• Gébé, on arrête tout, on réfléchit, un nouveau docu d’1h de Pierre Carles sur Gébé
    http://www.pierrecarles.org/-rubrique16-

    L’arrêt général de la production des biens et des services conduit les citoyens à s’interroger collectivement sur ce qu’il serait nécessaire de continuer de produire et de consommer mais aussi ce qu’il serait souhaitable de cesser de fabriquer dans notre société. Le film résonne avec la situation actuelle, même si l’arrêt – partiel – de la production est de nos jours quelque chose de subi et non pas une situation choisie.

    Avec Gébé, on arrête tout, on réfléchit nous essayons de rendre hommage – trop tardivement, certes – à ce grand bonhomme à qui nous devons beaucoup, à cet esprit indépendant dont l’œuvre, parfois déroutante, mérite un détour. Ce petit film vous est proposé en accès libre, gratuitement. Vous pouvez le faire circuler à votre guise. Il a néanmoins nécessité le travail de plusieurs personnes pour voir le jour (monteurs, mixeurs, documentalistes, graphistes, etc.). Aussi, n’hésitez pas soutenir financièrement cette réalisation indépendante en faisant un don sur le site www.pierrecarles.org Nous espérons être en mesure de vous proposer d’autres films de ce type à l’avenir.

    https://tube.aquilenet.fr/videos/watch/4f4601fb-8f1a-4a6a-b02e-2b8478d1b79e

    #documentaire #Gébé #Pierre_Carles

  • Entretien avec #Pierre-Carles
    Texte paru dans la revue Tête-à-tête, N° 3, Images du pouvoir, Printemps 2012
    http://www.pierrecarles.org/spip.php?article9

    La partie la plus intéressante est peut-être la dernière, sur l’#autoproduction et la diffusion des œuvres critiques.

    TàT : Ce film ne va donc sortir que sur support DVD ?

    P. C. : Oui, mais on va surtout le diffuser sur internet à partir du 15 avril si tout se passe bien. On va demander aux internautes et aux spectateurs qui l’auront vu sur internet, de le financer après coup, soit en achetant le DVD, soit en faisant un don.

    Ce film n’aurait pas pu voir le jour si, les uns et les autres, nous n’avions pas mis notre travail en participation. La #télévision n’avait aucune envie de le produire, le cinéma ne pouvait pas, donc, si ça vous intéresse, si vous voulez voir d’autres documentaires de ce type, il faudra les financer d’une manière ou d’une autre. C’est la première fois que nous allons mettre un de nos films en #libre-diffusion sur #internet. À terme, l’ensemble de mon travail y sera visible. C’est quelque chose qui est en construction.

    TàT : En quoi la mise à disposition gratuite vous intéresse-t-elle ?

    P. C. : Le principe m’intéresse à condition qu’il génère des ressources pour fabriquer des films. Il ne faut pas croire qu’on peut faire les choses gratuitement, elles ont un prix. Pour l’instant, Sony ne donne pas de caméras, les bancs de montage ne sont pas gratuits, travailler à la réalisation de films est un travail à plein temps qui demande un certain nombre de moyens. On ne peut pas faire ça bénévolement à moins de risquer de faire des films de mauvaise qualité. Le principe du bénévolat peut marcher une fois, mais il n’est pas viable à long terme.

    Mes derniers films n’ont pas marché suffisamment pour générer des recettes ou en tout cas déclencher des financements automatiques de la part du CNC qui permettraient de démarrer d’autres films de manière autonome. Avec C-P Productions, nous sommes dans une situation délicate du fait de l’insuccès des deux derniers films produits par la société, Fin de concession et Squat. Le modèle économique que l’on avait constitué à l’époque de Pas vu pas pris arrive peut-être à son terme.

    TàT : Est-ce qu’un film comme celui-ci a un budget comparable à celui d’un film « classique » ?

    P. C. : C’est du travail, du montage, du tournage, du repérage, de la documentation, mais non, ce n’est pas comparable. Si on voulait le faire correctement, il nous faudrait au moins 70 000 euros. Ça nous permettrait de payer tout le monde. Là, on va le faire à l’arrache, chacun amène ce qu’il peut. Ce genre de films pas vraiment désirés par le système n’a pas d’autre possibilité d’être produit autrement qu’en autoproduction.

    TàT : Ce fonctionnement vous convient-il ou est-ce un choix par défaut ?

    P. C. : Non, ça ne me convient pas. Quand on est en situation fragile, économiquement parlant, on peut difficilement se consacrer à un film. Ce n’est pas une situation idéale.

    TàT : Vous avez suivi la logique inverse, puisque vous vous êtes complétement grillé à la télévision et vous retrouvez dans une situation de plus en plus incertaine…

    P. C. : Oui, c’est le prix à payer.

  • « DSK, Hollande, etc. » : film en ligne (PierreCarles.org)
    http://www.pierrecarles.org

    Une première version de « DSK, Hollande, etc. » a réussi à voir le jour avant le 1er tour des élections présidentielles. Une deuxième version sera mise en ligne entre les deux tours. Notre objectif : sortir une version intégrale du film à l’automne 2012 et de réussir à le faire circuler en salles d’ici la fin de l’année. Il nous faut, pour cela, continuer de réunir des fonds. Nous comptons sur vous ! Source : PierreCarles.org

  • Ayé ! http://www.pierrecarles.org

    Arapèdes productions et PLPL présentent
    DSK, Hollande, etc.
    Un film de julien brygo, Pierre Carles, Aurore Van Opstal

    Montage : Matthieu Parmentier, assisté de Pascal Blondela et Vincent Hanotaux

    Une première version de « DSK, Hollande, etc. » a réussi à voir le jour avant le 1er tour des élections présidentielles. Une deuxième version sera mise en ligne entre les deux tours. Notre objectif : sortir une version intégrale du film à l’automne 2012 et de réussir à le faire circuler en salles d’ici la fin de l’année. Il nous faut, pour cela, continuer de réunir des fonds. Nous comptons sur vous !

    L’équipe de « DSK, Hollande, etc. »

    #pierre_carles

  • A propos de DSK, Hollande, etc. - Menaces, etc. / pierrecarles.org
    http://www.pierrecarles.org/spip.php?article5

    Menaces, etc.

    Le film n’est pas encore terminé, et le Parti de la presse et de l’argent (PPA) montre déjà ses crocs. Jean-Michel Aphatie (RTL) nous écrit, Laurent Joffrin et Renaud Dély (Le Nouvel observateur) nous font écrire par leur avocat. Tracasseries judiciaires en perspective ? Nous verrons bien, et vous tiendrons au courant. D’ici-là, nous vous offrons à lire leurs billets doux.

    En attendant le 15 avril 2012...