innommables et innombrables
    Libérez-vous du libéralisme...

    https:// lejournaldepersonne.com

  • L’Escale - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/l-escale.html

    Allo Amy... comment vas-tu ?
    Je baisse d’un demi-ton parce que ces messieurs dorment...
    Oui je sais qu’il est midi... mais ils n’ont pas fermé l’œil de la nuit...
    Oui ils sont ravis d’être ici... de partager la vie de quelqu’un à Neuilly...
    Oui, oui, j’ai même reçu les remerciements de la mairie de Paris, par écrit... parce que dans le quartier, c’est la consternation générale, le mépris... ils n’ont rien saisi...
    Ils se demandent ce qui m’a pris d’accueillir trois réfugiés sans tenir compte de leur avis... j’en ris encore...
     
    C’est la vie ? Non ?
    Non, non ils ne sont pas de la même famille, ni du même pays... ils sont noirs et au premier abord, ils font peur à voir.
    Non, ils ne sont pas africains à proprement dit... mais arabes.
    Bien entendu, il y a beaucoup de noirs parmi les arabes... ce sont les premiers à quitter leur pays... arrête, je ne suis pas raciste, c’est de l’ironie.
    ...attends, tu dis qu’ils devraient rester chez eux, et défendre les leurs parce qu’ils sont en âge de le faire...je te retourne leur compliment : ils sont aussi en âge de monter à l’assaut de l’ennemi et de le harceler jusqu’à chez lui...
     
    Ils sont de Benghazi, d’Alep et de Mossoul...
    Autrement dit, ils sont liés au même merdier auquel la France a largement contribué.... oui ça fait longtemps qu’ils sont dans les environs... depuis la station de Stalingrad, ils ont changé de statut, promus, élevés au grade d’habitants de Neuilly, oui je les ai accueilli à bras ouverts en leur disant merci...
    Pourquoi merci ? Non pas pour faire joli... mais parce que c’est à celui qui donne de remercier celui qui a bien voulu recevoir... n’est-ce pas ?
    La France, terre d’accueil et de bienveillance, ne sert à rien si elle n’offre pas ce genre de chance.
    Non, ne t’inquiète surtout pas, ils n’ont ni l’intention de me sauter, ni l’intention de se faire sauter avec moi. Ce sont de vrais musulmans. Ils respectent le moindre de mes mouvements. Ils s’adressent à moi comme à leur enfant, à leur sœur et sont gênés d’être pris pour des envahisseurs.
    Ils ne sont pas là pour nos richesses. Ils sont là parce que leur Dieu y est...
    Ils sont ici pour demander la paix à ceux qui leur font la guerre... pour les déposséder de leur essentiel.
     
    Tu sais quoi ? En les entendant parler hier, j’ai eu l’impression d’être en face et en phase avec les trois rois mages.
    Comment te le dire ? oui, j’ignore leur âge mais ils sont comme des sages... sagesse de l’orient qui sait que le savoir a une limite... que le pouvoir a une limite... mais que le devoir n’en a pas...
     
    L’homme de Benghazi me dit qu’il ne regrette pas la mort de Kadhafi mais l’élection de Sarkozy, élu avec les deniers de la Libye. Pour lui Kadhafi n’est pas un bourreau mais un idiot qui a financé plus idiot que lui.
     
    L’homme de Mossoul reconnait à la France le mérite d’avoir protesté pour ne pas frapper l’Irak de plein fouet, alors que tout le monde savait que seule l’idéologie de Bush était de persuasion massive. Mais la France n’a fait que protester... seulement protester... alors qu’il fallait empêcher ce massacre et nous épargner la plus terrible des injustices... de l’idiot de service.
     
    L’homme d’Alep, reproche à la France de ne pas envoyer d’hommes au sol mais d’occuper le ciel pour bombarder tous les syriens. Foutaise et big malaise parce qu’il ne reste plus aux syriens que le ciel et il est hélas occupé par vous autres français.
     
    Pourquoi ils sont ici ?
    Pour reprendre à la France ce qu’elle leur a pris...

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  • Mein TrumpH - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/mein-trumph-3.html

    Mein TrumpH
    11 Novembre 2016, 15:14pm | Publié par S. Sellami

    Mein TrumpH / L’identité glorieuse !

    Si on veut comprendre quelque chose à la politique, il faut commencer par bien prendre les choses. Et ne pas se plaindre, ni craindre le pire.

    Il est toujours à venir. Et se souvenir que le meilleur est ailleurs. Pas ici, ni maintenant.

    Le changement est un leurre : c’est la même laitière même si elle n’en est pas fière. Le même pot même s’il est cassé ; le même lait même s’il a tourné. L’idée n’est pas neuve : les hommes font ce qu’ils peuvent.

    Il n’y a pas de preuve, mais des épreuves, à traverser sans se faire renverser !

     

    Mein TrumpH : c’est un joli titre pour un homme sans titre. Un homme qui a en germe, quelque chose de germanique. Heil TrumpH !

    Des Invalides à l’Arc de Triomphe, il n’y a qu’un pas. Il l’a franchi haut la main. C’est son combat. Son triomphe. Nous n’y trompons pas.

    Il a montré, démontré s’il en est besoin, que le réel c’est l’enfer et qu’il vaut toujours plus que les paradis artificiels.

     

    Mein TrumpH : c’est aussi le titre de gloire des sans titres.

    À la mémoire des oubliés de l’histoire. De tous les petits blancs qui n’ont jamais eu le bras assez long pour se masturber intellectuellement.

    Ils montent tous à l’assaut du ciel gris, nuageux, noir, non pour crier leur joie mais pour exprimer leur sainte colère.

    Qu’ils préfèrent leur choléra à la peste d’autrui. Tout mais pas lui. Je vous en supplie.

    La xénophobie, ce n’est plus un gros mot mais un petit alibi pour dire Non, merci. On en a plein le dos. Aucune trace de haine : l’Amérique est américaine. Bienvenue chez nous. Retrouvons nous. Enfin !

    Je vous assure et je vous rassure : ce n’est pas de la haine, c’est de l’amour, un amour qui fait de la peine... parce qu’il s’enferme avec celle qu’il trouve belle et classe la vilaine qu’il juge noire ou mexicaine.

     

    Mein TrumpH : ce n’est pas mon combat, mais le sien.

    Le combat de quelqu’un qui réclame son bien, en étant persuadé qu’il n’y a pas d’autre bien que le sien. C’est propre, c’est sa propriété, sa priorité : retrouver son bien. Retrouver les siens. Le plus grand nombre ignoré. Le plus grand nombre avant qu’il ne soit minoré, diminué et submergé par le flot d’immigrés.

    Il faut dresser un mur, se redresser pour ne plus avoir à se lamenter. Le mur des incantations est autrement plus utile que le mur des lamentations.

    Immigration zéro : le rêve est en passe de devenir réalité.

     

    Mein TrumpH : cet emprunt à Hitler ne date pas d’hier. Il est commode parce qu’il est terre à terre. Tout nous ramène à cette idée on ne peut plus claire : que le mal vient de l’extérieur. Et s’il nous gène c’est parce qu’il n’est pas compatible avec nos gênes, il n’est pas homogène mais hétérogène. Aucune intégration souhaitable... Aucune assimilation viable, la discrimination seule est louable.

    Identité heureuse, identité glorieuse : moi c’est moi. Lui, chez lui !

     

    Mein TrumpH : c’est un triomphe. Mais de qui ? Et pour qui ?

    On dit que c’est le triomphe des petits sur les grands.

    On dit que c’est le triomphe des démunis sur les nantis.

    On dit que c’est le triomphe du plus grand nombre sur l’oligarchie.

    On dit que c’est le triomphe de la majorité silencieuse sur l’élite visqueuse...

    On dit... on dit... on dit que c’est le triomphe des gentils sur les méchants, des bénis sur les maudits, du bien sur le mal. Le mot est enfin lâché : on dit que c’est moral. Alors qu’en vérité, ça n’a rien de moral.

    C’est frontal et politiquement banal.

    Nous assistons à la victoire d’un système sur un autre système.

    Rapport de forces qui tourne à l’avantage des moins forts.

    On a subtilisé la force des plus forts pour la retourner contre eux.

    Excusez du peu : mais on n’a rien fait d’autre que dresser les faibles contre les forts, les esclaves contre leurs maîtres, le plus grand nombre contre l’élite qui se délite.

     

    Qu’est-ce que ça voudrait dire ?

    Que ce ne sont pas les faibles qui ont triomphé mais d’autres encore plus forts qui ont utilisé les faibles comme renforts pour triompher.

    C’est le nombre qui a été encore une fois instrumentalisé pour réaliser un autre dessein que le sien.

    Les petits blancs n’ont pas gagné. Il leur a semblé, seulement semblé.

    Les idiots utiles applaudissent. Ils y ont cru. À la vertu. Ils n’ont pas vu le vice !

    Leur milliardaire n’est pas Zorro mais leur futur bourreau.

    Les petits blancs vont sans doute se retrouver entre eux mais pour servir le plus odieux des dieux : quelqu’un qui se fait passer pour eux : un grand blond avec un sexe noir !

     
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