• Edition de Besançon | Tabassé lors du meeting de François Fillon : il ne s’était pas levé pour « La Marseillaise »
    http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/03/17/tabasse-lors-du-meeting-de-francois-fillon-il-ne-s-etait-pas-leve-pou

    J’abhorre Fillon et toute sa clique mais sincèrement je n’en étais même pas au point où je pensais qu’une telle chose pouvait arriver. Je ne sais pas si c’est comme ça qu’ils comptent récupérer des voix mais en tout cas ça en dit long sur l’ambiance actuelle.
    L’après-élections va être chaud quoi qu’il arrive !

    #Fillon #marseillaise #meeting #élections_présidentielles #agression

    • Peut-être comme ça (aussi) ?

      François Fillon s’en prend au « racisme anti-français »
      http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/03/17/35003-20170317ARTFIG00116-francois-fillon-s-en-prend-au-racisme-anti-franca

      Pour la première fois, le candidat de la droite à l’élection présidentielle reprend à son compte la dénonciation du « racisme anti-Français ».

      C’est un terrain sur lequel on ne l’avait jamais vu : la dénonciation du « racisme anti-Français ». Jeudi soir, à Caen, devant plusieurs milliers de militants, François Fillon a fait sien de ce plaidoyer. « Je refuse la progression de l’antisémitisme. J’exècre tous les racismes dont le racisme anti-français », a lâché l’ancien premier ministre. « Nous formons tous ensemble le peuple de France. Je prendrai mes responsabilités, et je demande à nos compatriotes musulmans de nous aider à faire le ménage contre l’obscurantisme », a-t-il poursuivi. Et de promettre que s’il est élu président de la République, « le culte musulman fera l’objet d’un contrôle administratif serré, jusqu’à ce qu’il soit aussi fermement ancré dans la République que les autres religions ».

      #copéisation #lepenisation (cf suite de l’article)

    • le culte musulman fera l’objet d’un contrôle administratif serré

      Vu que c’est déjà plus que serré, je ne sais pas ce que ça
      donne si on serre encore plus… Guantanamo peut-être ?

      …jusqu’à ce qu’il soit aussi fermement ancré dans la République que les autres religions

      Très menaçantes les formules en tout cas.

    • (janvier 2017) Pour le Premier ministre des Pays-Bas : qui n’aime pas le pays doit le quitter
      http://geopolis.francetvinfo.fr/pour-le-premier-ministre-des-pays-bas-qui-n-aime-pas-le-pays-d
      Par Jacques Deveaux | Publié le 25/01/2017 à 10H17

      Le Premier ministre Mark Rutte vient de publier une lettre ouverte au pays, où il dénonce l’égoïsme de certains de ses compatriotes. Il ne veut viser personne, mais il s’en prend à l’ingratitude de ceux qui, venus dans le pays, refusent son mode de vie. Les élections législatives du 15 mars pousse Mark Rutte vers l’extrême-droite.

      La lettre du Premier ministre Mark Rutte à ses concitoyens a été publiée dans plusieurs journaux néerlandais et sur le site de son parti libéral, le VVD. Une publicité sur une page entière où le Premier ministre vise les personnes qui « refusent de s’adapter et critiquent nos valeurs, (elles) doivent se comporter normalement ou s’en aller » .

      Alors dans son message, Mark Rutte dit comprendre la lassitude (l’inconfort) des Néerlandais vis-à-vis de ceux qui abusent de la liberté qu’ils ont trouvée en arrivant aux Pays-Bas, « qui s’en prennent aux gays, sifflent les filles en jupe courte et considèrent les Néerlandais comme racistes » .

      Je n’avais pas vu passer ça. Un modèle pour battre l’extrême-droite, hum...

  • Les petits maires rechignent à parrainer les candidats
    http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/02/24/les-petits-maires-rechignent-a-parrainer-les-candidats_5084877_4854003.html
    (article du 24/02/17, j’avais pas vu)

    Pierre Méry est en colère. Le maire de Fournols, un village du Puy-de-Dôme, a « l’habitude de dire les choses crûment, comme [il] les pense ». Depuis des semaines, il a été « beaucoup sollicité » par des « petits candidats » qui cherchaient à obtenir son parrainage pour pouvoir espérer se présenter l’élection présidentielle. A chacun, l’élu a donné la même réponse : un « non », clair, net et définitif.

    Il y a cinq ans, M. Méry avait parrainé Marine Le Pen, « pour une question civique » car il ne trouvait pas juste que « quelqu’un qui fait 20 % aux autres élections ne puisse pas se présenter à la présidentielle ». Alors pourquoi, cette année, une telle désaffection ? « C’est vraiment la chienlit, les candidats ne sont que des guignols ! », s’emporte-t-il. Le maire invoque pêle-mêle le manque de considération des politiques nationaux à l’égard des maires ruraux, l’ambition personnelle qui passe avant l’intérêt général. Pierre Méry est tellement énervé qu’il a pris quinze jours de vacances au moment de la présidentielle et ne votera pas.
    […]
    Vanik Berberian, le président de l’association des maires ruraux de France (AMRF), voit cette année apparaître « quelque chose de nouveau » chez ses pairs : « une saturation, une grande lassitude ». Il évoque une sorte de « grève des parrainages » des élus ruraux, lesquels « ne veulent pas s’immiscer dans un jeu politique national qui les navre ».
    […]
    Pour la première fois, cette année, les noms de tous les « parrains » seront publiés, au fur et à mesure de l’arrivée des formulaires au Conseil constitutionnel. Or « les maires ont peur d’être assimilés aux candidats, ils n’ont pas envie d’être interpellés par leurs administrés, de se voir poser une étiquette », explique Sylvie Najotte, élue de Montigny-les-Vaucouleurs (Meuse) et présidente de l’association des maires ruraux dans ce département. Elle a choisi de parrainer la candidate de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud mais voit beaucoup de ses collègues déboussolés, dégoûtés, en proie « à un certain ras-le-bol des politiques ».

    Christophe Petit, maire de Lestards (Corrèze), a été « échaudé » par une précédente expérience. « En 2002, j’ai parrainé Corinne Lepage. J’aurais aimé avoir une lettre de remerciement, un coup de fil. Mais rien. » Jusqu’à ce que, cinq ans plus tard, des membres de l’équipe de la même candidate le sollicitent à nouveau. « Ils n’ont pas été déçus du voyage, je les ai gentiment renvoyés dans leurs buts. »

    • Parrainages : la publicité sur les signatures suscite la colère des maires
      http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/03/10/35003-20170310ARTFIG00306-la-publicite-sur-les-signatures-suscite-la-colere

      Quelle que soit leur sensibilité politique, les maires ruraux se plaignent d’un manque de considération de la classe politique à leur égard et estiment que la ruralité n’est reconnue qu’au moment des élections.

      De nombreux maires ruraux ont décidé d’exprimer leur ras-le-bol, voire leur détresse, en faisant la grève des parrainages. « Nous sommes attractifs une fois tous les cinq ans. Les candidats à la présidentielle réclament notre signature, mais ils ne veulent pas comprendre qu’on va mal, qu’on a la tête dans le guidon et qu’on est en danger. » Ce sont les propos de Marie-Antoinette Métral, maire divers droite de Saint-Sigismond, une commune de 624 habitants en Haute-Savoie, qui souligne qu’elle a été réélue maire à trois reprises au premier tour.

      #paywall